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Consoler ma belle-fille Ep2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 21/09/2022

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La journée s’est passée paisiblement, Corinne est montée prendre son café à midi, comme d’habitude avec bébé dans les bras.

Elle est toujours aussi sexy, son débardeur satiné rose laisse paraître les bretelles de son soutien-gorge de la même couleur, sa jupette en cuir rouge est juste assez courte, mais pas trop courte pour être vulgaire. Assis sur la terrasse nous discutons de tout et de rien, comme si absolument rien ne s’était passé la nuit dernière.

C’est des jours comme celui-là que tu es heureux d’avoir un petit-fils, assis sur les genoux de sa mère et qui gigote dans tous les sens et fait remonter la jupe de sa mère, laissant apparaître sa petite culotte rose, elle aussi. Bon il faut dire que la maman ne fait pas grand-chose pour retenir son enfant non plus, bien consciente de l’émoi dans lequel elle me plonge.

Une fois le café fini, Corinne me dit « Je descends coucher bébé, puis je finis ma vaisselle. »
Je me lève derrière elle et je mets nos tasses dans le lave-vaisselle. Puis je repense à la scène d’il y a quelques minutes : elle a fait exprès de laisser bébé jouer avec sa jupe, c’est de la provocation.

Je décide de ne pas laisser une telle incitation impunie et je descends dans leur appartement, dont, bizarrement, elle a laissé la porte ouverte. Corinne est là devant son évier à laver sa vaisselle. Je m’approche d’elle, me disant qu’elle accepte bien de se faire baiser par Marc à l’heure du repas ; pourquoi pas par moi.

Je me colle contre son dos, soulève ses cheveux et colle ma bouche sur son cou. Elle sursaute et soupire en même temps. J’avais bien deviné ses allusions. Je me plaque plus fortement sur elle, la coinçant contre le comptoir de sa cuisine.

Mes mains glissent sous son débardeur, pendant que mes lèvres lèchent et embrassent la moindre parcelle de son cou. Ce parfum au goût légèrement vanillé, que je n’avais jamais remarqué sur elle avant hier soir, m’enivre carrément. Je suis comme un adolescent découvrant le corps de sa petite copine pour la première fois. Je caresse son ventre tendrement, passant de ses hanches à son nombril, puis remontant jusqu’à ces seins emprisonnés dans ce soutien-gorge.

Corinne tourne un peu la tête et je desserre mon étreinte pour que nos bouches puissent se trouver. Elle m’embrasse puis murmure :
« Ce n’est pas bien, mais c’est trop bon. Je n’en pouvais plus d’attendre ça. »

Elle se retourne complètement, elle est maintenant face à moi, toujours coincée entre le comptoir et mon corps. Elle laisse tomber ses bras autour de mon cou et nous nous embrassons de nouveau. Nos langues jouent l’une avec l’autre dans nos bouches, nous en rions parfois. Corinne ferme les yeux comme pour s’abandonner totalement à cet instant de douceur et de tendresse. Puis elle les rouvre et me regarde en souriant. Nos lèvres n’arrivent pas à rester séparées les unes des autres plus de 10 secondes.

Quel sentiment intense, mélange de besoin charnel, de douceur corporelle et de violation de l’interdit à la limite du tabou incestueux.

Mes mains sont maintenant sur son dos, je glisse du haut de la raie de ses fesses à la base de son cou. Je finis par m’arrêter sur l’attache du soutien-gorge, que je détache, libérant ainsi sa poitrine, qui, bien que n’étant pas si imposante, se lâche sur mon buste. Cela me provoque un sentiment d’abandon de sa part ; comme si me laisser libérer ses deux superbes seins signifiait qu’elle m’offrait son corps tout entier.

On reste comme ça, face à face, lèvres contre lèvres, mes mains caressant son corps en dessous de son débardeur, ses mains sur mon cou ou sur mes joues. Je finis par retirer son soutien-gorge, descendre les bretelles du débardeur, libérant ainsi sa poitrine. Ma bouche descend alors le long de son cou, puis vient se poser sur le mamelon de son sein droit. Je me mets à l’aspirer, le sucer, le mordiller ce qui arrache de petits soupirs à Corinne. Ses mains sont maintenant sous ses seins qu’elle soutient pour mieux les offrir à mes caresses. Je les suce, les lèche, les mordille à tour de rôle ; plus je les taquine plus les mamelons se font dur et pointent fièrement.

