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COLLECTION CANDAULISME. Qui m’aurait dit que j’aime le regarder baiser (1/3)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 23/06/2023

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• Madame Alice, je dois vous prévenir que votre dépistage du sein nous a montré un léger problème.

Est-ce exactement ce que le radiologue me dit, lorsque le verdict est tombé, j’étais dans un tel état que c’est ce que j’ai retenu.
Potentiel cancer du sein...
Là encore, j’extrapole !
A-t-il été aussi direct, mais quand votre mari vous fait remarquer qu’il sent une petite grosseur lorsqu’il caresse votre sein dans vos jeux préliminaires avant que vous lui fassiez une fellation, permettez-moi de douter.
Lorsque vous l’avez épousé, vous étiez une vierge pure jus.
Élevée par des sœurs dans un pensionnat pour jeunes filles, il m’en reste une situation bizarre.
Je dors sur le dos, les mains sagement posées sur les draps et notre couverture.
J’ignorais pourquoi les sœurs surveillaient nos mains ?
C’est Annie ma copine voisine de lit dans notre dortoir qui m’a expliqué qu’en ce caressant, ce qu’elle appelle notre clito, on se fait du bien.
J’ai mis trois mois à ruminer ce qu’elle m’a dit et c’est dans les toilettes de ce pensionnat que j’ai osé poser le bout de mon doigt.
Ça m’a fait comme une décharge électrique et j’ai senti que du liquide sortait de mon minou et que ça coulait le long de mes cuisses.
Là encore, lorsque je dis mon minou, c’est avant de découvrir le monde et ses plaisirs, maintenant je dirais « mon vagin », mieux, « ma chatte ».
On comprend mieux la découverte que j’ai faite le soir de mes noces, de la bite qu’un garçon a entre ses cuisses.
La bite de Jules, je connaissais son existence par maman qui en bonne mère m’a mise au parfum de mon rôle d’épouse.
Histoire classique d’un homme venant dans la fourche de sa jeune épousée et après l’avoir frotté sur votre chatte entre et vous fait un bébé.
Par chance, il y avait eu Annie, une fieffée salope, dépucelé à seize ans par son tonton un soir où ils se sont retrouvés seuls ses parents étant parti au concert.
Elle m’a raconté bien des détails de son dépucelage, assis sur la queue de son oncle lui-même assis sur une chaise de la cuisine.
L’histoire du lit et de mes cuisses écartées, dès que Jules m’a retourné pour me prendre dans ce qu’il appelait la levrette, je me suis exécutée.
Rapidement il m’a appris à le sucer, j’adore lui faire des fellations jusqu’à ce qu’il éjacule et que je boive son sperme.
Je le suce régulièrement, mais il a tenu aussi à me décharger sur mon utérus, car il voulait une descendance.
Bref, grâce à Annie, suis-je moi aussi une salope ?
Le plus dur dans ce que je vivais c’est le jour de confesse, je mentais à notre curé afin d’éviter que les foudres de l’enfer tombent sur moi.
Alors, on peut comprendre, vu mon éducation, que ce mal me rattrapant, j’ai eu l’impression que les curés avaient raison.
Je voulais éviter que les femmes, comme moi, soient vouées au diable et aux flammes de l’enfer.
Suis-je devenue ou redevenue pieuse pour autant ?
Non.
J’aimais Jules et je voulais que si je laissais ma peau dans ce combat contre la maladie, qu’il refasse sa vie.
Notre amour était si fusionnel, que je savais qu’il risquait de se draper dans son malheur.
J’ai commencé des rayons, ce qui me fatigue énormément, mais c’est dans ces moments-là que l’on prend de grandes décisions.
Il fallait que je prévoie l’avenir, il fallait que je trouve celle qui me succèderait de mon vivant.
Une idée me vient, je vais la réaliser dans les jours suivants.

