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COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (2/6)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/11/2022

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Alors que j’ai crevé avec ma voiture à quelques centaines de mètres de chez moi, pour changer ma roue, je vais chercher mon mari que je trouve dans une situation plus que gênante.
Il est en train de se faire sodomiser par son copain Adrien sur un transat dans le jardin.

Je fuis et je reviens vers ma voiture, mais il m’est impossible de desserrer cette putain de roue.
Derrière moi, dans le jardin, un homme me propose de m’aider et ce grand black d’au moins deux mètres après me l’avoir changé me permet de me laver les mains et aussi ma robe.
La maison est squattée, il m’entraîne dans la cuisine où il m’ordonne de me déshabiller.

Chose faite, je suis devant lui en soutien-gorge et petite culotte sur mes talons hauts. Mon black avec ses grands battoires frotte énergiquement ma robe sans grande efficacité sur la tache de graisse.
Il la rince et la place sur une corde qui traverse la pièce en hauteur.
Il ouvre un placard où l’une des portes est à moitié dégondée.
Il s’assoit sur la seule chaise de la cuisine.

• Viens manger, assieds-toi.
• Sur quelle chaise ?
Vous êtes peu galant, laissez-moi m’asseoir et vous resterez debout.
• Si c’est toi qui t’assois, je m’assairai sur tes genoux, tu risques de souffrir, j’ai trouvé une seule chaise dans cette maison.

Il est devenu fou, il semble me montrer l’endroit où il souhaite que je m’installe.

• Allez, prend place sur mes genoux, il y a assez de place.
Dans mon pays, elles couraient pour venir s’asseoir dessus.


Je m’assieds pour la première fois de ma vie sur les genoux d’un homme autre que ceux de mon mari.
J’ai failli dire mon pédéraste de mari.

• Aimes-tu le saucisson ?

Qui peut refuser du saucisson surtout que chez nous, il est rare qu’on en trouve dans notre frigo pour éviter de manger trop de graisse et finir par avoir un gros-cul !
Il prend son grand couteau et en m’entourant à hauteur de mon cou il commence à couper des tranches à dix centimètres de mes carotides.
Quand je disais que je vais finir découpée en morceaux, je me trompais, ce sera en rondelles !

• Tu as des jolis seins, regarde ma main les couvre intégralement.

Sans difficulté, il place sa main sur mon sein droit, en tout bien tout honneur, car j’ai gardé mon soutien-gorge.

• Tu dois faire du 95 C ou D, c’est plaisant par rapport aux jeunes filles de chez moi qui souvent ont au choix des œufs sur le plat ou des mamelles qui pendent après les nombreux enfants que je leur ai faits.

Le mouvement de mon corps le fait rire.

• Je rigole, je suis sans femmes ni enfant ni chien ou alors on a oublié de me les présenter.
Arrête de bouger, il va y avoir un accident.
• Oui, je sens. Que m’arrive-t-il, je monte, j’ai gagné dix centimètres ?
• C’est l’accident, je commence à bander.

Avant que je me pose des questions sur ce qu’est l’accident, il me prend sous les aisselles et sans forcer m’assoit sur la table.

• Là c’est mieux, alors raconte-moi les soucis que tu as.
• Quels soucis ?
• Près de ta voiture lorsque je changeais ta roue, lorsque tu as sali ta robe, tu parlais toute seule et tu as parlé d’une journée de merde, je schématise.
• Oui, je viens de découvrir que mon mari est homosexuel.
• C’est un pédé !
• Chez nous en France, on dit homosexuel, depuis quelques mois ils ont même le droit de se marier.
• Et c’est pour cela que tes yeux fixent la bosse de mon pantalon !
L’accident, c’est cela, une fois qu’elle est sortie de sa torpeur, il est impossible qu’elle reprenne sa place sans rien lui faire.
• Regarde ton pantalon, il est tellement tendu qu’il est prêt à éclater.
• Veux-tu la voir ?

Avant que je réponde, il se soulève et fait glisser son pantalon plus bas que ses genoux et me montre une chose monstrueuse.
Trente à trente-cinq centimètres de long et un diamètre si gros que sans un mètre de couturière, il m’est impossible d’en donner le diamètre ou le pourtour.
La seule chose que je constate, c’est comment ce monstre peut entrer dans le sexe d’une femme sans la déformer à vie ?

• Prends-la en main, tu verras, elle va apprécier.

Subjuguée, je me penche, je suis son conseil et j’ai besoin de mes deux mains pour en faire le tour, le bout de mes doigts se chevauchant légèrement.

