COLLECTION SOUMISSION. Copines d’enfances (4/4)

Quel aurait été ma vie lorsque dans ma jeunesse, une erreur ayant entrainé de graves blessures au visage de Noémie, fille de mon âge et des gardiens de notre domaine, avait été évitée.
Hélas, notre chien Brutus, berger allemand et gardien du domaine la nuit en a décidé autrement.
Pensant protéger les chiots qu’il avait eux avec Diane, sa femelle, il a attaqué Noémie, la fille de nos gardiens, mais aussi ma copine d’enfance, la défigurant.
À l’âge où nous intéressons les garçons, elle se prend râteau sur râteau à la vue des graves blessures qu’il lui a infligées surtout au visage.
Je décide de l’aider à perdre son pucelage, mais gros, laid, pensant venir me baiser dès que je leur présente ma copine, c’est en courant qu’ils se sauvent.
Le baron Charles-Antoine de la Fiote, ayant entendu parer de notre problème me fait connaitre le monde des humains dominateurs et des humains dominés.
Je peux résumer, les humains normaux et les humains entrant dans le monde des chiens ou des chiennes.
Dans ces soirées, je fais la connaissance de la comtesse, dame déjà d’un certain âge, qui possède Do, sa chienne qu’un temps je pense être de tendance lesbienne.
C’est dans cet univers que Noémie devient chienne et se fait saillir par Marius le chien du baron suivi dans un deuxième temps par Alain et Yann deux antillais qui s’amuse avec elle allant jusqu’à la dépuceler de l’anus en double pénétration.
Do, petite chienne timide, bien protégée par sa maitresse la comtesse, fait connaissance d’une chienne naine et semble bien aimer le broutage de chatte pendant que j’en fais de même avec cette dame aux cheveux et à la vulve blanche.
Firmin, le majordome du baron sort un sifflet de sa poche afin que nos petites bêtes à quatre pattes quittes la piscine et viennent nous retrouver.
C’est l’heure des croquettes pour eux et des toasts au caviar pour nous.
Satisfaite du comportement de Noémie, couchée à mes pieds, je prends un canapé pour la récompenser.
Je fais là une erreur, me faisant reprendre par ma maitresse la comtesse de la clef des champs présidente de l’organisation que le baron m’a fait rejoindre.

• Marie-Ange, ce banquet, c’est pour les humains, pour nos chiens et chiennes, tu peux leur donner autant de croquettes se trouvant dans ce saladier que tu le désires.
Soit sans crainte, c’est le meilleur traiteur de la région qui les fabriques pour nos amis, il a lui-même une soumise, sa femme, ils sont partis en vacances et c’est son fils qui a préparé le repas.
Le fils va dépasser son maître aux fourneaux et question soumise, je devrais dire soumis, il aime les garçons et possède ce beau gitan qui sautait ta chienne dans la piscine.

Nous dégustons tous nos petits fours, je donne ses croquettes à Noémie, qui les partages avec Do.

• Relâchons nos chiennes, je sens qu’elles ont envie de faire plus ample connaissance, tu as compris que Do aime exclusivement les femelles.
• Comtesse, j’ai envie de me baigner, vous m’accompagnez !
• Quelle horreur, nous tremper dans cette eau où nos chiens se sont ébroués, demain Firmin va vider la piscine et la laver intégralement aidé de ses enfants.

J’attends que Noémie, finisse son apprentissage des sexes féminins avec Do avant de me rhabiller et de la récupérer comme la plupart des maîtres quittant le lieu de réunion des membres de l’association.

Le lendemain, après ma journée de travail, je regarde un film à la télé.
Noémie me montre des signes d’affection après ce que je lui ai fait connaitre la vieille comme plaisir.
La première fois, c’est mon pied qu’elle a léché, ce soir, je sens sa tête remonter vers mon entrejambe.
Je suis à deux doigts de la rabrouer, mais l’envie d’un cunnilingus devient impérative pour moi, je la laisse s’occuper de mon clito.
Fidèle aux préceptes de notre association, je sens que je fais un geste hors nature entre nos deux mondes.
Mais nous sommes seules, dans l’association qui pourra apprendre que ma petite chienne me fait du bien ?
Et il est trop tard, je pourrais dire que j’ai été surprise et que j’ai cédé à mon clito qui s’est enflammé surtout que Do a su apprendre à ma petite soumise de lécher l’intimité des femmes.
Je finis par céder définitivement lorsque Noémie saute sur mon canapé me présentant sa propre chatte.
C’est ensemble que pour la première fois, nos deux corps s’embrasent.
Terminé maître et chienne, il y a deux corps avides de plaisir, lorsqu’elle me quitte pour revenir à la maison des gardes, je sens un grand vide en moi.

• Bonjours Marie-Ange, j’étais de passage dans ton coin et j’ai eu envie de venir voir, comment tu vivais.
• Entrer Comtesse, je vais vous faire visiter le domaine que mes parents m’ont laissé.

Fidèle à sa classe cette grande dame fait sortir d’un cabriolet, Do sa chienne, recouverte d’un manteau comme ceux que portent les chiens dans la rue lorsqu’il fait froid.
Là, il fait chaud, mais c’est dans un tissu léger dans lequel il a été confectionné.

• Comtesse, je suis contente de votre visite, je vous offre un thé !
• Quelle horreur, au minimum un whisky ou a défaut une coupette de champagne !
• Noémie va chercher un verre à mon amie, pour moi ce sera un thé.

Noémie faisait le ménage, elle s’exécute, comme tout humain sait le faire.

• Alors que penses-tu de notre association, ta petite chienne a trouvé chaussure à son pied ?
• Oui, je vous en remercie, elle a beaucoup évolué dans sa sexualité.
• Tu sembles gêner, y a-t-il un problème avec ta petite soumise ?

J’ai un problème, il m’est impossible de mentir.

• J’ai eu des rapports avec Noémie, elle était à mes pieds alors que je venais de prendre mon bain, elle m’a embrassé dans le creux de ma chatte et j’ai cédé.

La comtesse éclate de rire, je suis un peu vexée.

• Marie-Ange, comment crois-tu que Do fille d’une très haute famille a appris à s’occuper de la chatte de ta petite chienne ?
C’est moi qui l’ai formé, Do, fait voir à mon amie, comment tu m’aimes.

Do à ses pieds soulève la jupe de la comtesse dévoilant sa chatte blanche lorsqu’elle écarte ses cuisses, je vois sa langue venir attaquer là où ça nous fait du bien.
Noémie arrive de la cuisine, avec un plateau, elle donne son verre à la comtesse et pose le thé devant moi.

• Noémie va aider ton amie à satisfaire la comtesse !

Elle s’agenouille et prend place à côté de la petite chienne, chacune leur tour, leurs langues viennent attaquer la vulve de la comtesse.

• Do, Marie-Ange doit avoir envie que tu t’occupes d’elle.

La petite chienne vient à moi, je soulève, ma jupe écartant mes cuisses rapidement je prends du plaisir comme la comtesse en prend.
Je suis rassurée, surtout lorsque Do me fait jouir en même temps que la comtesse avec Noémie.
Dans le secret de nos alcôves, le rapprochement entre maîtres et soumis est possible et je vais pouvoir rester au sein de cette association qui a apporté à mon amie tant de joie.

• Bon retour comtesse, merci d’être venue, si vous passez dans le coin arrêté vous il y aura toujours un verre pour vous.

Rasséréné, je vais finir mon thé froid, mais peu importe je l’aime aussi ainsi.

• Marie-Ange, je peux te demander quelque chose !
• Tu peux tout me demander, tu es mon amie et les nouveaux rapports que nous avons découverts ensemble, te permettent cette audace.
• Samedi, j’aimerais recevoir quelques amis dans mon pavillon des gardes !
• Mon père t’a fait cadeau de cette maison, tu peux y faire ce que tu veux.

Je voudrais bien lui demander qui elle reçoit, étant entièrement intime elle et moi, mais je veux que Noémie vive sa vie, alors le samedi je suis seule à regarder la télé.
J’éteins pour aller me coucher, je sors sur ma terrasse pour admirer le ciel étoilé.
J’entends les flonflons de la fête que donne Noémie, je décide de m’approcher, ce sera le moyen de voir qui elle reçoit.
La maison des gardes est en partie la réplique de mon manoir, je monte le perron deux fois plus petit que le mien.
Je sais que là, j’aurais la vision de ceux qui font la fête.
Oh, quelle surprise, Noémie reçoit un certain nombre de nos soumis et soumise faisant partie de notre organisation.
Marius, Alain, Yann, le gitan, mais aussi Do et quelques autres femelles sont là, entièrement nus.
Tient Noémie brille par son absence, elle a dû se rendre dans sa cuisine, pour aller chercher boisson et petit four.

• Bonsoir, Marie-Ange, tu viens voir qui j’ai invité, Do lorsque nous étions partis sur la pelouse chez le baron, que vos chiens et chiennes aimaient se réunir.
C’est leur moment à eux, aussi pour l’entrer dans leur monde, ce soir c’est moi qui invite.
Mais entre, je suis certaine qu’ils sauront bien t’accueillir.
• Tu étais sortie, tu cerchais à me voir !

En même temps que, je lui demande ça, grâce à la lune, je vois Brutus derrière elle.
Pas de méprise, Brutus est mort ainsi que son fils issu de la portée qu’a eu Diane.
C’est son petit-fils qui garde le domaine d’ailleurs, je dois recevoir un éleveur qui va lui proposer sa femelle pour qu’à son tour il ait une descendance.
Noémie ouvre sa porte et me fait entrer.
Marius et les deux Antillais viennent me voir.
Chez le baron, j’aurais aimé être une chienne et me faire saillir par ces verges monstrueuses.
Elles sont là à ma disposition, je saisis Marius, devenant sa chienne, je m’agenouille voyant Do se faire prendre par le gitan.
Dans le monde où je vis, nous pensons que nos soumises sont des lesbiennes comme la comtesse le pense pour Do, mais la bite qui la prend en levrette est loin d’être féminine.
Do se cabre et exprime le plaisir qu’elle prend avec Aldo, c’est le nom du gitan.
Pour ma part, Marios s’allonge sur un tapis et m’invite à m’empaler.
Lorsque je sens l’un des blacks, mettre son gland sur mon anus, je sais que je deviens la chienne de ces deux garçons surtout que le troisième m’apporte une prise à trois lorsque sa verge vient dans ma bouche.
Voilà, à partir de ce soir-là, j’ai mes moments dominateurs et mes moments chiennes pour notre plus grand plaisir à Noémie et à moi.
À cet effet, gagnant largement ma vie, j’ai fait mettre sur ma pelouse, une piscine fonctionnant été hiver et c’est ensemble avec mon amie, que nous dominons le monde des humains et de la gent canine.
Pour ma part, j’aime passer d’un monde à l’autre, un jour l’une et la fois d’après l’autre.