Décidé à passer aux choses « sérieuses » la pause de midi commençant à toucher à sa fin, je saisi Corinne par la taille et la soulève pour l’asseoir sur le bord du comptoir. Elle m’aide et se retrouve ainsi offerte à ma vue, à mes mains, à mes désirs.
Je relève un peu sa jupe et retire délicatement sa culotte. Corinne m’aide en soulevant son bassin. Je l’attire sur le bord du comptoir, m’accroupis devant elle, passe ses jambes sur mes épaules et je souffle de plaisir devant cette entre-jambes qui s’offre à moi.

Ma bouche approche un peu plus et se pose sur ce sexe déjà chaud et humide. Je m’abreuve à cette source, aspirant tout ce qu’elle peut m’offrir. Ma langue s’introduit en elle et va récolter cette sève que j’avale avec gourmandise.

Corinne soupire, ses jambes se crispent enserrant ma tête. Je pose mes mains sur ses hanches afin de résister à cette pression.

Ma langue s’insinue maintenant entre ses lèvres. Elle se promène de bas en haut ; partant de l’entrée de son vagin à la base de son clitoris.
Tendu, excité, il pointe fièrement au sommet de ce triangle d’or. Juste à la base de la fine ligne de toison laissé par une épilation parfaite.

Je finis (enfin) par poser le bout de ma langue sur ce dard en érection.
Corinne lâche un cri de plaisir « Oh Oui, Non, Oui...c’est là… c’est làààààà ».

Ses jambes se resserrent encore plus fort sur ma tête, mais non plus pour me repousser ; au contraire, elles m’attirent dans cet entre-jambes.

Chaque appui de ma langue sur le clitoris de Corinne lui arrache un cri plus intense que le précédent.
Elle convulse de plaisir. Recroquevillée sur elle-même, les mains posées sur ma tête rythment maintenant le contact de ma langue avec cette zone érogène. Je suis comme un vibromasseur, à sa disposition. Chacune de ses contractions me provoque aussi une sensation de plaisir ; le plaisir de donner du plaisir.

Ma queue me fait mal dans mon jean, elle voudrait se dresser fièrement mais ne peut pas, prise dans ce carcan.

Corinne finit par tout lâcher, les mains, les jambes et se laisse partir en arrière, assise sur le rebord du comptoir de cuisine, les jambes pendantes et impudiquement écartées, la tête appuyée sur la fenêtre ; elle s’abandonne à son plaisir. J’admire son vagin et son anus qui se contractent à la saccade des montées d’orgasme.

Redescendu de son nuage, après quelques minutes de respirations saccadés, de soupirs intenses, Corinne glisse le long du comptoir. Elle pose sa bouche sur la mienne et m’embrasse.

« Tu es un amant adorable. Jamais un homme ne m’a faite sentir aussi femme, aussi désirable et désirée. Quel orgasme. Putain que c’était bon. Oups Pardon. » puis elle éclate de rire.

Ses mains se posent sur mon jean, elle le déboutonne, descend la braguette. Il tombe à mes pieds, laissant apparaître la bosse de mon sexe dans mon boxe.
Corinne me sourit et dit «  Il doit avoir mal dans cette position. Libérons le. » Et joignant le geste à la parole, elle descend mon boxe.
Bondissant, tel un diable dans sa boite, mon sexe se redresse fièrement.
J’en soupire de plaisir.
C’est vrai que c’était presque douloureux.

Corinne ouvre le tiroir à sa gauche et en sort un préservatif. Tout en me regardant dans les yeux elle le pose sur mon sexe qu’elle caresse tendrement. Un baiser rapide sur mes lèvres, puis elle se retourne, pose les mains sur le rebords du comptoir, recule un peu ses pieds qu’elle écarte pour m’offrir son bassin tout entier.
« Vas-y, prends moi. Sers toi. Tu l’as bien mérité. »

Que dois-je comprendre ?
Positionnée ainsi, ce sont deux options qui s’offrent à moi : Pénétration anale ou vaginale.
Non je dois me tromper. Ce n’est pas possible.

Je pose mon gland à la base de ses reins et le fait glisser le long de la raie de ses douces fesses.
Je m’arrête un instant à l’entrée de son anus : Corinne souffle un petit « Humm ».

Puis je descends jusqu’à l’entrée de son vagin. Même soupir.

