ACCUEIL > Hétéro > Récit : COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (3/6)

COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (3/6)

+10

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/11/2022

Découvrez les filles coquines près de chez vous :



En pleine Bérézina, mon mari aimant les hommes, je cède à Yemba homme lui aussi, mais un géant de la nature.
Ça aurait pu se faire dans un hôtel de luxe dans une chambre agréable, mais c’est dans un squat sur un matelas crasseux qu’avec entrain je me laisse labourer.
J’ai hésité à prendre cette verge monstrueuse dans ma bouche aussi, je me contente de le sucer du bout de ma langue.
Le, car c’est le gland auquel je m’attaque, persuader que je suis bonne pour une chirurgie faciale si je tente de l’engamer.

Quoique je fasse partie de ces femmes qui peuvent l’ouvrir très grande, je risque de rester les mâchoires bloquées si j’essaye que le reste me pénètre.
Afin d’éviter ce risque, je me contente de le lécher comme je le ferais avec un cornet à glace.
J’insiste sur le gland entrant même le bout de ma langue dans le méat de sa verge.
Lorsque sa tension est maximale, je le chevauche et essaye de l’introduire dans mon anus.

• Attention fillette toute femme ayant essayé de se l’introduire dans le cul a été obligée de reculer sous la douleur.
Je commence à tenir trop à toi pour prendre le moindre risque.
Mets Yemba dans ta chatte, je vais te faire encore jouir, c’est plus raisonnable.
• Dommage que nous soyons à des antipodes de pouvoir vivre ensemble, car je sais qu’un jour, j’y arriverais.

Je dois me taire pour reprendre de l’air, car en m’assayant sur son sceptre royal, je dois me taire tellement, l’impression de remplissage une fois de plus me fait suffoquer.
Il me semble que, plus on le fait et plus j’aime le faire, je commence à prendre goût à mon homme des savanes africaines.
Je me demande comment je vais faire pour retrouver la petite bite de mon mari.
Si j’acceptais de suivre l’envie de mon mari et de son copain de me prendre en double vaginal, ils seraient loin du diamètre qui en ce moment me donne orgasme sur orgasmes.
Je suis devenue folle, je pense bite noire et je pense double péné avec les hommes qui m’ont trahie.

En sueur, crasseuse avec ce que mon corps a ramassé du matelas, je m’endors dans ses bras plus que virils.
Dans la soirée il descend chercher le saucisson, seule nourriture qu’il ait à manger.
Qui dort dîne, mais qui baise à faim.
C’est l’estomac dans les talons que je me réveille habituée à me lever de bonne heure.
Je récupère ma robe avec la tache qui a doublé et qui est froissée plus que de raison.
Le plus grave c’est que les couleurs ont déteintes et sont complètement délavées.
Je me galvanise, je vais à ma boulangerie à mi-parcours des deux maisons.
Ma boulangère me voit arriver comme une martienne sortie du fond de sa galaxie, car elle m’a toujours vu tirer à quatre épingles en allant à mon cabinet où je suis orthophoniste.
Mes croissants tout chauds en main, avec deux gobelets de café, je rejoins la cuisine de Yemba.
Lorsque j’entre, il semble si content que je revienne qu’il me serre dans ses bras, écrasant les gobelets de café qui giclent sur ma robe, la massacrant définitivement.
Il me prend les croissants des mains et les pose sur la table.

• J’ai eu peur que tu ne sois partie retrouver ta lopette de mari.

Il m’assoit sur la table, soulève ma robe ou du moins ce qu’il en reste constatant que mon vagin est à nu.
Il avance sa bouche, avec ses grosses lèvres et sa grande langue.
Pour la première fois, il me broute la chatte en s’attardant longuement sur mon clitoris.
Le double effet lèvres et langue me font repartir, mais dans une jouissance plus diffuse que lorsqu’il me prend.
Malgré sa carrure, il me montre toute sa douceur d’homme aimant les femmes, car c’est à mon plaisir qu’il est attaché alors que d’autres pensent à leur propre plaisir.

Quand il juge que j’ai assez joui, il se relève, s’assoit sur la chaise et je me rassieds sur ses genoux.
Je me garde bien de bouger, je me rappelle qu’il faut éviter de la réveiller.
Les croissants dévorés, le peu de café restant avalé, il me relève.

• Viens, suis-moi, emmène-moi chez toi.

Nous voilà dehors, je me dirige vers ma voiture la clef de contact à la main.

• Laisse ta voiture, il me serait impossible d’y entrer et encore moins d’en sortir, j’aurais l’impression d’entrer dans une boîte de conserve.
Dépêche-toi, je veux éviter les contrôles de police, je risque l’expulsion en cas ou si l’on me ramasse.

