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Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale (12) : « les plaisirs de Tullia »

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 6 - Histoire postée le 10/10/2022

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RESUME DES CHAPITRES PRECEDENTS

Nous sommes en l’an 48, sous le règne de l’empereur romain Claude. Le sénateur Marcus Tullius Longus a donné à sa fille Tullia, devenue une superbe jeune femme, la meilleure éducation. L’aggravation de sa situation financière a contraint Marcus à accepter comme gendre Lucius Spurius Lurco, un homme vicieux, cruel et sans scrupule.

Il est immensément riche et il a la faveur de l’impératrice Messaline. Lurco et la perverse impératrice Messaline sont bien décidés à exploiter l’hypersexualité de Tullia pour provoquer sa déchéance et humilier ainsi son père.

Tullia a été au centre d’une orgie dans le palais impérial, où elle a donné libre cours à son hypersexualité. Messaline ne donne pas suite, pour le moment, aux demandes de Lurco qui veut se débarrasser physiquement de son épouse. Messaline est bien décidée à s’amuser encore un certain temps avec Tullia. Celle-ci n’a pour protecteurs qu’un eunuque arménien Parsam, et Vettius Valens, le médecin personnel de Messaline, tous deux amoureux d’elle.

Par la nuit d’amour qu’elle vient de connaitre dans les bras de Messaline, Tullia semble avoir écarté les menaces qui pesaient sur elle. Mais n’est-ce pas une imprudence que de lier ainsi son sort à une Messaline qui semble ne plus connaitre de limites ?

***

Dans les mois qui suivent sa torride nuit saphique avec Messaline, Tullia se pense définitivement à l’abri des menaces qui pesaient sur elle.

Elle est désormais dans le tout premier cercle de Messaline, comme le sont Mnester, son amant favori, Vettius Valens, son médecin personnel et amant de Tullia, Marcia, la fidèle servante de l’impératrice ou encore Sylvia, son âme damnée.

Pour Messaline, qui se prend pour Vénus, Tullia est désormais Volupia, la déesse de la volupté. Messaline, est, comme Tullia, insatiable d’étreintes viriles. Mais à l’instar de l’empereur Caligula, elle assume sa bisexualité. De même que Mnester était le mignon de Caligula, Tullia est devenue la femme de Messaline, qui n’hésite pas à afficher en public sa relation avec la jeune patricienne.

Tullia, qui vit toujours dans la grande Domus de Lurco, lequel s’est retiré dans sa Villa de Baïes, se partage désormais entre Valens et Messaline. Son comportement scandalise les élites romaines, mais pour le moment cela est sans conséquences, Messaline étant toute puissante du fait de l’aveuglement ou plutôt de la complaisance de l’empereur Claude
A force de suppliques, Tullia a obtenu de Messaline que son père Marcus sorte de la geôle de la prison Mamertine, où il croupissait. Messaline n’a cependant pas pardonné au vieux patricien qui lui a toujours témoigné un mépris sans limites.

Connaissant la passion de Tullia pour l’œuvre d’Ovide, Messaline, avec une perversité évidente, a fait exiler Marcus dans la province de Mésie, à Tomis, l’actuelle Constanza, en Roumanie, où Ovide fut relégué à compter de l’an 8 jusqu’à sa mort en 17. Tullia a eu beau pleurer, se mettre à genoux, supplier, Messaline a été intransigeante. Elle montre ainsi à Tullia qu’elle est entièrement soumise à son beau vouloir et que le sort de Marcus dépend de sa totale docilité.

Tullia est d’autant plus meurtrie que Marcus, avant son départ pour l’exil, a refusé de la revoir, lui faisant savoir qu’il n’avait plus de fille « depuis qu’elle est devenue une putain ». Le vieux patricien intransigeant ne pardonne pas son inconduite à sa fille, en qui il avait mis tous ses espoirs et dont il était si fier de la beauté et de la culture.

***

Vettius Valens et Tullia se comportent comme mari et femme, ce qui choque la bonne société romaine, car, non seulement Tullia est toujours mariée avec Lurco, mais c’est la vaste et luxueuse Domus des Spurii qui abrite non seulement leur adultère mais aussi les frasques de Tullia, quand celles-ci n’ont pas pour cadre le palais impérial.

Tullia et Valens filent le parfait amour, le jeune médecin étant un amant hors pair. Valens a deux rêves :

• Le premier serait d’officialiser son couple avec Tullia, que celle-ci puisse divorcer de Lurco. Malgré la proximité de Valens et de Tullia avec Messaline, celle-ci se refuse à lâcher son vieux complice Lurco, qu’elle connait depuis de nombreuses années et avec lequel elle partage cruauté et perversité.

• Valens espère aussi que la stérilité de Tullia, consécutive à son accouchement si difficile, ne soit pas définitive. Il aimerait tant que sa bien-aimée porte son enfant. Le docteur Vettius Valens espère en quelque sorte qu’il fera des miracles.

Valens est profondément amoureux de Tullia. Il est conscient de l’hypersexualité de la jeune femme et lui laisse d’autant plus de liberté que cela correspond à ce que veut Messaline, qui exige la présence de Tullia à ses soirées orgiaques. Valens n’est ni exclusif ni jaloux, il connait les sentiments que se portent Tullia et l’eunuque arménien Parsam. Celui-ci par contre n’apprécie guère celui qu’il considère comme un rival, mais il ne dit rien, pour ne pas fâcher Tullia.

Valens est sans conteste un candauliste, qui ne se lasse pas de voir jouir Tullia. Il en avait été le témoin lors de la grande soirée orgiaque organisée par Messaline autour de Tullia et il l’a, à nouveau, vérifié dans un cadre plus intime.

La première occasion s’est produite avec l’ancien gladiateur Sabinus.

***

Comme le célèbre Spartacus, Sabinus est d’origine thrace. Il avait été un proche de Caligula, qui l’avait placé à la tête de sa garde personnelle. Après la chute de Caligula, assassiné par la garde prétorienne, Sabinus ne fut pas liquidé, mais Claude le renvoya dans l’arène.

Les Germains de la garde de Caligula étaient très impopulaires. Claude espère alors que Sabinus, redevenu « thrace » finira par trouver son maître dans l’arène. Sabinus s’est trouvé une nouvelle maîtresse et pas n’importe laquelle : Messaline ! Il faut croire que Sabinus est supérieurement doué, car l’impératrice s’attache à lui. Messaline, comme beaucoup de matrones romaines, était attirée par les virils gladiateurs.

Un jour de combats, ce qui devait fatalement arriver se produit : Sabinus l’invincible perd la partie. D’habitude, quand un champion va au sol pour la première fois, le public, dans un reste d’affection, et dans l’espoir qu’il s’agit d’une faiblesse passagère qui ne se renouvellera plus, donnant lieu à d’autres combats superbes et victorieux, réclame sa grâce et l’obtient.

Du fait de son rôle auprès de Caligula, Sabinus a perdu le soutien du public. L’affection de Caligula s’est retournée contre lui. L’amphithéâtre hurle « Jugula, jugula ! » (Égorge !). Un vœu que Claude est toujours prêt à exécuter. Déjà il lève la main, prêt à la renverser « pollice verso », en baissant le pouce et à donner le signal de la mise à mort.
Insatiable et pas encore fatiguée des performances amoureuses du champion, Messaline ne peut se résoudre à le laisser périr. Perdant toute retenue, l’impératrice s’accroche au bras de son époux et l’implore tant qu’elle lui arrache la grâce de son amant.

Sabinus est donc un des familiers de Messaline. Lors de la fameuse soirée de Tullia, il était intervenu à un moment où la jeune patricienne était épuisée par les nombreux partenaires qu’elle avait eus tout au long de la nuit. Sabinus n’avait pas voulu abuser de la situation et, ayant remarqué l’opulente poitrine de la patricienne, il avait pratiqué avec elle ce que nous appelons aujourd’hui une « branlette espagnole » ou une « cravate de notaire ».

Tullia avait été fascinée par la virilité de l’ancien gladiateur, qui lui avait publiquement promis de la revoir pour « la baiser ». Dès le lendemain, Sabinus était allé voir Messaline pour l’informer qu’il comptait revoir Tullia et engager avec celle-ci une relation suivie.

Messaline avait encouragé Sabinus :

• Baise-la aussi souvent que tu en as envie, mon beau gladiateur. Je ne doute pas qu’elle sera d’accord !

Messaline aime mettre ses proches en concurrence. Et s’agissant de Tullia, elle compte bien que Valens, Sabinus et le sénateur Virgilianus se disputent les faveurs de la jolie patricienne. Il déplait à Messaline que Valens, son médecin personnel, soit tombé amoureux de la jeune femme au point de négliger ses devoirs envers l’empereur et elle-même. Pousser Tullia dans les bras d’autres hommes, ce qui n’est pas difficile, est pour Messaline un moyen de punir Valens.

Ce que Messaline n’a pas prévu est la complicité entre Valens et ses deux « rivaux » et surtout le candaulisme de Valens. Sabinus a appris que Lurco a quitté durablement Rome pour sa villa de Baïes, vexé que Messaline n’ait pas accepté sa demande de liquider Tullia. Sabinus veut posséder Tullia, non à l’occasion des orgies organisées au palais par Messaline, mais en disposant d’elle longtemps et souvent.

Contrairement à Valens, Sabinus n’est pas amoureux de Tullia. Habitué à être sollicité par des matrones en chaleur, il ne veut pas s’attacher et préfère changer de partenaires quand l’occasion se présente. En ce qui concerne Tullia, c’est une autre chose : jamais l’expérimenté Sabinus n’a autant désiré une femme. Depuis cette fameuse nuit, à chaque fois qu’il pense à elle, il bande. Elle l’obsède. Il la lui faut ! Il se présente donc, en fin d’après-midi, à la Domus Spurii.

C’est Volusa qui l’accueille. Volusa est la servante de confiance de Lurco, qui a voulu qu’elle reste à Rome, avec une partie de ses nombreux esclaves, officiellement pour veiller sur la Domus, et surtout pour lui rendre compte des faits et gestes de Tullia. Volusa est exaspérée par la conduite de Tullia, qui bafoue l’honneur du maître, en accueillant ici et jusque dans le lit de Lurco son amant Valens. Autant dire que Volusa déteste Tullia depuis qu’elle est entrée dans cette maison.

Volusa accueille donc très froidement ce nouveau venu, qu’elle dévisage d’un air méfiant. Contrairement à Valens, qui porte toujours de riches vêtements, Sabinus est vêtu très simplement, une tunique, qui s’arrête aux mollets et laisse à nu ses bras musclés. Un détail laisse penser que l’homme n’est pas ou n’est plus un homme du peuple : il porte des « calcei », souliers fermés, portés par les aristocrates. Le « calceus » couvre le pied entier, il se compose d’une semelle de cuir, parfois munie de larges courroies et s'enroule autour de la cheville ou du mollet. Fermés systématiquement, les calcei cloutés sont les chaussures du citoyen romain. Volusa remarque aussi ce visage viril. Contrairement aux Patriciens qui sont glabres, Sabinus porte la barbe, pour cacher une partie de ses cicatrices, souvenir de ses années dans les arènes.

• Que veux-tu ? Mon maitre est absent de Rome.
• Ce n’est pas à lui que je suis venu rendre visite, mais à la Domina.
• Je ne peux pas la déranger !
• Et pourquoi donc ?
• Parce que cette putain est à l’atrium avec son amant, Vettius Valens.
• Comment oses-tu parler ainsi de ta maitresse ? Dis-lui que Sabinus est là et que je suis venu pour elle.
• Je te répète que j’ai ordre de ne pas la déranger.
• Ça suffit maintenant. Je t’ordonne de la prévenir que je suis là et, puisque tu veux tout savoir, dis-lui que je suis venu pour la baiser !
Exaspéré, Sabinus écarte Volusa et se dirige vers l’atrium. Il y trouve Tullia et Valens, vêtus d’une simple tunique, la jeune femme étant dans les bras de son amant.
• Ave, amicis meis. Quam mira copulabis ! (« Quel magnifique couple ! »)
• Sois le bienvenu dans cette maison, Sabinus !
• Merci. D’après ce que m’avait dit la gorgone qui m’a si mal accueilli, je pensais vous trouver en pleine action !
• Nous avons fait l’amour avec Tullia une bonne partie de l’après-midi !
• Mais, avec Valens, nous passons aussi du temps à échanger sur beaucoup d’autres sujets, comme la poésie, mais aussi l’histoire, la physique, la philosophie. Quand tu es arrivé, nous parlions de la philosophie d’Epicure.
• Je disais à Tullia qu’elle est une épicurienne, toujours à la recherche des plaisirs.
• La philosophie, ce n’est pas mon truc. Mais je suis venu te voir, Tullia, pour le plaisir et pour honorer une promesse que nous nous sommes faites l’autre soir, au palais impérial.
• Je n’ai pas oublié cette promesse. Je t’attendais, Sabinus !
• J’y pense constamment, elle m’obsède. Mais tu n’es pas seule, je ne veux pas vous déranger.