Que faire ?
C’est vrai que comme tout homme (enfin je pense) la sodomie m’apporte un plus grand plaisir (à faire ou à recevoir), mais la pénétration vaginale semble offrir plus de plaisir à la partenaire (pour autant que je sache).

Hésitant, je remonte lentement mon gland et m’arrête de nouveau à l’entrée de son anus.
Corinne passe alors sa main gauche sur mes fesses et me pousse en avant.
« Vas-y prends moi, tu en meurs d’envie et moi aussi. »
Et elle tire un grand coup sur son bras, comme pour me coller sur son bassin.

Il ne m’en faut pas plus pour me conforter dans mon choix.
Je pousse alors sur mon gland qui rentre en forçant à peine.
Je m’arrête, Corinne repose sa main sur le comptoir et pousse un soupir de soulagement, comme pour dire « Voilà, tu as compris, c’est par là que je veux que tu me baises. »

Je pénètre, millimètre par millimètre cette zone interdite.
Chaque morceau de mon sexe qui entre en elle lui provoque un nouveau soupir.
Une fois tout entier en elle je marque un pause. J’embrasse son cou, pose mes mains sur ses seins. Ma bouche s’approche de son oreille et je lui murmure
« Tu es sûre que c’est ce que tu veux ? Je ne vais pas résister longtemps moi à cet endroit-là. »
Sans me regarder, elle pose sa tête sur ses mains et me répond
«  Vas-y. Prends mon cul. Fais toi plaisir. Ne t’occupe pas de moi, je suis déjà au 7ème ciel. »

Je me redresse et je commence mon va et vient entre ses fesses.
Le lubrifiant du préservatif arrange bien les choses.
Corinne se mord les doigts pour ne pas hurler et risquer de réveiller bébé.
Une sensation de chaleur intense m’envahit au fur et à mesure que je lime ce cul qui m’est offert.
J’ai l’impression de ne plus rien contrôler. Mes pulsions prennent le dessus.
Je me laisse alors tomber sur elle. Mes testicules viennent buter contre son vagin. Ma queue entrée au maximum est décalotté à en faire mal.
De longs jets de sperme brûlant viennent remplir le préservatif.
Nous crions tous les deux en même temps « Ohhhhh mon dieu…. Ouiiiiiiiiiiiiii ».

Au bout de quelques secondes de vide, je reprends mes esprits.
Mon sexe est déjà en train de dégonfler, mais la douce sensation de chaleur continue de m’envahir.
Je me retire de cette délicieux emprise et laisse mon pénis pendre.

Je me rapproche de Corinne, toujours courbée sur le comptoir de la cuisine et je pose de délicats baisers sur sa colonne.
Elle frissonne, sursaute, halète.
« Stop. Pitié. Pas ça. Laisse-moi redescendre !!! »
Je pose alors un dernier baiser
« Ohhh nonnn. Hummm » Un dernier spasme la traverse.

Reprenant ses esprits, elle se retourne vers moi et redescend sa jupe.
« Elles sont bien ces capotes, Plaisir extrême qu’elles s’appellent. »
Disant cela, ses yeux cherchent son soutien-gorge, que j’ai, dans le feu de l’action, laissé tomber à nos pieds.

Je me penche, le ramasse et le lui tend.
Elle le pose délicatement sur sa poitrine, se retourne et me tend les attaches.
« Vous pouvez me le fermer, s’il vous plaît. »

Je m’exécute, enfermant cette douce poitrine dans cette prison de tissus satiné.
J’aide Corinne à arranger son débardeur et une fois de nouveau en tenue correcte, la mère de famille se remet à laver sa vaisselle.
Elle me lâche alors un :
« Vous finissez à quelle heure cet après-midi ? On pourrait en profiter pour aller ensemble faire une marche avec bébé. »

Je retire le préservatif qui pend maintenant lamentablement au bout de mon sexe et le met à la poubelle.
Je me rhabille et balbutie :
« Vers 16h00 16h30. Oui ça me ferait plaisir, on pourra aller manger une glace à l’Italienne au jardin public. »

Sans un mot de plus, je remonte chez moi.
Sa capacité à passer de ma belle-fille / à la jeune femme désirable sexuellement / puis revenir à ma belle-fille-sainte-nitouche me surprendra définitivement toujours.

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Histoire de NathPierre

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