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COLLECTION PUTE. Enterrement de vie de garçon (3/3)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/10/2022

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• Corinne, je suis dans la mouise la plus noire pour ce soir.

Maintenant, vous savez que j’ai franchi le pas au début pour rendre service à Gontran, mais au final pour gagner tous l’argent qu’il détournait sur le dos de ces pauvres filles se dénudant pour lui.
De strip-teaseuse, je peux dire le mot, je deviens « pute » lorsque je me fais baiser pour énormément de fric avec le prétexte de l’enterrement de vie de garçon de mes clients.
À oui, depuis peu de jeunes pucelles ou vieilles gouines en instance de mariage depuis qu’une fille peut épouser une autre fille, fait appel à nous.
Avant de parler de Paul et de ce qu’il va en découler, parlons de ces deux soirées passées entre filles ou du moins avec de futurs couple gay féminin.

J’avais reçu un appel de Sindy qui au début m’a étonné.
Elle voulait organiser une soirée avec Cruella pour bousculer un peu sa compagne Laurence avec laquelle, elle allait convoler.

Je vous raconte comme si nous étions en temps réel.

C’est avec Silvana que, ce soir, nous partons rencontrer, hommes comme femmes rien que du beau linge.
C’est rare, mais ça arrive, c’est dans la villa des deux filles que nous nous rendons.
Sindy nous reçoit une heure avant que les invités arrivent, j’ai tarifé au maxi, car elle était dans l’incapacité de me faire la liste de ceux qui seraient là ce soir.
Pour cette soirée, pour une des premières fois je suis en binôme avec Silvana que Cruella et elle vont mâter sa copine avec notre aide.
Nous nous habillons, je me maquille, j’entends du bruit dans la maison, de plus en plus de bruit, les participants sont arrivés.
Comme prévu Sindy passe la tête et nous donne le top départ.

• À genoux chienne, tu crois que tu vas échapper à ta condition de femelle soumise.

La pièce où nous pénétrons est remplie d’une douzaine de personnes.
C’est ma cravache en main que nous passons entre les gens jusqu’à Sindy à côté d’une jolie petite blonde.
C’est elle notre cible, Silvana en soubrette collier autour du cou, de chien bien entendu, me suis au bout de ma laisse restant à quatre pattes.
Elle a le cul libre de toute entrave, a-t-on d’être entravé lorsque nous sommes des chiennes.
Presque à la moitié du chemin entre l’entrée et nos futures mariées, une femme d’un certain âge, la quarantaine au moins avance sa main et la passe entre ses cuisses.

• C’est bien c’est joli toutou, ça mouille.

Je lui claque la main d’un coup rapide avec ma cravache.

• Ça mouille, mais ça mord, attention aux accidents.

Mon personnage est crédible grâce à cette femme que je verrais bien plus tard me sucer la chatte.
Nous finissons notre parcours et nous atteignons à notre but.
Je suis contente, car je pense à Silvana marchant sur ce carrelage froid.
Enfin marchant, se trainant jusqu’à Sindy avec Laurence, je la sens anxieuse.

• Dites-moi Sindy, votre amie regarde toujours les femmes avec cette arrogance, elle mériterait que j’en fasse ma soumise comme Silvana l’est déjà.

Joignant le geste à la parole, je lui single le fessier lui amenant les larmes aux yeux.

• Vous avez raison Cruella, je lui dis tous les jours, mais elle refuse de m’écouter, apprenez-lui les bonnes manières comme vous l’avez fait avec votre joli toutou, même s’il mord.
• Laurence, déshabille-toi devant tous nos amis, qu’il voit la chienne qu’ils vont pouvoir avoir à leur disposition ce soir.

Voilà comment cette première fois s’est déroulée.
Laurence a été à la disposition des bouches et des chattes, de ceux qui voulaient d’elle.
Silvana l’accompagnait dans ses débauches, mais était là surtout pour surveillé que son intégrité soit préservée, car Sindy m’avait prévenu qu’elle dans ses moments de délire perdait le contrôle.
Pour ma part, une fois la soirée troue du cul bien démarré, j’ai rejoint Yolande, femme d’un homme influent, mais la laissant libertiner alors que lui est vieille France.
C’est la femme d’âge mure que j’avais frappé avec ma cravache.
Là encore, je constate que le monde du fric se permet des privautés que je découvre au fur et à mesure.
À la fin de la soirée, je me suis fait bouffer la chatte par Sindy et Yolande dans un trio magique.
Mais le principal, c’est le pourboire que l’organisatrice me donne nous remerciant pour notre belle prestation.

J’ai parlé de Sindy et Laurence.
Pour Simone et Lucette simplement les noms nous situent dans une autre tranche d’âge.
Cinquantaine, Lucette chef de file, il y en a toujours un ou une, dans notre bizness.
Lucette était mariée, puis veuve et ayant rencontré sa voisine Simone a constaté que de tout temps, les vagins des filles étaient ses fantasmes.
Grâce à Simone, elle a dépassé ses fantasmes même si sa fille et son fils s’oppose à cette union.
Marie la novice, c’est ce que Lucette a choisi, car Simone lui a avoué que dans sa jeunesse elle avait envisagé d’épouser les ordres et se retrouver dans un monastère.
Dans notre soirée, je suis la novice reçue par Simone la mère supérieure et Lucette sa responsable du couvent.
Rapidement Marie a mis un bordel tel dans le couvent que toutes les sœurs se sont allègrement gouinées.

Voilà ce fut nos deux expériences de soirée de clôture de vie de jeune fille, faisant de moi une gouine en devenir, même si je préfère les queues des hommes.
Revenons à notre contrat, dans un grand hôtel.

Ce soir, je me rends à l’hôtel où j’ai fait une première prestation grassement payée avec trois hommes.
Quelle surprise lorsque je me présente de découvrir Paul, le père de Lucien.
Au téléphone lorsque nous avons conclu, il a choisi le personnage de Cruella pour soi-disant son fils et deux autres copains, j’ai facturé en rapport de ma prestation.
Lorsque je suis passée devant la réception, je marchais fièrement sur mes hauts talons, Paul m’ayant demandé d’arriver en tenue de travail de mon personnage de Cruella.
Ayant sonné j’ai enlevé mon manteau et récupéré ma cravache.

• Que me dite vous, vous m’aimez, je vais vous montrer à quoi vous vous exposez à aimer Cruella.

J’ai pensé que Paul voulait s’amuser après avoir apprécié de se faire malmener au réel enterrement de vie de garçon de son fils Lucien.
Lorsque j’ai fini par me donner à eux allant même jusqu’à accepter que Paul me sodomise pour la première fois de ma vie en double pénétration.
Comment peut-il penser qu’après avoir fait l’amour avec le père et le fils, je puisse me donner seulement à lui.
Si j’accepte, dans quelle situation je serais en face de Lucien surtout que nous avons sensiblement le même âge.
Il m’a payé, même si je sais que je rentre un peu plus dans la prostitution, mais aussi parce que ses cheveux poivre et sel ont tendance à me faire craquer.
Je le repousse dans la chambre jouant de la cravache.
Il ouvre son peignoir, il est nu et il se met au sol me présentant son postérieur.
À la façon dont je frappe, il en aurait fait autant, j’aurais hurlé, mais lui reste stoïque.
Je le dirige dans la pièce afin de prendre possession de sa personne, mais comme la première fois, soumettre, j’aime, mais être une femme soumise c’est mieux.
C’est moi qui me retrouve en levrette au sol, il rentre en moi, je passe ma main sous mon corps et je saisis ses couilles que je sers fortement.
Même dans cette situation Cruella reprend le dessus.
Lorsqu’il explose en moi, je mets du temps à reprendre pied sur terre, tellement j’ai plané à dix mille.

• As-tu réfléchi à ma proposition ?
• Je pensais que tu t'amusais avec moi est-ce vraiment réel ?
• Lorsque je dis quelque chose, tu peux me faire confiance.
Tu as été tellement rapide dès que tu es entrée, pour mon plus grand plaisir, au moment où j'allais sortir ceci de la poche de mon peignoir.
Si tu le désires cette bague seras pour toi.

Il sort un écrin et me montre une bague d’or blanc avec un véritable bouchon de champagne en guise de diamant.

• Mais ton fils et notre différence d'âge, qu’en fais-tu ?
• Mon fils, il fera comme moi, il fera sa vie, je lui ai trouvé une femme, la meilleure des femmes qui saura le guider.
C'est une femme forte, je pense que vous vous entendrez très bien toutes les deux.
• Mais je suis une pute, si tu m'épouses, tu seras là risée des gens de ta ville.
• Si tu savais, ce que les gens me doivent en tant que maire !
Tu dois savoir que je peux tout me permettre, comme toi tu pourras tout te permettre.
Je gère la mairie, mais je suis actionnaire majoritaire dans une entreprise de transports et aussi de travaux publics, d’une agence de voyage et une immobilière.
Je donne du travail à vingt-cinq à trente pourcents des habitants de ma ville.
Comment veux-tu que quiconque se permette de dire que ma femme est une pute ?
Dans la minute suivante, il sera massacré et sera contraint de quitterait la ville la queue basse avec toute sa famille s’il a le malheur d’être marié.
J’ai beaucoup aimé lorsque tu m’as tourné les couilles, Cruella est formidable.
Je veux être à ses côtés jusqu’à la fin de mes jours.

J’ai épousé Paul, c’est sa première adjointe qui nous a mariés.
Combien de personnes au mariage, cinq cents, toutes empressées envers moi pour me féliciter.
Et madame la mairesse par ci et madame la mairesse par là, belle robe de mariée madame.
Renseignement pris auprès d’Émeline, sa belle-fille, Lana sa première conseillère était amoureuse de Paul et espérait d’être à ma place pour dire oui.
Émeline m’a donné ce renseignement amoureusement lové dans mes bras.
Ça s’est fait dès le soir de mes noces, nous avons dansé ensemble et nous nous sommes trouvés des points communs surtout du côté de nos chattes.
Mon mari sait que je me gouine avec sa belle-fille, nul doute que tout ceci se terminera en trio son fils comme il me l’a dit sans être demeuré est loin d’avoir décroché la lune.
Silvana, je lui ai offert ma société après qu’elle ait divorcé de son connard de mari.
Elle a épousé Gontran.
Mon mari et lui ont enterré leur vie de célibataire, mais tous les deux dans nos lits à chacune.
Gontran avec Marie la novice et Paul se contentant de sa Cruella encore plus cruelle que lors de notre première rencontre.

• Bonjour madame, je suis heureuse de vous saluer, nous vous attendons ce soir pour notre thé hebdomadaire.

Paul avait raison, cette femme, c’est Alexandra, la femme du notaire, lignée directe d’une famille de comtes et de comtesses.

• Je me rends de ce pas chez notre modiste, je lui ai fait confectionner un délice de petit ensemble qui va vous étonner chère amie.

Le fric, le fric, tout est facile lorsque l’on a du bric, ils oublient même comme moi avoir été une pute.


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Histoire de Chris71

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