ACCUEIL > Hétéro > Récit : Les aventures de Yolande et Joëlle (1)

Les aventures de Yolande et Joëlle (1)

+11

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 5 - Histoire postée le 02/11/2022

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

‌‌C'est l'histoire de deux femmes mûres qui se rencontrèrent la première fois au bas de leur résidence, devant leur boite aux lettres. Un échange banal entre voisines commença avec les thèmes classiques du bruit, des incivilités, du coût du loyer etc. Les deux femmes se sentirent d'emblée en phase, ne serait-ce que par la similitude de leur coiffure. Toutes les deux avaient les cheveux courts et teints, Yolande noirs comme de l'encre, Joëlle auburn. Elles ne pouvaient pas non plus se différencier par leur physique. De taille moyenne, elles affichaient sans complexe des formes pleines, ayant admis une fois pour toutes qu'arrivées à la cinquantaine, il ne servait plus à rien de chercher la taille mannequin et qu'il valait mieux jouer sur ses "avantages", en l'espèce une paire de seins lourds et des fesses rebondies.

Mais c'est surtout la situation personnelle qui rapprocha les deux voisines. Toutes les deux vivaient seules suite à un divorce et l'échappée définitive de leurs enfants. Elles se racontèrent leur vie non plus debout devant les boites aux lettres mais assises dans les fauteuils de Joëlle, une tasse de café à la main. Une amitié était née.

Leurs déboires conjugaux alimentaient l'essentiel de leurs discussions. Joëlle avait congédié son mari parce qu'elle avait appris qu'il la trompait avec sa secrétaire. Elle y avait gagné une pension alimentaire suffisamment confortable pour la dispenser de travailler, mais elle s'investissait dans des associations. Yolande avait fait de même parce qu'elle s'estimait négligée par son époux, polarisé par son travail et, glissa-t-elle, "insuffisant partout". Elle vivait un peu moins largement que sa voisine, ce qui l'obligeait à remplir quelques missions ponctuelles dans l'immobilier, son métier d'origine.

Leur intimité progressant au fil de leurs rencontres, elles finirent par aborder la question sexuelle, devenue leur grande affaire. Toutes les deux reconnurent "aimer ça" avec un petit air gourmand. Mais elles admirent en même temps une réelle frustration. Une expérience personnelle décevante les rapprocha encore : celle des sites de rencontres. Elles se racontèrent leurs déconvenues avec un même point commun : le moment du lit. Elles en rirent en évoquant les détails, d'érections faiblardes en éjaculations précoces. Elles en tirèrent la conclusion que les hommes de leur âge, ciblés par les sites, ce n'était décidément pas ça.

C'est pourquoi elles décidèrent de s'encanailler en tentant une boite de nuit à deux, ce qu'elles n'auraient pas osé faire seules. Elles exhumèrent de leur garde-robe des tenues qu'elles ne portaient plus : mini-jupe, pantacourt moulant, boléro ou débardeur, histoire de montrer ce qu'elles avaient à montrer. Elles choisirent une boite supposée inter âges et déboulèrent un soir, fringantes et maquillées. Hélas, elles se sentirent un peu décalées dans cet environnement où la jeunesse dansait entre elle, où les hommes mûrs avaient la drague lourde et alcoolisée et où le bruit finissait par leur casser les oreilles. Mauvaise pioche.
Et Yolande de conclure :
- Je me demande si je vais rebaiser un jour.
La crudité de la remarque n'offusqua pas Joëlle. Elle abonda même :
- Et moi, je me demande si je vais revoir une vraie bite.

Les deux amies se mirent alors à parler plus souvent de cul. Joëlle avoua que si son mari l'avait trompée d'une manière éhontée, elle avait aussi pris "un énorme pied" avec un livreur d'Uber noir comme du charbon en soir d'absence du conjoint. "Jamais vu une bite pareille, elle faisait comme une parenthèse tellement elle était longue. Ah, j'en frémis encore.."
De même, Yolande raconta que son mari l'avait entrainée dans une boite échangiste uniquement pour la regarder baiser avec d'autres que lui, ce dont elle ne s'était pas privée et en gardait un souvenir ému.
Et les deux voisines de conclure :
- On ne peut pas en rester là, on va se dessécher dans la ménopause alors qu'on a encore toutes les deux envie de ça.

