COLLECTION PUTE. Enterrement de vie de garçon (2/3)

• Corinne, je suis dans la mouise la plus noire pour ce soir.

C’est ce que mon ami Gontran me dit quand passant pour voir s’il va avoir besoin de moi dans les jours prochains, il m’explique que la fille qui devait faire un strip lui a fait faux bons.
Je lui propose de la remplacer habillée en infirmière.
Dès mon arrivée, je vois un garçon menotté à sa chaise avec un bandeau sur les yeux et une culotte de femme certainement un string lui obstruant la bouche.
C’est pour lui que Fred son copain a organisé cet enterrement de vie de garçon.
On me propose du fric pour sucer le futur marié sous couvert que sa future se refuse à lui future des fellations.
Ces petits friqués ont les moyens d’arriver à leurs fins alors la masse de pognon qu’ils me proposent m’enlèvent tout préjugé pour passer du monde des strip-teaseuses au monde des putes.
Qui saura que je l’ai fait alors que les billets qu’ils m’ont donné son bien réelle dans la poche de ma blouse d’infirmière.
Gontran trouve ma prestation un peu longue, il m’appelle au moment où j’allais commencer à sucer.
Je le rassure et je le libère de tout risque qu’il devienne proxénète en lui disant que je bois un verre avec le marié avant de les quitter.
Mais qui saura que ma bouche pour la première fois va me rapporter de l’argent.
Quand je commence à lécher, des couilles jusqu’à son méat, une pensée profonde me taraude l’esprit.
Depuis ma naissance, ma bouche me coute chaque fois que je mange et aujourd’hui pour la première fois, elle me rapporte gros lorsque je rentre chez moi et que j’étale sur mon lit, le fruit de ma nuit y compris les 1 000 de Gontran.
Le futur marié a eu son plaisir, même si le bandeau lui bouchait la vue, sûr que mes lèvres autour de sa bite et les jets de sperme que j’ai avalé lui ont donné bien du plaisir.
Habillé, libéré, je prends une coupe de champagne.
C’est le reste de la nuit que je cogite, ce que mon avenir va être.
« Pute pour enterrement de vie de garçon. »
Gontran s’est fait du fric sur mon dos en gardant la plus grande part du pognon que ma prestation de strip-teaseuse lui a rapporté.
Je vais allègrement lui piquer ses clients en organisant ce genre de soirée avec un site sur Internet où explicitement les clients comprendront que « toutes » prestations, c’est vraiment « toutes » prestations, même les plus salaces.

Le site, c’est Sonia, mon amie, féru d’informatique qui me le crée, croyant qu’elle me crée un site pour de la couture.
Voulant pouvoir faire de simple modification, elle me montre comment faire.
Il m’est facile une fois qu’elle est partie, de créer divers personnages cachant ma tête mais rien de mon corps qui va m’attirer mes clients.
Rapidement je me rends compte, ce que je savais déjà lorsque l’on veut s’acheter une jolie petite tenue d’été dans mon Carrefour, pour gagner, il faut dépenser.
Internet, mais surtout le pognon gagné avec mon remplacement fortuit de la copine de Gontran me permet de me créer une garde-robe, que je vais enrichir dès que je gagnerais de l’argent.
Je modifie certains détails me permettant de les enlever prestement le but étant que je sois rapidement à poil.
Maman prévoyante de l’avenir m’a appris la couture sans penser que c’est avenir, c’est de me prostituer et en plus ça m’a donné l’idée de dire à Sonia de me créer un site de couture.

Ce soir c’est une première, j’ai un enterrement qui aura lieu dans un hôtel chic de notre ville.
J’arrive avec ma valise, ils sont trois, « tous » c’est ce que son père a choisi pour son fils et « tout » c’est « tout ».
Je vais devoir baiser avec le futur marié, mais aussi avec les deux autres dont le père, la cinquantaine.
Lorsque nous avons pris rendez-vous, il m’a dit s’appeler Paul, son fils Lucien et le témoin Christian.
Il m’a précisé que son fils bien que beau gosse sans être attardé mental, manquait d’initiative étant encore un puceau à vingt ans.
Il voulait que son fils se présente devant Émeline en sachant comment faire avec une pucelle comme elle.
La jeune fille de très bonne famille risquait de mal démarrer dans la vie, si Lucien loupait sa dévirginisation.
J’ai trouvé bizarre qu’il choisisse le personnage appelé Cruella pour cette première fois.
La jeune Émeline risquait de démarrer dans le monde des masochistes après ce que j’allais leur faire.
Mais l’avance assez conséquente prenant en compte l’ensemble de la prestation avec trois mâles en rut, étant sur mon compte, d’entrée je me suis dit ce que le client veut, je le voudrais.

Dès que j’entre dans la chambre, le buffet qui est dans la petite salle attenante à la chambre va nous permettre de nous restaurer au fil de la nuit.
Le futur plus le témoin sont beaux gosses et me font mouiller.
Le père a de beaux restes alors je me rends dans la salle de bains avec ma valise ou j’ai tout ce qu’il m faut pour changer d’identité.
Corinne devient Cruella, c’est le personnage que le père a choisi.
Une petite parenthèse, ce personnage va être celui qui va me rapporter le plus de fric dans les mois suivants.
Lanière de cuir soulignant les seins que je peins en rouge pour bien les faire ressortir.
Ce sont des colorants non massifs dans l’eau et qu’il me faut enlever avec un produit fourni avec le colorant.
Sur ma tête comme une cagoule de cuir, presque identique à celle de Catwoman.
Et les cuissardes se finissant dans des bottes aux talons plus que hauts.
Il m’a fallu deux jours en les mettant tous les jours, pour marcher avec sans le casser la gueule.
Au début, j’ai même cru m’être cassé une cheville en m’allongeant sur ma moquette.
Le personnage de Cruella a un autre avantage, dans la liste, c’est le personnage qui coûte le plus chère à jouer, maitriser trois chenapans de leur espèce, on peut croire que c’est facile.
Avec la prestation fournie par Gontran, le marié était attaché.
Là dans cette chambre, ce sont trois mâles s’étant mal comporté, qu’une maitresse va punir avec sa cravache faisant partie de mon personnage.
Trois mecs recroquevillés nus devant le lit qui ce soir va m’être inutile, la haute moquette sera suffisante.
Lorsque je leur single le cul tous l’un après l’autre me remercie de les punir.
Tous l’un après l’autre me jurent que ce sera la dernière.
Tous l’un après l’autre en commençant par celui qui va se marier relèvent la tête à mon ordre pour me bouffer la chatte coulant abondamment.
Au bout d’un moment Cruella perd la partie, c’est elle qui est agenouillée devant trois mâles en rut et qui tour à tour les suces.
Les trois bougres bandent allègrement, la fin de mon travail commence.
J’en cravache un, le futur et je m’empale.
Le témoin, c’est ma bouche qui le reçoit de nouveau.
Reste le père, je vais pour le masturber tout en baisant et en suçant quand avec une grande autorité il vient sur mon arrière et d’un seul coup m’encule.
Je jouis facilement là, je hurle à ce tisonnier que le père a enfoncé dans mon anus.
Le père d’un côté, le fils de l’autre je finis par y prendre du plaisir même si mon cul me brûle vite éteint par le sperme qui m’inonde.
Pendant deux jours mon cul me brûle comme ma chatte l’avait fait lors de mon dépucelage, mais à partir de ce jour, j’étais capable de ce qu’une pute doit savoir faire, un mot, « tout ».

Des semaines passent, le sperme est devenu mon plat principal certains soirs où Cruella ce fait recevoir où reçoit.
Reçoit lorsque Gontran vient me voir, mes affaires sont florissantes, mais les siennes périclitent.
Les clients friqués qui ont la possibilité de se payer Cruella, principal personnage qui est choisi par cette clientèle, ont rempli sa bourse.
Les filles se déshabillant devant des hommes sont passées de mode, et c’est moi qui deux fois par semaine, les vendredis et samedis, offre son cul, sa chatte et sa bouche à qui veut chèrement payer.
En reprenant l’affaire, je permets à Silvana de continuer à gagner sa vie et celle de son fils Simon.
Ce soir ce sont six garçons que je dois m’occuper y compris celui qui enterre sa vie de garçon.
Silvana a peur pour moi, elle tient à me remercier de lui permet de continuer à son mari toutes ses turpitudes et envies.
C’est elle qui revêt sa tenue de servante, nous serons deux à partir de ce jour à nous occuper de nos clients, Cruella et sa servante.
Je suis magnanime, malgré les 2 000 € qu’il s’est fait sur mon dos la première fois.
Deux femmes au turbin, avec tant d’hommes qui les honorent le risque est grand et il est fort.
Pas en gestion des enterrements de vie de garçon depuis qu’il y a Internet et que nous les putes, c’est grâce à ces réseaux dont nous savons nous servir que nous fonctionnons.

Ce soir Cruella va intervenir dans un hôtel de la ville voisine, au téléphone, je sais qu’ils seront trois, le repas sera fourni par l’hôtel.
C’est dommage, au prix que je fais pour le traiteur, c’est du manque à gagner pour moi et mon équipe.
Et en plus c’est même pas bon, un Mac Do, c’est d’une qualité nettement supérieure.
Que dire de leur champagne une vraie pisse d’âne, au prix qu’il le facture, ils doivent cinq à si fois faire la culbute ?

• Gontran, tu es là pour me couvrir, je rentre dans l’hôtel, on reste en contact, je te dirais si ma prestation se passe normalement.
• Aucun problème, à quelle heure penses-tu te libérer.
• Dors bien le client a réservé Cruella pour son enterrement de vie de garçon pour toute la nuit.

Je suis déjà venue dans cet hôtel, ça c’est très bien passé, je reconnais même le réceptionniste étant là l’autre fois et qui me fait un petit signe entendu.
Chambre 509, la première où je suis venue, la chambre portait le 409, juste un étage au-dessous, je sonne, du bruit ça ouvre.

• Mais vous êtes !
• Paul celui qui vous a fait venir pour l’enterrement de vie de garçon de mon couillon de fils.
Corinne, je vois que tu as suivi ma demande enlève ton manteau et devient Cruella, c’est d’elle que je suis devenu amoureux !
• Attendez, là, vous me prenez pour une pute, je donne une prestation ou j’accepte tous, mais à plusieurs et dans le cadre de l’enterrement de vie de garçon et de fille depuis peu.

Oui, le mois dernier, j’ai été Cruella et aussi Marie la jeune novice pour l’enterrement de vie de jeune fille de Sindy se mariant avec Laurence et de Simone avec Lucette...