• Jules, j’ai invité Sophie, une amie de travail samedi soir à venir manger et se baigner.
• J’aurais voulu être seul avec toi.
Je voulais te montrer mon amour malgré la perte de tes cheveux.
Je sais, il faut que je sois sage pendant ton traitement, il te fatigue énormément, compte sur moi.

Le samedi arrive, la plus dure reste à faire, voir Sophie et Jules s’accoupler.
Je sais que je serais assez forte pour supporter de regarder la bite de mon mari entrer dans la chatte de Sophie.
J’ai un autre avantage, Sophie m’a fait des confidences, à vingt-trois ans, elle est vierge autrement que par son signe Zodiacal.
Il est impossible d’attaquer les choses en leur disant, allez-y baiser, je regarde me faire cocufier.
Cocufier encore un grand mot, j’ai lu bien des textes mes doigts dans ma chatte ou des hommes offraient leurs femmes à des amants, ça s’appelle du candaulisme.
Toutes les fois, c’est l’homme qui offre sa femme, dans mon aventure, contrainte, c’est moi la femme qui inverserait les rôles, c’est moi qui serais candaulisme.
Le samedi arrive, nous recevons Sophie au bord de notre piscine.
Excusez de la recevoir d’une façon souvent conventionnelle au bord de notre piscine.
Si mes parents m’ont offert une éducation dans un pensionnat pour jeunes filles de bonne famille, c’est que nous sommes des gens friqués.
Nous avons une conception de l’argent et du patrimoine chevillé au corps et c’est entre gens blindés de fric que nous nous marions.
Mes parents m’ont présenté un premier prétendant.
J’ai failli me retrouver avec une particule à mon nom.
Il était baron, « le baron de la queue en bois. »
Je sais, ça paraît irréel, mais ce veuf de près de soixante ans aurait rapidement été candaulisme si je l’avais épousé.
J’ai montré à ma mère toutes les larmes que nous pouvions avoir en nous et elle m’a évité de devenir noble.
Alors quand mes parents ont reçu Jules et ses parents, j’ai dit « oui », deux fois « oui », mille fois « oui ».
Ironie due sort, c’est Annie qui a été mon témoin et c’est moi de mon côté qui l’ais soutenu lorsqu’elle a épousé le baron de la queue en bois.
Ai-je gagné au change, je l’ignore, c’est elle qui a quelques semaines pleuraient toutes les larmes de son corps en jetant une rose sur son cercueil.
Depuis, c’est une veuve joyeuse, elle est riche à millions alors que moi, je suis la femme BCBG m’occupant de mes deux enfants.
Deux enfants, le choix du roi, deux enfants qui à leur tour son rentré dans un pensionnat ou ils apprendront à dormir sur le dos les mains croisées au-dessus de leurs draps.
Bref, ils sont chers leur mamy paternelle pour les week-ends, leur père ayant voulu éviter de me fatiguer.

• Alice, tu m’avais demandée de venir avec un maillot, c’est extraordinaire, ta piscine est magnifique, Jules, au lieu d’Alice, tu aurais dû m’épouser.

J’aurais eu de la repartie, j’aurais très bien pu sauter sur l’occasion pour lui dire.
« Il est encore temps de l’épouser lorsque je serais partie, ma chérie, il va peut-être se trouver disponible. »
Mais c’est dans ma tête que j’ai tenu ces propos, il va falloir que je trouve une autre occasion.
Nous passons à table, buffet froid, principalement composé de légumineux, Sophie est végétarienne.

• Veux-tu te baigner maintenant que nous avons fini de dîner ma chérie ?
• Me permets-tu, mais toi ?
• J’ai eu une séance cette après-midi, je suis épuisée, je vais rester sagement à te regarder, à moins que Jules veuille t’accompagner.
• J’aimerais, car je panique quelquefois, j’ai failli me noyer malgré que j’adore l’eau la dernière fois ou je suis allée à la piscine municipale.

