ACCUEIL > Hétéro > Récit : COLLECTION ZONE ROUGE. Bigame (1/2)

COLLECTION ZONE ROUGE. Bigame (1/2)

+7

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/04/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :




Je m’appelle Alice Chabran née Loquin à Beauvais, j’ai 30 ans, je suis mariée depuis cinq ans avec Benoit Chabran mon mari que j’ai connu et épousée à Paris.
J’ai deux enfants Claude 3 ans et Claudine 2 ans, le choix du roi, nous habitons dans un immeuble donnant sur le champ de Mars, la Tour Effel à droite et les Invalide à gauche.
Nous habitons au dernière étage un cinq pièces avec balcon possédant une surface verte.
J’ai femme de service, nurse, mon mari à un chauffeur qui vient le chercher tous les matins, c’est pendant les vacances à Monté Carlos que j’ai fait la connaissance de Benoit, nous sommes tombées follement amoureux, il faut dire que j’étais vierge et que le sang qui a orné nos draps notre nuit de noce en a été la preuve.
Mon mari est issu d’une famille de banquier, l’étant lui-même, je suis une femme comblée et oisive, n’ayant rien à faire que de dépenser mon pognon hérité de mes parents que j’ai récupéré près d’un notaire le jour de mes 18 ans.
Mes parents sont morts dans un accident d’avion quand j’avais 12 ans et j’ai été élevé chez les sœurs jusqu’à ma majorité.
Mes enfants et la nurse sont partis à Cannes dans la villa de mes beaux-parents pour les deux mois d’été, ils vont pouvoir profiter de la piscine et de la vue magnifique sur la baie.
En plus de leur villa, mes beaux-parents ont un bateau de 12 mètres avec cabine qui est amarré dans le port, mon beau-père sortant plusieurs jours avec mes petits pour aller dans les îles grecques, sa destination préférée.
Je vais les rejoindre en août, juillet étant réservé à ma belle-sœur divorcé quatre enfants qui ne sort pas de la villa, la moindre minute étant toujours très fatiguée.
J’aime le sexe, mais on ne peut pas dire que je sois une folle du cul, je suis la bourgeoise qui se fait sauter pour satisfaire son mari et évité qu’il aille voir une pétasse qui n’aura de cesse de vous prendre votre place.
Je suis brune aux yeux verts, cheveux court, seins 95 C, refais je dois le reconnaître ainsi que mon nez que j’ai légèrement fait raboter.
Sans oublier ma chatte épilée au laser, lisse comme dans mon adolescence après trois séances et presque 6 000 € dépensé.
Comme les enfants et la nurse sont absent, tous les soirs, je rejoins Benoit en taxi, Marina notre femme de service étant au Portugal en vacances avec enfants et mari, nous dînons tous les soirs dans les meilleurs restaurants parisiens.
Avant de partir, le rejoindre, j’ai téléphoné aux enfants avant que Lidia la nurse les douches, les fasses manger et les couches, je suis heureuse bien qu’il me manque, qu’ils soient en pleines formes.

Aujourd’hui comme tous les jours levé 12 heures, un thé nature avec une biscotte sur laquelle je mets un peu de beurre, salle de sport avec Lucette mon ami, elle ne vient jamais à la maison, Benoit refuse de la voir et elle aussi.
De vielles affaires de famille et un amour déçu en sont certainement la cause, mais moi elle me fait rire, elle a toujours rencontré l’homme de sa vie, mais chaque fois c’est une catastrophe.
Comme tous les mardis, après ma douche au gymnase, je vais chez mon coiffeur, aujourd’hui simple brushing, la couleur c’est pour la semaine prochaine.
A 14 heures 30 mon taxi me dépose, ascenseur et j’arrive sur notre palier avec mémé Denise, c’est une petite vieille de 75 ans, un peu sourde pour ne pas dire entièrement sourde.
Ma porte est ouverte malgré qu’elle soit blindée, c’est une voix parlant anglais qui m’apostrophe avec un fort accent américain.

• Entre Francine et referme ta porte, il y a bien longtemps que je t’ai violé avec ton consentement.

J’approche de la porte de notre salle et un homme est là assis lascivement caler par mes cousins dans mon canapé, c’est dans la même position que je regarde la télé avec Benoit qui est dans fauteuil.

• Qui êtes vous ?
• Arrête de faire ta Greta Garbo, j’ai appris à mes dépends que tu es une bonne comédienne, mais évite de fatiguer Johnny.

Nous avons parlé en anglais, j’ai répondu comme lui dans la même langue, cet homme texan jusqu’au bout des ongles avec chapeau et bottes de cuir sans oublier le jean et le gros ceinturon joue avec sa lame fine et suffisamment longue pour percer un cœur.

• Tu ne viens pas m’embrassé trésor, c’est parce que tu ais devenue une grande dame que Johnny te fait peur.
• Monsieur sortez sinon…
• Sinon quoi, tu vas appeler la police, tient mon portable ici c’est le 17, tient je le fais !
Yes, je vous passe ma femme.

Il me tend le téléphone.

• Excusez monsieur, j’ai cru voir un accident, mais je me suis trompée.

Je raccroche.

• C’est mieux, j’aurais bien voulu voir comment tu-t-en serais sortie quand je lui aurais dit que tu t’appelle Francine Smith née Dubois, fiché au commissariat du 6 ème, donc avec dans un dossier tes empruntes digitales.
Tu te souviens, on c’est rencontré alors que j’étais dans la cage voisine, nous avons sympathisé et dès que nous avons été libre, je t’ai emmené à San Antonio au Texas.
J’étais expulsable et tu m’as suivi avant que l’on aille à Las Vegas ou nous nous sommes mariés, dans se sac, j’ai tous les papiers qui l’atteste d’une façon irréfutable même dans ton pays.

