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COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (2/5)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/11/2022

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Seule pendant le salon de l’agriculture, pas tout à fait, Antoine mon mari parti avec Brutus notre taureau dans notre bétaillère, il m’a laissé Gustave, notre commis.
C’est grâce à lui que je vois Rosette lécher son veau, déjà sur ses pattes.
Son initiative de mettre son bras dans le vagin de la vache pour tirer le pied coincé a été exceptionnel.
Mais les efforts que j’ai faits pour maintenir Rosette ont eu raison de ma résistance physique.
C’est dans le tas de foin ayant servi à notre commis afin de surveiller notre vache que je me laisse tomber.
En tenant Rosette fermement, les boutons de ma blouse ont sauté et en m’affalant, mes seins se retrouvent à pointer hors de leur cage.
Gustave vient à mon côté, prends du foin pour s’essuyer le bras.
Comme mon mari, il a une côte, dernier modèle qui s’enlève en tirant sur les deux fermetures éclaires sous son cou.
Il avait enlevé le haut pour se libérer le bras et je peux voir que lors des entraînements de rugby, il doit soulever de la fonte, ses pectoraux méritant d’être vu.
Dans un mouvement naturel, son bras puis sa bouche vient rencontrer mon sein.
Le stresse et ma fatigue a raison du peu de résistance que j’ai lorsqu’il ouvre un à un les derniers boutons de ma blouse protégeant ma fidélité à mon mari.
Mes seins, mon nombril sont visités et lorsqu’il arrive à ma petite culotte, seule chose que j’ai pris le temps d’enfiler lorsqu’il m’a appelé, car la situation l’exigeait au lieu de resserrer mes jambes, je les écarte.
Ce bout de tissu seul morceau entre mon infidélité et ma vertu de femme mariée cède aussi facilement que le reste de mon corps.
Il aurait essayé de me l’enlever, j’aurais peut-être réagi, mais sa langue trouve son chemin par le côté et mon clitoris pour la première fois est titillé par le bout de sa langue.
Cent fois, mille fois plus jouissif qu’avec mes doigts ou le jet de la douche.
Lorsqu’il fait le chemin inverse sa verge tendu se frottant le long de ma jambe, je suis à lui rendant les armes sans essayer de sauver le peu restant de mon serment de fidélité.
Sa main pour de nouveau écarter ma culotte, sa bouche sur la mienne dans un baiser scellant mon abandon et le dernier rempare qui me rapproche de mon infidélité définitive.
Lorsque je prépare à manger, je regarde, pardon, j’écoute la télé, j’ai failli être en retard un jour parce qu’ils parlaient des femmes ou des hommes embrassant un autre que son compagnon.
J’étais dans le clan des femmes infidèles, car pour moi embrasser s’était trompée.
Non seulement j’embrasse Gustave à pleine bouche, mais je sens son gland entrer doucement en moi.
Pour que la boucle soit complète, lorsque je le sens bien caler au fond de moi, une vague montant du plus profond de mon être, mes jambes viennent enserrer ses hanches, pour lui montrer que je suis toute à lui.
Au début de mon récit, je parlais du poids d’Antoine et le peu d’entrain que j’avais à le sentir sur moi.
Avec Gustave, nous jouons dans la même catégorie et lorsqu’il décharge en moi dans de grands cris de plaisir, je crie encore plus fort, ayant l’orgasme des orgasmes.
J’ai fini par le lâcher, le libérant de mes jambes.
Il vient à mon côté sa tête dans mon cou, nous regardons la vache et surtout le veau tété sa mère, sans penser à plus, ma main vient se poser sur l’objet de mon infidélité consommée.
Bel objet, si sa maman a oublié de lui fabriquer un cerveau afin qu’il fasse des études, elle a forcé sur ses muscles et sa verge bien plus grande et grosse de mon mari.
Ma main est pleine de son sperme et de mes sécrétions, mais sans que moi aussi je donne des ordres à mon cerveau, je tente l’impensable, ma bouche vient nettoyer sa bite.
J’ai une dernière pensée pour mon mari qui doit se morfonde dans sa bétaillère, mais le sucre d’orge qui se développe sous ma langue et ma première tromperie on raison de mes sentiments d’infidélité.
C’est moi qui me soulève et pour une première s’est une première, je suis empalée sur la verge qui m’est proposée pour une nouvelle fois mon plus grand plaisir.
C’est à ce moment que le portable de mon amant sonne dans la poche de sa combinaison.
Toujours empalée, j’attrape la côte et je sors son portable, instinctivement je réponds.

• Oui, non Charles, inutile de venir, Gustave avec mon aide a réussi à sortir le veau, les deux se portant bien.
• J’entends que tu es encore essoufflée, comment se fait-il que ce soit toi qui répondes sur le portable de votre commis ?
• Il est parti se doucher à la maison, je suis resté à surveiller les bêtes, il aurait été déraisonnable que je rentre chez moi pendant qu’il se douchait, son portable était sur la table à mon côté.
Tu permets, Charles, je vais te quitter, passes lorsque Antoine sera de retour, j’espère qu’il reviendra vainqueur, Brutus à qui tu as fait voit le jour, à des possibilités de gagner dans sa catégorie.