Après mûre réflexion, comme l'été approchait, elles décidèrent de partir en vacances ensemble et de se donner les meilleures chances de "s'envoyer en l'air". Les clubs leur parurent la meilleure solution, vu leur réputation de "baisodrome". Pour ne pas se tromper, elles enquêtèrent pour trouver les plus "familiaux", non pour les choisir mais pour les éliminer et opter pour l'autre catégorie, celle dont ne parlait pas les publicités. Et c'est ainsi qu'un jour, elles débarquèrent pour une semaine dans un club de bord de mer supposé leur permettre d'assouvir leurs pulsions.

Pendant les deux premières journées, après avoir pris possession de leur case commune, elles s'attachèrent à s'adapter à l'ambiance particulière du club. Yolande s'inscrivit au tennis, Joëlle à l'aquagym, et le reste se passait en farniente sur la plage voisine, en déambulations dans l'enceinte du club, en stations au bar et bien sûr à la fréquentation du night club. C'est là qu'elles comptaient ferrer les poissons avec le bar. Yolande avait entrainé Joëlle à l'enclos naturiste où celle-ci avait bronzé nue pour la première fois de sa vie mais elles n'y avaient rencontré que des seniors au lieu de jeunes types étalant leur marchandise, comme elles l'avaient espéré.

Au night club, les deux premières soirées s'étaient traduites par un fiasco. Certes, cela draguait sec mais dans les tranches d'âge inférieures à la leur. Elles étaient rentrées se coucher au coeur de la nuit en se disant que la semaine se réduirait à des cours de tennis et d'aquagym.
C'est alors qu'au cours d'un déjeuner à leurs tables de dix, deux gaillards ni beaux ni moches, qu'elles n'auraient sûrement pas remarqué ailleurs, s'intéressèrent à leur cas. Ils ne se connaissaient pas auparavant, n'habitaient pas la même case, mais s'étaient liés lors d'une activité nautique et avaient décidé de chasser ensemble. Après avoir subi quelques râteaux de filles de leur âge, en fin de vingtaine, ils s'étaient dit qu'après tout, ces deux matures à cheveux courts et gros nichons leur permettraient peut-être de sauver leur séjour et leur investissement. Yolande et Joëlle n'étaient pas loin de tenir le même raisonnement. Après tout, ces deux gars étaient jeunes, vigoureux, rigolards mais pas trop lourds. Ils leur offraient un compagnonnage plutôt agréable en leur évitant de se balader en duo et d'exposer leur double solitude.

Ils passèrent l'après-midi ensemble, essentiellement au bar et à la plage. Ils purent alors détailler mutuellement leur anatomie. Kévin le brun et Jordan le blond aux cheveux bouclés, leurs accompagnateurs, bénéficiaient d'un ventre plat, de petites fesses nerveuses et probablement d'un joli paquet entre les cuisses. Ceux-ci n'avaient pas manqué de reluquer les deux obus péniblement contenus dans le soutif des bikinis et les slips tendus à craquer sous la pression de deux globes charnus séparés par une raie profonde. Peu importait qu'il y eut aussi quelques bourrelets et un peu de cellulite ici ou là. Il y avait de quoi pour la main et c'était l'essentiel.