A ses pieds, il y a un sac de sport avec le logo d’une grande marque de sport qui semble bien rempli.

• Vous divaguez, je n’ai jamais été aux États-Unis !
• Téléphone, tu vas le dire aux flics, ils seront très intéressés, Benoit, il sait qu’il est bigame.
Je vois à ta tête, tu te souviens de tous ce que tu as cru rejeter, je sais beaucoup de toi sur la nouvelle madame Smith, pardon Chabran, deux enfants qui sont en ce moment chez tes beaux-parents à Cannes.
A moins que ton beau-père les ait emmenées faire un tour sur son 12 mètre dans ses îles grecque préférées ?
Ton mari a quitté le domicile à 7 heures pétante, un taxi l’attendant pour le conduire à sa banque, son chauffeur étant comme votre bonne en vacances, vous leur donnez 2 mois de congés, car ils accumulent des heures supplémentaires toutes l’année.
A oui, Lidia votre baby-sitter, elle est à Cannes avec tes enfants, elle s’occupe de tes enfants et de tes neveux, je vais t’apprendre quelque chose, quand ton beau-père part avec les enfants dans les îles, Lidia l’accompagne et il la baise.
Quel salaud, elle a 20 ans, il en a bientôt 70, tu me diras il a raison d’aimer la chair fraîche, peut-être qu’il la paye, avec ses moyens !
• C’est ignoble, mon beau-père est un homme bien et honnête.
• Comme toi, je suppose, pourtant c’est toi qui m’a donné à la police à San Antonio pour te casser avec mon pognon, 3 000 000 de dollars en diamant brut et 2 de plus en grosses coupures de 100 dollards, 20 000 beaux billets verts, je te fais grâce de la menue monnaie.
Tu te souviens !

Je me tais, planté devant lui, de nombreuses images reviennent à mon esprit, moi qui croyait m’en être tiré après avoir prévenu les flics d’un casse que nous avions préparé ensemble se déroulait dans l’immeuble que j’étais sensée surveiller pour le prévenir s’il y avait des mouvements.
Nous avions braqué un diamantaire à Dallas dans son appartement la veille, nous étions revenues dans son ranch pour déposer notre butin pour immédiatement repartir à Houston où il devait fracturer la maison d’une mémé très friquée.
Je devais contrôler les allées et venues dans la voiture, c’est moi qui ait appelé les flics, je l’ai vu me regarder quand ils l’ont fait rentrer à l’arrière de la voiture grillagée, j’ai vu dans son regard qu’il savait qui les avait appelés.

• Je vois que les choses te reviennent à l’esprit, il y a 6 mois que je suis sorti de tôle, plus de trois ans en cage à se faire sucer par les jeunes puceaux qui se sont fait prendre qui tombent dans nos pattes.
Tu comprendras les boules que j’ai !
J’ai su la pute que tu étais quand tout au long de ces années, je n’ai jamais eu ta visite.
Je n’ai donc pas été surpris quand je suis arrivé dans mon ranch, que te soit barré avec mes diamants et mon pognon, je savais que ce serait comme ça après que tu m’ais donné au flic à Houston.
Dit donc, tu es bien conservé malgré tes rejetons, tes seins, tu les as gonflés, tes cheveux blond et long que j’aimais tirer comme s’ils étaient les rennes de mon cheval quand je te baisais en levrette.
Dis-moi, tu es aussi salope avec ton banquier, j’ai tous ce qu’il faut dans mon sac pour te rafraîchir la mémoire sur toutes les saloperies que nous avons fait ensemble en plus des casses.
Avant que tu me fasses tomber, nous avons bien vécu cinq années qui tiennent là dans mon sac.
Tes yeux, d’un bleu profond, ils sont verts, tu porte des lentilles oculaires, enlève-les ?

Je suis anéanti, tous ce que j’ai voulu oublier et que j’avais réussi à oublier remonte en vagues à mon esprit, comment m’en sortir sans que Benoit et les enfants soit éclaboussés, l’ordre suivant me ramène sur terre.
J’enlève mes lentilles retrouvant mes yeux qui sont bleus comme il l’a dit.
Depuis mon mariage, j’ai réussi à ce que mon mari ignore ce détail, je les ais toujours enlevés pour dormir quand notre chambre était dans le noir, pour les remettre c’était facile, il se levait toujours avant moi.

• C’est bien, tu es docile, c’est normal tu vis au crochet de tes deux maris, est-ce que tu le suce comme j’aimais que tu le fasses, viens ouvrir mon pantalon.
Voir la bouche de la bourgeoise que tu es devenue me pomper, me lavera de toutes ces jeunes bouches mâles qui se sont succédé pendant toute mon incarcération.

Comme un zombi, je me surprends à m’agenouiller, à défaire son ceinturon, à sortir sa verge qui m’a défloré, contrairement à ce que j’ai réussi à faire croire à mon mari la nuit de nos noces.
Le flacon de sang récolté après la prise de sang que je me suis faîte, m’a été bien utile quand je l’ai versé dans mes draps de jeune mariée, en me donnant à lui, je pensais en avoir fini avec mon passé que je dirais glauque.
Ma bouche et ma main s’approche de se sexe qui je le sais va concrétiser ma nouvelle déchéance…









7 vote(s)


Histoire de Chris71

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : COLLECTION ZONE ROUGE. Bigame (1/2)

Le 21/04/2023 - 23:58 par OlgaT
Une double vie!

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :