COLLECTION ESCORTE GIRL. Rencontre inattendue (4/6)

Incroyable, jeune femme à Paris pour mes études à la Sorbonne, je rencontre Ange belle jeune femme de trente ans qui me propose une place à sa table pour échapper à deux malotrus.
Dès le lendemain, elle m’enlève, mon pucelage avec un gode ceinture et m’offre à un ami le lendemain de son retour de Jamaïque où je pensais qu’elle avait été pour une affaire de succession comme avocate.

Alors qu’au matin, je la vois compter des billets, j’apprends que son ami était un client et qu’il a payé grassement pour avoir des rapports et surtout mon anus.
Deux choix s’ouvrent à moi, partir et retrouver ma vie, tracée vers un mari me faisant des enfants ou devenir la partenaire comme nous l’avons été cette nuit, nous remplissant les poches.
Lui montrant la photo prise en selfie en Jamaïque, elle me propose de m’expliquer ce qu’elle a fait pour gagner 30 000€ avec l’homme qui était son client.

• Je l’ai rejoint à l’aéroport, il avait tout prévu, billets et location de la chambre, j’avais mon passeport en règle.
Dis-moi, as-tu un passeport, tu en auras rapidement besoin !
Tu es assise sur mes genoux, j’en déduis que tu as choisi de rester, nous allons faire de grandes choses ensemble.
• J’en ai un, pour son travail papa m’a emmené aux USA, je m’en suis servi une seule fois.
• Bien, je me suis retrouvée dans cet hôtel, j’aime bien Franck un de mes plus vieux clients, il est malheureux en ménage.
Sa femme refuse ce que tu as accordé à Chris hier, aussi bien les fellations que la sodomie.
Il profite de son travail pour m’emmener tous les deux ans, nous avons commencé au Maroc et je choisis la destination suivante, certainement la Réunion, la prochaine fois.
• Pourquoi un hôtel échangiste ?
• Il adore me voir me faire prendre par des partenaires différents, hommes ou femmes.
Là encore, sa femme refuse d’autres partenaires et comme c’est elle qui est propriétaire de leurs biens venue de ses parents, c’est moi qui joue le rôle.
Je lui permets d’assouvir tous ses fantasmes comme celui d’être candaulisme.
• Mon dieu, que ton monde est étrange, vous avez des codes que j’ignore, exemple « fellation » ou « levrette », mais rassure-toi, depuis j’ai compris ces deux mots.
Tu vas me prendre pour une oie blanche.
• Nullement, candaulisme, je pense que c’est le mot qui t’est étranger, tu es mon ange ma petite Gladys, cela veut dire que le plus souvent, l’homme aime offrir sa femme à d’autres partenaires de tous sexes.
Rarement l’inverse est vrai, mais je suis allée en club avec une femme qui offrait sa maîtresse à qui voulait d’elle.
• Il te présentait comme sa femme, il t’a regardé te faire baiser.
• Bien sûr, pour 30 000 €, il avait tous les droits !
Le premier, c’est le matin de notre arrivée, il a commandé le petit déjeuner, dans cet hôtel.
Les serveurs tous noirs sont choisis par la direction pour la taille de leur sexe.
Je me suis fait défoncer, tu comprends pourquoi je choisis toujours les godes les plus gros quand j’en ai l’occasion.
Il me sautait tous les matins, c’était le premier le matin qui me faisait l’amour tout au long de notre séjour.
• Tu as dit que ton client s’appelle Franck, tu vois, je t’écoute religieusement, ta vie est trépidante, te baise-t-il ?
• Oh ! que oui, si tu savais, se faire prendre par cet homme en double pénétration, tu verrais deux bites en toi l’une par-devant l’autre par-derrière ces divins.
Je me voyais dans la glace de l’armoire prise par les deux verges blanche et noir.
Elles m’apportaient des plaisirs intenses, contrairement à ce qui est écrit.
Même si nous sommes des putes, nous sommes aussi des femmes et en plus de l’argent, nous aimons nous éclater.
• As-tu eu d’autres partenaires ?
• Un ou deux couples dont l’un faisant leur voyage de noces.
Gaël la jeune femme était très réticente sur l’échangisme quand elle est arrivée.
À la fin du séjour, tous les mâles passant à sa portée la baisaient.
À la piscine s’était la reine, un spectacle à elle toute seule.
Franck plusieurs fois a souhaité que je participe à ses orgies, elle était aussi forte pour me faire jouir que toi mon poussin.
Je te remercie, mais j’ai un rendez-vous à 14 heures, le travail m’appelle, rentres-tu chez toi où je te montre ta chambre ?

Je l’embrasse, je me lève et je lui prends la main, direction ma chambre.
Un vrai bijou, là aussi toute blanche, elle m’entraîne dans ma salle de bains, nous nous savonnons en nous caressant.
À un moment, je plie sur mes genoux ses doigts dans ma chatte, les miens dans la sienne.
J’ignore si son client va la faire jouir, aucun problème, nos cris prouvant que dès ce matin j’y arrive.

• Essaye ton lit, si le matelas te déplait, demain nous irons le changer.
Nous en profiterons pour t’acheter des affaires qui plairont à tes clients.
À mon retour, je ferais des photos, je travaille avec un site Internet, ça fait partie du monde moderne.
Tu vas faire un tabac dès que tu seras en ligne.

Je m’endors, jusqu’à ce qu’elle vienne m’embrasser.
Je vais me prélasser dans mon bain en appelant papa.
Il va sans dire que je lui cache la tournure que prend ma vie sauf Ange et mon nouvel appartement dont je veux lui parler.
Familialement, nous avons les moyens de payer mes études, mais la charge de mon appartement et l’argent qu’il me donne pour ma vie sera réduit.
Réduite, car je sais calculer, Ange a gardé 500 € sur ce que j’ai gagné avec Chris.
Je viens d’accepter de recevoir les clients qui se présenteront à moi.
Tant qu’officiellement, je suis sans revenus avant mes diplômes, après la question serai bien différente, la carte sur la table de nuit me promettant un emploi en faisant foi.

