Nos amis... et leur grand père, véritable fin.

Comme vous le remarquez, je ne sais pas pourquoi j'avais mis "fin" dans le titre du 2ème chapitre. Voici la véritable fin de ce jour divin passé avec le grand père de Christelle.
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Jean nous a précédé jusqu'à sa chambre tout en nous demandant si il devait allumer ou laisser la pièce dans la pénombre. Comme cela nous était égal il n'a pas allumé.
Il restait debout et un peu hésitant sur comment il devait se comporter, je crois que la présence de Libertin y était pour quelque chose. Je me suis donc assise sur le lit et lui ai dit:
Moi: "Viens, approche toi de moi".
J'avais les jambes ouvertes et il s'est mis entre, son sexe était mou et pendant mais, de mes doigts habiles, je lui ai rapidement rendu la raideur qu'il avait lorsque je le suçais un peu plus tôt.
Mon côté joueuse et coquine m'a incitée a ne pas brusquer les choses, je caressais délicatement son gland, lui donnant quelques baisers ou de petits coups de langues, mes mains flattaient ses testicules avec douceur. Il gémissait, tentait de forcer l'entrée de ma bouche pour s'y engouffrer, mais c'était trop tôt pour moi qui désirais me faire baiser.
C'est alors qu'il s'exprima et nous sidéra Libertin et moi:
Jean: "Oh oui Christelle, suce moi".
Libertin: "Pourquoi dites vous "Christelle"" ?
Jean: "Je me suis trompé, excusez moi".
(Je reparlerai de ça à la fin)
Cette phrase m'avait décontenancée, j'ai cessé de gâter sa queue et me suis allongée sur le lit en lui proposant de faire ce qu'il voulait avec moi et en lui précisant que tout lui était permis.
Moi: "Mais essayez de ne pas aller trop vite, j'ai envie de jouir avec vous".

Il commença par me lécher, sa langue titillait mon clito tandis qu'un de ses doigts me pénétrait l'anus, ça promettait bien.
Mais quand il me prit je fus déçue, sa cadence était lente et manquait de je ne sais quoi. Au bout d'un moment je lui ai demandé d'arrêter et de me prendre par l'arrière.
Voyant qu'il voulait m'enculer sans préambule, Libertin l'a poussé légèrement et est venu me lécher mon petit trou avant de lui céder à nouveau la place. Doucement Jean m'a pénétrée, enfin je ressentais du plaisir.
Libertin à genoux devant moi m'avait offert son sexe que je dégustais lorsque Jean a éjaculé au plus profond de mon cul.
J'ai râlé qu'il n'aie pas gardé son sperme pour m'en repaître et ai décidé de me venger.
Lorsque Libertin m'a offert sa semence je l'ai gardée en bouche et, quand Jean fut retiré de moi et s'est allongé à mes côtés je l'ai embrassé à pleine bouche afin d'y couler le sperme de mon homme.
Bref, l'aventure fut délicieuse mais la relation sexuelle moyenne.

Nous étions, Jean et moi, toujours allongés l'un à côté de l'autre quand je l'ai questionné sur le pourquoi il avait dit "Christelle". J'ai dû insister car il ne voulait rien dire.
Finalement il nous a avoué que peu après la mort de sa femme (la grand mère de Christelle) Christelle avait commencé à le sucer car elle ne voulait pas qu'il couche avec d'autres femmes que sa grand mère, depuis c'est assez régulièrement qu'elle le fait en se laissant tripoter.
Libertin et moi en sommes très étonnés, jamais on n'aurait cru ça.

Voilà, bisous à tous et toutes,

Lucrèce

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