COLLECTION FANTASME. Mon mari m’offre à son copain, que la fête commence (3/4)

Qui eut dit qu’à l’approche de nos dix ans de mariage avec Christian, une question qu’il me pose peut avoir eu de l’importance sur la suite de notre vie et de notre sexualité.
Il a voulu savoir si j’ai été frustré pendant ces dix ans et si j’ai eu des fantasmes non réalisés dans cette même période !
Question qui était loin d’avoir traversé mon esprit, mais dont je m’aperçois que c’est lui qui fantasmait et semblait être frustré.
Ce fantasme et sa frustration va s’appeler Freddy, qu’il invite lorsque mes deux garçons Jules et Yvon sont chez leur grand-mère.
Lorsqu’il m’annonce, qu’il a invité ce beau gosse qu’il a connu à sa salle de sport et que j’accepte, je suis loin de penser qu’il veut me voir faire l’amour avec lui.
Dès son entrée dans notre maison, Freddy montre une décontraction telle que c’est sans méfiance que je le suis dans notre piscine.
C’est nu montrant sa magnifique musculation qu’il m’entraîne à me dénuder, moi aussi et le suivre pensant simplement nager.
Je dois reconnaitre que j’ai aimé me faire prendre par ce garçon, alors que Christian nous regardait intensément.
Je suis loin d’être sotte, j’ai vite compris, que j’étais tombée dans un traquenard monté entre les deux hommes.
Je sais que Christian est frustré que nous ayons eu deux garçons alors qu’à la place d’Yvon il aurait espéré Yvonne.
Frustré, mais pas suffisamment, car je lui ai proposé d’avoir un troisième enfant.
Le risque d’avoir un troisième garçon qu’il faudrait élever jusqu’à sa majorité pour Christian homme très pragmatique était impossible.
Le fantasme, c’était Christian qui l’avait, il voulait me voir faire l’amour avec un autre que lui, du moins c’est ce que j’ai découvert.
Je l’ai fait, ce qui a réveillé en moi des fantasmes personnels du temps où je m’occupais de défiler de mannequin lors des présentations de collection.
Elle avait pour nom Julietta et comme pour Freddy, c’est devant mon mari que je découvre ce que devenir lesbienne peut impliquer !
Un moment de franchise passe entre nous et après mes débordements sexuelles avec Julietta, nos rapports deviennent moins conflictuels et notre lit retrouve nos ébats normaux au sein d’un couple assez jeune malgré deux enfants et dix ans de mariage.

Au fond de nous nous savons pourtant qu’une fois par mois, pendant un week-end je prends le pouvoir sur nos jeux comme après qu’il a essayé de le faire en invitant Freddy.
Dans quelques jours, ce sera un nouveau week-end et je lui prépare une nouvelle surprise.
Tous se plaignent de la canicule en France, moi je la souhaite, car une nouvelle fois nous pouvons recevoir près de notre piscine.
Christian cherche à savoir qui je vais inviter, mais je lui dis préparer une surprise, ça le calme.

« Tu peux, t’occuper de mon fantasme, je te serais redevable. »
« Tu peux compter sur moi Sylvie. »
« Pas à mot à Christian. »
« Là encore tu peux compter sur moi. »

Mon initiative prend forme, j’ai prévenu Christian que nous aurons des invités et qu’il sera au fourneau pour nous cuire des cuisses de poulets et de canards au lieu de sa sempiternelle côte de bœuf.
Il est bientôt vingt heures, je suis prête à recevoir mes invités, Christian est dans le jardin, de notre chambre je vois qu’il ouvre une bouteille de bourgogne.
Les flammes du barbecue crépitent, les cuisses sont assaisonnées, il pourra les mettre à cuir avant que nous les dégustions.
J’ai remis ma robe longue, je me rends contre que j’adore la portée, est-ce son impudeur qui me fait mouiller ou le regard de Christian quand je la porte.
On sonne, je vais ouvrir.

• Bonjour ma chérie, toujours aussi jolie, un vrai bouton de rose.
Je te présente Tex, c’est un basketteur américain jouant à Levallois jusqu’à la fin de la saison.
• Mon dieu qu’il est grand !
• Je mesure 2 mètres 02, voici quelques roses, bien que, lorsque je vous vois, la rose, c’est vous Sophie, je crois à ce que l’on m’a dit !

Dis avec un accent texan, ce garçon plus grand que moi, je mesure 1 mètre 72, c’est déjà très grand pour une femme à une autre particularité, il est noir.
Pour les fleurs, le bouquet qu’il a dans les bras est à la mesure et de sa taille et des gens de son pays.
Certainement une trentaine, comme mon âge.

• On s’embrasse Sophie, je suis heureux que tu aies accepté de me revoir, j’avais peur que mon audace de l’autre samedi t’ait vexé.

Je me coule dans ses bras embarrassés par le bouquet.

• Tu te trompes, tu m’as fait découvrir un côté de Christian que j’ignorais.

