Fatima

-Dis, Bébé, tu pourrais passer ce soir après le travail chez ma mère ? Elle a un souci avec internet.
-On ira ensemble si tu veux.
-Ben non, tu sais bien que ce soir, je sors avec les filles !
-Ah oui, c’est vrai ! Bon, ben, dis-lui que j’y serai vers 18h00.
C’est pas fréquent que j’aille chez ma belle-mère seul, parce que je ne m’entends pas très bien avec elle. En fait, je crois qu’elle s’imagine que je trompe Charline, parce qu’elle ne parle pas de notre relation à sa mère. Elle ne peut donc pas savoir qu’on a une relation particulière, basée sur la confiance et que tout ce que nous faisons, c’est d’un commun accord, même les partenaires occasionnels.
Bref, je l’ai promis à Charline quand j’ai découvert que ma belle-mère ne m’appréciait pas, je ne ferai jamais rien contre sa mère, car je lui dois le respect.
Fatima est une femme qui a seulement 5 ans de plus que moi. Eh oui, elle a eu Charline très jeune. Elle a la même carrure que sa fille, mais un petit peu plus charnue. Ben oui, 57 ans et quatre grossesses marquent le corps d’une femme. Mais elle n’en reste pas moins très charmante et en plus, elle se met toujours en valeur avec des tenues très féminines, mais aussi très sages. Toujours en robe, les bras jamais visibles et les cheveux toujours attachés en chignon ou recouverts d’un châle, Fatima est une veuve qui est respectée dans le voisinage.
J’arrive chez elle comme convenu vers 18h00. Je gare la moto dans sa cour et je referme le portail, comme à chaque fois que je viens.
-Bonsoir Fatima ! Vous allez bien ?
-Merci Luke d’être venu ! Oui, ça va si ce n’est cette connexion qui ne fonctionne jamais !
-Je vais regarder si ça vient de l’installation ou du réseau.
Je retire ma veste que je pose sur le canapé et je m’installe par-terre devant la box, qui est sous la télé. Fatima vient alors s’installer dans le canapé, derrière moi.
Tout en discutant avec elle sans la regarder, je continue de vérifier les branchements et l’état de la connexion. Comme tout est ok de ce côté, je fais un test de débit et en attendant le résultat, je me retourne vers ma belle-mère pour entretenir la conversation. Je remarque alors, à ma très grande surprise, que ma belle-mère est installée à la cool sur son canapé. Elle a mis ses deux pieds sur le canapé, à côté d’elle. Elle porte une robe courte que je ne lui connaissais pas avec de simples bretelles et elle a ses cheveux détachés.
-Quelque chose ne va pas ? me demande-t-elle.
-Euh, non, non. C’est juste que je ne vous ai jamais vue avec les cheveux détachés. Et ils sont magnifiques !
Je ne dis pas ça pour être poli, car ils sont vraiment de toute beauté. Fatima a une très longue chevelure brune, avec des cheveux ondulés. Ils doivent lui arriver jusqu’aux fesses, mais comme elle est assise face à moi, je ne me rends pas vraiment compte.
Elle a replié les jambes, ce qui fait que ses genoux sont maintenant dirigés vers moi. La courbure de sa position fait que ses deux jambes sont légèrement écartées et, d’où je suis, je devine la blancheur du sous-vêtement qu’elle porte sous sa robe.
Très surpris, je me demande ce qu’il se passe. Jamais ma belle-mère ne m’a fait des avances jusqu’à aujourd’hui, mais cette fois-ci, il semblerait qu’elle ait perdu la tête ou alors, je me trompe totalement et elle a simplement envie de changer. Je décide d’essayer d’en savoir un peu plus sur ses motivations.
-Fatima, vous ne devriez pas plier vos jambes ainsi, c’est pas bon pour la circulation du sang.
-Vous croyez ? En plus, depuis quelques jours, j’ai justement mal aux jambes. Je pense que je vais devoir aller chez le kiné pour me faire masser.
-Vous avez un kiné ?
-En fait, non, mais j’aimerais bien !
-Si vous voulez, je peux vous faire un petit massage drainant.
-Vous feriez ça ?
-Je le fais à Charline. Je peux bien vous rendre ce petit service.
-En fait, je dois vous avouer que c’est elle justement qui m’a suggéré de vous le demander, mais je n’osais pas !
-Voyons, entre nous, il ne faut pas !
-Alors si vous me faites ce massage, j’ai bien envie que maintenant, on se tutoie. Vous en pensez quoi ?
-Ben, pour dire vrai, on est de la même tranche d’âge, alors, on peut se le permettre.
-D’accord.
-Tiens, voilà le résultat de l’analyse du réseau. Vous avez maintenant une bonne connexion. Enfin, TU as une bonne connexion.
-Ah ben, super ! Alors, où on va s’installer pour ce petit massage ?
-Ben, le canapé, c’est pas génial.
-Oui, c’est vrai. Viens dans ma chambre, je vais me mettre sur le lit.
Elle ouvre alors la porte de sa chambre et s’y engouffre aussitôt. Je me relève donc et la suis. Bien qu’un peu forte, elle a vraiment un corps harmonieux. Elle récupère un flacon de crème pour le corps qui se trouve sur sa commode et me la tend tandis qu’elle monte sur son lit.
-Comment tu veux que je m’installe ?
-Mets-toi sur le bord du lit … voilà, les pieds juste au bord.
Je m’installe sur une chaise que j’ai approchée, face au lit. Fatima est donc allongée sur le dos, face à moi. Sa robe est au niveau des genoux et ses jambes sont collées l’une à l’autre.
J’ouvre le tube de crème, m’en mets dans la paume de la main et je commence le massage par les pieds.
Tout en massant ma belle-mère, j’engage la discussion.
-A part les jambes, comment ça va ?
-Oh, ça va. Mais heureusement que Charline passe régulièrement et que tu es disponible pour me dépanner quand j’ai besoin de quelque chose, parce ses frères et sœurs ne sont pas toujours disponibles.
-Tu sais, Fatima, tu peux me solliciter directement. Tu n’es pas obligée de demander à ta fille à chaque fois.
-Ben en fait, avec Charline, on se parle beaucoup et on parle de tout.
-De tout ?
-Oui oui, de tout !
-Ma femme te raconte ce qu’on fait aussi ?
-Non, elle me dit pas comment vous faites l’amour, rassure-toi, mais je sais pas mal de choses sur vous deux.
-Quoi par exemple ?
-Tu es bien curieux !
-J’avoue que ça me titille un peu de savoir ce que tu sais.
-Je sais par exemple que ma fille est pleinement satisfaite avec toi et que tu la rends heureuse. Et ça, c’est énorme. D’ailleurs, je t’en remercie vivement.
-C’est gentil, merci !
-Par contre, il y a quelque chose qui me chiffonne !
-Ah bon ? Quoi ?
-J’ai ouï dire qu’il t’arrive de faire des incartades, c’est vrai ?
-Qu’est-ce que tu appelles des incartades ?
-Il paraît que tu a déjà été vu en charmante compagnie.
-Ah oui, c’est possible, ça !
-Tu reconnais que tu trompes ma fille ?
-Non, je ne la trompe absolument pas ! Charline est au courant systématiquement de tout ce que je fais.
-Tu veux dire qu’elle est au courant quand tu la trompes ?
-Je veux dire qu’on en parle, qu’elle donne son avis et que je ne fais rien qu’elle n’accepte pas.
-Donc, si je comprends bien, si tu veux coucher avec une fille, tu lui demandes et elle est d’accord ?
-En fait, ça ne se passe pas comme ça. Généralement, c’est à la demande de la personne.
-Hein ?
-Imagine que tu aies envie de baiser avec moi. Tu me demandes. Eh ben, avant de te donner une réponse, je vois avec Charline si elle est d’accord ou si elle suggère quelque chose d’autre.
-Comment ça si elle suggère autre chose ?
-Des fois, Charline accepte mais veut être présente ou même participer ?
-Quoi ? Vous faites des trucs à trois ?
-Fatima ? Tu vas me faire croire que Charline ne te l’a jamais dit ?
-Ben, elle m’en avait un peu parlé, mais je n’y croyais pas vraiment ! C’est quoi cette relation que vous avez ?
-Nous avons une relation très ouverte.
Mon massage des pieds et des mollets était terminé, mais je voulais voir jusqu’où elle pouvait aller, alors j’ai continué avec les genoux en essayant de remonter sa robe légèrement. Elle a alors soulevé son bassin et, d’elle-même, elle a remonté sa robe jusqu’en haut des cuisses. J’avais maintenant une vue directe sur le tissu blanc de son sous-vêtement.
Je reprends le massage de sa cuisse droite et fais en sorte de l’obliger à écarter un peu ses cuisses, ce qu’elle fait sans rien dire. Elle a les yeux fermés, maintenant.
Je remonte le massage jusqu’à frôler la robe et redescends sur l’intérieur de la cuisse, ce qui la pousse à encore écarter ses jambes. Quand ma main passe tout près de son entrejambe, je sens la forte chaleur typique de la vulve échaudée.
Je passe sur la seconde jambe, ce qui permet à Fatima de se calmer un peu, mais très vite, je remonte jusqu’en haut de la jambe, tout près de sa chatte.
Je constate d’une part que le visage de ma belle-mère s’est empourpré et que le tissu de son sous-vêtement n’est plus immaculé, mais qu’une tache sombre est apparue au niveau de sa vulve. Fatima serait-elle en train de ressentir les prémices du plaisir ?
Pour ne pas risquer quoi que ce soit, je préfère m’arrêter là. Je me redresse et baisse la robe de ma belle-mère.
-Voilà ! J’espère que tu as apprécié ?
-Oui, ça m’a fait vraiment du bien !
Alors que je ressors de la chambre pour aller dans la salle de bain afin de me laver les mains, je constate qu’elle est encore étendue sur le lit et qu’elle n’a pas bougé d’un iota. Elle semble perdue dans un rêve.
-Ça va ?
-Oui, oui ! dit-elle en sursautant et en se relevant.
Fatima me rejoint au salon. Je ramasse ma veste et vais pour sortir. Ma belle-mère m’attrape alors par le bras et vient me faire une grosse bise bien appuyée sur la joue.
-Merci Luke pour ce petit massage.
Je repars chez moi avec plein d’idées en tête. Et j’avoue que ma queue avait bien grossi au moment de la bise.
La soirée passé relativement vite. J’étais seul et j’ai eu le temps de repenser à ce qui s’était passé. Devais-je en parler à Charline ? Tous les scenarii sont passés dans ma tête et je me suis endormi sans même avoir pris de décision.