COLLECTION SOUMISSION. Copines d’enfances (2/4)

Noémie, mon amie d’enfance est la fille du couple qui entretient notre castel.
Dans notre petite jeunesse, j’ai voulu aller voir les jeunes chiots que Diane notre chienne avait eus avec Brutus notre berger allemand.
Nos chiens servant à la surveillance du domaine la nuit.
J’ai laissé une porte ouverte et Brutus s’est rué sur mon amie la laissant pour morte.
Elle s’en est sorti, mais sa figure avait une grande cicatrice la défigurant.
Le chien est mort, tué par son père qui revenait de chasser un renard attaquant notre poulailler.
Pour arranger les choses, elle a un physique loin d’être bandant.
Dans le même temps, j’accumule les relations amoureuses.
J’ai une pratique sexuelle qui fait que mes amants, je les reçois dans mon lit pour un coup d’un soir.
Dans le même temps, Noémi me fait peine à voir à force de prendre des râteaux.
J’ai une idée qui s’avère inutile, le spectacle qu’elle présente fait fuir les garçons même ceux ayant du mal à trouver chaussure à leurs pieds.
C’est là que je reçois un message de Charles-Antoine me proposant de rejoindre leur organisation.
Il a un garçon soumis qu’il a transformé en gentil toutou.
Noémie accepte de devenir ma soumise et de lui être présentée.
Dès que j’arrive chez ce garçon, nous lâchons nos amis à quatre pattes.
Il la rattrape et la saisissant par les hanches se couchant sur son dos, je le vois enfin dépuceler mon amie.
Son acte sexuel terminé, il revient vers son maître et se couche à ses pieds, il ronronne de plaisir.
Noémie, dois-je l’appeler comme ça, le suit, elle semble avoir apprécié.
Elle me regarde les yeux pleins d’amour.
Je rattache sa laisse à son mousqueton, Charles-Antoine baron de la Fiote en fait de même avec Marius, son fidèle compagnon.

• Marie-Ange, venez, nous allons manger près de ma piscine, nous allons profiter du beau temps.
• Comment vous refuser quoi que ce soit, cher Charles-Antoine, voir Noémie, mon amie tellement heureuse, vous êtes un homme providentiel pour nous ?
• Ces loin d’être fini, Marius peut profiter de mon parc après qu’il eut mangé sa pâtée, d’ailleurs, voici mon majordome qui leur amène leur gamelle.
Notre organisation vous fournira des repas équilibrés pour votre petite chienne.
C’est un chef étoilé que nous avons engagé pour les préparer.
Mais puis-je te tutoyer, regarde, il sympathise déjà.

À nos pieds, Marius connaissant les codes, prends de la pâtée dans ses doigts et la fait manger à sa femelle, c’est à ce moment que je vois que Marius à une bite comme celle d’un taureau.

• Je vois que tu regardes la queue de mon mâle, sa queue étant son handicape principal auprès des femmes, chaque fois qu’il la sortait.
Les femmes qu’il essayait de séduire, le repoussaient ayant peur de se faire défoncer.
C’est une de nos amies qui l’ayant fui, m’en a parlé, je cherchais un mâle, je lui ai proposé de venir chez moi.
C’était il y a deux ans, depuis comme tu peux le voir, il est resté et je lui fournis de nouvelles femelles régulièrement.
• Mon amie apprend vite, regarde, elle lui suce la queue.
Dis-moi Charles-Antoine, avant que nous mangions, pouvons-nous nous baigner.
• Nous d’abord, nos toutous après, c’est une règle dans notre organisation, aucun mélange entre eux et nous, mais si tu acceptes d’entrer définitivement dans notre monde, tu vas t’habituer.
Viens, plongeons dans notre piscine !

