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COLLECTION ZONE ROUGE. Jusqu’à son assassinat (1/1)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 03/07/2023

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• Bonjour futur beau-papa, je sais que ta fille m’a dit que tu savais que je la baise après l’avoir dépucelé, il semblerait que tu refuses de partager un peu de ta fortune avec moi.
• Monsieur Aldo laissez tomber ma fille Ange, c’est une jeune fille de la haute société parisienne, elle est promise aux garçons de notre monde qui sauront la protéger contre des maquereaux de votre genre.
• Justement en parlant de maquereaux, regarde la photo que je t’ai envoyé en même temps que mon numéro de téléphone.
Ta petite princesse est déjà au turbin pour moi, elle suce sa première bite pour seulement 50 €.
Je sais une poupée comme celle-là, c’est gâché, mais si tu refuses son mariage et un joli partage avec moi, lorsqu’elle écartera les cuisses devant de vieux salopards dans ton genre, elle sera entièrement une prostituée.
En même temps, en partageant avec moi, tu peux encore éviter qu’elle devienne accro à la coke.
Dans la soirée où elle a sucé ton copain Auguste de bon Vallon, l’autre photo montre le moment où je lui fais faire son premier rail avec son billet de 50 €, un rail de coke bien entendu.
Tu me laisses l’épouser et nous passons devant notaire pour que tu me files quelques pourcents de ta fortune et une soirée comme celle-là ce sera la seule que je lui ferais faire dans sa vie.
• Je vais prévenir la police, tu seras arrêté et pendant que tu seras en prison, je l’enverrais dans une institution pour qu’elle t’oublie et retrouve le droit chemin.
• Tu es vraiment un pauvre con, ta fille a dix-huit ans depuis deux jours.
Certes, je la saute depuis six mois et je l’ai entièrement à ma botte.
Ces petites pétasses comme ta fille, elles aiment ma belle gueule, c’est en courant qu’elles veulent écarter leurs cuisses pour me rapporter l’argent qui me sert à frimer dans ma bagnole au cheval cabré.
La coke, c’est en plus, ça les désinhibe complètement, dit oui à mon mariage, il est encore temps, je te l’ai dit, je l’ai fait snifer pour la première fois.
Par compte si elle continue je la vois bien finir dans un caniveau ou à Barbès, à sucer les bites des Africains sous le métro.
• Tu me tiens, j’aime ma fille et si sa mère du ciel apprenait ce que tu veux faire d’elle, elle en mourrait de chagrin, je vais aller lui parler sur sa tombe.
Je te demande quelques jours pour prendre une décision, avec un gendre comme toi, tu serais capable de me prendre mon fric et de continuer à prostituer ma fille.
• Je vois que tu as une très mauvaise opinion de moi, je tiens toujours ma parole, mais je veux bien te concéder quelques jours.
Pour te faire voir qui je suis, ce soir, j’ai prévu une petite tournante, ton pote le sénateur sera là, inutile de l’appeler, je pourrais faire venir ta fille, mais elle restera à l’hôtel à m’attendre.
J’ai plusieurs autres filles qui vont travailler pour moi, la tienne me rapportera plus la prochaine fois si tu fais le mauvais choix.

Ce fumier m’ayant laissé, il ignore qui je suis vraiment, dans ma jeunesse j’ai été légionnaire et dans la légion on sait se serrer les coudes dans l’adversité.
Lors d’une mission dans un pays dont je tairais le nom, avec mon pote Helmut, il était allemand, son père étant SS sous Hitler et depuis, c’est le parrain de ma fille Ange.
Nous sommes tombés sur plusieurs dizaines de kilos de lingots d’or qui ont fait de nous des personnes très fortunées.

Deux jours plus tard, je peux lire dans mon journal parisien.

« Aldo dit, l’italien macro notoire de la place de Paris est tombé sous les balles d’Auguste de bon Vallon, sénateur de Paris suite à un différend lors d’une soirée de ballet rose.
Auguste de bon Valon ce dit innocent d’avoir abattu son pourvoyeur de jeunes filles suite à un différend avec lui.
Mais lorsque la police est arrivée, il avait en main l’arme du crime sur laquelle seules ses empreintes apparaissaient.
De plus, il a reconnu que c’était son arme, mais qu’il la gardait dans le tiroir de son bureau, ignorant comment elle était arrivée là.
Nous pouvons ajouter que le sénateur était sous surveillance, un père d’une des filles qui participait à la soirée les ayant informés de la présence de mineurs et de la drogue à la soirée qu’il organisait. »

Je découvre la fin de l’article où il est dit qu’un homme avait prévenu la police.
Bien sûr, je suis étranger à cette partie de l’affaire, ma fille Ange est majeure depuis quelques jours comme l’a dit Aldo.
Pour le reste, Helmut a été efficace, il a visité les bureaux du sénateur et trouvé l’arme qui a servi à tuer, pour le meurtre j’ignore comment il s’y est pris et comme prévu j’évite de le contacter.
On frappe à la porter de mon bureau, sans attendre ma fille entre.

