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COLLECTION BOURGEOISE. 1 - Le charme de la bourgeoisie - Début de ma vie de femme (2/3)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 06/01/2023

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Mon nom de jeune fille, Marie de... ou de femme mariée Marie de ... ...
Moment où je me suis retrouvée seule face à Albert de ...
Marie de ... mariée à Albert de ... à ce jour, je suis donc Marie ... ... mais comme mon époux occupe de hautes fonctions éligibles, je préfère taire mon nom de jeune fille et de femme mariée.
Ce sont nos parents qui ont décidé de notre union comme cela se fait régulièrement chez cette classe bourgeoise afin de conserver leurs suprématies sur ce que nos parents appellent entre eux « le petit peuple. »
Le patrimoine amassé depuis des années doit rester entre eux et en nous mariant, ils restent les maîtres de notre pays de plus en plus riche en fusionnant leurs biens.
Albert a eu une éducation très stricte et comme moi aussi, nous aurions pu rester dans l’ignorance de la vraie vie et surtout celle qui touche au sexe.
Par chance du haut de mes dix-neuf ans, nous décidons avec mon mari que j’achèterais un portable afin de pouvoir nous joindre à tout moment pour rester l’un près de l’autre.
Ce portable a toutes les fonctions modernes me faisant découvrir que la vie et surtout celle de mon sexe est loin de ce qu’Albert m’a fait découvrir.
En un mot « rien », car lors de notre nuit de noce, essayant une première fois, est-ce la peur ou la méconnaissance, il est resté flasque c’est du moins ce que j’ai senti lorsque cette chose molle est venue taper à mon petit capital.
Dans le noir, dans mon sommeil, j’ai senti mon mari bouger, par la suite je devais comprendre qu’il se masturbait afin d’arriver à bander et venir sur moi.
J’ai refait la grenouille écartant mes jambes comme maman me l’avait suggéré me faisant mal, mais déchargeant sa semence en moi.
Au matin mon mari était parti et j’ai eu peur d’avoir perdu notre bébé, une tache de sang maculant nos draps.
Dans ces films, j’ai appris à dix-neuf ans ce que d’autres découvrent dès leurs onze ou douze ans sur la sexualité.
La sexualité et l’usage de cette partie de mon corps qui devrait s’envoler vers les sommets de mon plaisir alors que je restais sur le bord du chemin.
Je mets de côté les films sur le fantasme de certaines femmes se léchant entre elles, d’autres voulant à tout prix être défoncé par de grosses bites noires.
Je suis prête à évoluer pour le plaisir de mon mari et surtout le mien, mais je tiens à respecter mon vœu de fidélité à mon époux devant le maire et surtout le curé.
J’ai un mari éjaculateur précoce.

En me faisant sucer en même temps que je le masturbe, je me penche pour mettre son gland dans ma bouche.
Je l’enjambe et je place ma petite fente sur sa bouche.
Je l’ai vu faire par de nombreuses femmes, même si les titres de ces œuvres étaient loin de valoir, Victor Hugo ou Balzac.
« Vieille salope découvre le secret de la bite de son mari. »
« Jeanne, pucelle et rapidement femme aimante ».
« Femme aimante, un peu et même beaucoup comme moi, je veux réussir mon couple et éviter d’être comme ma tante ou ma mère des coincés des choses de la vie.
Mais je me répète dans le respect de mes vœux de mariage d’être une femme fidèle.

Albert comprend-il la nécessiter de faire évoluer notre couple, il suit mon conseil et alors que je mets son gland dans ma bouche, il me lèche le clitoris.
Ça marche pour moi, mais un peu moins pour lui, car un flot de liquide poisseux envahit ma bouche.
Je sentais que j’allais jouir comme je l’avais fait l’après-midi pour la première fois en me doigtant de longues minutes.
Mais mon élan a été freiné par ce que j’apprendrais le lendemain être son sperme.

• C’est malin, qu’as-tu gagné, crois-tu que c’est ainsi que nous arriverons à avoir des enfants.
Samedi nous partons chez grand-mère Agathe, j’espère que tu auras un autre comportement avec elle.
Tu sais, elle est restée vieille France et serait bien en peine de comprendre tes nouvelles lubies.

Avoir essayé avoir raté, mais je comptais bien réussir la prochaine fois où nous serons seuls ensemble.
Une nouvelle fois, mon mari étant éjaculateur précoce, j’avais foiré ma démonstration de nouveaux jeux amoureux, mon mari revenait à son obsession de vouloir avoir un enfant.

Chaque jour, il faut savoir remettre l’ouvrage sur son métier, mais lorsque nous partons chez sa grand-mère, nous en sommes toujours au même point.
Grand-mère Agathe a dû être une très belle femme, mais une opération ayant mal tourné, elle se retrouve dans un fauteuil regardant de loin le parc qui entoure son joli manoir.
Sans être vénale, savoir que mon mari est l’héritier de ce petit bijou, je suis enchantée de savoir qu’à sa disparition je pourrais venir vivre ici avec mes enfants.
Attention, lorsque je parle de sa mort, il va de soi que je veux que ce soi le plus tard possible, de toute façon à la manière dont mon mari me fait l’amour, je sois loin d’avoir un enfant, alors plusieurs !
J’offre le grand plateau de chocolat « fabuleux » de chez Lenôtre, « fabuleux » est son nom, « fabuleux » même son prix.

• Des Lenôtre, vous me gattez, Albert tu t’es souvenu que c’était ceux que je préférais lorsque j’habitais encore Paris.
• Agathe, vous nous excusez, le voyage m’a fatigué et demain je pars chasser avec mes amis d’enfance, je veux être en forme.

