COLLECTION BOURGEOISE. Jusqu’à tourner dans des pornos (1/1)

• Bon anniversaire ma chérie.
• Merci, mais j’espère que comme je te l’ai demandé, tu t’es contenté de ces mots de « bon anniversaire » surtout pour mes soixante ans.

C’est à ce moment que la sonnette de notre pavillon dans la banlieue parisienne nous indique que quelqu’un vient nous voir.
Christopher va ouvrir.

• Je suis bien chez Clémentine, tu es Christopher, je suis le cadeau d’anniversaire.

De la salle où je suis restée, j’entends ces mots très interrogatifs.
Pourquoi dire, « je suis le cadeau d’anniversaire » ?
J’aurais entendu « je livre le cadeau d’anniversaire, » j’aurais pu comprendre qu’un coursier livrait le bouquet de roses que Christopher avait prévu, comme il le fait tous les ans, avant de m’amener au restaurant.
Si je refuse les cadeaux, j’aime les fleurs et un bouquet j’accepterais, même s’il me fait livrer soixante roses rouges, celles que je préfère.
Pour notre budget, soixante roses, c’est peut-être beaucoup pour certains, mais Christopher plus vieux de presque dix ans que moi, en retraite à 85 % de son dernier salaire assure largement.

• Entrez, ma femme est au salon.

Dans le même temps que j’entends ces mots, un homme entre précédant mon mari.

• Voilà, ma chérie, je sais que tu refuses les cadeaux, mais à presque soixante-dix ans, j’ai de plus en plus de mal pour bander.
Mon cœur m’empêche de prendre du viagra ou tout autre composé me permettant de bander et je souhaite que Léo, jeune hardeur t’apporte ce que je suis dans l’incapacité de te donner.

J’avais vingt ans lorsque j’ai rencontré mon mari, il en avait dix de plus, mais à cet âge malgré la différence tout se passait bien.
Je passais d’une vie familiale banale à une vie de bourgeoise des beaux quartiers.
Christopher travaillait dans une banque et a fini à en devenir son responsable principal.
Il est vrai que depuis quelque temps nos ardeurs sexuelles sont presque inexistantes, mais je me suis faite à cette situation comme de nombreuses femmes ayant perdu leur mari se trouve obligée d’apprendre à en être privé .
Je dois reconnaître que de rares fois, sous la douche je me sers du jet pour déclencher un léger frisson au niveau de mon clitoris.
J’aurais bien acheté un vibro-masseur comme Laëtitia ma copine me l’a suggéré, mais j’aime trop mon homme pour lui mettre devant son nez son incapacité à bander.

• Bonsoir, belle Clémentine, j’ai de la chance d’être ton partenaire pour cette soirée, ton mari me gatte.
• Léo, je crois avoir entendu !
• Oui, belle enfant, c’est mon nom, je vais bander pour toi belle inconnue !

Christopher s’assied dans son fauteuil alors que ce bellâtre vient se coller à moi.

• Tu te fous de ma gueule, « belle enfant », « belle inconnue », j’ai soixante ans et mes seins commencent à tomber, chérie à quel jeu joues-tu ?
• Laisse toi aller, sent la bosse dans mon pantalon, les femmes d’âge mur, ce sont celles que je préfère.

Christopher à un sourire légèrement narquois, lorsque Léo passe sa main, derrière mon dos, je vois mon mari prendre la télécommande et démarre la console de disque.
Ce garçon, plutôt beau gosse que ce bellâtre mérite que je lui donne cette baffe, que je finis par retenir mon bas-ventre s’échauffant au contact de ce que je présent entre nos deux vêtements.
J’arrache la main sur mes fesses, dans un dernier mouvement espérant échapper à la passion de ce jeune homme.
Hélas, promptement son autre main prend sa place me plaquant définitivement contre lui.
La seule défense que j’ai c’est de me mettre en arrière, Léo ayant des envies de m’embrasser devant Christopher.

