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COLLECTION BOURGEOISE. Les Soudanais (1/2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 25/01/2023

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• Bonjour madame, que puis-je pour vous ?
• Jennifer, je m’appelle Jennifer, mon mari est chauffeur routier international et cela me laisse beaucoup de temps à me morfondre.
J’ai vu à la télé le problème à Paris avec les immigrés et j’aimerais me rendre utile au sein de votre association humanitaire !
• Ernest, je suis chef d’antenne pour « immigrés sans frontières », vos bras sont les bienvenues.
Chantal vient ici, je te présente Jennifer, elle s’ennuie, met-lui le pied à l’étrier, on évacue une trentaine de Somaliens dans des hôtels, allez travailler sur celui du Rond-point.
Prends des kits de premiers besoins, ils seront quatre, comme d’habitude ce sont des hommes, les femmes sont restées au pays.

Nous prenons les kits, avec savonnette, de quoi se raser, une camionnette de l’association, le nom est marqué dessus.

• Jennifer, je te mets en garde, les garçons que nous allons rencontrer sont la plupart des sans-papiers.
Les passeurs les ont saisis ou les ont détruits afin de gommer leur identité.
Certains se disent d’un pays, souvent en guerre, alors qu’ils sont d’un autre ce qui les rend inexpulsables.
Ils vont te raconter une belle histoire, qui va te toucher.
Une enfance malheureuse, des balles qui sifflaient à leurs oreilles, mais quatre-vingts pourcents c’est faux, ce qu’ils veulent ce sont des papiers afin de rester sur notre territoire.
Tu as entendu, ils seront quatre hommes, ils vont chercher du travail afin d’envoyer de l’argent chez eux, tu dois éviter de t’émouvoir.
Voilà nous y sommes, tu vois toutes ces tentes, ça nous coûte une fortune à chaque évacuation, nous devons en racheter, car la police va tout détruire avec un bulldozer.
Nous y sommes, je vois Jacques, c’est un policier qui fait partie de l’organisation de mise en lieu sûr de ces immigrés.
• J’ai compris, à la façon dont tu en parles, vous semblez très proche.
• Ça pourrait être mon mec, mais il est marié et refuse de divorcer à cause de ses enfants, il en a deux, le choix du roi.
Je me contente de quelques moments avec lui lorsqu’il arrive à s’échapper, c’est le cas ce week-end, il a dit à sa femme qu’il était d’intervention.

Je suis mécontente du travail de mon mari démarrant son camion, le lundi et partant souvent pour une quinzaine, il roule à l’international et dort dans son camion.
Mais au moins c’est mon homme et il gagne largement de quoi nous faire vivre, sans que moi je sois obligée de travailler.
Quelques minutes nous sommes auprès de la police et nous prenons en charge les quatre hommes.
Quatre noirs, dont celui qui semble leur chef est beau comme un dieu, mais je suis mariée et fidèle à Christophe et malgré ses fréquents éloignements je dois rester sérieuse.
Je dois me contenter de regarder, hélas, mes yeux se posent sur la bosse de son pantalon de survêtement, ça semble bien rempli.
Chassons cette pensée nauséabonde, Christophe en a une normale et sait très bien s’en servir depuis qu’il m’a dépucelé.
Nous conduisons les garçons à l’hôtel, il est propre mais assez ancien, seule la porte d’entrée s’ouvre par système automatique.
La gérante nous conduit au deuxième étage où les garçons ont une chambre pour deux.

• Tu mets Bouba et Beccard ensemble, j’installe les deux autres dans la chambre voisine, Jennifer.

À leur nom, les deux hommes s’avancent avec leur baluchon.
J’ai ouvert leur porte, chambre 22, le premier frère Beccard passe près de moi.
Le beau gosse, c’est celui surnommé Bouba, il le suit, me frôle, je sens sa bite gigantesque sur ma hanche dans le mouvement que je fais pour l’éviter.
Il va jusqu’à me prendre ma main pour la poser subrepticement dessus.
Ça dure une fraction de seconde, mais je dois être rouge de honte.

• Bouba, tu parles un peu français, les chambres ont seulement un lavabo, mais à l’étage, vous avez les waters et une douche dit le, à tes frères.

Les garçons installés, Chantal dit à Bouba que nous reviendrons demain, nous quittons l’hôtel.
Jacques, le policier amant de Chantal nous a accompagnés par sécurité, mais je constate très vite que c’est aussi pour autre chose.

• Jennifer, as-tu ton permis ?
• Oui, pourquoi ?
• Tu gardes la camionnette pour ce soir, tu la rapportes demain, à 10 heures à l’association.
Jacques a terminé son service, nous allons profiter de cet hôtel pour leur prendre une chambre et tu te doutes de la suite, fais-moi plaisir, je sens que l’on va bien s’entendre.

C’est ainsi que je retourne chez moi, des bites noires et imposantes plein la tête.
Je me gare, c’est à ce moment que je vois les kits de premier besoin, restés à l’avant entre les sièges.
Chantal leur a fait voir où se trouvaient les douches et ils seront sans savon, par esprit de solidarité avec ces hommes dans la panade, je reprends le volant et je retourne à l’hôtel.
Par chance, je me gare presque à côté de l’entrée.
Je prends les kits et je me dirige vers la porte qui s’ouvre, la gérante doit être sur l’arrière, je sais ou je vais, je monte l’escalier jusqu’au deuxième.
Je vais pour frapper au 22 quand la porte de la pièce de douche s’ouvre.
Bouba en sort nu, mais beau comme un dieu sa serviette sur son épaule.

