COLLECTION COCU. Cocu d’A à Z... (1/3)

Ah! ah! ah! oh! ouiii…

Ça c’est moi qui viens magnifiquement de simuler ma jouissance avec Freddy, mon mari après dix-neuf ans après notre mariage.
J’ai quarante ans cette année et deux enfants.
Sylvio dix-neuf et Lucie seize bientôt dix-sept.
Avec Freddy nous sommes en vacances avec Lucie dans un hôtel les pieds dans l’eau pour deux semaines alors que nous habitons dans l’arrière-pays Niçois ou nous avons une entreprise.
Dans un an, vingt ans de mariage et déjà j’en suis à faire simplement mon devoir conjugal.
Dans un an, vingt ans et déjà frustré car mon mari me baise comme si j’étais une vulgaire poupée gonflable.

• Ah! ah! ah! oh! ouiiiiiii…

Ça c’est moi dans le bouquet de pins près de l’hôtel au-dessus de la plage.
Avec Freddy, j’avais simulé, avec Yann c’est tout mon corps qui vient de s’enflammer.
Pour la première fois, depuis dix-neuf ans, je viens de tromper Freddy dans cette pinède.
J’étais sur la plage avec Freddy à me faire bronzer dans mon maillot deux pièces.
À quarante ans, je peux mettre un petit deux-pièces malgré mes deux grossesses.
Après chacune d’elles, programmes de remise en forme et comme nous avions le choix du roi, pose d’un stérilet.
Lucie est avec nous et Sylvain son frère à dix-neuf ans crapahute avec des amis dans les monts de Haute-Savoie.

Lucie lisait dans sa chambre quand une petite envie est venue perturber mon bas-ventre.
Sur une plage, je bronze sans mettre les pieds dans l’eau, j’ai failli me noyer étant petite et j’ai la phobie de l’eau de mer, sinon j’aurais été me tremper comme bien des estivants.
Pour mon pipi, ça devenait pressant, je vais avouer que j’ai pensé un instant revenir à notre chambre, mais la peur de pisser dans le hall m’a fait reculer.
Les pins à une trentaine de mètres de là, voilà ou étaient mon salut.
Freddy venait de partir à l’eau et discutait avec un couple que j’avais vu à l’hôtel hier au soir au restaurant, ils étaient avec un fils de l’âge de mon fils ou de ma fille.
Le fils est absent comme Lucie l’est aussi.
Un arbre, je baisse mon petit maillot de bain et comme c’est bon de se soulager.

• Bonjour, ça fait du bien !

Mon cœur est à deux doigts de s’arrêter, le jeune garçon fils du couple est devant moi.

• Yann, pour te servir !
Ludivine, je t’ai remarquée avec ta famille hier au restaurant, c’est la première fois que j’ai un coup de foudre pour une femme de ton âge.
• Comment sais-tu que je m’appelle Ludivine ?
• Un billet glissé à la réception et l’on apprend tout ce que l’on veut savoir.
Laisse toi faire, je te veux.

Prononçant ses mots, Yann baisse son slip de bain, j’ai le temps de voir sa belle queue, il bande alors qu’il se plaque à moi.
Je me trouve coller contre le pin et la frustration des rapports avec mon mari, me monte à la tête.
Ma main se pose sur cette queue.
Il m’embrasse, je sens que je mouille.
C’est moi qui casse l’étreinte pour venir voir de près cette verge.
Je suce Freddy depuis nos premières étreintes, naturellement cette bite plus grosse que celle dont j’ai l’habitude, entre dans ma bouche.
Je le masturbe en même temps que je le pompe.
Il descend sa main et empoigne mon sein si peu protégé par le triangle cachant principalement mes aréoles.
Je vis quelque chose jamais vécu, surtout vu l’âge de mon suborneur qui a certainement celui de mes enfants.
Qui de lui ou de moi écarte mes cuisses pour qu’il puisse me clouer au pilori constitué par ce pin qui agresse mon dos.

• Ah! ah! ah! oh! ouiiiiiii…
• Ah! ah! ah! oh! tu es la première.

Quand je disais que ces interjections sorties de ma bouche avaient la fraicheur de la découverte qu’à mon âge, ce jeune garçon m’ait choisi moi pour perdre son pucelage.

• Merci de ce cadeau, Yann, mais je suis mariée, j’ai beaucoup apprécié ton étreinte, tu m’as apporté ce qui me manquait depuis bien longtemps.
Les plus belles choses et ce merveilleux moment aura été un moment de ma vie et une étape pour toi si comme je l’ai compris j’ai été la première.
Je vais retourner sur la plage rejoindre mon mari et lorsque nous nous recroiserons, chacun aura repris sa place.
Tu as été un amant magnifique.
• Je comprends, un dernier baisé et je te libère.

Je me suis rajustée, je sentais son sperme couler entre mes cuisses, un baiser langoureux et je m’échappe.
Près de ma serviette et celle de Freddy, deux autres serviettes et un couple assis dessus.
Tous discute !

• Ludivine, je te présente Jacques et Françoise, ils sont, eux aussi à l’hôtel avec leur fils qui a l’âge de Sylvain, il est parti se promener le long de la plage.
Est-ce que tu l’as vu ?

Françoise est topless, elle a de jolis seins.

• Freddy, votre femme pour le voir devrait l’avoir connu avant, nous vous le présenterons ce soir au dîner.
Si ça vous fait plaisir, je passerai à la réception pour leur demander de nous mettre sur une table de six, puisque tu nous as dit que ta fille Lucie était avec vous.

Voilà comment le soir, je me retrouve à la table avec mon amant d’un coup.
J’ai pris un bain, ça m’a nettoyé la chatte, mais dans la glace, j’ai pu voir les marques rouges que les écorces du pin ont laissées sur ma peau.
Pendant tout le repas, nous discutons en adulte, Yann joue le jeu et parle avec ma fille.
Je suis à deux doigts d’être jalouse.

• Vous venez d’arriver, nous cela fait une semaine.
Je vous propose de vous faire découvrir la promenade sur le bord de la plage où mesdames vous pourrez entretenir votre cellulite en mangeant une bonne glace.
• Jacques, ton humour est déplacé lorsque tu parles de cellulite, tu parles pour moi, car sur la plage, tu as pu constater que contrairement à moi Ludivine a un corps parfait.
• Tu as raison maman, bien que contrairement à vous je la voie simplement dans cette jolie petite robe à fleurs.
Excuse-moi, Lucie, tu es aussi belle que ta maman.

Il lui prend la main et effleure sa paume de ses lèvres.
Là, je suis carrément jalouse de ma fille, je repire un grand coup, car c’est moi qui ai dit à mon amant que nos vies devaient revenir à la normale.
Promenade, glace, nous rentrons à l’hôtel, tout le monde s’embrasse et nous retrouvons nos chambres, on frappe à notre porte.

• Maman Yann sort en boîte et me propose de m’emmener, vous le permettez !
• Freddy qu’en dis-tu ?
• Si tu es d’accord, je veux bien, de toute façon c’est toujours toi qui décides.
• Tu peux y aller, mais vous renterrer à minuit.
• Chérie, tu abuses, il est déjà 22 h 30, souviens-toi lorsque nous allions en boîtes, l’ambiance commençait à 23 h, tu peux rester jusqu’à 1 heure ma fille chérie.
• Lucie, j’accepte 1 heure, mais demain matin à 9 heures, je veux que tu sois prête à aller courir, nous aurons à discuter.
• Oui, maman sans problème, je vais dire à la réception de me réveiller à 8 h 30, je serais à l’heure dans le hall.

Est-ce la promenade, est-ce les vacances, c’est rare.
Là ou dans les premiers temps de notre vie de couple, il me sautait dessus dès que nous avions un moment seul entre nous, une fois couché, il prend ma main et la pose sur sa queue.
Comme je l’ai dit Freddy aime que je le suce, il bande, mais encore mollement, le traitement est efficace et rapidement il me pénètre.
J’aime être sur lui, il le sait, il se couche sur mon côté me permettant de l’enfourcher.
Il prend mes seins dans les mains les caressant et en tordant leurs pointes.

• Ah! ah! ah! oh! ouiiiiiii !

Contrairement à hier, ou je l’ai dit, j’ai simulé, là je me lâche et je retrouve les élans de notre jeunesse.
Je passe une nuit réparatrice, sans le moindre rêve ou de cauchemar.
C’est mon portable qui me réveille, j’ai donné rendez-vous à Lucie, inutile que ce soit moi qui soit en retard.
Je passe ma tenue, le soleil commence à monter, mais la température pour courir est supportable.

• Bonjour maman, tu vois, je suis à l’heure.

Nous faisons nos mouvements pour nous échauffer et nous rejoignons la plage, c’est marée basse, je préfère, courir sur le sable mouillé, mou, j’aurais été rapidement cramé.
Quelques kilomètres à bonne vitesse, nous nous assayons sur le sable.

• Maman, hier au soir, lorsque tu m’as dit que tu voulais me parler, j’ai pensé que tu voudrais savoir...