• Laisse toi faire Clémentine, le sexe de Léo considère que c’est le mien, tu dois penser me tromper alors que je suis entièrement consentant à ce qu’il te fasse l’amour.
Te souviens-tu d’un soir où nous étions sur notre canapé et que, sans le vouloir nous sommes tombés sur le porno du samedi !
Tu m’as dit être impressionné par la bite du hardeur, j’ai pris mes renseignements Léo était ce jeune acteur qui m’a semblé t’avoir fait fantasmer.

Comment lutter contre ce besoin de ce gros sexe pour lequel j’avais fantasmé ?
Sur la platine, Nicole Croisille chante « I’II Never Leave You » bande originale du film « les jeunes loups ».
Cette chanson m’a toujours bouleversé, le phénomène est le même aujourd’hui, je me coule dans les bras de ce hardeur finissant définitivement de coller mon sexe au sien.
J’accepte sa bouche, c’est drôle à mon âge, c’est la première fois que j’embrasse un autre homme que Christopher.
Il danse divinement bien, je me sens toute petite dans ses bras virils, sur mes seins je sens ses pectoraux bouger, c’est moi qui glisse ma main entre nous.
Il est trop tard cette année pour refuser le cadeau d’anniversaire que Christopher a prévu pour moi lorsqu’une énorme queue remplit ma main.
J’ai quelquefois repensé à cette queue vue un soir sur Canal, mais l’avoir en main, c’est bien autre chose.
Je me laisse glisser vers ma convoitise pile-poil lorsque Clo-Clo entame son « comme d’habitude » après les dernières notes de Nicole.
Comme d’habitude et bien non, je suçais régulièrement Christopher depuis le premier jour de notre rencontre, non, le deuxième, sucer le premier soir je me le suis interdit ayant peur de passer pour une salope.
En dansant, Léo m’a amené devant notre cheminée où se trouve un tapis persan me permettant d’avoir mes genoux protégés dans sa laine épaisse.
Je suis à moins de deux mètres de mon mari lorsque je passe ma langue sur son méat.
Je pourrais essayer de le mettre dans ma bouche, mais son diamètre m’en dissuade, je pourrais finir aux urgences la mâchoire bloquée.
On dit toujours que le sexe, c’est comme le vélo dès que l’on sait en faire une fois, il est facile de retrouver le mode d’emploi.
La seule différence avec mon mari, justement c’est que mon mari suit avec intérêts les étapes que je franchis.
Pardon que Léo me fait franchir.
J’ai été assez efficace dans son léchage de couilles et de sa verge qu’un véritable taureau est prêt à me saillir.
Il se recule vers le fauteuil où j’ai l’habitude de regarder la télé, mais plus souvent lire, car Christopher est féru de sport et surtout de sport américain comme le basket ou le foot.
Léo me tient par mes cheveux, je suis obligé de le suivre si je veux garder ma chevelure.
Remise debout, c’est moi qui lève la jupe de mon tailleur montant mes jarretelles et mes bas qui y sont attachés.
Depuis que je suis avec Christopher, j’ai évolué de façon vestimentaire avec les promotions qu’il a eues et surtout mon âge.
De jeune fille bien dans son époque, maintenant me voilà habillé dans les meilleures boutiques de notre ville, finissant par un tailleur toujours bleu claire.
Pourquoi cette couleur ?
Inutile de me poser la question, j’aime les vêtements bleu clair.
Je fais glisser ma petite culotte et c’est moi qui viens m’empaler sur cette hampe.
Si je compare avec Christopher, ce qui serait mal venu, je dirai que cette verge en plus d’être grosse est longue et lorsque mes fesses touchent ses couilles, je sens le fond de mon vagin compressé comme jamais.
C’est moi qui l’embrasse avant de me redresser pour placer mes jambes de chaque côté de celui qui vient de devenir mon amant d’un soir.
J’ouvre sa chemise pour découvrir, ses pectoraux qu’il sait si bien faire fonctionner ainsi que ce l’on appelle ses tablettes de chocolat.
Alors que je lisais, d’un œil en coin, j’en ai déjà vu à la télé, lorsque Christopher regarde du foot, un certain Ronaldo présente les mêmes dès qu’il a marqué un but.
Je pose ma main sur le pectoral droit, il le fait fonctionner, c’est beau un homme capable de faire ça.
Idem avec le droit, je sens ses vibrations jusqu’au fond de ma chatte.
À ma droite, je vois Christopher se lever et ouvrir le canapé, sa bite sort de son pantalon sur chemise blanche.
Le pauvre chéri bande encore un peu mou malgré ma chatte qui monte et qui descend sur cette magnifique verge.
Quelle conne d’avoir dit refuser les cadeaux d’anniversaire.