• Te revoilà, j’ai cru comprendre que tu t’appelais Jennifer.
• Nous avions oublié de vous donner les kits de secours, je vous les aie rapportés.

Il passe près de moi, sans me frôler, un petit sourire ironique au coin de ses lèvres, son frère est là par chance recouvert d’un slip.
Mais la bosse semble moins importante que celle de Bouba senti hier et que j’ai au naturel sous les yeux.
Il doit lui parler en soudanais, car il se lève et passant près de moi, il quitte la chambre, pour rejoindre ses deux frères dans la chambre voisine.

• J’étais juste venue vous rapporter les kits.

Lorsqu’il me prend ma main libre et qu’il me fait entrer, cette phrase est la seule que j’arrive à prononcer avant qu’il claque la porte et qu’il me fasse m’agenouiller pour me retrouver devant ce qui commence à s’allonger.
Je veux encore me défendre, mais c’est vainement, je suis littéralement subjugé par cette monstruosité.
Oui, je le confesse, bien qu’étant catholique, j’oublie régulièrement d’aller à la messe.
Je la prends en main, non, à deux mains ayant laissé chuter les kits au sol.
Ma bouche est incapable de la faire entrer surtout qu’elle a encore grandi lorsqu’elle s’est gorgée de sang.
Comment puis-je me laisser me relever pour le suivre sur le lit défait ?
Comment puis-je accepter de m’allonger et qu’il me rejoigne sa verge étant à hauteur de mon visage ?
Étais-je vraiment venue simplement pour rapporter les kits ou au fond de moi espérais-je que la situation dégénèrerait comme elle est en train de le faire depuis que j’ai remarqué cette bosse monstrueuse sous son pantalon de survêtement ?
À partir de cet instant, au regard qu’il a eu vers moi, je présentais lui appartenir malgré les recommandations de Chantal sur ce que sont ces immigrés et ces amours impossibles.
Alors que sa rigidité est de nouveau à sa tension maximum, je le suce.
Pourtant nul besoin, car aucune perte de sa rigidité, lors du mouvement de la porte au lit.
Simplement le plaisir de l’avoir sur ma langue et dans ma main.
Il glisse vers le bas me privant du plaisir que je ressentais à lui faire une fellation.
Lorsqu’il descend mon jean et ma petite culotte, rempart bien inutile lorsque je me donne à lui, sa bouche trouvant ma chatte ruisselante, je commence à me pâmer.
Un instant j’ai une pensée pour Chantal qui est peut-être à l’étage supérieur avec Jacques, son amant policier.
Elle aussi se fait-elle bouffer la chatte comme Bouba le fait à cet instant pour la mienne ?
Et Christophe,mon mari chauffeur, baise-t-il une Polonaise, une Roumaine ou une Ukrainienne sur sa couchette ou chez-elle pendant son périple dans ces pays ?
Voudrais-je me donner bonne conscience lorsque je pense à lui et ses frasques potentielles alors que depuis des années qu’il fait l’international, aucune pensée de ce genre pour me traverser l’esprit.
La langue de celui que je peux dès cet instant parler d’amant, venant me fouiller efface toutes ces pensées pour me concentrer sur mon seul plaisir.
J’aurais tout le temps d’avoir des remords lorsque j’aurais retrouvé ma vie tranquille de bourge parisienne ayant comme folle distraction, les déambulations dans les rayons de quelques grands magasins ou les petits fours des salons de thé !
Bien sûr à trente-deux ans, je suis bien foutu et il m’arrive de surprendre le regard concupisçant de certains hommes croisés lors de ces promenades.
Mais je le jure lorsqu’un orgasme me traverse, ils sont loin de mes préoccupations.
Si j’ai toujours résisté malgré mes fréquents isolements, c’est qu’ils étaient loin d’être aussi beaux que ce garçon qui centimètre par centimètre fait de moi une salope et une femme infidèle.
Les grands coups de bite qu’il me porte, vont-ils jusqu’au fond de mon corps, certainement lorsque je sens ses couilles battre mes fesses.
En peu de temps, il m’emmène sur des sommets jamais atteint avec mon mari.
Chantal entend-elle mes hurlements de plus en plus fort, bien que je voudrais être plus discrète lorsqu’un méga orgasme me travers de nouveau.
Mes jambes comme devenues autonomes l’enserrent afin qu’il se soude définitivement à moi.
Un amant, moi si droite jusqu’à ce jour, mais pourquoi ai-je voulu me rendre utile en rejoignant cette association.
J’ai fait quelques tonneaux avec ma voiture à cause d’un chevreuil, il y a quelques mois.
Je m’en suis sorti sans la moindre égratignure, depuis je suis très destins, baiser avec ce black dans un hôtel borgne, ce devait être écrit d’avance.
La vie est ainsi faite, je devais croiser ces Soudanais et plus particulièrement Bouba qui malgré l’orgasme ayant duré plus d’une minute semble vouloir me faire jouir une nouvelle fois lorsqu’il sépare mes jambes pour que je me mette en levrette...
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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION BOURGEOISE. Les Soudanais (1/2)

Le 25/01/2023 - 18:56 par OlgaT
Torride!

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