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COLLECTION ESCORTE GIRL. La duchesse de l’autoroute (2/14)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/12/2023

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Alors que je vivais une vie pleine de quiétude dans mon appartement avec mon mari Pierre venant de prendre sa retraite, j’ai le malheur de le perdre d’une crise cardiaque fulgurante.
Il travaillait sur une plate-forme de forage en mer du nord.
Sa mort me permet de découvrir que nous sommes ruinés et qu’il avait une maîtresse de vingt ans, s’appelant Véronique lui qui en avait soixante et qu’il la voyait tous les après-midis.
C’est ainsi que je me suis retrouvée avec le peu qui me restait à vivre dans une vieille 208 break que j'ai été obligée d'échanger avec la magnifique voiture que nous possédions pour éponger les dettes qu’il avait souscrites.
Dès la première nuit ça a été la panique, passant à deux doigts de me faire piller le peu d'objets que j’avais pu sauver et même de me faire violer.
Au matin dans un café la patronne s’appelant Cosette m’offre un café et me donne un conseil afin de me trouver en sécurité au milieu de routiers sur le parking de l’autoroute peu avant Beaune ou sa sœur Fantine est employée au restauroute.
J’arrive au péage de Chalon et une dizaine de minutes après je me gare et me dirige vers Fantine.
Impossible de me tromper, elles sont des copies conformes.

• Êtes-vous Henriette ?
• Les nouvelles vont vite, je suppose que vous avez eu votre sœur au téléphone et qu’elle vous a parlé de ma situation.
• Oui, j'ai peu de temps, les chauffeurs vont se réveiller et venir déjeuner.
Alors voilà plusieurs choses, vous êtes entrés avec un ticket qui sera perte et profit pour la société d’autoroute, car vous avez trois façons de quitter l’autoroute.
La première la plus facile, vous laissez votre voiture sur ce parking d’air d’autoroute et vous rejoignez à pied la route qui nous sert à venir au travail et à l’approvisionnement.

J’enregistre, j’ai déjà pris l’autoroute et nous nous sommes arrêtés à des restauroutes sans jamais penser qu’une route les approvisionnait.

• La deuxième vous venez pendant mes heures de travail avant 7 heures moins le quart et je vous ouvrirais la barrière.
Vous prendrez cette route avec votre voiture et si vous revenez, vous repasserez par l’entrée du péage en reprenant un ticket.
• Avant 7 heures moins le quart ?
• Oui, car mon patron arrive à 7 heures 10 sans jamais avoir de retard.
Il faudra qu’il évite de vous croiser sur cette petite route qui rejoint la départementale se demandant pourquoi vous êtes là.
• Et la troisième ?
• Elle a une double utilité, voici un numéro de téléphone 06, vous le gardez précieusement et si vous souhaitez par obligation sortir hors de la plage horaire composez-le.
C’est le numéro personnel de Ludo conducteur d’un camion de dépannage qui vous rejoindra le plus rapidement possible.
Il montra votre voiture sur son camion comme si vous aviez appelé le service de dépannage et il vous libérera avec votre véhicule dans un petit chemin proche du restauroute, pour revenir même manœuvre à la gare de péage.
En deux, Fantine m’a dit que votre voiture est plus proche d’une poubelle qu’une voiture d’un dernier cri.
Si vous tombez en panne, appelez-le, il viendra chercher votre auto et l’amènera chez lui où il la dépannera.
Il vous faudra lui payer les pièces d’occases, car il est en cheville avec une casse.
Je dois vous tenir au courant, c’est un grand séducteur et souvent il aime que les services qu’ils rendent se payent en nature surtout si la dame est aussi jolie que vous.

L’allusion est directe, il me dépanne, je me couche et il me fait l’amour, je paye en nature, je sais déjà que cette formule il pourra se la mettre où je pense.
Je tiens à garder ma respectabilité même dans la panade où je me trouve.

• J’en oublie toujours un morceau quand je rends ce genre de service, impossible que vous restiez sur la même aire d’autoroute deux nuits de suite au milieu des poids lourds, les bleus vous repéreraient.
Changez chaque nuit, naviguez entre Chalon et Beaune.
J’y vais bonne chance, achetez un Thermos, je vous la remplirais de café si vous êtes là avant 7 heures, gracieusement bien sûr, il faut savoir se serrer les coudes entre femmes.
Je vais finir par avoir des ennuis, mais qu’importe, si vous voulez vous laver, vous pourrez faire une toilette sommaire dans celle des dames.
Si vous désirez prendre une douche venez prendre un café, vous me faîte un signe des yeux je vous déposerais la clef qui est là près de vous et vous me la rendrez aussi discrètement.

Je tiens trois semaines comme cela mais mes maigres euros commencent à se faire rares.
En plus du diesel et de la nourriture pourtant frugale arrivant même à m’asseoir à côté d’étranger le plus souvent et je les aides à vider leur plateau et à aller à l’autre bout de la salle finir les restes copieux qu’ils ont laissés.
Quelques employés ont repéré mon manège, mais se taisent, car malgré mes tenues encore assez présentables, elles doivent comprendre que je suis en galère.
Fantine m’a emmenée deux fois jusqu’à Chalon où je suis allée au service de la mairie pour voir s’il y avait un logement et engager mes droits.
Mais de ses côtés, je me trouve renvoyer à l’entrée de l’autoroute sur la départementale en stop.
Un jour, c’est un homme jeune qui m’a fait monter et qui m’a demandée si je voulais le dépuceler.
J’ai accepté qu’il s’arrête dans un petit chemin et j’ai fait ce que j’avais toujours refusé de faire.
Je l’ai sucé sans nécessiter, car il bandait dur simplement quand je lui ai dit d’arrêter sa voiture.
Comme avec Pierre je l’ai chevauché sans avoir à enlever ma petite culotte lavée la veille au soir dans les toilettes du restauroute et qui sèche à l’arrière de ma voiture attendant mon retour.
J’ai beaucoup aimé les grands coups de verges qu’il me donnait et pour la première fois de ma vie j’ai su ce que le mot « orgasme » voulait dire.
J’ai récupéré ma voiture, mais je me suis demandé si je devais approcher, une voiture de police était garée à côté et un bleu comme le dit Fantine regardait avec une lampe à l’intérieur.