• Venez sur le canapé, je vais participer.

Avec un moment de regret, je déboite ma chatte de cette verge alors que j’étais à deux doigts de jouir.
Il est vrai que je suis loin de mes vingt ans et la position que nous avions pour baiser commence à me peser.
Quel amour mon cher Christopher, alors même que je savoure mon cadeau d’anniversaire, il prend soin de moi.
Tous profite du changement de notre lieu de baise pour nous retrouver à poil.
Léo m’entraîne, me fait mettre en levrette et venant derrière moi il m’empale pour mon plus grand plaisir.
Je retrouve avec délice sa grosse verge, la différence, c’est que c’est lui qui me prenant par les hanches rythme notre coït.
Christopher vient devant moi à genoux lui aussi et d’une main aidée de ma bouche je commence à lui faire une fellation.
Lorsqu’un orgasme monte du fond de mes entrailles, je dirais du plus profond de moi, je comprends que c’est moi le cadeau devenu chienne, surtout que Christopher bande.
Je les entends parler sans comprendre ce qu’il se dit, je suis partie ailleurs.
Mais lorsque Christopher s’allonge à mon côté, Léo m’aide à m’empaler sur mon mari.
Dans mon dos, je sens la verge de celui que j’appelle définitivement mon amant venir sur mon trou du cul.
Pardon, je reprends mon langage de ma banlieue avant mon mariage, je devrais parler de mon anus ou de ma pastille d’amour.
Les mots que mon cerveau, encore au septième ciel, a dû être « encule là, tu verras elle aime ça. »
Dans le film avec Fred un autre hardeur, Léo prenait l’actrice en double pénétration, j’en ai souvent rêvé, Christopher et Léo me prennent ainsi faisant de moi une bête de sexe.

J’ai dû tourner de l’œil au moment de l’orgasme dévastateur que j’ai ressenti prise en sandwich entre eux, allongé côte à côte, moi encore au milieu.

• Mes amis, j’ai une proposition à vous faire.
Je réalise un porno à Tahiti dans quelques mois, précédemment j’avais une vieille hardeuse qui a cinquante-cinq ans est tombée amoureuse d’une jeune bite de vingt ans.
J’avais galéré pour la trouver, je vous propose que Clémentine devienne mon actrice principale et elle tournera avec moi là-bas.
Pour le salaire, on verra, je vois que vous êtes loin dans le besoin, seul ton plaisir compte Clémentine.

Christopher émet un bruit avec sa bouche, mais très lucide, je vois le bénéfice que ma chatte en tirera dans cette île paradisiaque.

• Mon mari et moi, somme d’accord, mais à une condition.
Nous avons cinq petits enfants, tu mettras sur leurs livrets de caisse d’épargne à part égal le salaire que tu devais me verser.
• Pour ma part, je suis d’accord, à une condition, je vais avec vous en payant mon billet jusqu’à Tahiti, nous y sommes allées en voyage de noces, nous avons jeté nos colliers à l’eau comme le veut la tradition.
Ils ont dû revenir à la cote et non vers le large.

Notre voyage de noces, l’amour sur les plages de sable noir, j’espérais bien y retourner avant notre mort.
Je vais y retourner avec l’amour de ma vie, mais je me demande si le cadeau, c’est à lui ou à moi qu’il le fait.
Surtout lorsque je serais démontée par les quatre bites, non cinq, Léo réalisera, mais participera aussi pendant la partouze prévue en fin de son film.
Dans son scénario en plus il y a des scènes lesbiennes avec Jennifer et Armande ses jeunes actrices vedettes.
Je sens que le sexe, c’est loin d’être terminé pour moi, au contraire tous comment à soixante ans.