COLLECTION ESCORTE GIRL. La duchesse de l’autoroute (10/14)

Pour la première fois depuis que je me prostitue sur l’autoroute en Mâcon et Beaune pour survivre après la tromperie et la banqueroute découverte à la mort de mon mari chez son notaire.
Je suis contrainte de laisser notre pavillon pour rembourser.
Toutes dettes réglées, c’est là que petit à petit je glisse sur la pente ou l’argent est facile à gagner pour une femme ayant de la classe.
Je deviens la duchesse en bas et porte-jarretelles faisant fantasmer la congrégation des chauffeurs routiers.
Ils ont plusieurs raisons de venir passer un moment avec nous, fréquemment parti de chez eux ou célibataire, car la profession est exigeante et les femmes souvent exaspérées de les attendre les trompes et se tire avec des amants.
D’autres sont encore mariés et font peu de cas de la bague qu’ils ont passée à leur épouse.
Les camions sont équipés de radio qui leur permet d’être moins seul et que nous utilisons pour nous donner des rendez-vous sans prendre le risque de racolage actif.
Enfin, les camions sont équipés pour la plupart de couchette pour les poses obligatoires et les interdictions de rouler du samedi après-midi au dimanche jusqu’à minuit sauf les camions-frigos transportant des denrées périssables.

Nous sommes à Beaune direction Paris auprès de Gaëlle au restauroute qui assume les samedis et dimanches pendant que Fantine se repose.
Nous sirotons un coca avec Juliette récupérant de la nuit torride passée avec Diane dans notre camping-car quand Ludo vient vers nous.

• Salut, les filles, le temps est long à attendre que le trafic soit plus intense.
Comtesse, si tu veux et si la duchesse est d’accord, j’aimerais que tu viennes dîner à la maison j’ai terminé mon service.
• Mais Henriette est ton amie, pourquoi moi ?
• Va Juliette je suis crevée et je vais dormir dans notre nid pendant de nombreuses heures, regarde dans son frigo, il adore le bœuf bourguignon.
• Je sais les mitoners, viens, je vais te surprendre.

C’est ainsi qu’ils nous quittent et que je vois le camion de dépannage partir par la route arrière.
Je pourrais être jalouse, mais grâce à ma copine je dors comme un bébé dans le camping-car qu’elle nous a amené quand elle a quitté son mari et qui nous tient au chaud les nuits devenant plus fraîches.
Je m’étire comme une chatte quand je me réveille, j’ai merveilleusement récupéré des prouesses sexuelles que j’ai faites depuis un certain temps et ma main naturellement vient se poser sur mon intimité qui naturellement ruisselle.
Moi qu’il y a peu restais sur mon lit sans rien faire, j’ai beaucoup de plaisir à me caresser et ainsi laisser mon corps en perpétuelle excitation.
Mon clito est devenu mon terrain de jeu et je suis aux portes de mon plaisir quand on frappe à la porte.
Il est déjà arrivé une fois qu’un client connaissant le camping-car frappe pour que nous venions dans son camion nous faire baiser.
Juliette était partante, toujours plus avide au fric gagné qu’aux moments de repos.
J’ai établi une règle même si les conducteurs connaissent notre lieu de rendez-vous.
Il y a deux endroits ou il est interdit de nous draguer, notre chez-nous et le restauroute trop dangereux car dans notre pays dit de liberté il existe une police des mœurs.

• Fantine que fais-tu là, tu es de repos aujourd’hui.
• Tous les dimanches matin, je fais mon jogging pour entretenir ma ligne. Avec trois enfants à élever seule, il est facile de se laisser aller.
Ma mère au début quand mon cerveau se souvient d’elle étant jeune avant le départ de mon père était aussi fluette que moi.
• Je parie que, maintenant elle est énorme.
• Comme tu y vas, elle a des formes un peu difformes et je veux éviter de devenir son sosie.
• Et tes enfants ?
• Mon aîné les garde, je peux faire confiance les deux derniers étant devant la télé à ingurgiter des dessins animés jusqu’à mon retour où je les ferais manger avant que nous fassions la sieste.
• Tu es seule, Juliette est avec un client.
• Non, le dimanche elle peut baiser, mais pas avec un client.
Le repos dominical s'est sacré, mais entre, je suis en peignoir et sans maquillage, si des clients me voient non maquillée, je peux fermer mon commerce.

Elle entre enlevant son petit sac à dos.

• Je vous avais apporté des croissants, ils étaient tout chauds dans la boulangerie, quand je courrais ils me chauffaient le dos.
• Assieds-toi sur la banquette, je vais faire du café.

L’espace est exigu bien que fonctionnel et pour me déplacer mon corps touche le sien,
Merde Fantine est une femme en chair et en os et pas la serveuse que nous voyons derrière son plan de travail faisant son service.
C’est simplement en la frôlant que je ressens pour la première fois un trouble pour elle, je m’assieds à son côté buvant et mangeant café et croissants.

