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COLLECTION FOLLE DU CUL. J’ai toujours vécu à mille à l’heure (2/2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/03/2023

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« Qui peut me dire ce que je fais dans ce lit et cette chambre inconnue. »

Ce sont les premiers mots que je prononce dans cette chambre alors que j’ai des tuyaux qui m’empêchent tous mouvements.
À oui, j’ai dû m’endormir ou repartir aux pays des songes lorsque j’entends une voix familière.

• Tu verras ma chérie, je vais prendre soin de toi comme je te l’ai promis le jour de notre mariage, « dans les bons et les mauvais jours. »

Que veut me dire Serge par ces mots incompréhensif pour moi !
Et ou est le grand noir que j’aurais mis dans mon lit dès l’arrivée du marathon de Boston où je suis venue pour faire ses 42 kilomètres ?
À oui, les marathons, après Paris et New York, c’est le troisième où je m’alignais avec des espoirs d’être bien placée à force d’entrainement.
Mais oui, mes poussées d’adrénaline lors de ces épreuves comme celle de Paris ou j’ai goûté aux plaisirs féminins pour la première fois de ma vie sont le but que je poursuis.
« Dans les bons et les mauvais jours » qu’est-ce que c’est que ces conneries ?
Ces phrases ce sont des mots que nos parents aiment entendre pour que nous soyons comme eux, une coincée du cul.
Si je les avais pris au mot de la lettre j’aurais loupé ce bon moment passé après le marathon de Paris où j’ai suivi Sandrine chez elle ayant perdu ce gentil toutou qu’est Serge mon mari.
Mon bon toutou, il me suffit de tourner la tête, c’est un peu ce que je peux faire, pour le voir à mes côtés alors qu’il devrait être à Paris.
Sandrine, c’est sur son lit que je lui ai bouffé la chatte buvant sa cyprine pendant qu’elle en faisait de même avec moi.
Sandrine avec qui j’ai couru pour nos entrainements allant même jusqu’à me servir de son appartement pour cocufier deux trois fois celui à qui j’avais juré fidélités.
Lorsque je dis que ce sont des mots dits par obligation et convenance familiale.
Paris et New York, après avoir récupéré de cette distance.
New York ou une nouvelle fois j’étais seule, Serge ayant un congrès international à La Haye en Hollande.
Marathon où j’ai fini vingt-deuxième femme, hors des championnes invitées et où j’ai battu John un Texan avec tous ce qu’il fallait pour intéresser une pauvre femme abandonnée seule au bout du monde.
Un temps, j’ai tenu tête à une Éthiopienne un peu plus faible que ses congénères.
Hélas, la langue était une barrière et lorsqu’elle a accéléré j’étais à deux doigts de lui donner rancard.
C’est au ravitaillement suivant que John m’a sauvé lorsque j’ai loupé le gobelet le renversant au sol et dans l’impossibilité d’en prendre un autre.
Il l’a vu et me tapant sur l’épaule après qu’il m’eut rattrapé, il en avait pris un qu’il me tendait.
John est texan c’est après l’arrivée que je l’ai appris dans son camping-car à l’américaine qui lui servait de logement pour se déplacer dans le pays et où nous avons fait l’amour.
Il avait tout pour plaire, même le chapeau et les bottes, c’était un sportif et en plus des marathons, il faisait des rodéos.
J’étais nue sur son lit lorsque j’ai cru être frappé de double vue lorsque son jumeau est entré à son tour.
Steve, comme Mc Queen l’acteur bien connu.
J’avais assez d’anglais et de pousser d’adrénaline pour satisfaire ces deux Texans bien foutus de leur personne.
L’un était conforme à l’autre à un point de détail, Steve avait un grain de beauté sur sa verge, j’ai pu le voir lorsqu’à tour de rôle je les ai sucés.
En levrette, empalée sur l’un ou l’autre, dans l’impossibilité de voir le grain de beauté et donc celui qui m’enfilait jusqu’à une double pénétration lorsque je leur ai dit « fuck me » et « you can fuck her ».
Baisez-moi et enculez-moi.
J’aurais dû rentrer à Paris, mais un coup de fil à Serge m’autorisant à visiter le pays jusqu’au Texas où j’ai failli devenir Américaine m’a permis de m’éclater.
Ils avaient un ranch où ils s’entrainaient.
J’ai monté mon premier Mustang alors que je croyais que c’était simplement une marque de voiture.
La sangle qu’ils leur passaient sous le bas-ventre les rendait dingues, c’est pour cela que dès qu’on les lâchait, il faisait des sauts désordonnés faisant penser que c’était leur cavalier qu’ils voulaient désarçonner.
La première fois que j’ai pris place sur la selle de ces furies, je me suis accrochée, mais j’ai simplement tenu un temps si court que dès que la porte a été ouverte, j’ai volé faisant un plat dans la poussière.
Les jumeaux élevaient des vaches avec d’immenses cornes, ils s’en servaient comme les Mustangs.
J’ai voulu essayer, mais je me suis heurté à un refus catégorique.
C’était déjà trop dangereux pour eux, ils voulaient prendre soin de leur petite Française.
Il préferaient me baiser, je leur rendais bien, à tout moment j’étais disponible.
Pendant les trois mois où je suis restée, j’ai pris mon pied chaque fois que je dépassais mes limites, c’était facile, l’un ou l’autre eux aussi était toujours disponible pour me saillir.
Lorsqu’il y avait des taureaux, il y avait des clowns.
L’un d’eux s’appelait Toto, du moins c’est le nom sous lequel il se produisait.
Les jumeaux étaient en piste et c’est dans un des enclos à l’arrière du spectacle qu’il m’a baisé sauvagement alors que j’étais collée à la palissade.
J’ai ouvert sa combinaison et j’ai vu les blessures que ces bêtes lui avaient infligés tout au long de sa vie de clown de rodéo.
J’en avais mal pour lui, mais la pipe que je lui ai fait avant qu’il me prenne la bien récompenser d’une telle abnégation.
Si un appel de Serge me disant que ma mère était gravement malade, je serais certainement resté quelques semaines de plus, trouvant le plaisir sur ces bêtes sauvages et dans le pieu de mes deux texans.
Lorsque je suis rentrée, je m’attendais à quelques questions voire des remontrances, mais c’est un mari tel que je l’avais laissé que j’aie retrouvé.
J’ai repris mes habitudes d’entraînement jusqu’à ce mois d’avril ou j’ai repris l’avion.
J’étais à la recherche de nouvelles sensations et rencontre alors que j’aurais pu joindre les jumeaux, ce grand noir près de moi sur la fin de parcours était une autre source de promesse de plaisir intense.
Je l’ai dit, la bosse de son pantalon de course était promesse de grands moments si j’arrivais à me couler dans son lit après l’arrivée.

• Ma chérie, je te regardais dormir, c’est normal après ce que tu as subi !

Serge, c’est vrai, j’ai oublié un instant qu’il est près de moi alors que je suis couchée dans ce lit.

• Soit sans crainte, tu es sauvée, la bombe que ces connards on faut sauter était remplie de boulons et de clous.
L’un d’eux t’a atteint à la jambe.
Les médecins t’ont amputé de la jambe gauche, les dégâts étant trop importants pour la sauver, l’os était fracassé.
Ils m’ont dit que tu pourrais avoir une prothèse que je te ferais poser dès que nous serons ensemble.
Je sais que tu aimais ta vie trépidante, soit sans crainte, je vais prendre soin de toi.
J’aimerais que nous ayons un bébé, les médecins m’ont dit qu’à part ta jambe tout le reste de ton corps était opérationnel.

Pauvre con, opérationnel, comme il y va et mes plaisirs si intenses après que j’ai fait monter l’adrénaline du plus profond de moi.
Une fois dans la possibilité de me promener dans le fauteuil roulant mis à ma disposition, j’ai baisé avec un infirmier sans le goût que je ressentais avant mon accident.
Je pensais ma vie foutue.
J’étais bonne pour changer des couches et satisfaire celui à qui j’avais promis fidélité.
De retour en France rapatrié par la compagnie d’assurances que mon mari avait prise pour mon voyage, j’ai retrouvé les hôpitaux et les longues heures de rééducation.
J’avais peur d’avoir perdu plus qu’une jambe, mon corps, mais apprendre à remarcher entre deux barres parallèles avais pour tendance à me faire perdre le moral.
J’étais à deux doigts d’arrêter ma contraception lorsqu’une idée m’est venue.
Tous avait commencé dans les airs après une chute libre.
Avant mon accident américain, nous étions allés à Annecy et j’avais vu des gens faire du parapente.
Le plus dur s’était de démarrer, il fallait courir, j’ai demandé à Serge de me faire poser une prothèse comme j’en avais vu à la télé sur des personnes ayant perdu le bas d’une jambe, le clou ayant frappé sous le genou.
Un temps d’adaptation, j’étais experte en chute libre et parachutisme avec ce pied en forme de lame, j’ai pu plonger une première fois dans le vide.
Autour du point de départ, les gens dans un restaurant nous regardaient tous en mangeant une glace.
Lorsqu’ils ont vu que j’installais moi aussi un parapente, j’ai été très vite l’attraction.
Je commençais à me sentir revivre.
J’ai plongé, j’ai volé admirant le paysage et retrouvant de grandes sensations au niveau de ma chatte.
Un, deux trois saut dès le premier jour.
Dans la navette qui nous remontait j’ai très vite remarqué un grand blond, musclé et bronzé comme je les aimais.
Une nouvelle fois Serge voulait m’accompagner prêt à prendre un autre repos risquant pour sa carrière.
Je l’en ai dissuadé, je voulais faire mon expérience seule.
Depuis mon retour, j’aurais aimé qu’il prenne l’audace de me baiser malgré mon moignon, mais j’avais l’impression qu’il avait peur de plus me casser et comme de mon côté j’étais devenue insensible, je préférais être seule.
Avec Alex, c’est dès le premier soir où j’ai enlevé ma prothèse, lui savait après nos sauts que j’en portais une, comme tous les gens du restaurant, lui il a semblé s’en foutre royalement.
Il m’a couché sur le lit de l’hôtel que Serge m’avait fait réserver par sa secrétaire.
Sa secrétaire, rien à craindre avec elle, vieille fille à quarante ans, si mon mari avait voulu oublier son serment je lui aurais souhaité bien du plaisir.
Du plaisir, c’est Alex qui m’en a apporté avec sa langue puis après sa verge.
La seule difficulté ça a été lorsqu’il a voulu me prendre en levrette, appuyer sur mon moignon était encore un peu douloureux.
Alex, c’était le garçon le mieux membré qu’à ce jour j’ai rencontré dans ma vie à ce jour.
J’ai retrouvé Sandrine dès mon retour et avant Annecy, c’est chez elle que j’ai retrouvé la plénitude de mon corps et de nos enfilages effrénés.
Sa chatte était toujours aussi douce à sucer et les mâles que nous remontions chez elles nous satisfaisaient pleinement.
J’étais redevenue la folle de mon cul que j’étais avant ces fêlés ayant fait un attentat.
Courir avec ma lame était devenue de plus en plus facile à tel point que je suis devenue championne de France du 10 000 handicapés.
Je vais courir aux jeux paralympique de Paris 2024.
Malgré que je sois parisienne, je compte bien faire des ravages dans le village olympique avant de tenter une dernière épreuve pour me sentir bien dans ma tête définitivement.
Le marathon de Boston dès les jeux terminés.
J’ai dans ma tête deux buts, le premier, terminer cette putain de course et deuxièmement voire si je peux retrouver ce grand noir à grosse verge qui m’a échappé lots de l’attendant.
Après je le promets, je consacrerais le reste de ma vie à mes enfants et mon mari même si sexuellement je suis sûr de me sentir frustrer.





























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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION FOLLE DU CUL. J’ai toujours vécu à mille à l’heure (2/2)

Le 13/03/2023 - 17:47 par OlgaT
Une histoire très forte!

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