• Secoue là, que je décharge, il y a plus de trois semaines qu’elle était restée tranquille, elle attendait une jolie femme comme toi.

En toute perte de lucidité, subjuguée, fascinée, je saute de la table pour enjamber cette monstruosité.
Après avoir écarté ma petite culotte, j’ouvre mes grandes lèvres et le laisse me pénétrer.
Il sent que ma culotte gêne.
D’un coup de main rapide, il la déchire comme avec si c’était un simple mouchoir en papier.
Un orgasme instantané irradie mon corps et c’est dans un élan effréné que je lui présente ma bouche.
Je lui donne dans un baiser où sa langue à la proportion du reste de son corps vient presque m’étouffer.
Que c’est bon d’avoir ma chatte distendue par ce mandrin gigantesque.
Je suis sûre à la manière dont mes organes internes sont comprimés qu’il repousse mon col de l’utérus.
Toujours aussi planté en moi, je suis dans l’impossibilité de bouger, étant sur la pointe des pieds pour éviter qu’elle puisse encore entrer de quatre à cinq centimètres
Il me saisit sous les bras et me fait monter et descendre.
Tout le temps où nous nous embrassons et qu’il me manœuvre sur son pieu, mes orgasmes se succèdent presque en boucle.

Moi, qui avec Antoine ai pour habitude de jouir une fois et après de rester sur cette houle agréable, mais plate, mes sensations avec ce pieu noir faisant le yoyo et dans les points hauts, je jouis.
J’arrose sa queue de sécrétions qui permettent qu’il me pénètre réduisant la douleur.
Sommet de cette première fois où une queue de ce diamètre me prend, le moment où il m’arrose l’intérieur de ma chatte.
Cela me fait tourner de l’œil.
Quand je reviens à moi, je suis couchée dans une chambre sur un simple matelas, crade de chez crade.
Mon amant est près de moi et est allongé sur le côté.
Il me regarde intensément, avec sa main libre me caresse le front et les cheveux dans un geste qui me va droit au cœur.

• J’espère que tu as apprécié, ma verge elle, là été.
• C’est incroyable, je viens de vivre le plus beau moment de ma vie.
• Des journées qui se commencent dans la merde quelquefois finissent de manière extraordinaire.
Je me souviens que dans un pays voisin du mien, alors qu'il était midi, je me suis fait cerner par dix ou douze rebelles.
Ils voulaient me faire la peau en attendant la nuit pour me porter l’estocade.
Vers la tombée du jour les sœurs du couvent sont sorties en procession alors que j’étais chargé de les protéger, me permettant de faire mouvement sans que mes adversaires me voient.
Je les ai tués avant que ce soit eu qui me tuent.
• Tu les as tués !
• C’était eux ou moi.
• Non pas toi !

Ce cri du cœur qui vient de monter de ma poitrine me fait prendre conscience de la grande place prise par celui qui vient de me baiser et bien baiser.
Oui, tu m’as immensément bien baisée sans qu’à aucun moment nous nous soyons présentés.

• Dis-moi ma belle, je connais ta chatte et tes seins et c’est vrai nous avons oublié de nous présenter.
• Toi non plus, tu m’as enfilé ta bite et j’ignore, comment je dois t’appeler.
Mes parents m’ont appelé Alice.
• Alice au pays de ma merveille, je m’appelle, Yemba pour te servir.
• Yemba, j’aime bien, allonge-toi que je m’occupe de toi, j’ai bien récupéré.

Une fois allongé, je prends sa barre dans ma main, un ou deux mouvements de branle et il bande de nouveau.
Un instant j’ai oublié de lui faire une fellation, ma bouche est si petite.
Dommage que cette verge soit à ma disposition pour peu de temps, car j’en ferais bien mon ordinaire.

Si je suis prête à quitter Antoine pour une nouvelle aventure amoureuse, je me vois mal passer un moment de ma vie dans cette maison délabrée, sur ce matelas immonde lorsque je le regarde.

Il faut avoir baroudé dans toute l’Afrique, par tous les temps, et avoir couché dans des endroits pire que celui-ci pour pouvoir rester allongé pendant des jours sur cette immondice.
Me prenant derrière ma tête, présentement, ma bouche s’approche de sa monstruosité.
Moi qui ai eu peur de la fellation ce que je faisais à mon mari, je commence à lui lécher le gland.
Une vraie balle de golf, que je pratique, je me trompe, c’est plutôt une balle de tennis...





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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (2/6)

Le 20/11/2022 - 17:20 par OlgaT
Alice a fait une belle découverte!

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