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COLLECTION ESCORTE GIRL. La duchesse de l’autoroute (13/14)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 17/01/2024

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Juliette dans mes bras m’embrasse éperdument, je rejoins sa fente, mes doigts et ma langue ayant le plaisir de retrouver ses sécrétions que j’adore sentir dans ma bouche.
Sa bouche récupère ma bouche intime, je suis certaine qu’elle boit autant à ma source que je bois à la sienne.
Nous avons déjà fait l’amour, mais là ce sont nos cœurs qui le font.
Nous avons passé de fieffer moment bien que j’assume très bien tout ce que j’ai fait et tous ce que j’ai découvert dans le monde des routiers sur les autoroutes.

Une partie de la nuit somme soudée l’une à l’autre.
J’adore la manière qu’elle a de s’occuper de mes seins.
Elle aspire la pointe dans sa bouche et les suces comme si elle voulait en extraire du lait, source, hélas, irrémédiablement tarie depuis bien longtemps.
Je me rappelle les moments où Éloi me tétait.
J’étais à la limite de l’orgasme et ce sentiment de plénitude, je le ressens avec Juliette.
Pierre a ignoré mes goûts et c’est sûrement pour cela que notre couple est resté au bord du chemin que j’ai découvert un peu tard, mais qui me satisfait pleinement.
Au matin, je m’habile sans bruit.
Je la quitte après un dernier baiser sur sa fesse droite seule partie de son corps qui sorte du drap que je lui ai placé sur sa nudité pour éviter qu’elle s’enrhume.
Nous avons un long voyage à entreprendre pour retrouver ma famille.
Je monte dans ma voiture, je vais me garer à la hauteur de la barrière et je rejoins Fantine à pied qui est déjà en plein travail.

• Merci pour la bonne matinée que tu m’as fait passer.
Je suis rentrée à la maison requinquée, j’aurais pu manger un bœuf, enfin un veau aurait suffi.
Mais dit moi, je viens d’apprendre que les bleus t’avaient arrêtée.
• C’est exact, je sortais du camping-car pour demander à Gaëlle de me donner la clef des douches.
J’étais en peignoir et celui qui s’est présenté comme le lieutenant s’est cru autorisé à m’arrêter et de m’amener dans son bureau.
Sur un tableau derrière le policier, j’ai vu mon visage sur un avis de recherche dans l’intérêt des familles.
Il a constaté que c’était moi qui étais recherché et j’ai été transféré à Chalon au poste de police où mon fils et mon petit-fils m’ont sorti.
• Ton fils et ton petit-fils quelle histoire.
• Tu peux le dire surtout quand j’ai compris que maître Antoine avait été arrêté, car il m’a volé tous mes biens ainsi qu’un grand nombre de ses clients.
• J’ai sorti Juliette et son camping-car de l’autoroute et nous avons passé la nuit au bout de la route qui t’amène ici, nous allons partir pour Barcelone, car je vais être une deuxième fois mamy.
• La duchesse, mamy, quand ils vont savoir cela sur l’autoroute, ça va leur scier le cul.

Nous nous embrassons, elle me remplit mon thermo de café comme elle le faisait chaque fois que je dormais près du restauroute et j’ai rejoint mon aimée qui s’est réveillée à l’odeur du café que je lui fais passer sous son nez.
Destination la banque où je veux récupérer mon argent auprès d’Édouard, mais avant sur le chemin j’arrête ma voiture chez Ludo.

• Ludo, j’aimerais que tu vendes ma voiture, je pars avec Juliette en Espagne dans son camping-car chez mon fils que j’ai retrouvée.
• Bonjour mesdames, déjà en chemin.
• Ludo tu es un rapide, je te quitte en fin d’après-midi après un bon moment passé ensemble et je te retrouve ce matin avec Fantine.
• C’est drôle, je viens de la quitter.
• Henriette, c’est moi Cosette, j’avais rendez-vous avec Ludo qui va réviser ma voiture.
• Vu tes dessous, il a dû te réparer une fuite importante.
• Oui, je ruisselet de partout.
• Et les filles vous allez rester zen, pas de bagarre pour ma queue, il y en a pour toutes celles qui font appel à mes services.
Pour ta voiture, tu peux me donner ton numéro de portable, je te tiendrais au courant !

Nous repartons après avoir vidé ma voiture laissant le poëlon à fondue toujours sur mon siège avant.
Arrivé au village, il y a un attroupement devant la banque.
La police semble mener une enquête, nous nous garons sur le parking du restaurant où nous avons mangé avec Édouard.

• La banque a-t-elle été attaquée ?
• Non, le receveur a vidé les comptes de certains clients.
Il faisait signer des procurations surtout aux vieilles dames.
Il est parti avec Jocelyne, ma serveuse.
Il s’était mis en ménage, ils sont recherchés et la police enquête.