Il me roule une pelle, portant sa main à mon entrejambe facilité par la fente de ma robe.
C’est à ce moment que nous entendons le tonnerre gronder une première fois.

• Venez, j’ai peur que ce soir la piscine, ce soit un problème, à moins que l’orage passe en nous évitant.

Tex doit être au courant que je suis la maîtresse de Freddy, car il est là sans réaction à ce que je viens de faire avec mon amant.

• Et toi mon grand, fais-moi voir, comment tu embrasses.

J’ai décidé de prendre l’initiative, comme l’on dit, il faut battre le fer quand il est chaud.
Je les ai invités pour plaire à Christian qui arrive en courant les éclaires et le tonnerre étant sur notre villa inondant le feu et les cuisses.
C’est comme ça qu’il me voit prenant les grosses lèvres noires de Tex massacrant un peu plus le bouquet de roses.

• Chérie, le poulet s’est foutu, il tombe des trombes d’eau, je suis trempé.
• Va te changer, j’emmène mes invités au salon, après tu viendras nous servir l’apéro, heureusement la sangria se trouve toujours au frigo.
Tient, va, mettre ces fleurs dans un vase, elles sont magnifiques, il serait fou de les abimer.

Aucune question sur la présence de Freddy, je suis satisfaite, je lui avais dit de se taire et de m’amener un copain il a tenu parole aux yeux de Christian lorsqu’il m’a vu dans les bras des garçons.

• Christian met nous de ma musique, ces messieurs ont envie de me faire danser.

C’est à Christian revenant de notre chambre à qui je donne cet ordre.
Je suis satisfaite de sa réaction, c’est un vrai toutou que j’ai à ma disposition.
Il démarre la platine un slow langoureux emplissant la pièce.

• Les slows, c’est pour tout à l’heure, met nous un de tes rocks and roll, Tex est américain et je pense qu’il aime ce qui swing.

Pour swinguer, ça swing, Tex réussit même à me faire passer par-dessus son épaule.
Je finis par tomber, épuiser sur le canapé, où sont mes vingt ans ?
Freddy est déjà assis, il me reçoit dans ses bras et malgré mon essoufflement il me prend les lèvres comme à leur arrivée.
Tex s’assoit à mes côtés, avant le retour de Christian, je prends l’initiative, voulant voir sa réaction.
Pendant que j’embrasse ma main gauche par en exploration vers la braguette du pantalon de Tex, à ce que je sens, je vais être contente du voyage, mais plutôt de ma soirée.
Je connais déjà la bite de Freddy et deux beaux morceaux, ce sera un réel plaisir qu’ils me baisent.
Sans grande expérience, j’arrive à lui dégager sa verge, par chance, j’ai eu juste à tirer sur le Zip.
Lorsque Christian arrive de la chambre entièrement changée, mes lèvres ayant quitté celle de Freddy, ma bouche est à deux centimètres de la faire entrer.
Comme je suis placée, je vois mon cocu de mari, venir s’assoir dans son fauteuil, je sais que je l’ai définitivement matté faisant de lui un cocu heureux de me regarder me donner à mes deux invités.
La verge de Tex est magnifique et très noire.
Au plus loin où je peux remonter dans ma mémoire, aucun fantasme de verge noire à ce jour, mais pourquoi laisser passer l’occasion,
Je soulève ma robe et je m’empale sur cette tige que je sens venir buter le fond de ma grotte.
Je sens un mouvement derrière moi, je tourne la tête.
Christian est là sa verge sortie déjà assez dure.
Je vais pour le rembarrer comme avec Julieta, car ce soir, une nouvelle fois c’est moi qui même la danse.
Il prend ma robe et la tire au-dessus de ma tête avant d’aller se rassoire dans son fauteuil.
Je suis nue, un coup d’œil en même temps que je m’empale.
Christian s’astique dans ma robe, il devait avoir un manque de vision sur nos deux sexes réunis.
Freddy me prend la main, lui aussi à sa verge de sortie, je le masturbe à la même cadence que je m’empale.
Un éclair, non deux éclairs, celui dans le ciel et l’autre dans mon ventre lorsque ma langue jouant avec la langue de Tex, je suis moi aussi frappée par un orgasme.
Je sens ses jets de sperme m’inonder, inondant mon utérus.
Du côté de Freddy c’est mon canapé et ma moquette que je vais devoir nettoyer avant le retour des enfants.
J’ai mieux plutôt que de me fatiguer, ma femme de ménage en la personne de Christian fera très bien ce travail, même si lui c’est dans ma robe blanche qu’il s’épanche.

• Mon chéri va nous servir à boire et à manger, j’ai faim.
Je pense que lorsque Freddy aura repris des forces il voudra que je lui donne ma chatte à son tour.

Dehors, la tempête s’est calmée le soleil est revenu lorsqu’il nous sert la sangria avec les petits fours.
Il va falloir que je lui achète un joli tablier de soubrette, il sera parfait dans ce personnage.
Mais en attendant la fête, ma fête va continuer le temps que je déguste et la sangria et mes petits fours...