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COLLECTION JEUNE - VIEUX. Vacances en Suisse (2/3)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/09/2023

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« Genève, terminus, nous espérons... »

Classique de la SNCF.
C’est avec mon sac à dos que je débarque de mon TGV parti à huit heures de Paris direct Genève en Suisse.
Arrivé à onze heures, je me dirige vers les bords du lac pensant les suivre avant de monter en montagne.
Nous aurions dû être deux avec Odile, ma compagne depuis quelques années, mais je dois admettre que je fais partie du clan des cocus, mes fréquents déplacements pour mon métier de journaliste sportif l’ayant exaspéré.
Tu vas gagner sa vie dans divers tournois dont les quatre principaux, trois si vous retirez Roland Garos ou vous rentrez comme un bon fonctionnaire les parties étant terminées à la nuit.
Il est vrai que cette année, grâce à un terrain en terre battu éclairé et pour vendre le tournoi à plus de partenaires et télévisions, ça joue en soirée.
Bref, j’ai pris des vacances malgré Wimbledon pour m’aérer le cerveau dans ces montagnes.
Dès le premier soir, plantant ma tente près de l’eau et non loin du chemin que je suis depuis quelques heures, un trike blanc vient s’installer non loin de moi.
Je suis en train de nager et lorsque le casque blanc aussi blanc que la moto et la combinaison, c’est une femme qui m’apparait.
Hélas, l’orage gronde et alors qu’elle va se tremper, en bon gentleman français, je lui monte sa tente.
Lorsqu’elle revient elle m’invite à diner, elle me dit avoir tout dans son trike, mais les premières gouttes tombent après la foudre qui nous a semblé avoir frappé très prêt.
Elle s’est épluché enlevant sa combinaison me montrant de quoi lire à livre ouvert sur son corps.
Elle est tatouée sauf sa figure.
Elle a même un tatouage autour de son sexe, m’apparaissant entièrement épiler et étant nue sous sa combinaison.
La foudre nous fait peur et aux premières gouttes, comme un con, je me réfugie sous mon igloo alors qu’elle en fait de même dans le sien.
Orage de montagne, orage violent parfois, mais faisant semblant à d’autres moments.
C’est le cas du nôtre à tel point que l’atmosphère est toujours aussi chaude dans la nuit qui est venue.
Je sors mon tapis et c’est en contemplant les étoiles que repu de fatigue, levé aux aurores, train même si j’ai fait un somme avant Genève ajouter aux premiers kilomètres de marche, je dore.
Dore, plutôt doré lorsque j’ouvre un œil, le soleil étant revenu et qu’il darde ma queue, qui a ses rayons bande.
C’est une langue qui finit par me faire ouvrir définitivement les yeux un ange près de mon visage.
C’est Ludivine qui a pitié de mon érection et qui sans me demander si elle peut commence à me sucer.
Cet ange, c’est l’un de ses tatouages alors qu’à ses côtés se tient le diable prêt à me croquer.

• C’est moi, soit sans crainte.

Ludivine prononce ces quelques mots ayant relâché mon sexe par sa bouche, mais en continuant à me masturber avec sa main.
Je suis d’esprit préteur, et c’est comme elle me le dit sans crainte, que je me laisse faire, elle me suce divinement.

• Tu me trouves peut-être trop vieille !

Ses lèvres me quittent de nouveau un instant pour me dire ces mots.

• Suce et concentre-toi, l’âge, je m’en bas la queue, je t’expliquerais après.
• Mais...
• Suce, c’est avec plaisir que je vais te baiser, soit sans crainte pour ton âge.

Elle retourne à sa tache, elle est assise près de moi, je passe ma main entre ses jambes, elle est mouillée à croire que sa chatte vient de sortir du lac.
C’est elle qui m’enjambe et c’est elle qui s’empale sur ma verge prête à exploser.
Sa bouche est libre, elle me prend par le cou et m’embrasse goulûment.
Sa salive comme la mienne déborde de nos bouches et un instant le lac débordant par tout cet afflux de liquide et certainement de cyprine, car je nage dans une mare de cette substance.

• Tu peux y aller, frappe fort avec ta belle queue, j’aime être dessus dans mes rapports avec l’autre.

Je la pourfends, ses seins pendant vers mon torse en me caressant mes pointes de mes propres seins, pour la première fois, ils bandent au contact des pointes de ma partenaire.

• Tu aimes être dessus, moi, j’aime prendre mes partenaires en levrette.

Avant qu’elle ait le temps de me répondre, je la bascule, je saute sur mes jambes, la place à quatre pattes et sans lui laisser le temps de me répondre, je l’emmanche de nouveau.
Rapidement elle commence à chanter, si elle aime être dessus, certainement sa condition faisant d’elle une forte femme, moi la pilonnant de plus en plus fort, je fais valoir mes droits de mâle.
Je vais même jusqu’à lui claquer les fesses, prenant des pivotés avec cette femme rencontrée depuis peu.

• Guten tag...

Je sursaute au moment où Ludivine crie son plaisir, au bout de ma queue, je sens les vibrations de l’orgasme qui doit la frapper.
Sur le chemin, un couple de personnes âgées passe lentement.
J’ai eu le temps de voir le monsieur nous saluer certainement en allemand ou en suisse allemand sans pour autant ralentir sa marche soutenue par sa cane au bras de sa femme.
J’entends qu’il parle à son épouse dans sa langue sans que je comprenne le moindre mot.

• Qui s’était.
• Laisse tomber, je suis à deux doigts de jouir, un couple de personnes âgées passant sur le chemin.
• Ah, ouiii !

Elle repart dans sa jouissance, moi-même je suis prêt à lui remplir la chatte.

• Oh ! mein Gott...

Je manque d’éclater de rire, c’est le couple qui repasse, là c’est la femme qui nous voit, son mari devant nous cacher lors de leur premier passage.
Ils continuent, le mari demandant à sa femme de rapidement reprendre sa marche.
À moins qu’émoustillé en voyant un couple faire l’amour, ils rejoignent leur demeure pour eux aussi malgré leur âge baiser comme des malades.
Je décharge, remplissant la chatte de ma compagne alors qu’elle éructe de nouveau son plaisir.
Elle finit par reprendre pied sur terre après qu’elles minutes le cul tatoué en l’air pouvant encore me donner des idées.

• C’était qui ?
• Un couple de personnes âgées qui se promenait le long du chemin, je crois que nous leur avons rappelé leur jeunesse.

Je ris intérieurement, le couple devait être dans les âges de Ludivine, bien sûr, comme je l’ai dit, je suis un gentleman, je garde pour moi cette remarque forte désobligeante pour ma petite maîtresse.
Sur le chemin un joggeur passe sans nous voir.
Il est temps de reprendre forme humaine moins provocatrice, au journal on m’a dit que les Suisses étaient un peu guindés.
Je dirais même que Sylvain mon copain chargé du foot m’a dit qu’ils étaient un peu coincés du cul.
Pour les coupes d’Europe, il vient souvent ici et les connaît mieux que moi.

• Ça m’ennuie de te quitter, malgré notre différence d’âges, tu es un merveilleux amant.
À moins que tu viennes avec moi, je vais visiter quelques lieux ou je sais pouvoir acheter quelques pièces que je vendrais dans ma boutique après rénivation.
Je serais ravi, j’ai même mon permis moto et ton engin est très bien, j’aimerais le piloter.

Ludivine va jusqu’au trike, prend sa combinaison en main, elle va pour l’enfiler, elle en lâche une et me caresse ma queue que je viens de remettre dans ma culotte en la suivant.

• Si mon engin est très bien, le tient est bien aussi, tu bas le dernier homme que j’ai eu comme amant de trois longueurs.
Si tu viens avec moi, je t’expliquerai ma vie, comme toi, tu avais promis de le faire lorsque les premières gouttes sont tombées.
• Il me faudrait un casque, sinon je finirais au poste, il parait qu’ici la maréchaussée est loin d’être tolérante.

Toujours Sylvain, un soir de match entre l’équipe de Berne et le PSG, avec des copains ils ont fêté la victoire française et légèrement bourrée, ils avaient fini en cellule de dégrisement.
Sylvain devait envoyer un article au journal, il a failli être viré quand celui-ci est arrivé en retard.

• À la sortie de Genève, je me suis arrêtées dans une boutique moto, j’avais l’impression d’un bruit bizarre, allons-y, nous trouverons de quoi t’équiper.
Nous en profiterons pour trouver un café ou une sandwicherie pour déjeuner.
Je dois t’avouer que notre petit exercice de ce matin m’a ouvert l’appétit.

C’est ainsi qu’assis comme un pacha à l’arrière du trike enserrant dans mes bras, cette femme inconnue de moi il y a peu que nous faisons à l’envers la distance faite péniblement la veille sons un soleil de plomb.
Ma main lui caressant l’intérieur de sa chatte qui a été si accueillante à mon réveil.
Elle s’arrête, je lui mordille la nuque, elle se retourne.

• Mais tu es un obsédé, je dois dire que j’apprécie beaucoup.
Pour le moment, mon estomac crie famine, sent cette bonne hauteur de croissant chaud...

















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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION JEUNE - VIEUX. Vacances en Suisse (2/3)

Le 27/09/2023 - 11:06 par OlgaT
C'est ce qui s'appelle profiter de toutes les bonnes occasions!

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