Je coupe très vite, Gustave pendant ce coup de file à repris de la vigueur en moi et j’étais à deux doigts de jouir.
Je découvre l’adultère et je découvre cette position, dominant le mâle qui me prend avec fougue.
Mes seins, les mains de mon amant les empoignes et les serres à me faire hurler, mais de nouveau de plaisir.
Lorsque Antoine sera rentré et que la situation sera redevenue normale, impossible que je continue à le tromper derrière son dos.
Il faudra que j’essaye de l’orienter sexuellement et que nous fassions l’amour de cette façon.
Ses mains doivent être le double de celle de Gustave et peut-être qu’il se souviendra qu’ils existent.
Le seul point de comparaison que je peux faire, ce sont les callosités des deux à faire des travaux manuels, mes pointes sont agacées et bandent de plaisir.

J’ai encore été emporté, j’ai encore reçu ma dose de sperme se mélangeant à mes petits jets de cyprine qui ont coulé sur nos corps.
C’est nu tous les deux que nous quittons Rosette et son veau, jusqu’à la maison, dans le matin naissant.
Nu, non, nous avons remis nos bottes pendant que...vous savez ce que nous venons de faire.
Il tient sa cote sur son épaule, et moi ma blouse dans ma main libre, l’autre étant dans la sienne.
À quelques mètres de la maison, nous entendons une voiture passer, je pense qu’elle est passée si vite que celui ou celle partant à la ville pour prendre un poste du matin a été incapable de nous voir.
Une fois entré à l’abri des regards, je lui demande de m’attendre dans la cuisine, je vais me doucher et revenir nous préparer un copieux petit déjeuner.
Je rejoins notre salle de bains, plus précisément notre douche à l’italienne, lors de la construction Antoine a choisi ce genre de bac avec une cloison de verre.
Comme pour beaucoup de choses, c’est lui qui choisit et moi qui aime me prélasser dans des bains bien chauds, j’ai été frustré.
Simplement ça justifie que je l’aie trompé.
Mais alors que l’eau coule sur mon corps meurtri par le travail pour sortir le veau et les coups de verges de mon amant, dans la douceur du petit matin, je savoure la fraicheur tombant sur ma tête.

• Gustave, je t’avais dit de rester dans la cuisine, le temps que je me douche, mais tu bandes encore, tu es insatiable, bon, je sens ton gland une nouvelle fois vouloir me pénétrer.
Fais vite, je suis fatiguée, je vais essayer de dormir une heure avant d’aller m’occuper des poules.

Sa verge me reprend de nouveau, ses mains sont de nouveau sur mes seins, je tourne la tête et nos langues se retrouvent.
Trois fois en si peu de temps, je m’écroule de plaisir et de fatigue, mais grâce à sa musculature et le sexe en moi, je suis clouée à la paroi hurlant de nouveau de plaisir.
Je l’essuie, il m’essuie et nous retrouvons la cuisine ou nous prenons cette collation réparatrice de toutes les agapes pour éviter de dire orgies de notre nuit.

• Si tu veux dormir, un peu comme moi, couche-toi sur le canapé de la salle à manger, ça sera plus confortable que ton tas de foin.

J’en fais de même rapidement, je rangerais la cuisine dès que je me réveillerais.
Qu’il fait bon d’avoir tout le lit pour moi, malgré cela depuis qu’Antoine est parti, je prends la même place dans mon lit.
Lorsque je me réveille, avec bien du mal, je sens une chose le long de mes fesses.
Dans le brouillard malgré qu’il fasse jour, je me retourne, il est venu dans mon lit.

• Gustave, tu es devenu fou, tu es dans le lit conjugal, à la place de mon mari.
Mais tu es un véritable animal, tu m’as baisé trois fois et tu bandes encore !
• Sophie, j’étais mal sur le canapé, si je bande, c’est pour rattraper mon retard, depuis le jour où ton mari m’a embauché je deviens tout dur chaque fois que je te vois.
Suce.

L’ordre tombe de manière impératif, surtout qu’il me prenne par le cou et qu’il plaque ma tête sur sa turgescence.
Je serais de mauvaise foi si je dis en ouvrant la bouche, que de sucer dès ce matin, notre jeune commis, serait une corvée.
Je sais surtout que lorsque le salon sera terminé, je devrais retrouver ma misère sexuelle, autant en profiter.

• C’est bien ma belle, bien au fond, avale mon sperme.

Avaler du sperme, c’est un peu fade, mais je suis satisfaite de l’avoir fait, j’ai bientôt quarante ans et je sais que cela va être de courte durée.
C’est à ce moment que mon portable se met en marche sur ma table de nuit.
Mince, bientôt midi, c’est Antoine qui m’appelle.
Mon portable est sur haut-parleur lorsqu’il démarre.

• C’est moi, devine la bonne nouvelle, Brutus vient de remporter sa catégorie des plus de 1 000 kilos de la race charolaise.
Notre exploitation vient de prendre de l’ampleur, nous allons pouvoir vendre ses veaux plus chers.
Allo !
• Oui, Antoine, j’ai compris, on a gagné, j’ai passé une nuit près de Rosette, avec Gustave, le veau est né avec des difficultés, mais Gustave a été à la hauteur.
• Tu sembles essoufflée !

Comment dire à mon mari, que dès le début de son coup de fil, Gustave a glissé entre mes jambes et que sa langue titille mon clitoris?...

















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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (2/5)

Le 04/11/2022 - 23:18 par OlgaT
La fermière se lâche!

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