• Monsieur le gendarme je suis là, je vais reprendre ma route.
• Vous semblez bien chargée.
• Je suis en plein déménagement.
• Vous allez où ?
• Auxerre, rejoindre mon fils après le décès de mon mari.

J’ai failli dire Beaune, or j’ai peur que ces chevaliers servants veuillent m’aider.
J’ai surtout besoin de prendre une douche, car le sperme du petit que je viens de dépuceler me coule le long des jambes et en séchant me met mal à l’aise.
C’est à ce moment que je vois que sa lampe s'est posée sur ma culotte qui sèche.

• Monsieur le gendarme, j’ai eu un petit accident et je l’ai lavé aux toilettes, soyez sans crainte j’en ai mis une autre.
• Bonne route madame, merci pour la petite culotte rose.

D’avoir blousé ce bleu que je vois repartir persuadé que ce soir il sautera sa bergère en rêvant à ma culotte me met en joie.
D’avoir pu franchir l’étape de baiser avec ce jeune garçon et d’avoir éprouvé un grand plaisir est formidable.
Certes, j’ai un peu de remore à avoir trompé Pierre bien que ce salaud ait une maîtresse et nous ait ruinés.

• Fantine devine ce qui m’est arrivé hier en revenant ici ?
• Vu ton visage radieux tu as fait l’amour !
• Non, je vais te dire ce que m’a dit le jeune que j’ai dépucelé dans sa voiture en revenant en stop, « j’ai baisé et j’ai joui, tu es une salope. »
• Voilà on y vient, ma belle tu t’émancipes.
• Et tu sais, toi, qui es mon amie, je vais tout te dire, c’est la première fois que je suçais une bite.
J’ai même eu peur de recevoir sa semence dans ma bouche.
• C’est agréable, la prochaine fois fait le.
Tient si tu le désires, appelle Ludo, il viendra te chercher, il t’emmènera en week-end et il te baisera comme la duchesse que tu aies.
• La Duchesse ?
• Tu es drôle, crois-tu que tu sois passée inaperçue sur cet air d’autoroute, depuis que tu tournes sur l’autoroute, il y a beau avoir du passage, tout se sait ici.
• C’est vrai ?
Dis-moi, j’ai toujours aimé les bas d’ailleurs, je viens d’aller au supermarché près de l’entrée de l’autoroute et j’en ai acheté cinq paires dépensant mes derniers euros.
Dans ma voiture il me reste un appareil pour faire des fondus, tu peux me le racheter ou as trouvé à le vendre !
• J’en ai déjà deux, je vais voir si je peux te dépanner.
Il y a bien une façon plus rapide.
• Je t’écoute.
• Si tu veux te faire quelques chauffeurs, il te sera facile de gagner du fric, la duchesse à une valeur marchande sur cette portion d’autoroute.
De plus, ils ont dès Cb, si tu acceptes de les sucer, tu peux rapidement te faire du pognon, ça t’aidera à sortir de ta galère.
• Tu me prends pour une pute, Fantine tu me déçois, je te croyais que tu étais mon amie.
• Je le suis, mais il y a bientôt dix ans que je travaille ici, j’ai évité de te faire peur en te parlant de cela quand je t’ai vue arriver.
Immanquablement toutes les femmes qui viennent sur l’autoroute finissent par sucer des bites pour survivre.
Je vais te faire un aveu, avant de travailler ici, j’ai été dans la même galère que toi à un détail près.
Il me fallait au plus vite un emploi, car j’ai trois enfants qui avaient été envoyés à la DDASS.
J’ai échangé mon cul contre une embauche au poste ou je suis, je loue une vieille ferme à côté d’ici et je les ai récupérés.
• Excuse-moi, je l’ignorais, de me l’avoir dit me montre la vraie amie que tu es.
Je viens de sucer le jeune puceau gratuitement, pourquoi pas des chauffeurs routiers.
• C’est simple les autres jours, tu garais ta voiture au milieu d’eux.
Tu l'arrêtes à un endroit presque dans le noir, depuis que tu viens, tu dormais dans ta voiture et ils respectaient ton intimité.
Ce soir restes toi-même sur le plan vestimentaire et sors de ton habitacle et appuie-toi sur l’aile avant, ils vont venir d’eux même à tour de rôle.
• Et combien je prends pour les sucer ?
• 20 € maxi, s’il marchande trop.
Mais j’en connais qui bandent pour toi, ils m’ont demandé si tu étais une pro.
Avec ces habitués que tu fidéliseras, tu descends jusqu’à 15 €, mais pas plus bas.
Bonne chance, chez moi, ce soir, je ferais une prière pour toi.

Tout le restant de la journée je tremble de faire ce que je me trouve dans l’obligation de faire à cause de mon salopard de mari qui m’a amenée là où je suis.

Il fait nuit je place ma voiture en plein milieu de deux camions et je descends m’appuyant sur l’aile.

Henriette vient de mourir, bien venue à la Duchesse de l’autoroute.

• Combien tu prends pour sucer ? …




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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION ESCORTE GIRL. La duchesse de l’autoroute (2/14)

Le 02/01/2024 - 06:39 par OlgaT
Voilà la solution!

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