• Oui ma fille, que veux-tu, je peux faire quelque chose pour toi ?
• Père, je sais que vous êtes à l’origine du meurtre de l’amour de ma vie !
En le tuant vous espériez que je revienne vers vous.
Vous vous mettez le doigt dans l’œil, ce soir malgré mon deuil, je rencontrerais le députer Benoit de Saint-Brice pour qu’il me baise après m’avoir donné les cinq mille euros qu’il avait promis à Aldo pour que je passe la soirée avec lui.
Votre fille est une pute et d’autant plus que vous avez tué mon homme, allez en enfer.
Je sais, en vous disant cela vous allez me menacer de me déshériter.
Soyez sans crainte, mon cul me rapportera autant que votre héritage et en plus j’y prendrais un max de plaisir.
Voyons la suite, à oui, mes clients suivants seront Adrien B. et son pote Lucien L. vous savez le publicitaire, vous les connaissez tous, ils sont de votre monde.
J’ai hâte d’être prise en double pénétration.
Oui, père, Aldo m’a enculé sans savoir que ça me rapporterait plus d’argent.
Vous les hommes vous avez toujours un métro de retard, j’étais partante pour entrer dans le bisness de l’homme qui a su me révéler.
Une autre chose, je sais que vous avez du fric, si part hasard, vous voulez vous aussi attendre votre tour pour me baiser, ce sera tout à fait faisable.
La bite d’Helmut votre copain ou votre bite, c’est du pareil au même pour moi.
L’inceste, j’en ai rien à battre du moment que vous payez.
• Ma fille tu me tues, avec ta mère, paix à son âme, nous t’avons élevé dans le respect de toi et non pas pour que tu deviennes une pute même de haut... ah !

Mon père port ses mains à sa poitrine, rapidement je dois constater que son cœur a lâché, j’ignorais qu’il était malade de ce côté-là.

• Condoléances.
• Condoléances.
• Votre papa était un être exceptionnel...

Habituels défilés de faux cul vous présentant leurs condoléances alors qu’ils se foutent royalement du défunt.

• Ange, rentrons chez toi, votre maison est la tienne maintenant.
• Oui parrain, cette journée m’a épuisé.

Nous reprenons la grosse Allemande que possède Helmut et dans laquelle nous sommes arrivés.

• Ange, enlève ta main de ma braguette, quelqu’un pourrait nous voir.
• Parrain, mon plan était le bon, hormis la mort de papa.
Depuis les mois que j’étais avec Aldo, nous avons été obligés de rester sage, alors que j’adore ce beau membre qui m’a dépucelé.
Et dire que l’autre con se vantait de l’avoir fait.
• Juste une sucette, je m’occuperais de ta chatte dès la porte de ta maison refermée.

Comment expliquer simplement les choses, il y a quelques mois, Helmut était à la maison presque voisine de la sienne ?
Il devait m’emmener faire des courses étant trop jeunes pour conduire et mon père étant à son travail.
Je couche nue et comme la veille, j’étais allée voir les réseaux sociaux et quelques petits films de cul
Je dormais ayant oublié de mettre mon réveil.
C’est au moment où mes doigts m’ont fait jouir que la fatigue m’a gagné et que je me suis endormie les doigts au bord de ma chatte.

C’est une main sur mon sein qui m’a réveillé, parrain à ce qu’il m’a dit, l’ayant mal positionnée, mais, était-ce vrai ?
J’ai senti ma pointe durcir, je me suis étirée comme une chatte, finissant par prendre sa main dans la mienne et de la faire descendre vers ma chatte épilée.
C’est à ce moment avec son accent guttural dans un français parfait qu’il a pris la parole.

• Ange que fais-tu je suis vieux et je suis ton parrain.
• Vieux, qu’est-ce que cela peut faire, si tu savais depuis combien de temps je rêve de ta main là ou elle se trouve en ce moment, sens comme je mouille !
• Tu es folle, ton père est mon copain.
• Mais lorsque tu viens dans ma chambre tu caresses mon sein pendant que je dors.
• C’était un moment de faiblesse, ce sera la seule fois, je vais me reprendre.