Je marche aussi vite que je le peux au point de perdre l’équilibre.
Je trébuche sur mes hauts talons et quand Yemba me rattrape, le bruit de ma robe se déchirant sur l’arrière montre pour ceux qui sont bien dans l’axe, une superbe vue sur mes fesses rebondies.
Mon amant enlève sa chemise et se met torse nu.
Il me la place autour de ma taille.
En l’enlevant, outre sa musculature impressionnante, c'est aussi le couteau dans son étui de cuir qui m’apparaît.
Un frisson traverse mon échine, de peur que les choses tournent mal une fois chez moi.

• J’ai vu que tu as regardé mon couteau, ton mec peut dormir tranquille, il sert seulement à faire peur ou à couper du saucisson comme hier au soir ou cette nuit.

J’entre, Antoine est absent.

• Je monte prendre une douche et changer de robe, j’en ai bien besoin.
• Je peux aller dans la cuisine !
Je vais regarder ce que tu as dans le frigo, je suis un putain de cuisinier.
• J’aimerais que chez moi, tu restes poli.
• C’est drôle l’intonation que tu viens de prendre, elle me rappelle celle de la jolie pétasse qui m’a demandé de lui changer sa roue !
Je croyais que les choses avaient évolué entre nous au fil du temps !
Tu retrouves ton luxe et Yemba redevient un black comme un autre.
• Espèce d’idiot, je crois que je t’ai prouvé que ta couleur de peau je m’en fiche royalement.

Pour calmer le jeu car il est vrai que je lui ai parlé un peu sèchement, je le prends dans mes bras sans arriver à faire le tour de sa taille.
Je pose ma tête sur sa poitrine les yeux levés vers lui, je lui tends ma bouche ce qui nous réconcilie.

• Va te laver, tu chlingues.
• Tu parles toujours comme cela à une dame !
• Dégage sinon je te fesse.

Vu ses mains baladeuses et vu le cul que j’ai à l’air, ayant récupéré sa chemise dès que nous sommes entrés dans le séjour, la claque qu’il me donne me dissuade de discuter plus longtemps.
Je suis restée une demi-heure absente, car j’ai fait couler l’eau longuement sur mon corps et après un coup de sèche-cheveux, lorsque je redescends une surprise s’offre à mes yeux.

• Alice, qui est ce gorille qui vient de m’attacher.
• Mon amant, il m’a baisé toute la nuit comme une bête, ma chatte a été à la fête plusieurs fois, il est monté comme un taureau.
• Demande-lui de me libérer, il refuse de me dire un mot et pourquoi il m’a agressé.

Il est vrai qu’il a attaché les jambes d’Antoine avec les cordages du rideau qu’il a dû couper avec sa lame.
Je vois Yemba venir près de mon mari et récupérer le téléphone qui dépasse de sa poche de chemise.

• Appelle ton pote, tu sais celui qui hier te sodomisait dans le jardin.
• Vous nous avez vus !
• Non, c’est moi, je suis revenue, car ma voiture avait crevé à deux kilomètres d’ici.
Tu étais avec Adrien, j’ai tout entendu et surtout vu lorsque tu t’es positionné pour qu’il t’encule.
• On arrête de le faire, je te le promets, c’est toi que j’aime.
• Je t’ai dit de l’appeler, si tu veux que je lâche mon gorille, refuse de le faire !

Antoine compose le numéro avec ses mains-libres.

• Adrie, viens vite, il y a un problème.

Antoine est assis sur le canapé et mon beau black s’est installé dans le fauteuil en face de lui.
Je m’assieds sur le large accoudoir.
Négligemment il me passe sa main sur une cuisse remontant jusqu’à ma petite chatte, mais tout de suite redescendant car on attend Adrien.

Il arrive quelques minutes plus tard et Yemba se lève pour l’accueillir.
Avant qu’il comprenne ce qui lui arrive, il est attaché à côté de son amant.
Yemba en profite pour leur attacher les mains ensemble, la ficelle lui restant étant trop courte.

• Bien, Alice m’a expliqué que vous avez envisagé un ménage à trois et pour finir l’emmené se faire baiser dans des boîtes libertines.
La boîte libertine vient de venir à vous, vous allez pouvoir vous éclater en nous regardant faire l’amour si cette jolie dame est d’accord bien sûr et mon petit doigt me dit qu’elle va dire oui.
• Oui, deux fois oui.

Sous les yeux médusés des deux hommes parfaitement saucissonnés, je sens que je vais passer un divin moment...






10 vote(s)


Histoire de Chris71

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (3/6)

Le 21/11/2022 - 22:38 par OlgaT
Alice se lâche totalement!

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :