COLLECTION JEUNE – VIEUX. Cinq étalons pour ma femme (1/6)

Trente-deux ans pour Flo, ça c’est elle, bientôt soixante pour moi, Alain, ça c’est moi.
Il y a seize ans comme nous nous sommes connus, j’étais fringant et je savais que je la satisfaisais largement.
C’est normal, un homme de quarante-huit ans et une jeune femme tout juste sortie de l’adolescence j’étais tout feu tout flamme lorsque je la baisais.
Un seul point noir, elle avait donc seize ans et était la fille de mon associé dans le cabinet d’avocats que nous avions créé.
Avant j’avais été marié sept ans, mais cette durée fatidique a été dans la logique celle de notre séparation.
On pourrait croire que Franck mon associé est été fâché que je sorte avec sa fille.
Mais, non Lisa à cet âge lui rendait la vie impossible, l’âge bête et de voir la sagesse qu’elle affichait après que je l’ai mise dans mon lit, lui a apporté toute la sérénité nécessaire.
Surtout que dès nos premiers rapports, il a vu l’amour que je lui portais.
J’ai attendu ses dix-huit ans pour l’épouser même si Franck était prêt à signer des papiers pour son émancipation et notre union.
J’avais calculé que c’était un samedi qu’elle devenait majeure et que notre cabinet serait fermé ce jour-là.
Comme je l’ai dit, nos rapports étaient fusionnels allant même jusqu’à baiser dans les toilettes d’un avion, à dix mille mètres, lorsque les passagers dormaient lors de notre voyage de noces à la Réunion.
Tout avait commencé par des caresses réciproques sous la couverture qu’une hôtesse nous avait mise gentiment à notre disposition.
Mais à un moment la chatte de Flo dégoulinait tellement que nous avons été contraints de trouver ou nous isoler.
Seules les toilettes, même dans cet espace restreint, nous offraient la solution nécessaire.
Ce qui fut drôle, c’est qu’étant défoncé par mon sexe, après notre retour à nos sièges, Flo s’est endormie comme un bébé.
Elle a pris son pouce comme elle le fait chaque nuit, même à ce jour.
Je restais éveillé l’admirant et c’est à ce moment que j’ai vu le manège de quatre couples qui voyant que nous avions osé, ont voulu connaitre l’amour à dix mille.
Au passage, l’un des hommes m’a fait un clin d’œil signe que c’était bien nous qui avions désinhibé ces jeunes couples.
Parmi eux, le troisième devait avoir la quarantaine tous les deux comme moi, mais madame a eu le droit, elle aussi à son moment de bonheur.

Le temps a passé, notre amour toujours intact, jusqu’au jour où j’ai surpris Flo téléphonant avec Sophie sa meilleure amie.
Sans vraiment se plaindre, elle trouvait qu’en vieillissant je la délaissais un peu et qu’elle avait de moins en moins de jouissance avec moi.
J’ai pris peur qu’elle me quitte, sans m’avoir donné l’enfant que nous nous étions promis après ses trente ans.
J’ai décidé de lui apporter ce que l’âge risquait d’entraîner l’éclatement de notre couple.
J’ai tout organisé pour ce soir, jour de ses trente-deux ans, les autres années nous allions au restaurant.
J’avais envisagé de l’emmener dans un club échangiste et la regarder se faire baiser par ceux qu’elle aurait choisis alors que je resterais stoïque.
J’étais près une fois par mois à devenir candaulisme pour garder son amour, mais la peur de rencontrer des clients du cabinet et que Franck apprenne que j’offrais sa fille à qui voulait la sauter m’a fait changer mon fusil d’épaule.
C’est un jour sur Internet où je surfais que j’ai trouvé la solution.
Je venais de voir des sites d’escortes boys, mais payer pour voir ma femme se donner à d’autres m’indisposait.
C’est sur un site d’étalon que je postais une demande pour offrir à Flo sa nuit de plaisir le jour de son anniversaire.

Le samedi est arrivé, comme chaque semaine Flo s’est rendue chez sa grand-mère, maman de Franck, qui est presque aveugle.
Elle lui lit le dernier best-seller à la mode et à 17 heures, elles boivent le thé que la femme de service leur a préparé.
Elle la quitte vers 18 heures et elle est de retour vers 19 heures.
Elle revient, un bouquet de fleurs dans les bras, j’ai tout préparé, elle est surprise de voir sa maison surtout sa salle chamboulée.

• Chérie, pourquoi tout ceci, je comprends, cette année tu as innovée, tu as invité nos amis, quelle cachottière ma chère Sophie.
Je l’ai eu ce matin, elle m’a souhaité mon anniversaire sans me dire que tu les avais invités ce soir.
• Mon cœur va dans notre chambre, tu trouveras une tenue que j’ai fait livrer par ta modiste, tu dois rester dans notre chambre jusqu’à 20 heures où tu nous rejoindras.
• Je peux tout de même t’embrasser, tous ces mystères me rendent toute chose.
Tu as fait livrer le repas par Félicien, notre traiteur, je vois sa plaque au centre des victuailles.