Valens met immédiatement à l’aise Sabinus.

• Un bon épicurien ne saurait être égoïste et se doit de partager.

Tullia lève toute ambiguïté :

• Valens ego uxor sum. Eum amo et me beatum esse vult. Me cum amat videre. (« Je suis la femme de Valens. Je l’aime et il veut que je sois heureuse. Il adore me voir jouir »)
• Sabinus, il faudra que je te raconte l’histoire de ce roi de Phrygie, Candaule et de son épouse Nyssia, qu’il a offerte au chef de ses gardes, Gygès.
• Une autre fois, mon cher Valens. J’ai envie, non de théorie, mais de pratique. Et je crois que Tullia aussi !
Tullia, toujours serrée contre Valens, l’embrasse tendrement :
• Merci mon amour pour ce que tu me permets. Mon plaisir sera mon offrande et il sera aussi fort que mes sentiments pour toi.
• Tu verras, elle est encore plus belle quand elle jouit, dit Valens à l’intention de celui qui va disposer de Tullia.

Tullia se lève et se dirige vers le géant, qui l’accueille dans ses bras. Leur baiser, interminable, est à l’image de ce qui va se dérouler. Avec Valens, Tullia fait l’amour. Avec un mâle comme Sabinus, elle baise. Les mains de l’ancien gladiateur parcourent le corps de la patricienne. Il enlève la tunique de la femme, qui est désormais nue et offerte.

Il en rêvait : Tullia est enfin à lui. Impatient, Sabinus est prêt à la prendre maintenant.

• Attends, pas ici. Je veux que ça se passe dans la chambre de Lurco, sur son lit
• Tu es une vicieuse, ma belle !
• Je veux surtout me venger de ce monstre. Il est informé de tout par cette maudite Volusa. On va lui en mettre plein la vue. Et bien entendu, mon homme, Valens, est présent.
• Si ça lui fait plaisir, je n’ai rien contre. Par contre, je te veux pour moi tout seul. Il ne participe pas, il se contente de regarder.
• Être le témoin du plaisir de sa femme est une magnifique preuve d’amour. Je ne te demande qu’une chose : fais-la jouir !

Toute à sa vengeance d’humilier Lurco en présence d’une partie de ses serviteurs, Tullia ne pense pas un instant que son cruel mari, ulcéré d’être la risée de tout Rome, se venge lâchement sur Lucia, qui, en tant que nourrice du petit Caius, a été contrainte de suivre le Dominus et « son » fils à Baïes. A chaque fois qu’il est informé des frasques de Tullia, Lurco fait fouetter la jeune esclave aimée de Tullia.

Nue, Tullia va traverser toute la maison, en tenant par une main Sabinus et, par l’autre, Valens. Les esclaves, qui vaquent à leurs occupations, sont stupéfaits. Ils ne marquent aucune émotion, sachant que Volusa rapporte tout au maître. Si celle-ci est absolument horrifiée, les autres esclaves, se réjouissent discrètement de l’humiliation d’un maître si cruel, qu’ils détestent alors qu’ils aiment la Domina, qui s’est toujours montré douce envers eux.

***

Arrivé à la chambre, Sabinus prend Tullia dans ses bras, la serre contre lui pour qu’elle sente son désir et l’embrasse fougueusement. Il ne se soucie plus de Valens, qui a fait amener, depuis la salle à manger, un « lectus triclinaris », un lit de table, pour être confortablement installé et ne rien perdre du spectacle qui commence. En même temps que Sabinus, il se débarrasse de sa tunique. L’un comme l’autre bandent terriblement. La cause en est Tullia. L’un, Sabinus, va la baiser, l’autre, Valens veut être le témoin du plaisir de celle qu’il aime et qu’il partage volontiers.

Sabinus se comporte comme s’il rejoignait une femme adultère.

• Je ne rêve pas ? Je vais vraiment pouvoir te baiser ? Tu m’as rendu fou l’autre soir.

Tullia lui caresse sa belle queue.

• Et moi, j’ai eu envie de toi dès que j’ai vu l’effet que je te faisais.

Tullia est nue contre l’ancien gladiateur. Il a les mains sur ses fesses et l’embrasse longuement, n’arrêtant que lorsque les amants ont besoin de reprendre leur souffle. Il malaxe tendrement les seins de Tullia et l’embrasse dans le cou, derrière les oreilles. Tullia branle son amant. La verge de Sabinus est encore aussi impressionnante que celle de Mnester, le favori de Messaline.

• Ouah, quel engin ! Merci Valens, je t’aime tant de me permettre cela.
• A genoux, salope ! Bouffe-moi les couilles !

Tullia lui attrape la bite déjà gonflée d’une main, les couilles de l’autre et commence à le sucer délicatement. Après deux minutes d’une superbe fellation, elle se relève. Sabinus la pousse vers le lit, sur lequel elle s’assoit et écarte les jambes.

Sa chatte pourtant déjà sollicitée auparavant par Valens est à nouveau prête pour un nouveau coït. Elle se met à 4 pattes sur le lit et présente son joli cul à son amant.

• Viens ! Baise-moi en levrette !

Sabinus se dirige donc vers Tullia, la bite gonflée d’envie. Celle-ci a envie d’être prise, là, tout de suite, ici, devant son chéri. Comprenant ce que veut Sabinus, Tullia se met devant lui, en levrette, sur le lit, le cul bien tendu, les jambes écartées, la chatte béante. D’un coup et sans ménagement, il claque son cul puis il s’enfonce en elle. Surprise par tant de fougue, Tullia lâche un gémissement, avant de l’encourager à la prendre sauvagement.

Ses mains agrippent les hanches de Tullia et il commença à pilonner sa chatte. Sa grosse bite sort puis s’enfonce à nouveau en elle, ses va-et-vient, tantôt lents, tantôt rapides, font perdre la tête à Tullia. Sabinus interpelle Valens :

• Ça te plait, comme je nique ta femme ?
• Oui, beaucoup ! Vas-y, fais-la jouir !

Tullia gémit de plus en plus, intimant à son amant de continuer encore et encore… Il la défonce encore un peu plus. Il lâche ensuite ses hanches et tandis qu’une main vient pétrir son sein droit, l’autre tire ses cheveux. Sous l’action de cette tension, Tullia se redresse, bouche ouverte, haletante, le cul encore plus cambré. Plus elle gémit, plus Sabinus se déchaine.

Il se rallonge sur elle il enfonce à nouveau son gourdin dans sa chatte d'un seul coup et il la baise avec des grands cours de queue. Les gémissements deviennent des cris, puis des hurlements de plaisir. Plus rien n’existe, sauf ce plaisir inouï que ce mâle lui donne, témoignant d’une endurance exceptionnelle.

A chaque pénétration Sabinus la tire encore plus vers lui, sa main pétrit encore plus son sein, puis pince son téton, doucement, puis plus fort. Tullia se fait baiser sauvagement. Elle aime que ça se passe sous les yeux de Valens.

Les amants changent de position, Tullia met aussitôt ses jambes autour de la taille de son amant, ses mains, sur ses fesses. Il continue à la prendre, cette fois plus en douceur. Sabinus va et vient lentement en Tullia, il sait s’arrêter, planté bien au fond pour accroitre le plaisir. Tullia gémit sans retenue. Puis l’homme reprend le coït, cette fois en la pilonnant avec fougue.

Son amant glisse de nouveau au fond en la tenant par les hanches, puis par le cou en se mettant à la pilonner avec hargne. N’y tenant plus part, Tullia part dans un orgasme fulgurant, criant son plaisir, suppliant son amant de venir en elle, tout en criant son amour pour Valens.

Sabinus, sous la contraction du vagin de Tullia, finit par déverser son jus dans son ventre, alors que la jeune femme n’en finit pas de jouir ! Quant à Valens, il a joui sans même s’être touché, tant la scène était torride.

Jusqu’au petit matin, en présence et sous les encouragements de Valens, Sabinus n’a cessé de besogner Tullia. Quand il est parti, brisée par tant de plaisir, Tullia s’est endormie comme une pierre, dans les bras de Valens, son homme.

***

Valens a ainsi pleinement assumé son candaulisme vis-à-vis de Tullia, qui combine son hypersexualité avec les sentiments qu’elle porte au jeune médecin. Valens va aller encore plus loin dans cette voie.

Ce jour-là, sur le forum de César, Vettius Valens rencontre son ami le sénateur Juncus Virgilianus, un autre très proche de Messaline et qui avait été, lors de la soirée orgiaque organisée pour Tullia, le premier à bénéficier des faveurs de la jeune patricienne (voir « Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (7) : la soirée de Tullia).

• Vettius, mon ami. Je te vois enfin. Tu te fais rare. Il se dit que tu files le parfait amour avec la belle Tullia.
• C’est exact. Nous nous aimons. Tullia est ma femme.
• Elle est toujours l’épouse de mon nouveau collègue Lucius Spurius Lurco. Prends garde, Valens, le fait que vous soyez ouvertement adultères dans la Domus de Lurco fait scandale au Sénat. Mes collègues sont horrifiés que César tolère ça !
• Nous sommes protégés par l’impératrice. C’est Lurco qui a quitté sa Domus, je ne l’ai pas chassé !
• Après tout tu as raison d’en profiter. Comme je l’avais remarqué au cours de la soirée au Palais, ta Tullia est exceptionnelle. Comme disait Virgile : « Audaces fortuna juvat » (« La fortune sourit aux audacieux »)
• C’est ma philosophie en effet. Je n’ai jamais été aussi heureux de ma vie, mon ami
• Les Dieux ont voulu que je te rencontre devant le temple de Vénus Genitrix. Tout un symbole, toi qui partage la couche de la déesse de l’amour.
« Vénus qui enfante » était chez les Romains l’épithète courante de la déesse de la beauté, de l'amour et de la fécondité. Son temple était situé à l'extrémité nord-ouest de la place centrale du forum de César, dans l'axe de symétrie du complexe. Il permettait d'exalter les origines divines prétendues de la gens Iulia et César y avait fait placer une statue en or de la reine Cléopâtre.
• J’ai partagé la couche de Vénus, comme toi également, avant que Messaline ne passe à autre chose. Seule notre impératrice peut être comparée à Aphrodite !
• Alors disons que tu as à ta disposition la déesse de la volupté, Volupia. C’est ainsi que Messaline appelle Tullia. Celle-ci se partage d’ailleurs entre toi et le lit de Messaline.
• Tullia est un trésor que j’aime partager et pas seulement avec l’impératrice.
• Ainsi ce que raconte Sabinus est vrai. Il se vante d’avoir baisé Tullia en ta présence.
• C’est exact et j’ai apprécié. Le plaisir de Tullia est une merveille !
• Je n’en doute pas !

Les yeux de Virgilianus brillent.

• Si tu n’as pas peur d’alimenter le scandale dont tu parlais tout à l’heure, viens avec moi chez Lurco, pour honorer la belle Tullia.
• Je ne me soucie seulement de ce que pense Messaline. Faire plaisir à une jolie femme et à un ami passe avant toute autre considération.

Tullia n’attend pas de visite cette après-midi-là. Elle s’est installée dans les jardins ombragés de la Domus pour s’adonner à sa passion, la lecture. Elle est vêtue de façon très classique, comme une riche matrone et Domina doit l’être, avec une tunique et une stola. Son vêtement de dessous est une tunique, assez longue, resserrée à la taille par une ceinture qui la fait blouser. La stola de Tullia est bordée de pourpre et brodée dans le bas. Cette stola est drapée autour des épaules, ramenée un peu au-dessus de la taille et un pan est porté sur l'avant-bras gauche. Enfin, très sagement, elle porte, sur la tunique, un strophium, cette écharpe roulée en un cordon long et partout de même épaisseur, serrée sous la poitrine, pour soutenir son opulente poitrine.

Tullia voit d’abord Valens. Elle est surprise, car elle pensait qu’il serait au palais aujourd’hui. Il la prend dans les bras et l’embrasse longuement, sans se préoccuper des serviteurs qui sont désormais habitués que le jeune et brillant médecin se comporte comme s’il était chez lui.

• Je pensais que tu devais voir l’empereur aujourd’hui.
• Oui je devais, mais je lui ai envoyé un message pour lui dire que j’étais occupé par une affaire urgente
• Quelle est cette affaire urgente ?
• Toi !
• C’est une magnifique surprise, mon amour, car dès que tu me quittes, tu me manques. Mais prends garde à ne pas mécontenter Claude !
• Ne t’inquiètes pas, je suis protégé par Messaline.
• Tu aurais dû me prévenir, je me serais vêtue autrement, pour que nous puissions faire l’amour.
• J’aime te voir habillée en Domina, ma chérie. Et pour un Romain, déshabiller une matrone est un grand plaisir. En plus, il y a ici des personnes qui vont s’en charger. J’ai des surprises pour toi, suite à des rencontres sur le Forum de César.

Valens fait alors entrer le sénateur Juncus Virgilianus. Il n’est pas seul. En se rendant à la Domus Spurri, Valens et Virgilianus ont croisé le chemin de Publius Suillius Rufus, réputé pour sa bisexualité, mais qui avait particulièrement aimé, au cours de l’orgie au Palais, sodomiser Tullia, laquelle avait pris plaisir à ce coït anal (voir « Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (8) : nuit torride au Palatin)

Tullia comprend alors le jeu de Valens, qui ne cesse d’encourager son hypersexualité. Valens prend Tullia dans ses bras et, avant de la partager avec ses amis, lui déclame « la femme partagée », un poème de Nicarque, un poète grec contemporain, connu pour ses épigrammes et ses poèmes érotiques:

« Avec elle nous avons fait un petit tour,
Hermogène, Cléobule et moi-même,
Pour lui faire l'amour. Nous l'avons partagée :
Dans sa bouche, moi, je devais surnager.
Hermogène explorait ses domaines arrières,
Sinistres, spacieux et remplis de mystères,
Un rivage des morts
Où tout est secoué par des souffles sonores.
Cléobule, vrai Zeus, lui, vint dans son palais,
Brandissant dans sa main son foudre, ce brasier.
Cette contrée était à nos trois corps commune :
Nous avions déposé un drap sur cette dune... »

Valens ajoute :
• Rufus sera Hermogène, Virgilianus sera Cléobule et moi je serai Nicarque

En guise de réponse, Tullia, à son tour, déclame « Une pour trois », un poème de Caius Cornelius Gallus (né en 69 av. J.-C., mort en 26 av. J.-C.). Gallus fut le premier préfet d'Égypte après la mort de Cléopâtre, et un poète, ami de Virgile et connu pour avoir introduit le genre de l'élégie à Rome.

« Moi, Lydé, sur mon lit je satisfais trois hommes.
J'offre au premier ma bouche, au deuxième mon sexe ;
Et au dernier mon cul ! À l'ami de Sodome,
Au marrant, au gros dur, je leur fais ces prouesses.
N'aie pas peur ! Viens dans ma chambre sans retenue ;
Tes deux amis seront aussi les bienvenus. »

• Et moi, je serai Lydé !

Les trois hommes s’approchent de Tullia et l’entourent, échangeant avec elle à tour de rôle des baisers langoureux, alors que six mains explorent le corps en feu de la jeune femme.

Tullia a envie comme jamais. Elle trouve la force de proposer aux trois hommes de rejoindre la grande chambre.Mais Valens a une autre idée :

• Nous allons t’aimer ici. Comme Vénus (Messaline) aime à le faire dans les jardins de Lucullus (que Messaline avait récupéré après avoir fait liquider Valérius Asiaticus) Volupia le fera ici, dans les jardins des Spurii !

Tullia n’ose pas lui dire que les esclaves et serviteurs de Lurco pourront ainsi être témoins visuels des débauches de la Domina, même s’ils connaissent ses frasques depuis que le maitre est parti pour Baïes, tout en étant informé de tout par sa fidèle Volusa. Sa libido exacerbée fait oublier à Tullia toute décence et toute mesure, tant elle est gouvernée par ses sens et se croit protégée par Messaline.

Les trois hommes font tomber un à un les vêtements de la Domina, en commençant par la stola. Six mains caressent ce magnifique corps. Les hommes prennent tout le temps, une fois qu’ils ont enlevé la tunique et le strophium, les seins de Tullia appelant baisers et caresses, avec une attention toute particulière pour ses tétons si sensibles.

Il n’est nul besoin de décrire ensuite ce qui se passa dans ces jardins, où Tullia fut Lydé, comblée par Hermogène, Cléobule et Nicarque.

***

Si Valens, en bon candauliste, veille à choisir ceux qui se rendent à la Domus Spurii pour honorer Tullia, la conduite de celle-ci fait d’autant plus l’objet de scandales qu’elle est étroitement associée à toutes ses frasques par l‘impératrice Messaline.

À suivre 13 : « Claude et Polybe »
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Histoire de OlgaT

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Commentaires du récit : Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale (12) : « les plaisirs de Tullia »

Le 21/10/2022 - 06:06 par OlgaT
@ Micky, merci. Un auteur met en effet toujours un peu de soit dans ses personnages
Le 21/10/2022 - 05:57 par Micky
J'avoue être assez fascinée par cette Tullia. Et le fait qu'Olga s'intéresse particulièrement à elle n'est sûrement pas le fruit du hasard...
Le 11/10/2022 - 06:37 par OlgaT
@ Didier, dans mes recherches pour écrire cette "saga" historique et érotique, ces poèmes érotiques, ces "élégie" grecques et romaines ont été une vraie découverte. Elles sont en général suggestives, mais quelquefois très "crues" et suggestives. J'aime beaucoup!
Le 11/10/2022 - 06:30 par DBHB24
Olga, merci une fois de plus pour tes anecdotes historiques et culturelles sur cette période de l'empire romain. Elles sont appropriées et très instructives, comme à l'accoutumé. Un grand bravo surtout pour ta figure de style en cette fin de chapitre. En effet, grâce à tes deux poèmes suggestifs, la pluralité n'y est pas décrite, mais plutôt évoquée et donc laissée à la libre à imagination de chacun... Ce sont toutes ces choses qui permettent de donner à ton récit cette singularité si particulière et qui lui donnent tout son charme. Je te réitère donc là encore toutes mes félicitations pour ce travail. Didier
Le 10/10/2022 - 16:42 par OlgaT
Merci Didier. Dans ce chapitre, Tullia assume én effet sans freins son hypersexualité, son amour pour le beau Vettius Valens, alors que le médecin personnel du couple impérial donne, lui, libre cours à son candaulisme, én poussant sa maitresse dans les bras d'autres amants. C'est un moment de plaisir et de bonheur pour la jeune patricienne, mais elle va rapidement se rendre compte qu'elle est toujours au cœur des projets sulfureux de Messaline, pour qui Tullia est un instrument, et pa seulement de son plaisir, mais aussi de ses intrigues politiques
Le 10/10/2022 - 16:23 par DBHB24
Olga nous livre là un excellent chapitre où Luxure et Romantisme sont étroitement liés. Grace à la relation saphique torride, ente Volupia et Vénus, Tullia, désormais dans les bonnes grâces de Messaline, a réussi pour un temps à écarter tous dangers immédiats à l'encontre de Marcus et d'elle-même. Notre belle héroïne, de par ce répit, en profite donc pour assouvir, telle une "louve insatiable", ses envies de luxure. Valens, prouve son amour infini envers Tullia, en permettant à sa dulcinée de recevoir librement ses nouveaux amants. Candauliste, il est, selon les amants, tout aussi bien Spectateur qu'Acteur dans les ébats. Valens, offre ainsi à Tullia le plaisir de renouer aux sensations et jouissances qu'elle avait expérimentées et aimées lors de sa soirée au Palatin... Se faisant fi de tout scandale, Tullia et Valens renforcent ainsi leur amour. Ce bonheur commun va t'il perdurer? Que nous réserve Olga dans le futur chapitre "Claude et Polybe"? Didier

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