Inutile d’aller plus loin et me remettre dans les pattes de la maréchaussée.
Je fais partie de ceux ou celle qui lui a donné procuration.
J’ai tapiné pendant des jours et j’ai, hélas, tout perdu par ma naïveté.
Il faudra dans l’avenir que je me méfis de ceux à qui on peut donner le bon Dieu sans confession.
Nous reprenons la route mettant la radio pour écouter nos amis routiers parler entre eux.
Jusqu’à la frontière franco-espagnole deux fois nous entendons parler de la Duchesse cette grande salope dont l’un a même dit qu’il m’avait enculée.
Il a été plus sobre dans ces mots, car sur le réseau les chauffeurs sont un peu plus réservés certaines de leurs femmes à l'écoute, mais les mots qu’il emploie arrivent au même résultat.
Arrivé à Barcelone, le G.P.S nous amène directement chez mon fils et ma bru, Antonio me saute dans les bras et j’ai d’entrée une bonne approche avec elle.
Ma petite fille naît alors que nous vivons dans le camping-car avec Juliette afin d’éviter de déranger mes enfants surtout quand avec Juliette nous montons dans les gammes quand nous faisons l’amour.
Nous nous occupons d’Antonio malgré sa gouvernante espagnole.

La vie de famille super, mais vivre les uns sur les autres finissent par me stresser et quand Fantine nous invite à l’inauguration de son nouveau travail ayant quitté l’autoroute, nous sommes contentes de revenir vers Chalon-sur-Saône.
Nous retrouvons les noms de routiers qui appellent.
À Mâcon vers Paris nous avons le plaisir de venir nous garer à côté du camion de Topaloff, nous montons toutes les deux dans sa cabine et sevrée de bites depuis des jours que malgré l'amour que je porte à Juliette, nous aimons toujours.
Reparties, nous sortons en toute légalité à Beaune et nous rejoignons les abords de cette ville ou nous nous arrêtons devant un garage ou sur la façade et le camion de dépannage son marqué « Garage des Trois ».
Dès trois quoi nous le découvrons quand l’une des deux sœurs suivies rapidement de l’autre et de Ludo nous fait comprendre que nos amis vivent en ménage à trois à tel point que nos deux copines sont enceintes.

• Nous avons toujours voulu vivre sans être séparées.
Quand Ludo est venu me voir sur l’autoroute me disant qu’il était ennuyé, car son patron partant à la retraite vendait son garage.
Mais que son seul bien était sa maison avec son cabanon.
J’ai appelé Cosette pour lui proposer d’investir ensemble, nous sommes propriétaire d’un tiers chacun du garage.
• Donc, nous avons une moitié chacune de sa bite et tous les soirs depuis quelques semaines, il a compris qu’avec nous depuis qu’il a vendu son cabanon, c’est nos seules deux chambres où il a le droit de s’allonger.
Vous en voyez, le résultat nous allons être mamans dans les mêmes moments, en plus de l’inauguration de notre garage nous souhaitions vous demander d’être les marraines de nos enfants dont nous ignorons leurs sexes.
• Je pense que nous allons vous dire oui, vous nous direz qui êtes la marraine de qui.

Nous passons deux jours à faire la fête, pour Ludo, cela l’est un peu moins, car nos deux amies sont insatiables malgré leur grossesse et la chambre où ils dorment remplis de leurs cris chaque fois qu’il rejoint l’une ou l’autre.
Avant notre départ, il tient à nous offrir deux plaques comme les ont tous les routiers sur le pare-brise de leur camion et les fixent sur le camping-car.
« La Comtesse » et l’autre « La Duchesse ».
Heureusement, que nous reprenons l’autoroute sans croiser le lieutenant de gendarmerie, lui qui lorsqu’il m’a arrêté, a déclaré qu’il cherchait principalement ces deux noms.

Un peu tête de linotte nous venons de dépasser Beaune vers Mâcon quand je m’aperçois que nous avons oublié de faire le plein.
Je mets le clignotant et pendant que Juliette complète le réservoir, je me rends aux toilettes, puis boire un café.

• T’as pas 10 €, j’ai l’estomac creux depuis trois jours, et si tu veux que je sois gentille avec toi on peut aller dans ton camping-car.
Je vous ai vu arriver avec ta copine, tu verras, on m’a dit que je suis un bon coup.

La grosse Bertha a rajeuni, mais je m’aperçois que celle qui vient de me proposer de baiser avec moi est Jocelyne, la serveuse du restaurant amoureuse d’Édouard, le receveur de la banque qui m’a escroqué.

• Prends ce que tu veux à manger, c’est moi qui régale, je rajouterais cela à ton ardoise.
• Mon ardoise ?
• Je devrais dire celle de ton amant avec lequel tu t’es enfui avec l’argent des comptes de ses clients.

Elle veut partir en courant, mais je la rattrape par sa queue de cheval, la femme qui tient le comptoir est étonnée, mais je lui donne 50 € pour me faire un sac avec deux sandwiches.

• Tient toi tranquille, suis-moi sans faire de scandale sinon j’appelle les bleues et ce soir tu coucheras dans une cellule.
Viens, tu vas nous raconter, comment tu t’es retrouvé sur l’autoroute à essayer de faire des passes.
• Lâchez, madame, je vais vous suivre.

Nous sommes la cible de tous les regards, je relâche ses cheveux et elle part en courant vers la sortie.

• Ou tu vas petite salope, la dame t’a dit de la suivre.

Juliette ayant fini de faire le plein a attrapé au vol la jeune femme complice d’Édouard qui m’a dépouillé.
Nous l’encadrons la tenant par le bras.

• Monsieur dames, nous sommes des policières, nous venons d’arrêter cette jeune femme pour complicité de vol nous l’emmenons au commissariat, nous planquions dans ce camping-car afin de pouvoir l’identifier.
• Êtes-vous des flics ?

J’ai dû être assez persuasive pour que les clients croient à mon histoire, car même Jocelyne y a cru, car à partir de ce moment elle nous suit sans réticence…




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Histoire de Chris71

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