Voyant qu’il risquait de m’échapper, me laissant sur ma faim surtout que je voyais à la hauteur de sa braguette quelque chose de bien prometteur se tendre pour la vierge que j’étais encore à ce moment.
Je tenais toujours cette main, source de plaisir montant de plus en plus dans ce vagin qui demandait à être cueilli.
J’ai tiré, il est tombé, je l’ai reçu avec délice, c’était trop tard pour lui, il était à ma merci, surtout que lorsqu’il m’a saisi le sein croyant que je dormais, l’envie de me baiser l’avait rattrapé.
J’ai fait la pute avec Aldo, mais tout cela faisait partie de mon plan, Helmut me bouffant la chatte en même temps que je lui suçais la queue, en faisait partie, mais il l’ignorait.
Pour le réaliser, il fallait que tous les participants soient à leur place.
Aldo, j’avais rendez-vous avec lui le lendemain sachant qui il était je le rappelle, un maquereau et Helmut le sauveur de la petite salope que j’étais devenue.
Sa queue sortie, dans un premier temps, elle devait me servir à prendre du plaisir, mais le but principal c’était de perdre ce pucelage, handicape pour envoyer Aldo rencontrer mon père contre son chantage au mariage.
En bon parrain et homme d’expérience, il a fait ça si bien que lorsque je me suis empalée sur sa queue, la douleur a été presque inexistante, juste une perle de sang lorsque je suis descendu de ma monture.
Tous ceux qui m’ont lu connaissent la suite de ce plan, à un détail près, la mort de père, je voulais simplement qu’il commandite Helmut, fidèle toutou comme en ce moment où je lui suce la queue, il l’est devenu pour moi.
Chose avouée, c’est chose pardonnée, j’avais eu vent des lingots de l’un et de l’autre.
Ceux dans le coffre de papa, je les possédais déjà par héritage, ce sont ceux d’Helmut que je convoitais.
Un autre détail que je savais, en tant que filleule, il m’avait couché sur son testament comme seule héritière étant toujours resté célibataire.
C’est au moment qu’il avait de nouveau sa queue en moi, que j’ai ferré mon poisson.
Je refusais que le coffre qu’il possédait soi ouvert, car les lingots étaient saisissables et Helmut était une force de la nature.
Il suffit de me voir pendu à son cou, lui me tenant sous mes fesses et m’empalant régulièrement à me faire hurler de plaisir.

• Helmut, épouse-moi, même avec notre différence d’âge, je veux devenir ta femme, si tu savais comme je t’aime.

Vous, mesdames qui avez épousé un pauvre con tenu par sa bite, vous savez comme il est facile d’obtenir un « oui » lorsque l’on a de belles miches et un joli cul et que l’on sait s’en servir.
Ça été le cas avec Helmut, il m’a tendrement embrassé et quelques semaines plus tard, nous prononcions nos « ouis » devant monsieur le maire.
Ce mot prononcé, j’ai continué à jouer le jeu.
Je me suis donné dans tous les sens du terme.
Helmut était un sexe sur pied, il voulait que j’écarte mes cuisses, en bonne épouse je me prêtais au jeu.
De plus ce con, oui pour moi tous les hommes sont des cons.
Dans mon quartier, la différence d’âge semblait gêner quelques personnes surtout des femmes, mais l’amour que je montrais à cet homme bluffait tout le monde.
J’étais dans notre lit, caressant la queue de mon mari lorsque l’on a frappé à la porte de notre maison.
Un grand bruit et en quelques secondes, je me suis trouvée plaquée la tête dans mon oreillé.
Helmut hurlait et donnait des coups à qui voulait en recevoir.
À ce moment, j’ai compris ce qui arrivait aux ennemis de la France lorsque l’on lâchait la légion sur un terrain d’opérations.
Ils étaient trois à essayer de lui passer les menottes, mais il a réussi à leur échapper.
La fenêtre étant de son côté, il s’est projeté et l’a fait exploser.
Hélas pour lui, l’un des jeunes policiers a sorti son arme et par le trou béant a lâché ses balles.
J’ai été incapable de voir lorsque mon mari a été atteint.

• Tu aurais dû tirer dans les jambes, je le voulais vivant.

Ils m’ont laissé m’habiller, mon conduit au commissariat de mon quartier où un commissaire m’a dit qu’ils avaient reçu une lettre anonyme leur disant que la réalité du décès d’Aldo mon souteneur s’était mon père avec comme exécutant mon mari.
J’ai parfaitement joué mon rôle de jeune femme ayant été trompée par tous ces hommes et que j’étais blanche comme neige.

Le jour de ma nuit de noces, ce con d’Helmut m’a donné la combinaison d’un coffre connu de lui seul se trouvant dans le sous-sol de notre maison.
J’avais déjà les lingots de mon père qui rejoigne ceux d’Helmut, ils avaient du mal à être séparé.
Je sais, c’est difficile de revendre ce genre de lingots frappé de l’aigle d’Hitler, mais je sais comment m’en sortir avec eux, même si je dois perdre une grosse sommes dessus.
Je suis riche, mais j’aime les hommes, surtout leurs bites.

• Entrez jeune homme, vous me confirmez que vous êtes bien montée !
• Regardez par vous-même pour 2 000 € elle est à vous jusqu’à demain matin.

J’arrête là mes confidences, bien que vous ayez compris que la lettre anonyme j’en suis la personne qui l’a écrite et qui a su la faire parvenir au commissariat sans que la moindre emprunte ou trace ADN peuvent être découvertes.
Avec tous ces lingots et les intérêts me revenant, une pute comme moi, inutile de s’encombrer d’un homme, à ce prix de la soirée, je serais morte avant d’épuiser la somme totale qu’ils m’ont rapportée.

• Je peux te sucer !!!

















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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION ZONE ROUGE. Jusqu’à son assassinat (1/1)

Le 11/08/2023 - 15:46 par Balista1
Dans le genre salope, difficile de faire mieux
Le 03/07/2023 - 15:43 par OlgaT
Excitant et tragique!

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