C’est bon, ma chère et tendre m’embrasse comme elle a pris l’habitude de le faire.
Je sens son ventre se coller au mien, je commence à bander dans le smoking que j’ai déjà revêtu.
Il est vrai que l’âge m’entraine des problèmes à long terme, mais j’arrive tout de même à tendre encore le bras lorsque Flo me frotte son joli vagin sur la verge.
Ce que je souhaite c’est que, ce soir elle retrouve les emportements de nos premiers jours et ainsi rester avec moi.
Je suis impatient de voir sa réaction, surtout qu’en attendant, je l’entends chanter dans la salle de bains.
Je suis à deux doigts de la rejoindre, pour passer le temps, je vais chercher un vase pour mettre le bouquet qu’elle a rapporté de chez sa grand-mère qu’elle a dû lui offrir, acheté par la femme de service.
J’ai, moi aussi fait venir un bouquet qui trône au milieu des victuailles, 32 roses blanches c’est sa fleur préférée avec les pivoines blanches elles aussi.
À cette époque cette fleur est si fragile, qu’il vaut mieux les voir dans les jardins que cueilli et s’effeuillant comme s’effeuille ma vie.
Vingt heures, la sonnette retentie, je peux encore tout arrêter.
Non, pourquoi reculer, dans la vie j’ai pris des risques avec Franck pour que nous possédions ce que nous possédons et lorsque j’ouvre la porte je sais les risques que je prends.

• C’est bien, vous arrivez les cinq en même temps, entrez, ma femme finit de se préparer.

À la queue leu-leu, les cinq étalons que j’ai choisis, sur environ sept cents demandes venues de toute la France entre pour s’occuper de ma femme.
J’en ai sélectionné cinq assez prêt, mais pas trop afin que Flo soit dissuadée d’aller me tromper avec l’un d’eux hors de cette soirée.
Le plus drôle alors que j’avais mis une photo floutée pour attirer les mâles, j’ai eu presque deux cents salopes qui étaient prêtes à se gouiner avec elle.
J’ai failli en choisir une, mais au dernier moment j’ai eu peur qu’elle prenne goût à brouter le gazon et que ce soit cette fille qui me fasse cocu à long terme.
Je leur offre une coupe de champagne lorsque Flo fait son apparition, magnifique dans sa robe courte montrant ses bas tenues par des jarretières.
Si tout fonctionne, les mâles qu’elle aura choisis, verront qu’elle porte simplement cette robe blanche avec ses bas tendus par ses jarretières, sa chatte et ses seins étant à leur disposition.
Parlons de sa chatte, la femme de Franck avait des origines portugaises et c’est chaque semaine qu’elle va se faire coiffer et se faire le tablier dans cet institut de beauté qui me coute un max.
Mais quand on aime, on redouble d’efforts pour gagner le pognon nécessaire pour entretenir une si jeune et belle pouliche que bien des confrères m’envient.

• Bonsoir, messieurs, Alain, qui sont-ils, je pensais trouver nos amis.

Une coupe de champagne en main, je rejoins mon fauteuil, endroit ou je compte bien profiter du spectacle que va m’offrir Flo, si elle accepte ce que je vais lui proposer.

• Ma chérie, je t’ai entendu te plaindre au téléphone auprès de Sophie, ton amie que je manquais d’empressement auprès de toi.
Sache que l’âge me rattrape et que j’ai bien du mal à satisfaire ton besoin de sexe comme je le faisais depuis nos premiers instants.
J’ai eu l’idée de me faire remplacer une fois par mois par des étalons, qui vont te faire l’amour afin que tu me restes fidèle et que ton corps est encore énormément de plaisir.
• Mais mon chéri, je disais cela comme ça.
Je t’aime et je sais bien que tu vieillis, pourquoi cinq ?
Crois-tu que j’ai envie de tant d’hommes d’un coup ?
• Ils sont cinq, mais je vais te demander d’en choisir au moins deux afin de limiter les risques que tu t’amouraches de l’un d’eux !
Les autres quitteront notre appartement, ils sont au courant et ont accepté que tu les éconduises.
Messieurs, tombez vos pantalons afin que Flo choisisse deux, voire trois d’entre vous et présentez-vous !
Chérie, si tu veux en garder trois ou quatre, tu le peux.
Mais je te mets en garde de ce qu’ils vont te faire subir lorsque tu vois que je les ai choisis fortement membrés.
Ils te feront tous ce que tu voudras d’eux jusqu’à minuit heure où impérativement ils partiront sans espoir de revenir te voir.
Cinq, ce serait du suicide...