Les présentations étant faite, Albert m’amène vers la chambre qu’il occupe lorsqu’il vient voir Agathe.
Il vouvoie ses parents, il vouvoie sa grand-mère, je suis un peu choqué, mais je le garde pour moi, il m’a dit de bien me tenir.
Albert va dans la salle de bain, je me dénude et je me couche sur le lit.
Je manque d’éclater de rire, à 17 heures, il a passé un pyjama veste et pantalon.
Il vient s’allonger, je me coule près de lui et ma main trouve l’ouverture dans le pantalon pour atteindre sa verge.

• Que vous ai-je dit, d’éviter de me provoquer lorsque nous serons chez ma grand-mère !
Cette vieille dame a eu une vie aussi pure, à la limite d’être une none, que celle de ma mère, si elle nous entend, elle sera offusquée.

Je tiens mon avantage, j’ai sa bite bien en main, j’approche ma bouche, il a dû aimer la première fois sans se l’avouer, il pourrait se sauver, mais il me laisse faire.
Je m’attends à recevoir son foutre sur mes amygdales, mais est-ce la présence non loin de notre chambre de sa grand-mère, il bande sans décharger.
Rapidement je veux garder mon avantage et je le libère pour mieux l’enfourcher, me mettant immédiatement à jouir et à brailler tous l’amour que j’ai pour l’homme de ma vie.
Pour la première fois, j’ai réellement mon mari dans mon lit et c’est un feu d’artifice lorsque nous explosons simultanément.
Albert dort, je passe une tenue légère et je rejoins sa grand-mère pour dîner.
Je fais la connaissance de Simone, sa femme de service qui s’occupe d’elle avant de la coucher jusqu’au matin où elle reviendra la lever et l’aider à la mettre dans sa chaise roulante.
Le matin elle fait les courses et prépare à manger, je me retrouve à table avec elle.

• C’est beau la jeunesse, j’étais assoupi lorsque j’ai entendu des cris, je suis heureuse pour mon petit-fils et toi ma chérie de vous entendre exprimer votre plaisir m’a rappelé mes envolées avec les hommes de ma vie.
• Grand-mère Agathe que me dites-vous là, les hommes de votre vie !
• Tu es jeune et je sens que je peux avoir confiance en toi, tu es un peu comme moi dans ma propre jeunesse d’après la guerre, en 1949.
J’étais orpheline à la fin de la guerre dans mon village près en Normandie.
Ma mère était morte peu de temps après ma naissance et mon père a rejoint la résistance.
Il est mort le dernier jour du conflit tué par un Américain l’ayant pris pour un Allemand alors qu’il était sur son vélo à porter une lettre donnant les positions des troupes ennemies.
J’ai connu mon premier homme un Irlandais dans ces moments-là et, en 1949, le travail étant rare, j’ai rejoint Paris.
C’était pire pour le travail sans compter le logement et je me suis retrouvée à Pigalle lieu de la nuit ayant survécu aux Allemands qui aimaient s’encanailler.
Les petites femmes de Pigalle comme ils aimaient à le dire.
J’ai trouvé un travail en faisant du strip-tease dans une boîte louche.
• Vous avez connu de nombreux hommes à ce moment là pour vivre !
• Pour survivre, si tu vas dans le fond de mon armoire à ma mort, je voudrais que tu détruises la carte que la police de l’époque nous donnait lorsque nous nous prostituions.
J’ai été prise dans une rafle et j’ai été encarté, je devrais la détruire, mais c’est un pan de ma vie cachée que je tiens à conserver.
• Je vous promets de la détruire et votre famille vous considérera toujours comme une femme pure comme me l’a dit Albert tout à l’heure dans notre chambre.
Ça marche autant que ça de se prostituer, vu le domaine que vous avez !
• Les domaines et les biens que je possède, tous les biens que ma famille a, sont à moi.
J’en connais une qui attend ma mort pour tout ce mettre dans la poche, c’est dans ce sens que ton mariage avec toi a été organisé.
Tu as dû en voir avec la manière dont elle a élevé son fils, si tu savais la salope que ta belle-mère ait.
• Vous me direz, mais avant comment avez-vous eu tout votre argent ?
• Le mariage, l’hiver 54 très célèbre par l’abbé Pierre, j’ai eu une pneumonie.
Je me suis retrouvée à l’hôpital où exerçait Adolphe celui qui devait m’épouser.
Il m’a soigné, mais avait comme on dit une petite bite, je te choque à te raconter tout ça !
• Non, Albert était bien éjaculateur précoce, jusqu’à tout à l’heure ou pour la première fois il a réussi à tenir jusqu’à ce qu’il réussisse à me faire jouir.

Moi aussi mise en confiance, je lui raconte ma vie avant et après mon mariage, étant comme l’on dit une belle cruche à avoir écouté tous les bobards que ma famille m’avait inculqués.

• Mais vous, votre mari savait que vous étiez une prostituée !
• C’est le seul qui le savait, il m’avait fait passer ma visite sanitaire, obligatoire lorsque j’étais encarté.
Mais comme je te l’ai dit, Adolphe était un homme frustré.
La première, son nom, replace-toi à la sortie de la guerre et s’appeler Adolphe.
La deuxième, sa verge faisait à peine cinq centimètres et il était puceau lorsque je lui ai fait l’amour dans son bureau quand j’allais mieux.
• Madame, je rentre chez moi, il faut que je vous couche !
• Rentrez chez vous Simone, ma petite fille va m’aider pour une fois nous allons veiller un peu.

J’étais heureuse de ma sincérité même si s’était sans le faire exprès, la vieille dame me considérait comme sa petite fille !...






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Histoire de Chris71

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