• Papa, j’ai plein de choses à parler avec toi.

J’explique point par point de ce que je viens de décider, savoir que sa fille a une aventure avec une autre femme, lui semble normal, j’ai un papa moderne.
Il va de soi que je lui cache une partie de la réalité.
Il est satisfait et me confirme qu’il nous aidera Ange et moi, elle va rire, en quelques jours, elle a fait une petite partie de son chiffre d’affaires annuel sans les paysages sauvages.
Je viens de raccrocher, quand un portable sonne dans l’appartement, je le trouve sur la table du salon, Ange a dû l’oublier ou l’a laissé, je décroche.

• Ange, je peux passer dans quelques minutes, je viens de finir une conférence et j’ai du temps en attendant de rentrer chez moi.

Je vois tout de suite la possibilité de plaire à mon amie en lui montrant que mon choix est définitif.

• Ange, mon amie est sortie, mais je suis sa nouvelle associée.
Je suis prêt à vous recevoir quand vous le voudrez au tarif pratiqué par mon amie.
• Blonde ou brune ?
• Aussi blonde, qu’Ange est une jolie brune.
• J’en bande déjà, 1 000 € l’heure et 1 000 de plus pour une anale, je connais ses tarifs, je viens chaque fois que je le peux, un peu de nouveauté sera la bienvenue.

Je raccroche, que dois-je faire, m’habiller, rester en peignoir ou aller chercher dans les armoires d’Ange, ce qu’elle aurait de sexy pour mettre mon corps en valeur.
Ses armoires sont pleines.
Je trouve même des menottes, un martinet et une gamme de godes tous plus étranges les uns que les autres.
J’en choisis deux, que je place sur la commode de ma chambre, ignorant à quoi peux servir menottes et martinet.
Je les sors aussi, je veux éviter de décevoir le client et déplaire à Ange.
Ça sonne à l’Interphone, j’ai mis, porte-jarretelles, bas et soutien-gorge sans la moindre culotte.
J’ai trouvé des talons hauts que j’ai passés, je devrais m’habituer.
Heureusement, les déplacements sont courts dans l’appartement, j’arrive à me débrouiller.
L’homme a qui j’ouvre, est le parfait homme d’affaires comme papa, l’est maintenant, costume avec gilet et chemise blanche, il a une attachée caisse à la main.

• Je suis satisfait, tourne pour que je voie l’ensemble de tes formes !
Super, Ange a choisi une magnifique complice de jeux, tu as pris la chambre de Jennifer !

Il est bien au courant de qui était dans cette maison avant que j’y fasse mon entrée.
Il me prend par la main et m’entraîne directement dans ma chambre, mon lit étant impeccablement refait.

• Voilà ton argent, une heure avec possibilité de sodomie.

Il me donne une liasse de billets, dois-je contrôler ou les mettre simplement dans ma table de nuit ?
Je choisis de contrôler, 10 billets de 200, je les range, il est trop tard pour reculer.
Hier je me suis fait baiser par un client sans savoir que c’était un client.
Là, un peu déboussolée, j’attends les ordres, je suis officiellement une pute.

• Je vois qu’Ange t’a mis au parfum des besoins de certains de ses clients.
Monte sur le lit !
Non, gardent tes chaussures à bout effilées, tu es plus bandante, tends-moi ton poignet.

Je m’exécute, que les hommes semblent compliqués.
Papa fait-il partie de ceux-là ?
Depuis qu’il est veuf, a-t-il eu d’autres femmes dans sa vie ou rejoints-ils des putes à Annecy ou Aix les bains, voir Chambéry.
Il a beaucoup de connaissances dans cette dernière ville, peut-il prendre le risque qu’on le reconnaisse ?

Je tends mon poignet, il prend une menotte et m’attache aux barreaux du lit.
Le même que dans la chambre d’Ange, quand il immobilise mon deuxième poignet les fesses en l’air, j’ai peur de comprendre ce qu’il va me faire.
J’ai raison, il prend le martinet, le premier coup cible mes fesses, une bonne dizaine de flagellations me les rougissant à la brulure que je ressens.
Il me fait crier, je comprends pourquoi les chambres sont construites avec une haute isolation phonique.

• Je t’ai assez puni belle jeune fille, je vais t’enculer, j’aime remplir vos culs de mon sperme.

Je comprends pourquoi Ange a raison en deux points, m’avoir fait connaître la sodomie et surtout pourquoi ses tarifs sont plus élevés pour cette pratique.
J’ai encore un peu mal quand il entre dans mon anus, quelle chance, il est moins membré que Chris et tout se passe bien.
Quand il est de nouveau présentable avant de me quitter, il me pose une question surprenante.

• Ange est parti pour longtemps.
• Non, elle revient tout à l’heure.
• J’ignore où sont les clefs des menottes, elle te détachera.

Il quitte ma chambre.
Une fraction de seconde, je pense à l’argent dans le tiroir qu’il pourrait récupérer sans que je sois dans la possibilité de m’y opposer.
Ouf, il quitte l’appartement, j’entends la porte du palier claquer, les coups de martinet et la sodomie qui ont duré, m’ont épuisé.
J’essaye de me détacher, sans y arriver.
Un grand rire me réveille.

• Ma pauvre chérie, qui t’a mise dans cette situation.

Pourquoi ai-je l’impression sur ce coup, d’avoir été manipulée ?…