J’ai vu Jules prendre la main de Sophie, je dois reconnaitre un instant de jalousie, mais je me reprends très vite, je fais l’apprentissage de ces hommes offrant leur femme.
Là les situations pour une fois sont inversées, c’est la femme qui offre son mari à sa copine.
Nous sommes loin d’y être, deux mains, dix doigts, nous sommes loin, d’une queue entrant dans une chatte.
Surtout une vierge et des doigts qui se sépare pour partir à nager.
Mais le destin un peu pernicieux vient à ma rescousse.

• Aille, aille, j’ai une crampe.

Je vois Sophie s’enfoncer dans l’eau et se mettre à battre des bras.
Jules nageant un peu devant met du temps à réagir, mais c’est un héros, mon héros, non, son héros.
Il la sauve, la prend dans ses bras et la sort de notre piscine.
Il lui tapote sur les joues, il ferait mieux de lui faire du bouche-à-bouche.
De nouveau, je manque le coche, je suis con comme un balai, excusez de ces termes un peu limites pour une femme de ma classe.
Mon regard est attiré par un objet flottant à la surface de l’eau.
Ses couleurs chatoyantes me rappellent celles du haut de maillot qui recouvrait les seins de mon amie.
Jules est un obstacle à la vision qui me montrerait les seins de Sophie.
L’a-t-elle perdu dans son combat pour survivre ou l’a-t-elle délibérément détaché pour exciter mon mari.
Je préfèrerais la deuxième solution qui me montrerait qu’elle aussi a envie de baiser avec lui et qu’elle a fait ce qu’il fallait pour mettre le feu aux poudres.
Je commence à avoir des doutes que sa crampe soit naturelle.
Sophie se met à tousser, c’est le moment où Jules se relève.
Ses seins magnifiques me sautent à la figure, j’ai de beaux seins, mais ceux de mon amie ont dix, vingt, mille distances d’avance sur les miens.
Poires avec des mamelons qui me donnent l’envie d’aller les mordre, surtout que de fines gouttelettes d’eau les recouvrent et une à une rejoignent notre pelouse là où elle est allongée.
Je suis folle, je veux que mon mari la baise, mais s’est moi qui flash sur elle, alors que je sais qu’au fond de moi la chatte des femmes, cela m’a toujours indifféré.
Au pensionnat, l’hygiène était très stricte, douche deux fois par semaine, le reste du temps, nous nous lavions dans la grande salle d’eau.
Des chattes, des glabres avant la puberté jusqu’au tablier de sapeur pour certaines, j’en ai vu des dizaines et jamais au grand jamais, je me suis sentie attirée.
Là, le mont de Vénus encore recouvert me donne envie de venir découvrir, s’il est aussi glabre que le mien.
Je me rase depuis mon mariage à la demande de Jules qui m’adore débarrasser de tous ces poils.
Jules, donc, se relève et se dirige vers la maison.

• Les filles, je vais chercher du Cointreau, ça va redonner du tonus à notre amie alors que je ramènerais du rhum pour moi.
• J’aime le rhum moi aussi !

Oui, du rhum, elle a raison, même si avec les rayons, l’alcool m’est interdit, bourre-lui la gueule et prends-la sauvagement, je suis prête à assister à ce moment-là.
Hélas, après un verre, le soutient nichon est revenu auprès des marches de la piscine.
Sophie le récupère, le remet et viens m’embrasser.

• Malgré l’incident, j’ai passé une agréable soirée.
Tu as un mari charmant, après ce qu’il t’arrive, il serait mal venu, que je te dise que je suis prêt à l’épouser en cas de malheur.

Se fiche-t-elle de ma tronche, ou est-elle sincère ?
Lorsqu’elle reprend sa voiture, c’est loupé, il va falloir que je trouve autre chose pour être sûr que Jules saura m’oublier dans ses bras si l’issue de ma maladie m'est fatale...























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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION CANDAULISME. Qui m’aurait dit que j’aime le regarder baiser (1/3)

Le 24/06/2023 - 23:30 par OlgaT
Intéressant!
Le 24/06/2023 - 10:19 par linsee
ouah dur dur

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