Après le dîner et la soirée des gentils organisateurs, plutôt rasoir, les quatre se retrouvèrent en boite pour approfondir leurs relations par des contacts plus rapprochés. Ils dansèrent, picolèrent et sur le coup de minuit, Yolande vint parler à l'oreille de Joëlle :
- J'emmène Kévin dans notre case. Sois gentille de ne pas rentrer tout de suite.
Réduite à ce "sexyl", Joëlle grimaça. Elle se voyait passer la nuit dans la boite le temps que son amie se fasse péter les hormones. Jordan était un peu moins empressé auprès d'elle. Il avait compris la situation mais au moins, il ne rentrait pas se coucher pour la laisser en plan. Ils parlèrent de leur vie personnelle en sirotant leur cocktail, dansèrent de temps à autre, jusqu'au moment où Joëlle, échauffée et désinhibée, se jeta à l'eau :
- J'ai envie de faire l'amour. On va dans ta case ?
L'autre, un peu décontenancé, lui sourit :
- Pourquoi pas ? Mais ma case est occupée par un gars qui se couche tôt. On peut aller dans la tienne plutôt.
- C'est que... Yolande et Kévin y sont déjà.
- Et alors ? Si on fait la même chose qu'eux, où est le problème ?
Joëlle n'avait pas envisagé la situation sous cet angle. Elle n'avait jamais fait l'amour en présence d'un autre couple. Mais le fait que Yolande se fasse sauter et pas elle, le fait surtout qu'elle avait une furieuse envie de baiser avec ce jeune gars, la décida.
- Ok, on y va. Ras-le-bol d'être sexylée.
******
Quand ils entrèrent dans la case, elle était largement éclairée. Yolande était à quatre pattes sur un des deux lits, face à l'entrée, le jeune brun fiché en elle à genoux, les mains sur ses hanches, dans la position de la levrette. Les seins de la brune cessèrent illico leur balancement en même temps que le garçon stoppait ses coups de boutoir, et tous deux regardèrent, un peu ahuris, l'autre couple entrer dans la case.
- Continuez, ne vous gênez pas pour nous, on vient faire la même chose, avertit d'emblée Joëlle.

Yolande n'émit pas de commentaire et se contenta d'agiter sa croupe pour inciter son jeune amant à poursuivre, ce qui était sa principale préoccupation. Elle n'en observa pas moins l'attitude de son amie et son empressement à déshabiller le dénommé Jordan, dégager sa queue et l'emboucher séance tenante avec la voracité d'une famélique. Ayant déjà connu l'expérience du sauna libertin, Yolande n'était nullement inhibée par la situation. Au contraire, ça l'excitait de voir Joëlle se faire prendre en même temps qu'elle. C'est pourquoi elle incita son jeune amant à poursuivre dans la même position, ce qui lui permettait une vue rapprochée sur les ébats du lit voisin. Et découvrir son amie dans le sexe.

Elle ne fut pas déçue. Comme elle, Joëlle était une dévoreuse, impatiente d'en finir avec une chasteté forcée. La manière dont elle se délectait buccalement du sceptre de son partenaire témoignait de son appétence. Nue, elle se rua vers son sac pour exhumer un préservatif d'une boite qui n'avait pas servi depuis un bail. Quand elle s'allongea, elle tira Jordan par son pénis coiffé vers sa cible offerte et béante et la pénétration fut aussitôt chantée, célébrée et louée sans égards pour le sommeil des voisins. Yolande n'était qu'à quelques centimètres du petit cul mouvant de Jordan qui provoquait cet enthousiasme et elle ne résista pas à y mettre la main. Celle-ci descendit même jusqu'aux couilles bien pleines, très agitées, de sorte que leur propriétaire se retourna pour considérer à son tour le spectacle de l'autre couple qui copulait lui aussi avec ardeur.

Par la suite, les choses furent quelque peu inversées. Ce fut au tour de Joëlle de se faire prendre par derrière et de regarder son amie écartelée et gémissante sous l'effet du pilon de son mâle en rut. C'était pour elle une autre première et elle se délectait sans complexe de ce quatuor qui lui montrait sa voisine de résidence dans une extase qui était aussi la sienne.
Quand toutes les deux se mirent à chevaucher en parallèle, ardentes de la croupe, elles se parlèrent pour la première fois.
- Tu prends ton pied, hein ? dit Yolande.
- Ah oui, j'en avais vraiment besoin.
- Moi aussi. Elle est bonne, sa bite ?
- Super. Il y a longtemps que je n'avais aussi bien baisé.
- Et ça te fais jouir, de nous regarder, hein ?
- Comme toi, petite voyeuse.
- Dis, ça te dirait qu'on échange ?
- Pourquoi pas ?

Et les deux gars, interloqués, virent les deux matures se détacher et venir s'empaler sur l'organe tendu du copain avec une allégresse décuplée par l'échange. A dire vrai, malgré la teinte des cheveux, elles n'étaient pas très différentes. Même opulente poitrine si agréable à empaumer, même nombril virevoltant, symétrie parfaite quand elles décidèrent de leur montrer leur cul joufflu sans quitter la position du pal et désir commun chez les deux jeunes mâles d'honorer le plus longtemps possible deux femelles aussi passionnantes.
Elles se relevèrent, permettant à leurs chevaliers servants d'observer une petite pause. La sueur coulait entre les seins lourds des deux matures, témoignage de leur ardeur. Elles s'allongèrent une nouvelle fois, en travers d'un des deux lits, en parallèle, cuisses ouvertes :
- Allez, faites nous jouir, dit Yolande.

Ces deux corps charnus aux seins étalés et aux cuisses épaisses écartées en V sur deux pubis chatoyants ranimèrent deux érections qui avaient tendance à mollir. Ils s'enfoncèrent debout, simultanément, l'un tenant les jambes de sa partenaire par les mollets, l'autre en appui sur le matelas, et le lit bon marché de la case connut une tension qui fit craindre un moment son effondrement. Yolande et Joëlle rivalisaient de décibels en gigotant sous les assauts, comme si elles voulaient se démontrer l'une à l'autre leur jouissance. Après avoir longtemps contenu leur sperme, les deux gars finirent par tout lâcher avec l'impression de cavaler sur un cheval de rodéo. Essorés par les rotations post éjac des deux matures, leur érection dégringola très vite et ils s'assirent sur le lit voisin, stupides, vidés, queue pendante, tandis que les deux femmes se caressaient l'intimité comme pour savourer les derniers instants de leur coït.
******
Le lendemain fut un peu difficile pour les deux matures. "On est un peu rouillées" avaient-elles convenu. Elles avaient perdu l'habitude de faire l'amour, a fortiori d'une manière aussi intense avec deux jeunots qui les avaient vraiment secouées. Après s'être levées tard et manqué le petit-déjeuner, elles avaient mangé sur le pouce et zappé le déjeuner pour aller dans l'enclos naturiste, histoire de parfaire leur bronzage intégral et tenter de récupérer en sommeillant.
Au dîner, elles pensaient retrouver leurs chevaliers servants, qu'elles n'avaient pas vu de l'après-midi. Mais ils avaient mangé à une autre table et elles s'en étaient étonné. Elles escomptaient les retrouver le soir au night-club. Ils y étaient bien mais elles découvrirent avec amertume qu'ils draguaient ostensiblement deux jeunettes tatouées et piercées et les ignoraient, comme si elles n'existaient plus. Elles rentrèrent se coucher, la rancoeur aux lèvres.
- Maintenant qu'ils se sont vidé les couilles, ils ne nous connaissent plus, constata Joëlle.
- Et ça leur fait mal aux couilles de se montrer avec des vieilles, confirma Yolande.
- On n'est pas valorisantes, faut croire.
- Bon, on ne va pas en faire un fromage. De toute façon, c'était ponctuel et d'ailleurs, l'essentiel est qu'on ait baisé. On était venues pour ça.
- Exact. Et bien baisé. Tu m'as épatée. Je ne te croyais pas si salope, dit Joëlle.
- Et toi donc. "Oh ah encore encore elle est bonne ta bite vas-y à fond plus fort" etc. Quelle cochonne quand tu baises !
- Tu ne t'es pas entendue non plus.
Les deux amies éclatèrent de rire. Et elles finirent par s'endormir.

La suite du séjour se limita donc à des parties de tennis, des séances d'aquagym, du bronzage intégral, quelques sorties en mer mais pas de soirées en boite et des nuits calmes, pour le bonheur des voisins qui leurs avaient fait un peu la gueule le lendemain de leurs ébats. Et elles s'en retournèrent en fin de semaine avec la conviction que les jeunes amants, c'est bien sur le moment, mais les hommes mûrs, c'est bien aussi pour "l'après cul". En quoi elles n'avaient pas totalement perdu leur investissement.
A SUIVRE
11 vote(s)


Histoire de Micky

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Les aventures de Yolande et Joëlle (1)

Le 03/11/2022 - 15:17 par DBHB24
Très joli récit très bien écrit. Vivement la suite
Le 03/11/2022 - 08:04 par JamesB
Histoire après histoire, un réel talent d'écriture.
Le 03/11/2022 - 08:04 par JamesB
Histoire après histoire, un réel talent d'écriture.
Le 02/11/2022 - 21:16 par OlgaT
Voilà une complicité pleine de promesses!
Le 02/11/2022 - 21:16 par OlgaT
Voilà une complicité pleine de promesses!

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :