Claudine (4ème et dernière partie)

Après quelques minutes qui nous permettent de reprendre nos esprits, Claudine me prend par le cou.
-Waouh, Tonton, tu m’as dépucelée comme un Dieu et un Prince ! Je n’ai même pas eu mal ! Et c’est tellement bon ! Je ne pensais pas que la queue d’un mec pouvait apporter autant de plaisir !
-Quand le plaisir est partagé, c’est toujours bon ! Et je peux te dire que toi aussi, tu m’as donné énormément de plaisir.
-C’est vrai ?
-Vrai !
-J’en veux encore !
-Il y a plein de choses que tu ne connais pas encore. Certaines sont plus compliquées que d’autres, mais quand elles sont faites d’un commun accord avec toutes les précautions et tout l’amour qu’une femme à droit, alors ça se passe toujours bien !
-Comme quoi ?
-La fellation, la sodomie, la double pénétration, le triolisme … il y en a tant !
-Tu m’apprendras tout ça ?
-Peut-être pas tout, mais si tu le souhaites, je pourrais te donner beaucoup de plaisir !
-Je veux te sentir encore en moi, maintenant !
Avant même que j’ai eu le temps de dire quoi que ce soit, Claudine s’est redressée au-dessus de moi et elle prend ma queue légèrement ramollie mais pleine du mélange de mon sperme et de sa cyprine dans sa bouche. Après quelques instants, elle s’arrête.
-Je pensais que ça me dégoûterait, mais je trouve cela très bon ! Ta queue et le mélange de nos jus !
Elle reprend ma queue qu’elle enfourne tout au fond de sa gorge. Je ne tarde pas à être de nouveau raide comme une tringle à rideau, mais elle continue de me sucer comme une professionnelle. Je sens sa langue tourner autour de mon gland à chaque fois que ma queue remonte du fond de sa gorge et elle m’y fait replonger sans même reprendre son souffle, tandis qu’elle prend dans sa main mes couilles qu’elle caresse tout aussi tendrement que sa seconde main enserre fermement mes fesses. Elle continue comme ça pendant suffisamment longtemps pour que mon plaisir soit tel que je ne peux retenir le flux de sperme remonter. Je tente de la prévenir.
-Si tu continues comme ça, je vais jouir dans ta bouche et tu n’auras pas le plaisir de sentir ma queue tout au fond de ton vagin !
Elle ne répond même pas et continue de faire monter ma sève. Je me lâche alors totalement et expulse encore de puissants jets de sperme dans sa gorge. Elle garde alors ma queue dans sa bouche tout en avalant ma semence et en me regardant droit dans les yeux.
-Je ne sais pas si tu aimes sucer, mais tu le fais super bien !
-J’adore TE sucer, Tonton ! Parce que je n’aimais pas ça avant, mais là, je prends du plaisir à te faire jouir avec ma bouche et à avaler ton sperme que je trouve très bon !
-Viens là, petite salope !
Je me positionne face à elle et je m’introduis d’un coup sec dans sa chatte dégoulinante. Aussitôt, je lui donne des grands coups de reins et elle exprime sa volonté que je poursuive encore à la pilonner ainsi. Je la baise de cette façon pendant dix bonnes minutes pendant lesquelles elle a trois orgasmes. Puis je lui demande de se retourner et je la prends en levrette.
Dans cette position, je sens bien l’intégralité des parois de sa chatte qui maintenant a adopté complètement ma queue. Claudine se démène autant que je lui donne des grands coups de queue. Elle a tenu un bon moment à quatre pattes, mais elle a fini par s’étaler. D’abord le cul en l’air, puis elle finit par s’étaler de tout son long sur le lit pendant que je continue de la besogner. Elle est à plat ventre, les jambes bien écartées et moi qui lui pilonne la chatte tant bien que mal. Je décide alors de lui relever le cul en plaçant un coussin sous son bassin et je finis par la baiser dans cette position. Claudine n’a même plus la force de bouger, mais elle pousse des feulements à chacun de mes coups de rein. De temps en temps, un ‟ oui ” sort de sa bouche, ou un ‟ encore ”, mais elle semble épuisée.
Alors que je sens de nouveau l’orgasme monter en moi, je sors de sa chatte et lui demande de se retourner, ce qu’elle fait aussitôt. Je remonte mon bassin jusqu’à son visage et lui demande d’ouvrir la bouche. J’éjacule alors face à sa langue, qu’elle tend vers ma queue pour recevoir une nouvelle fois mon jus, qu’elle avale avec délectation.
Une fois ma queue nettoyée avec sa langue, je m’allonge à côté d’elle.
-Je vais faire de toi une sacrée baiseuse !
-Je veux être ta salope, Tonton !
-Non, je ne veux pas ça de toi, ma Belle ! Je veux que tu te respectes comme je veux que tout le monde te respecte. Tu mérites le meilleur et je ferai tout pour te le donner. Maintenant, il faut que tu dormes, car demain, on a du taf !
-Ah bon ?
-Il faut que je m’occupe de ton petit trou !
-Oh oui !
-Allez, dors ma Chérie !
Nous nous allongeons côte à côte et Claudine s’endort presque aussitôt. Je finis moi-aussi par sombrer dans les bras de Morphée avec une main sur le sein de ma nièce devenue ma maîtresse.
Au petit matin, je me réveille tout engourdi. Claudine dormant paisiblement, je la laisse tranquille et file sous la douche. une fois rafraîchis, je nous prépare un petit déjeuner avec du thé vert au citron, des fruits, yaourts et quelques viennoiseries que je suis allé chercher à la boulangerie voisine pendant que l’eau du thé chauffait. Je m’installe sur la terrasse et j’en profite pour passer un coup de fil à ma très chère femme.
-Salut Chérie !
-Oh, mon cœur ! Tu as bien ‟ dormi ” avec Claudine ?
-Tu penses bien qu’on n’a pas beaucoup dormi !
-J’imagine ! Alors, vous l’avez fait ?
-Oui ma Reine ! Elle m’a demandé de la déflorer et je l’ai fait. J’y ai mis toutes les précautions nécessaires et elle n’a pas eu mal du tout !
-C’est bien toi, ça, mon Chéri ! Je suis fier de toi ! Tu es un amour et un véritable prince charmant ! Et elle a aimé ?
-Je crois, mais tu pourras lui demander !
-Je n’y manquerai pas, rassure-toi !
-Euh, tu as besoin de quelque chose ce matin ?
-Non, on doit aller faire quelques courses avec Mél pour ce midi, pourquoi ?
-Ben, en fait, Claudine m’a demandé de poursuivre un peu son ‟ éducation ” !
-Non, elle veut que tu lui fasses le cul aussi ?
-Exactement ! Et je ne vais pas louper ça, tu me connais !
-Vas-y, mon cœur, fais-toi plaisir et donne du plaisir à notre nièce !
-A tout à l’heure alors ! Vers midi, c’est ça ?
-Oui, même plutôt treize heures ! Tu as le temps de prendre soin de Claudine, t’inquiète !
-Je t’aime ma Reine !
-Je t’aime aussi mon amour !
Après avoir pris mon petit-déj, je regarde quelques vidéos en attendant que la petite affamée de sexe se réveille et c’est plus d’une heure après moi qu’elle finit par émerger de la chambre. Elle vient alors s’asseoir à côté de moi sur le canapé et m’enlace en me remerciant encore pour cette nuit de sexe. Je lui indique alors le petit déjeuner et nous retournons tous les deux sur la terrasse. Nous discutons de choses et d’autres mais surtout de cette nuit. Elle me redit combien elle a aimé découvrir le sexe avec moi, qu’elle a beaucoup aimé ma queue en elle et dans sa bouche, qu’elle adore le goût de mon sperme et qu’elle veut toujours que je la dépucelle du cul.
Après son petit en-cas du matin, elle file sous la douche à son tour. J’en profite pour aller dans la chambre et refaire un peu le lit. Je m’allonge ensuite sur le lit après avoir mis une petite musique langoureuse.
Claudine finit par me rejoindre. Elle sent bon le parfum de Charline et elle est merveilleusement belle et épanouie en entrant dans la chambre.
-Tu es changée, je trouve !
-Oui, je me sens plus femme ce matin, grâce à toi ! Merci Tonton !
-Pourquoi tu ne m’appellerais pas Luke, ou Sky, comme ta cousine ? Ça me fait tout drôle ce tonton, maintenant que je baise avec toi !
-Moi, au contraire, je trouve ça très excitant que ce soit mon tonton qui me baise et me fasse jouir comme une chienne ! Je t’en remercie vivement d’ailleurs !
-C’est comme tu veux, de toute façon, ça reste entre nous !
-Tu l’as dit à Tata ?
-Oui, on en a parlé tout à l’heure, au téléphone. Elle est très contente pour toi que tu aies pris du plaisir et très fier de moi de ne pas t’avoir fait mal !
-C’est vrai que tu es un ange, Tonton ! C’est pour ça que je veux que tu m’ouvres le cul aussi !
-Justement, viens là que je m’en occupe !
Aussitôt, Claudine se jette sur le lit et s’allonge sur le ventre. Je la fais se mettre à quatre pattes et passe derrière elle. Je lui mets d’abord une claque sur la fesse droite puis aussitôt, je plonge ma bouche dans son cul et commence à titiller son anus avec ma langue. Vu qu’elle m’a chauffé en réclamant que je lui ouvre le cul, pas la peine de perdre du temps en préliminaires inutiles.
Je lui bouffe le cul ainsi pendant de longues minutes et elle roucoule comme une petite tourterelle en chaleur. Elle apprécie et me le dit régulièrement.
-Jamais personne ne m’a bouffé l’anus, Tonton, et c’est sensationnel ! J’adore la sensation de ta langue sur ma rondelle ! C’est bon ! Continue encore !
Je titille sa rondelle pendant de longues minutes, puis de temps en temps, je présente mon index devant le trou. Mais, l’ouverture se fait attendre, alors je me relève et récupère le flacon d’huile de Coco. Toujours à quatre patte, je commence à faire couler quelques gouttes d’huile sur le petit trou de ma partenaire et y promène mon index. Cette fois-ci, c’est sans difficulté que mon ongle disparaît dans l’antre presque sans pression. je préfère y aller doucement alors je masse l’intégralité de son cul avec l’huile et à chaque passage sur son anus, je fais entrer mon doigt un peu plus. Pendant tout ce temps, ma main gauche se charge de caresser le clitoris et la chatte de Claudine. Le pouce dans son vagin et l’index sur le clitoris, je chauffe ma maîtresse et elle apprécie clairement le traitement. Pendant ce temps, sans qu’elle ne fasse la moindre opposition ou qu’elle ait le moindre geste trahissant une douleur, j’ai réussi à glisser mon index entier dans son trou du cul. Je commence alors des va-et-vient dans son canal avec ce seul doigt et de temps en temps, je présente mon majeur à l’entrée. Au début, là encore, il y a une petite résistance, puis c’est d’un coup, au bénéfice d’un profond soupir traduisant le pied qu’elle prend que mon majeur accompagne mon index à l’intérieur de son anus.
-Hum ! Oh oui ! C’est bon aussi, ça ! J’adore cette sensation !
Maintenant que ma partenaire est débloquée, je veux la sodomiser avec ma queue. Je présente alors mon annulaire devant son orifice interdit et je pousse pour qu’il accompagne les deux précédents. C’est avec une agréable surprise que je vois mon troisième doigt entrer dans l’anus de Claudine. Pris d’une frénésie incontrôlable, je pousse fort ma main dans le cul de ma nièce.
-Ooooooh ! Oh oui ! Encule-moi Tonton ! Mets-moi ta grosse queue !
Encouragé de la sorte, je retire mes mains des entrailles de ma belle et je présente mon dard sur sa rondelle grande ouverte.
Sans surprise, ma queue entre sans difficulté dans son anus et Claudine pousse un petit cri de surprise. En effet, ma queue est beaucoup plus longue que mes doigts et l’intromission est beaucoup plus profonde qu’avec mes doigts.
Craignant que ma nièce ait mal, j’arrête aussitôt ma progression et tout mouvement.
-Non, vas-y, putain, continue, encule-moi fort !
Cette fois-ci, je ne demande pas mon reste. Je me mets à labourer les intestins de la gamine, cette salope qui était encore pucelle hier soir et qui maintenant est devenue une grosse salope qui baise avec son oncle. A chaque coup de rein dans son cul, Claudine crie de plus en plus fort. Ses cris sont rauques et ils semblent sortir du plus profond de ses poumons.
Alors que je continue de la pilonner, elle a son premier orgasme et je sens sur mes genoux sa cyprine couler à flots.
-Oh ouiiiiiii, que c’est bon ! Putain que c’est bon ! Encore Tonton ! Encore ! Plus fort !
Elle en veut encore, mais son corps ne suit plus. Elle s’affale sur le lit. Je lui replie une jambe et me mets à califourchon sur l’autre, de manière à pouvoir continuer de la pilonner fort.
-Ohhh ! Huuum, c’est bon comme ça aussi !
C’est vrai que dans cette position, je sens encore mieux ses sphincters et ma queue a du mal à se retenir de cracher sa purée. Je continue néanmoins de bien lui forer son trou du cul, mais je ne tarde pas à ressentir l’orgasme monter et c’est en la bourrant à fond que j’éjacule dans ses intestins de grandes rasades de sperme.
Après quelques minutes, ma queue est éjectée de son antre et je finis par m’allonger à côté de Claudine.
-Oh putain que c’est bon ! J’ai encore plus joui quand tu m’as enculée que quand tu m’as baisée par la chatte !
-C’est que tu es anale, ma petite chaudasse !
-Non, sérieux, c’est vachement bon, la sodomie ! Et ça ne fait pas mal du tout !
-Parce que je t’ai bien préparée !
-Et je t’en remercie !
-Oh, je l’ai fait avec grand plaisir aussi, rassure-toi ! Ce n’était pas du tout un sacrifice, tu sais !
-Tant mieux alors ! Tu crois qu’on le fera encore ? Toi et moi, je veux dire ?
-Pourquoi pas ! A l’occasion ! Et puis, je pense que ta tante a aussi des choses à t’enseigner !
-Oh oui, je veux bien !
C’est ainsi que j’ai déniaisé ma nièce, âgée de tout juste dix-huit ans et qu’elle est devenue une sacrée cochonne ! On s’est revu quelques fois depuis et à chaque fois, on a baisé comme des amants de longue date. Charline s’est jointe à nous deux fois ! Et elles ont apprécié toutes les deux !