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COLLECTION ESCORTE GIRL. La duchesse de l’autoroute (3/14)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/12/2023

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« Combien prends-tu pour baiser », c’est par ces mots que je change de condition ?
Je m’appelais Henriette femme de Pierre retraitée des plates-formes de forages en mer du nord décédé.
Il m’a laissé sans presque un sou et m’obligeant à vivre dans une voiture pourrie dans laquelle j’ai la totalité des affaires qu’il me reste !
Cosette, la sœur de Fantine, la serveuse du restauroute, vient de me donner les renseignements nécessaires pour que je franchise le pas dans ma déchéance.
J’ai garé ma voiture entre deux camions et comme elle me l’a dit, je m’appuie sur l’aile avant.
Les autres soirs, les chauffeurs me laissaient tranquille et mieux d’après-elle, me surveillaient afin que j’évite d’avoir des problèmes.

• 20 €, mais seulement pour vous faire une pipe.

Ma situation financière est au plus bas et malgré que je souhaite garder ma dignité je me trouve dans l’obligation de lui donner ce chiffre qui va entériner le niveau ou Pierre m’a laissé.
Cette après-midi de retour de Chalon où je me suis rendue pour voir si les services de la mairie pouvaient m’aider, j’ai dépucelé un jeune garçon en commençant par le sucer.
Faire une fellation, c’était une première à mon âge avant de me planter sa queue dans la chatte lui enlevant sa virginité.
Avec en prime, pour moi, un orgasme pour mon plus grand bonheur.
Alors quand je prends l’argent que cet homme dans la force de l’âge me tend, je franchis définitivement le pas.
Dans la faible clarté, je devine plus que je peux le voit cet homme qui vient de descendre de son camion.
J’ai pris l’argent, je lui sors la queue.
La verge que je mets dans ma bouche est de bonne grosseur, mais supportable. J’avais peur de trouver des queues démesurées, comme il en existe dans le monde et certainement non loin de moi sur cette autoroute.
J'ai eu l’occasion d’en voir de temps en temps, plus réellement à la télé où un documentaire était diffusé interdit à des moins de dix-huit ans.
Elle est assez longue pour que je la prenne de mes deux mains et que je fasse coulisser la peau sur le gland.
Pierre était circoncis, mais par problème médical et non était juif.

• Putain, t’es bonne toi, je vais décharger et te remplir la bouche.
Ah !

J’ai un haut-le-coeur quand une grande quantité de sperme envahit ma bouche.
J’ai la tentation de cracher, mais ignorant si je peux cracher ou si je dois avaler, je choisis cette solution et je déglutis voulant satisfaire mon premier client.
C’est fade et j’ai la bouche un peu gluante comme si j’avais mangé des pieds de cochons panés dont je raffole.
C’est même un peu chaud et je devine dans ma pénombre que l’homme rentre sa queue.

• Tu es là tous les soirs.
• Je change d’air d’autoroute chaque soir à cause des bleus, pardon des gendarmes.
Demain, je serai peut-être près de Mâcon.
• Côté direction Paris ou Lyon.
• Pourquoi ?
• Si tu es direction Lyon à partir de 22 heures, c’est l’heure à laquelle je commence ma tourné et tu me soulageras une nouvelle fois.
Je serais un de tes clients attitrés.
• Je t’en remercie, tu vas m’aider à me sortir de ma galère.
• Eh ! Lolo tu laisses la place, la duchesse elle est pas là pour faire la causette avec toi.
Mon poireau a envie de se faire dégorger, il y a 15 jours que je roule et c’est la première pute que je trouve depuis mon départ.
Duchesse, à la CB un gars a dit que c’est comme cela que tu t’appelais, tu prends combien pour venir dans ma cabine te faire enfiler ?
• Je fais que des pipes et non des passes avec ma chatte, c’est 20 €.
• Dommage j’étais prête à mettre 50 € pour te baiser.
• Non, c’est 20 € seulement pour que je vous suce.
• Ok, va pour cette somme, dépêche-toi, je vais me mettre en retard sur mon tableau de route, avec les GPS ces putains de patrons nous pistent et savent si nous nous arrêtons plus que nécessaire.

Et de deux, il va falloir que je compte le nombre de sexes que ma bouche va sucer dès ce premier soir.
Surtout que je m’habitue très vire, être une suceuse de bite devient facile.
Ce qui m’aide bien, ce sont les billets que je glisse dans mon sac.
Dès que le dernier aura repris sa route, je rentrerais manger au restauroute et surtout boire un café.
Je me mettais dans un coin et je compterais combien une vieille pute comme moi est capable de se faire simplement en suçant.
Il doit être minuit quand le dernier client me quitte et que chancelante, j’ai mal à mes mâchoires, je rejoins la station et où je peux me laver les dents.
Dans la salle comme je l’ai dit, je compte les billets, 20, 40, 120, 200, 220, 240.
J’ai l’estomac rempli de sperme, mais je suis fière d’avoir soulagé douze gars qui doivent conduire ou dormir maintenant le bas-ventre soulagé.
Je me fais payer un café par une jeune femme qui me semble hors d’état de reprendre la route.
Pendant que je bois dans ma tasse en carton les volets ou travail Fantine étant baissée jusqu’à ce qu’elle arrive demain matin, elle avale trois rasades d’une fiole en argent.

• T’en veux, c’est du whisky, je me suis arrêtée pour faire le plein, mais ces fainéants sont déjà partis se coucher.
• Ou vas-tu ?
• À Dijon chez ma sœur mon mari Pierrot m’a virée, car il dit que je picole et que je suis toujours bourrée.
Il était plus bourré que moi, ce con, j’ai pris l’autoroute à Tournus et comme une grande, je suis arrivée jusqu’ici, je suis forte Machine.

Elle en tient une sévère et si les gendarmes font un contrôle, elle sera bonne pour une amande et un retraît de permis.
J’oublie de parler de la cellule de dégrisement sentant l’urine, ça aussi, ils l’ont dit à la télé.

• As-tu tes clefs de voiture ?
• Bien sûr, je suis peut-être légèrement bourré, mais je sais bien que je les ai mises dans ma poche, regarde Machine, elles sont là.
• Connais-tu le jeu, qui réussit à faire disparaître des clefs ?
• Non, cela se joue comment, j’adore jouer, surtout à des jeux ou si l’on perd, on a un gage.
Avec mon mari, c’est toujours moi qui gage, l’autre fois il m’a fait mettre nue.
J’ai encore perdu, il m’a fait mettre mon petit tablier blanc de serveuse et il a fallu que j’aille chez le voisin chercher un œuf.
Le voisin m’a enculée sur sa table de cuisine et Pierrot m'a foutu une rouste phénoménale à mon retour, j’avais le cul rempli de sperme.
• Parce que tu l’avais trompé.
• Pas du tout, tu comprends rien, Machine, la rouste je l’ai eue, car j’avais oublié l’œuf.
• Tiens, tes clefs ont disparu.
• C’est vrai, tu es forte comment t’as fait et où sont-elles ?
Je dois repartir chez ma sœur.
• Viens dormir avec moi, je voyage, moi aussi et je dors dans ma voiture, j’ai de la place pour deux.

En effet, petit à petit ma voiture s'étant vidée, il me reste l’appareil pour faire des fondues que je cherche à vendre et ma valise de vêtements.
En la maintenant avec du mal, j’arrive à la faire venir jusqu’à ma voiture.
Je la lâche une fraction de seconde le temps d’ouvrir mon hayon.
Elle s’affaisse et c’est au prix d’un terrible effort que j’arrive à la faire s’allonger sur la couverture.
Ses seins sont très beaux, sans soutien-gorge et il m’est impossible de dire quel âge elle a.
Sa robe remonte, elle porte un string dont la ficelle lui passe entre les fesses.
Je me déshabille, tire les petits rideaux que j’ai installés et je m’allonge à son côté après avoir refermé le hayon et enclenché la sécurité des portes.
La lune qui s’est levée envoie de la lumière par le pare-brise.
Il faudra que j’y mette des rideaux, mais cette lueur a comme utilité de me montrer ma compagne dormant le pouce dans sa bouche.
Je suis peut-être la « duchesse » depuis ce soir ou j’ai sucé douze bites.
Quoique plus sûrement sœurs Teresa, car par ma bonne action j’aie évité un accident direction Dijon.
Sans le savoir, j’ai peut-être sauvé des enfants.

Le jour est là quand je sens une main sur ma chatte.
Je voudrais ouvrir les yeux, mais j’ai peur de faire fuir ces deux doigts qui s’attaquent à mon clitoris.
Encore un endroit de mon corps très peu utilisé tout au long de ma vie de femme mariée.
Pierre aurait dû me forcer à des jeux pervers alors qu’il est allé les faire avec l’autre putain.
Je suis bien et je me demande même si je suis venue sur cette autoroute, c’est pour me punir d’avoir été une épouse vertueuse.
Alors que Pierre quand il était sur sa plate-forme vivait avec des femmes, l’une d’elles lui a-t-elle ouvert les portes, des plaisirs interdits.
C’est bizarre, car dans ces années-là, je me contentais du peu qu’il me donnait. Alors que maintenant dans cette voiture la main qui me caresse m’ouvrent à cinquante ans à des plaisirs nouveaux que j’ai hâte de découvrir.
Le bruit d’un camion qui démarre à nos côtés m’oblige à interrompre le moment de plénitude que je vivais.
Un regard d’un côté et de l’autre, par le côté des rideaux, je constate que le premier camion est à trois emplacements de nous et à quatre de l’autre, laissant ma voiture à la vue de la maréchaussée.

• Mademoiselle, il faut que nous bougions et aller nous garer près de l’entrée de la station du restauroute, pour vivre heureuse, restons cachées.
• Putain ma tête, si j’ai les yeux en face des trous, je vois que j’ai dormi dans ta voiture, euh...
• Dis-le, Machine, c’est comme cela que tu m’appelais cette nuit.
• Je m’appelle Juliette, Juju pour les intimes, t’as pas une aspirine.
• Attends, je m’habille et je bouge la voiture et après je m’occupe de toi, au faîte Machine, c’est Henriette.
• Tes vieux, ton pas ratés à ta naissance.
• Alors continue de m’appeler Machine ou la duchesse.

Une fois prête, je sors par la portière arrière et pendant qu’elle remet ses vêtements, je me glisse au volant et je retourne vers le restauroute.

• Bonjour Henriette je vois que tu t’es fait une copine, elle a une salle tête, je pense qu’elle a besoin d’une bonne douche, toi aussi d’ailleurs.
• S’il vous plaît aurez-vous un tube d’aspirine que je l’avale et un double café noir.
• Vous en teniez une sévère à ce que je vois, vous avez conduit sur l’autoroute dans cet état.
• Oui, et grâce à Henriette qui a joué au jeu des clefs cachées, j’ai dormi avec elle dans sa voiture.
• Vous pensez reprendre la route dès maintenant !
• Oui, pour Dijon, je rejoins ma sœur et mon connard de beau-frère, d’ailleurs je vais faire demi-tour et rentrer chez mon mari, mon beauf est encore plus con que le mien, du moins ils font la paire.
• Duchesse, si tu as caché ses clefs, évite qu’elle les trouve et reprendre le volant, elle doit encore avoir plus de deux grammes à cette heure.
• Prends ton café et laisse-moi boire le mien, je sais où on va aller.
Fantine hier j’ai fait 12 fois 20, je crois que l’on a droit à un bon lit, ce sera la première fois depuis le jour où je suis arrivée sur l’autoroute, il y a plus d’un mois.
• Tu vois ce que je te disais, calcul bien si tu avais accepté la deuxième formule tu aurais au bas mot 600 plaques.
• On verra ce soir.
• Je vois que tu y prends goût, allez, emmène là se coucher, elle dort debout.

C’est comme cela que je nous dirige vers l’hôtel voisin qui a un accès par l’autoroute…

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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION ESCORTE GIRL. La duchesse de l’autoroute (3/14)

Le 02/01/2024 - 06:44 par OlgaT
C'est en même temps une descente aux enfers tout en étant excitant

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