Je me dénude, Charles-Antoine me suit, nous plongeons de consort.
J’ai eu le temps de voir qu’il est bien bâti.
C’est le genre d’homme que je mets dans mon lit chaque fois que je le peux.
La quarantaine grisonnante, bref un mec connaissant la vie.
Nous nageons côte à côte, nous semblons aussi fort l’un que l’autre en natation.
Mais je commence à fatiguer aussi je me renverse pour faire la planche, jusqu’à ce que je sente le rebord et que je m’agrippe d’une main.
Il arrive dans ma fourche, ce point d’appui sur le rebord me permet d’écarter les cuisses.
C’est naturellement que sa bouche vient caresser mon sexe.
Il pause, lui aussi une main sur la lisse et me broute divinement.
Quand mes amants savent y faire, mon clitoris démarre facilement, c’est le cas au bout de quelques minutes de ce traitement.
Sur la pelouse non loin de nous, Marius de nouveau tendu vient de resauter sur le dos de Noémi et la reprise comme la première fois.
Heureusement, que Charles-Antoine vient me pénétrer m’apportant une vague de plaisir.
Sinon je sortirais de l’eau pour transgresser les règles de la communauté que je viens d’intégrer en prenant la place de mon amie.
La verge qui entre et sort de moi à une taille plus normale que celle que semble savourer ma petite chienne Noémy encore vierge il y a peu.
Si des femmes refusaient de baiser se faire sauter par cette bite monstrueuse, mon amie semble avoir une chatte tout à fait adaptée pour le recevoir, surtout pour la première fois.
Dans la nuit qui est tombée, la lune éclaire la scène et quand Noémie tend son corps vers elle, le hurlement qu’elle pousse est un cri de plaisir qu’elle nous renvoie.

Un système automatique démarre un éclairage constitué de LEDs, qui entoure la piscine.
Nous voyons mieux qu’en plein jour, Marius a dû remplir le vagin de sa femelle, car elle suce la queue de son mâle pour la nettoyer.
Je vois sa langue sortir se promenant sur le méat.
Dans ma piscine, mon nouvel amant est toujours actif.
Il me retourne, je sens qu’à l’endroit où nous sommes, j’ai pied aussi, j’écarte les jambes, il me reprend par-derrière.
Si la chatte de Noémie a été aux anges, quant au bout d’un long moment, malgré l’eau de la piscine, je sens le sperme chaud venir tapisser mon vagin.
C’est à mon tour de hurler en même temps que mon amant vers la Lune.

• Je vois que Firmin a servi notre repas, viens, tu m’as donné faim.

Il m’aide à sortir de l’eau, arrivée sur la berge, il me prend dans ses bras, mes seins malgré le froid de sa peau sont satisfaits d’être écrasés, nos bouches se soudent.
Heureusement, je sens sa verge toucher mon ventre, rester sagement au repos, moi aussi j’ai faim après nos ébats aquatiques.
Il m’installe, le majordome vient nous servir une coupe de champagne.
Je viens de rentrer dans un monde étrange, nous parlons, eux non, nos amis sont revenus s’assoir à nos pieds.
Pendant le repas, nous mangeons du gibier très fourni, autour de nos castels, Charles-Antoine en coupe un morceau qu’il donne à Marius, celui-ci le prend et en donne une partie à Noémi avant de manger le morceau suivant.
J’ai eu un vrai chien de compagnie pour remplacer Brutus, vers les dix ans pour mon anniversaire.
Chaque fois que je prenais un morceau pour le nourrir, père, le remettais à sa place, en lui disant qu’un chien devait rester près de son maître aux heures des repas.
Si je considère que pour se faire dépuceler Noémi devait devenir ma chienne de compagnie, entièrement soumise à moi, je devrai en faire de même.
Mais je lui dois trop de bon moment pour la traiter avec indifférence.
C’est naturellement que je lui coupe un morceau et que je lui mets dans la main.
Après le dessert, une omelette norvégienne que la serveuse du début fait flamber, pour une première soirée entre nos toutous, il est l’heure de rentrer.
Je fais monter Noémi sous le regard chagrin de Marius, voyant sa petite maîtresse le quitter.
Charles-Antoine qui lui a remis sa laisse comme j’ai remis la sienne à la mienne, lui caresse la tête pour le calmer.
S’il l’avait lâché, je pense que j’aurais subi le sort que mon amie avait subi petite et mon visage serait labouré.
Nous roulons, je détache Noémi.

• Marie-Ange, merci, c’était formidable, je me suis pleinement senti à ma place avec Marius, sa verge en moi me prenant mon pucelage a été extraordinaire.
J’espérais qu’une verge me dépucelle, pour être servie, j’ai été servi.
• Avant de partir, Charles-Antoine m’a demandé de revenir le voir samedi prochain avec toi, nous aurons une surprise, tu seras nue et moi recouverte d’une robe du soir.

Tout au long de la semaine, mon amie travaille pour moi comme une employée normale.
Elle a vraiment adoré notre soirée, car chaque soir, elle arrive à quatre pattes, ayant mis son collier à son cou avec sa laisse.
Elle se couche à mes pieds et regarde la télé.
Comme tous les soirs nous sommes nues, mes pieds sont à sa portée et elle finit même par me les lécher.
Le deuxième soir arrive enfin.

• Allez mon toutou chéri, c’est le moment d’aller retrouver Marius, monte en voiture.

Noémie a mis le nouveau collier que je viens de lui offrir pour son anniversaire.
Il est vert, serti de cinq émeraudes, j’ai passé une soirée encore fantastique grâce à elle, cela vaut bien cette petite dépense.
Je viens de recevoir mes résultats, je vais pouvoir remplacer père dès septembre.
Quand j’arrive, le portail est ouvert comme la semaine dernière.
Je remonte jusqu’au perron du manoir où j’arrête ma voiture.
Un jeune homme ouvre ma portière et je descends.
Il en fait de même avec la portière où ma petite chienne frétille de joie.
Elle descend, je la récupère avant de lui faire monter le perron.
Le jeune homme monte au volant et va garer ma voiture à côté de nombreuses autres, tous des modèles de luxes.
Le majordome de Charles-Antoine nous fait traverser la maison et nous conduits jusqu’à la terrasse.
Je détache la laisse de Noémi qui file vers la piscine.
Elle semble déjà chez elle, elle rejoint Marius qui lui fait fête.
Elle est rapidement entourée d’autres mâles et femelles qui par chance sont toujours au bout de leurs laisses.
Charles-Antoine vient vers moi, j’ai mis une robe longue, dans notre milieu, mes parents organisaient des repas dits de travail et j’en ai plusieurs.
J’ai le temps de voir qu’il y a plusieurs hommes et femmes, les femmes en robe longue et les hommes en smoking.

• Marie-Ange, je suis contente de te voir, ta petite chienne et toi, elle semble déjà bien adaptée à sa nouvelle condition.

Il se retourne.

• Firmin, dites à Jules de fermer le portail, tous nos invités sont arrivés.

Il m’embrasse tendrement.

• Tu es folle d’avoir lâché ta femelle au milieu de nos amis à quatre pattes.
Tu veux déclencher une émeute.
Marius est capable de se battre pour sa chienne, tu verras, tous, quand ils auront fait connaissance s’entendront très bien lors de nos soirées.

C’est à ce moment, qu’une jeune femme accompagnée du garçon qui s’est occupé de nos voitures sort du manoir accompagner du majordome et de deux autres femmes toutes deux jumelles.

• Mais je connais ce jeune homme et cette jeune femme avec leurs plateaux de coupe de champagne et petits fours, ils sont à la fac avec nous.
• Ce sont le fils et la fille de ces deux femmes.
Firmin, mon majordome vit avec ces jumelles, ils font ménage à trois.
Ces femmes se ressemblent tellement que je suis incapable de dire à qui est Hugo et à qui est Laurence, je sais qu’ils ont le même père Firmin.
Quand ils se sont rencontrés, il a été incapable de choisir et comme les deux jeunes femmes étaient tombées amoureuses, tu vois le résultat.

Je viens de rejoindre un monde étrange, nous avons tous des compagnons qui aiment vivre leur soumission à quatre pattes.
Des servants et servantes qui aiment vivre en trio, que vais-je encore découvrir dans le chapitre III.
En attendant, deux blacks entourent Noémi, ma chienne.
Je vois qu’ils bandent déjà pour elle, sous le regard de Marius qui semble s’intéresser à une petite grosse tenue par sa laisse par une grande femme aux cheveux blancs.

• Je vois que tu regardes la comtesse de la clef des Champs, viens-je vais te la présenter…