• Alors, dis-moi ou est Juliette ?
• Tu vas rire, elle est chez Ludo, nous étions au bar avec Gaëlle quand il est arrivé venant de finir son service.
• Je reconnais là sa méthode pour lever une fille, pose-toi la question, à quel moment Ludo est-il sur l’autoroute.
• À l’appel d’un client pour un dépannage.
• Exact, tu l’as vu repartir.
• Oui.
• Avait-il des gens à ses côtés dans sa cabine ?
• Non, il était seul.
J’ai compris, pas de voiture non plus à l’arrière sur le camion, il était là espérant draguer l’une des femmes qui viennent dans le resto.
• Eh oui, quand tu étais chez lui et qu’il réparait ta voiture il avait ton sexe à sa disposition, il devait être seul les deux jours et aimant changer souvent de partenaire il a emmené Juliette.
• Tu as l’air de bien le connaître.
• Oui, attention, je le vois baiser tout ce qui lui fait plaisir, il a essayé avec moi et depuis que j’ai quitté le turbin, je refuse tous les hommes.
• Et les femmes ?
• Je vois, Juju et toi profité de votre vie commune pour vous donner du plaisir.
• J’ai appris à aimer, évite d’éluder.
• Non, rien, j’étais tellement heureuse de trouver un travail stable que je me suis refusé le droit au sexe, je me suis contentée d’élever mes enfants.
• C’est drôle quand j’étais mariée j’étais à peu près dans la même situation.

Pour sortir les croissants, elle ouvre son sac à dos qui est resté ouvert à son côté, elle fait un mouvement et il tombe au sol.
Son portefeuille s’en échappe ainsi qu’un objet que j’ai déjà vu à la télé, c’est un godemichet.

• Pardon, excuse-moi.

Elle ramasse le gode et le remet dans son sac précipitamment.

• Fais-moi voir, je comprends mieux que le sexe passe par ce godemichet ?
• Oui, je m’en sers chaque fois que j’ai des envies et il me calme pour quelques jours, je reste femme tous de même.
• Tu l’as dans ton sac si tu as une envie.
• Non, trois enfants dont une fille inutile qu’elle le trouve et qu’elle se pose des questions si je le laisse dans ma table de nuit.
• Je comprends, montre-le-moi.

Elle le sort et me le donne, classique un tube long en forme de suppositoire.

• Fais-moi voir, comment on s’en sert, je vais t’avouer que c’est le premier que je vois en réalité.
• Et lui c’est la première fois qu’il est dans la main d’une autre que moi, j’ai honte surtout si tu savais son nom.
• Il a un nom.
• Oui, je l’ai acheté par correspondance et sur la boîte il l’appelait Paul, c’était le nom de mon premier garçon dans ma jeunesse.
• Paul, tu es beau et je pense que ta maîtresse va me faire une petite démonstration de l’amour que tu lui portes.
• Tu es folle, tu crois !

Elle se lève enlève son haut montrant ses seins aussi beaux que ceux de sa sœur avant d’enlever basket et collants de course à pied.
La première chose que je vois c’est une toison qui couvre la presque totalité de son bas-ventre jusqu’à quelques centimètres de son nombril.
Elle le tourne à la base, ce que j’ignorais c’est qu’il est motorisé.
Elle se rassoit les jambes écartées et se caresse l’endroit où se trouve son clitoris qui m’est caché par tous ses poils.

• Mets-le-moi toi-même, j’ai envie d’une aventure et c’est pour cela que je suis passée te voir, il y a longtemps que j’en avais envie.
• Tu me surprends, mais je suis partante, tu aurais dû me le demander plus tôt.

Je prends le gode dans ma main, ses vibrations pénètrent en moi comme si je me l’étais introduite là où j’aime me caresser.
J’écarte ses grandes lèvres bien différentes de celles de Juliette qui pour l’heure doit s’envoyer en l’air avec mon amant Ludo.

• Tu vois c’est facile et j’aimerais que tu sentes ce que je resens, c'est aussi bon qu’un sexe d’homme.

Je la vois se tordre dès que je lui introduis Paul, il est drôle de donner ce nom à cet objet, il y a peu j’ai réalisé l’un de mes fantasmes, baiser avec un nègre qui en avait une gigantesque.
Quand il est entré dans ma chatte, j’étais persuadée qu’il était impossible qu’il aille entièrement au fond de moi sans qu’il resorte par ma bouche.
J’en parle à Fantine qui rit, du temps où elle tapinait des noirs, elle en a vu des dizaines toutes de tailles différentes.

• Tu veux essayer, c’est la première fois qu’il me trompera, mais avec toi je l’accepte.
• Paul, tu te souviens de mon grand noir qui s’appelait, lui aussi Paul ?
• A oui, ce jour-là quand tu m’as parlé de ce prénom, j’ai failli le sortir de mon sac.

Je me mets à son côté et elle me l’introduit, mieux qu’un homme, quelques secondes et j’ai mon premier orgasme, je bascule avant qu’elle ait le temps de me l’ôter et je vais sucer sa chatte.
Mon plaisir est décuplé, j’aime sucer Juliette et les vibrations dans mon corps provoqué par Paul sont divines, avant qu’elle jouisse je jouis trois fois et je finis par me coucher sur le sol sans arriver à l’éteindre.

• Que m’est-il arrivé, pourquoi tu me mets un linge mouillé sur ma figure.
• Tu t’es couchée au sol Paul planté en toi, tu as perdu connaissance et j’ai vu ton corps se crisper trois fois après ton dernier orgasme lucide, j’ai débranché Paul et tu as dormi.
• Viens sur le lit à côté, je veux te faire quelque chose…