COLLECTION JEUNE – VIEUX. Cinq étalons pour ma femme (6/6)

C’est fait, j’ai dépassé la soixantaine, ma femme Flo se trouve être mon gâteau d’anniversaire.
Nous avons bien progressé dans notre couple afin de pallier mes manques physiques dus à l’âge.
Offerte à des étalons et gouiné par Sonia, ce soir c’est elle qui mène le bal pour le Nouvel An, jour commun avec mon anniversaire.
Candaulisme, échangisme, grosses bites, nous qui étions un couple traditionnel malgré notre différence d’âge, j’ai peur que Flo donne dans le SM.
Pendant que je lui bouffais la chatte attrapant la fraise au centre de son sexe, deux bougies ont été collées auprès de son nombril.
SM, car pour qu’elles tiennent, ils ont dû lui appliquer de la cire chaude, j’ai mal pour elle.
Je m’empresse de les souffler, la cire fondante commençant à couler.
Je sens que l’on détache mon étui et qu’une main serviable me fait entrer dans le vagin de ma dulcinée.
Faire l’amour sur la table de la salle à manger, chose impensable dans nos ébats d’avant ma décision de l’offrir à des mâles bien montés.
Je voulais des images me servant dans les jours suivants pour booster ma libido !
Voir Flo offerte à l’appétit gourmand de nos invités libertins en même temps que je la laboure comme au plus beau jour, c’est divin.
La sentir jouir au bout de ma queue fait que je me démène afin de lui apporter l’orgasme.
C’est fait, je me déverse en elle, satisfait d’avoir une nouvelle fois attendu sa jouissance avant de la remplir de quelques gouttes de sperme.
Je me redresse, au moment où je vais descendre de la table, un peu fatigué tout de même, je m’assieds ma queue commençant rapidement à débander.
Sophie se trouve être la plus prête, elle vient s’agenouiller devant moi et ce que je pensais impensable, avoir des rapports avec moi se produit.
Depuis le premier jour où j’ai eu envie de Flo, elle est dans les parages, ma queue couverte de cyprine et de crème mélangée semble l’attirer comme un aimant, alors je me laisse faire.
Après Sonia, c’est la troisième femme qui me suce la verge, du moins depuis notre première fois avec Flo et notre mariage.
Je voulais booster ma libido, je me remets à bander et c’est avec avidité que je décharge une nouvelle fois dans cette bouche accueillante.
Flo elle aussi est redescendue de la table, Olivier et Sylvain ont dû l’aider.
Je l’entends repartir dans ses chants de jouissance lorsque les deux garçons la prennent en double devant la cheminée allumée.
Quelle évolution chez ma femme, elle est déchaînée, pour mieux voir, je viens m’assoir dans mon fauteuil à quelques mètres d’eux.
De là où je peux mieux voir, la double péné se trouvant être en double vaginal !
Est-ce le fait d’avoir été prise par des étalons de forte dimension, Flo a-t-elle besoin de sexe de fort diamètre pour décupler son plaisir.
Adrien me demandera-t-on, où est-il, que fait-il ?
Il a enlevé son tablier, il danse avec Sylvaine et Véronique les embrassant à tour de rôle.
Il bande comme je le faisais il y a quelques années bien que ce soir je me sois particulièrement dépassé.
Pendant que sa femme semble entamer une relation à trois, Dominique est près du seau à champagne, il remplit deux coupes et vient jusqu’à moi pour m’en offrir une.
Il s’assied à mes pieds.

• Comment trouves-tu une partie de notre groupe d’amis, l’été nous sommes plus nombreux, car certains comme nous, nous avons des villas souvent avec piscine, qui facilite nos jeux libertins ?
• Je suis surpris, surtout que Sophie je la connais depuis les premiers jours où j’ai connu Flo et bien loin de moi l’idée qu’un jour elle me sucerait la queue.
Et vous, depuis quand êtes-vous des échangistes ?

C’est à ce moment qu’un fait nouveau se produit, au moment où Dominique va me répondre, il pose une de ses mains sur ma cuisse.

• Étant très jeune, j’ai épousé Véronique par amour et je l’aime encore.
Rapidement j’ai senti que j’étais attiré par les garçons et un jour j’ai eu une expérience qui a failli tout faire capoter.
Nous nous sommes remis en question après une séparation, je suis devenue bi-sexuel et je la confis à d’autres qui lui apportent ce que j’ai du mal à lui donner étant une femme.

Est-ce la chaleur de la grosse bûche qui a été mise dans la cheminée, ou la main qui insidieusement monte jusqu’à ma verge, je me remets à bander.
Lorsque Dominique penche sa tête et me prend en bouche, je devrais le repousser et lui dire que les PD très peu pour moi, mais je me laisse faire.
Au lieu de le repousser, je bois une gorgée de champagne ayant subitement la gorge sèche.
Suis-je moi aussi PD du moins bi, on pourrait le croire lorsqu’il se met à me masturber ?
Je lève la tête, certainement un reflex pour éviter de voir cette main et cette bouche me faire une fellation, lorsque je vois Flo toujours aux prises avec les deux garçons me regarder et me sourire.
Avait-elle prémédité cette circonstance nouvelle pour moi lorsque je gicle les dernières gouttes qui doivent être au fond de moi dans la bouche de ce garçon ?
Qui a récupéré mon verre, je l’ignore, car je dors repu de sexe en tout genre, c’est le cas de le dire.
Quelle heure était-il lorsque je me suis endormi, trois ou quatre heures, je me réveille, j’ai la gueule de bois.
La chaîne débite ses morceaux qui sont mis en boucle.
Je vois qu’il est quatorze heures.
Flo danse avec Sophie, nues toutes les deux, accompagnées d’Adrien l’étant tout autant, formant un nouveau trio.

• Mon bébé se réveille, il a fait des folies de son corps et a fait un gros dodo.
Peux-tu rendre un service à Sophie, nos amis sont partis et c’est Olivier qui les a raccompagnés ?
Peux-tu prendre la voiture et reconduire Sophie chez elle ?

Ce qui s’est passé surtout avant que je m’endorme me revient en mémoire, je m’empresse de lui répondre.

• Bien sûr, ça me fera reprendre l’air.

Nous nous apprêtons et c’est par l’ascenseur que nous rejoignons le parking dans le sous-sol de notre co-propriété.
Je me mets au volant...
Je me mets au volant...
Je me mets au volant...

C’est à l’hôpital que j’ouvre les yeux, du moins je le comprends lorsque je reviens sur terre.

• Mon chéri pardon, je t’ai fait dépasser tes limites pour un homme de ton âge.
Sophie m’a appelé du parking, tu étais crispé à ton volant l’air hébété.
Nous sommes arrivés avec Adrien et nous avons appelé les pompiers, tu es à l’hôpital.
• Madame, évitez de fatiguer votre mari, il aurait pu y rester, je dois évaluer les séquelles qu’il a subi afin d’éviter les récidives après l’AVC cérébrale qui l’a frappé.

C’est là que je prends conscience que je suis dans un hôpital, avec des tuyaux dans ma bouche.
Quand ai-je eu une verge d'homme dans ma bouche, peu importe, j'ai envie de bouger, mais j'en suis bien incapable.
Lorsque le médecin m’autorise à revenir chez moi, je suis reconduit en ambulance .
J’entends, mais le mouvement et le langage me sont interdits après l’AVC qui m’a frappé.
Surmenage a dit le médecin.

À partir de ce jour, ma vie est bouleversée, le matin une infirmière vient me lever, j’ai été installé dans la chambre d’amis ou un lit médicalisé nous a été livré.
Une vraie petite chambre d’hôpital, jusqu’à la perfusion censée me nourrir.
Ils ont bien essayé de me faire manger, normalement, mais ma bouche est incapable d’ingurgiter.
Est-ce le rapport que j’ai eu avec Dominique, cet homme qui m’a sucé qui a tout déclenché en moi ?

Léonne, la forte femme qui s’occupe de moi m’assied sur ma chaise roulante après m’avoir fait ma toilette.
Elle me conduit jusqu’au lieu où je sais que je vais passer le reste de ma vie à regarder les cimes des arbres du parc bordant notre résidence.
Dans l’état où je suis, je suis un malade sage, il en serait difficile autrement.
J’ai dit que j’entends, ce qui se passe dans la cuisine à du bon et du mauvais pour moi.

• Adrien arrête, il pourrait nous entendre.
• Tu sais bien que depuis son attaque, il est parti ailleurs.
• Arrête de me soulever ma jupe, c’est samedi, la bonne est de repos pour le week-end.
• Juste un petit coup.
• Et si je te disais qu’il allait falloir faire attention.
• Dis-moi que ma bite t’es devenue indifférente.
• Tu as raison, j’aime quand tu me fais l’amour, mais ce matin j’avais rendez-vous chez ma gynéco, je suis enceinte.
• Je t’ai fait un enfant !
• Prétentieux, c’est depuis que tu es venu habiter chez moi que nous baisons sans capote.
Non, c’est Alain, le père, la minorée que nous avons calculée, correspond à notre première rencontre.
Lorsque vous êtes parti, mon mari m’avait tellement vue me faire prendre par vous autre, qu’il avait retrouvé ses élans du début de notre rencontre.
C’est ce soir-là que nous avons conçu notre fille, regarde l’échographie.

Une fille, je vais avoir une fille, ce sera le plus beau jour de ma vie, si je calcule bien...
J’ai beau essayer de compter, là ça bloque.

• Bon allé, vite fait, tu es insatiable.
• Te prendre tes seins sur le plan de travail, ça m’existe à plus haut point.
• Ah ! ah ! ah ! oui, je l’aime.

Arrêtez, bande de nase, vous allez faire du mal à ma fille.

• Flo, il a encore bavé, je te dis qu’il faut le placer dans l’institution que j’ai trouvée et qui est prête à le recevoir.
J’ai repris ces derniers dossiers, il allait perdre tous ces procès, moi je vais nous faire un paquet de fric.
J’ai une autre idée, si pendant ta grossesse tu reprenais tes études abandonnées pour vivre avec cette ruine sur sa chaise.
Ton père est vieillissant et il m’a dit vouloir rejoindre les îles où son amie l’attend.

Voilà, le bon, car je vais avoir une fille et le mauvais, car Franck et moi, nous nous retrouvons rayés du monde des actifs par ces deux chérubins dont j’ai contribué à leur rencontre.
Surtout lorsque j’ai accepté qu’il revienne la deuxième fois en compensation de Sonia
La vie est ainsi faite.
Un, deux, quatre arbres, non je me suis trompé, un et merde.