COLLECTION ZONE ROUGE. Hôtesse sur Air Liberté. La suite (2/3)

Vous souvenez-vous de moi, je m’appelle Jennifer, c’est le 2 juin 2018 que Chris71 vous a conté comment je me suis retrouvée embauchée sur « Air Liberté ».
Je devrais dire « Air Sexe Liberté », compagnie aérienne louant à ses clients des jets avec hôtesses que je qualifierais de folles de sexe.
Tout est permis à bord, tous les débordements la seule obligation pour eux c’est de lâcher un énorme chèque.

Aujourd’hui je suis passé par nos bureaux tout à fait classique comme tous les autres sièges de compagnies afin d’éviter d’attirer l’attention sur nos pratiques de vols.
Luc notre patron m'a reçu et m’a présenté Radia jeune marocaine d’une vingtaine d’années.

J’ai le plaisir d’apprendre discrètement par le patron que ma paye augmente de manière substantielle de 2 000 € alors que Radia restera à 5 000 €, ce qui est bien pour une jeune débutante.

L’avion décolle, direction l’aéroport de Nantes où nous devons embarquer nos deux clients pour le pays des Vahinés avec préalablement l’escale à Los Angeles où ils signeront de gros contrats.
Nous avons décollé, nous nous détachons.

Dans notre coin-repas et surtout cocktail, voire champagne, la bouteille étant facturée à des prix qui feraient pâlir un smicard.
J’ouvre une bouteille, je la prendrais à ma charge, tout est contrôlé entre deux voyages, notre compagnie est bien gérée, aucun centime perdu.

Au décollage, les doigts de Radia sont venus en moi, elle avait une petite appréhension.
À bord, le plus difficile pour nous, ce sont les trous d’air, j’ai une amie qui fait le métier de barmaid sur des bateaux de croisière, ces navires modernes ont des barres anti-roulis qui les stabilisent.
C’est le cas quand nous sommes en altitude, j’ai l’habitude de ce phénomène, au passage de l’un d’eu je la reçois dans mes bras.
Heureusement je venais de poser la bouteille venant de faire sauter le bouchon.
Je récupère du champagne dans les deux coupes que je nous sers et je lui en mets derrière ses jolies petites oreilles.
Ça porte bonheur surtout pour un premier voyage.
Nous nous asseyons dans l’un des deux canapés sur le côté de l’avion.

• Puis-je en savoir un peu plus sur toi, après je te dirais quel a été mon parcours.
Je vois que tu es mariée, tu as une alliance.
• J’avais 17 ans quand mon père m’a marié, mon mari a 30 ans de plus que moi.
• Tu l’aimes, comment peut-on aimer quelqu’un avec une telle différence d’âge ?
• Il m’apporte ce qui me manquait chez mon père, la liberté.
C’est un homme généreux et avec une grande culture, quand je lui ai dit que je voulais travailler, il m’a encouragé.
• Il sait que tu es sur Air Liberté, avec comme particularité le sexe.
• Non, il y a quelques mois, je lisais des histoires érotiques sur l’un de vos sites, « histoire de sexe. »
L’un des auteurs rapportait ton histoire, comment Luc notre patron t’a proposé de voler sur sa compagnie et comment tu as accepté.
J’ai vu que vous avez pu rembourser vos dettes.
• Et ça t’a suffi pour avoir envie de faire comme moi !
• J’ai fait mieux, je viens de l’avoir par téléphone, je lui ai raconté l’achat d’une résidence en grande banlieue.
Je lui ai dit que j’allais à Tahiti avec toi, il attend que je le rappelle pour lui conter notre voyage.
Je lui ai simplement dit que je pourrais visiter le monde pendant que de son côté il continuera à faire des affaires.
• Et si un jour, il apprend l’existence de notre compagnie, qu’il décide de se servir de nos avions et de nos services pour se déplacer.
• S’il tombe sur moi, soit, il accepte ce que je fais, soit il divorce et je vivrais ma vie seule.
• C’est vrai, tu gagneras assez d’argent pour vivre en indépendante.
• J’ai nul besoin de travailler, maman est morte, mais papa est très riche, ma dot à mon mariage a été la plus grosse depuis des années dans notre région.
• Ta dot, dans votre pays le père offre encore une dot !
• Pour moi, un terrain près de Meknès, attention, il se termine près d’une rivière, chez nous, ça lui donne une grande valeur.
• Dis-moi, il y avait des chameaux voire des ânes !
• Des ânes non, mais un troupeau de chèvres.
• Mon Dieu, mon Dieu, je comprends que tu veuilles t’émanciper.
• Détrompe-toi, j’aime mon mari, il me passe tous mes caprices, j’ai même mon propre chauffeur.
Hier, il m'a conduit avec ma voiture à l’aéroport de Rabat où j’ai pris l’avion pour Paris.
• Pardon, incroyable, tu habites au Maroc et tu prends l’avion pour venir à Paris faire l’hôtesse de l’air surtout sur cette compagnie.

C’est à ce moment que j’entends Cri-Cri parler depuis le cockpit.

• Les filles, arrêter de picoler, Radia, Kamel à mes côtés à entendu ton histoire, il regrette, il t'aurait bien épousé.
Il aurait aimé devenir propriétaire de quelques chameaux lui qui est né et qui habite dans le neuf trois.
Il les mettrait sur la mer de sable, ça lui rapporterait.
• Radia bouche tes oreilles, il dit des bêtises, mais attachez-vous, je vais nous faire atterrir à Nantes.

J’avais oublié que nos pilotes ont une télé qui montre la cabine de l’avion et qu’ils ont tout entendu et vue.
À sa voix, Kamal serait puceau, j'en ai presque la certitude.
À Los Angeles, je vérifierai si j’ai raison, me faire un puceau, mon rêve, j’aime être une initiatrice, comme je le suis pour Radia aujourd’hui.
Pourtant depuis le temps que je vole sur Air Liberté, les caméras qui nous filment permettant aux clients s’il le désire de pouvoir acheter le film de notre voyage, je le sais.
Lors d’un voyage, le client que je suçais me mettait sous le meilleur angle d’une des trois caméras pour que Louis l’un de nos autres pilotes ait une vue imprenable sur mon anus ou il avait glissé trois doigts.

Comme au décollage, Radia s’accroche à moi, au moment de redécoller de Nantes je sais ce que je vais faire avec nos clients, ils apprécieront l’accueil.
Malgré son manque d’heure de vol Kamal pose notre gros oiseau sans problème ou autre tangage exécutif.

Les deux clients arrivent, j’avais raison, ce sont des acteurs connus, mais, hélas, pour vous, mesdames, nous devons savoir être réservé.
La seule chose que je peux dire, ni Leonardo, ni Brad.

• Bonjour messieurs, bien venue sur Air Liberté, avez-vous déjà volé sur notre compagnie !

Un peu sur le retour d’âge, mais bien consommable encore, surtout pour 12 000 €, les deux garçons entrent dans la cabine et viennent nous faire un baisemain.

• Votre patron nous avait dit que nous apprécierions votre beauté, vous êtes plus belles que sur vos photos.
Il est vrai qu’en les regardant les hôtesses qu’ils pouvaient nous proposer, vous aviez toutes deux une longueur d’avance.
À si, je suis obligé de dire que vous avez été mise en concurrence avec Isabelle, vous devez la connaître !
• Toujours le même Philippe, tu as deux merveilles devant toi et tu es assez bourrin pour parler d’une autre femme.

Bien sûr, je connais Isabelle depuis que je travaille ici, je suis même déjà allé à Tahiti avec elle et un seul client, un mec enturbanné qui possédait des puits de pétrole.
Il est venu avec nous que pour l’allée.
Il retrouvait son propre jet pour le retour avec son harem.
De notre côté, le lit que j’ai devant moi et Cri-Cri premier pilote, a entendu les cris de plaisir et d’orgasmes que nous nous sommes prodigués lors du voyage retour.

Le deuxième acteur, très massif s’appelle Gérard, nous éviterons dans dire plus, il nous fait un baisemain lui aussi.

• Pour moi, lors du choix, votre présence Radia a été une évidence, nous savons que c’est votre premier voyage sur cette compagnie.
J’adore les filles du Sud, j’ai beaucoup tourné dans votre pays, vous êtes marocaine je crois.
Je vois que vous êtes mariée Radia et vous aussi Jennifer, mais je suis indiscret.
• Messieurs, pourquoi avoir laissé vos sacs de golf dans la cabine, leur place est dans la soute à bagages ?
• Nous allons nous entraîner à putter, mesdames, je voudrais vous dire que votre accueil surtout dans ces tenues justifie largement le prix de notre voyage autour du monde.

C’est à ce moment que Christian nous parle dans son micro.

• Mesdames, installez ces messieurs à leur place, la tour de contrôle vient de nous prévenir que nous pouvons décoller, vos bagages sont chargés.
Je viendrais vous voir dès que l’avion sera en pilotage automatique.

Je place nos clients complètement de façon différente que la configuration de la cabine le prévoyait.
Je place Radia à l’endroit où elle s’accrochait à moi lors du départ de Paris, ma chatte se souvient encore des doigts qui sont venus s’agripper à elle.

Pour ma part, je m’installe dans l’un des deux fauteuils qui aurait dû être la place de Gérard.
Avant de me sangler, je le fais pour Philippe, je me place les jambes écartées sous couvert d’équilibre, montrant toute mon intimité à nos autres compagnons.
Je sens mes jarretelles se tendent mais elles tiennent laissant mes bas bien placés sur mes jambes.
De l’autre côté, Gérard a une vue plongeante sur mes seins qui bandent à voir ses yeux sortir de sa tête.
Il va de soi qu’en bonne professionnelle et des airs et du sexe, ma main frôle son pantalon.
Je sens qu’avec lui je vais être satisfaite, il a un paquet aussi gros que chaque chameau que possède maintenant le mari de Radia chez elle.

Une fois assis, au moment où le pilote qui va nous faire décoller fait faire le point fixe à notre avion, je vois Radia ayant déjà la verge de Gérard dans sa main.

J’ouvre à mon tour la fermeture de mon compagnon, une verge énorme surgit vers le ciel.
L’avion décolle, direction Los Angeles, mais avant quelques moments de plaisir à venir, du moins je l’espère, je vous l’ai dit, j’adore le sexe et de formes différentes…