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COLLECTION ZONE ROUGE. La veuve et le puceau (1/1)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 02/10/2023

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• Christian ce soir je veille mon mari, veux tu venir m’accompagner, il y aura certainement une surprise pour toi !
• Laurette, ta proposition m’intrigue !
Ferait-elle suite à la dernière fois où je suis venu chez toi, que je t’ai dit que j’étais puceau et comme ton mari était mal en point, je voulais coucher avec toi afin que tu fasses de moi un homme !
• Ça ce pourrait, mais viens, je t’en dirais plus, des amis voulaient passer la soirée avec moi, je les ai tous éconduits.

Merde, quelle étrange invitation !
Lucien le vieux mari de Laurette est encore chaud et allongé sur son lit de mort avant sa mise en bière et sa crémation lundi matin et voilà qu’elle m’invite à la rejoindre.
Laurette, l’amie de maman est entre deux âges, presque la cinquantaine et je dois reconnaitre qu’elle a un gros cul.
Il est vrai que je suis encore puceau et que je suis allé la voir samedi en huit pour essayer de baiser avec elle.
Je regarde beaucoup de pornos et les femmes d’un certain âge au gros cul m’ont toujours fait fantasmer.
C’est peut-être à cause de ça que j’ai toujours ma rondelle !
J’ai de nombreuses copines, car je suis un boute-en-train, mais toutes ont un cul plat comme celui d’une limande.
Même Georgette, que l’on appelait, bouboule, c’est fait poser un anneau gastrique et nous l’avons rebaptisé la planche à pain.
Pas de cul, pas de nichon.
Je patiente à dix-neuf ans, je suis sûr de trouver la perle rare et les insinuations de Laurette m’ouvrent des perspectives dès que son mari sera parti en fumé et réduit en cendres.

• Maman, je sors, je vais rejoindre mes potes, on va faire un poker toute la nuit, inutile de t’inquiéter, dors tranquille, je passerais chercher des croissants.

Voilà, maman depuis qu’elle est seule, mon connard de père s’est tirée avec une jeune pétasse, il y a presque dix ans.
Elle flippe chaque fois que je sors toute la nuit, si elle savait que je vais être de l’autre côté de la rue.
Je sais qu’elle va me regarder partir avec ma mob alors je passe le coin de rue et je rentre chez Laurette par l’arrière ou je sais qu’il y a un portillon.

• Bonsoir, Laurette, me voilà.

J’ai le souffle coupé.
Je m’attendais à la voir dans sa robe noire qu’elle portait toute la journée lorsqu’une voiture ou des gens à pied sont venus lui présenter ses condoléances et saluer la dépouille de son mari.

• Entre même si tu es passé par-derrière ce qui est parfait, inutile qu’on nous voie.

Lorsqu’elle se retourne, dans la lumière du sous-sol où nous sommes, par-derrière, c’est son cul que je prendrais bien dans son déshabillé vaporeux.
Dieu qu’il est comme je les aime.

• Viens, suis-moi.

Nous passons devant la cave enterrer où je sais que Lucien garde quelques très bons crus.
Je bois depuis mes seize ans.
Au début de la bière, mais aussi du vin justement chez Laurette et Lucien qui m’avait pris en pension pendant l’absence de maman officiellement parti régler une succession.
Sur la table Lucien buvait du gros rouge, mais pour moi j’ai eu le droit de découvrir du Bourgogne, du Bordeaux et même du riesling d’Alsace avec une choucroute préparée par Laurette sa mère étant vosgienne.
À la fin du repas, un peu pompette, Lucien était redescendu nous chercher une bouteille, j’ai compris le gros cul de Laurette, la richesse de ses plats l’entretenait.
Certes, la naissance de sa fille Adeline partie il y a quelques années justement en Alsace chez ses grands-parents faire ses études y a contribué.
J’ai vu des photos du couple à leur mariage, quelque temps avant la naissance de leur fille, la mariée était un cul plat.
Adeline, avant qu’elle parte, s’était comme ma petite sœur.
Elle sera là demain juste pour l’enterrement et la crémation, elle est en période d’examen à sa fac, elle veut devenir médecin.

C’est dans cette période après un repas où Lucien encore valide était retourné faire son jardin, que j’ai essuyé la vaisselle avec Laurette.
Elle était en robe et avec son éternel tablier.
Je me suis collé à elle, ma bite contre ses fesses.
Je me suis mis à bander, mais gentiment sans vouloir me vexer, elle m’a fait comprendre qu’elle avait juré fidélité à cet homme que je voyais par la fenêtre sarcler un rang de carotte.

• Viens dans la chambre, on va s’occuper de mon fumier de mari.

La phrase était dite d’une drôle de voix, mais nous sommes entrés dans la chambre funéraire.
Lucien reposait comme je l’avais vu juste quelques minutes après sa mort et quand Laurette avait appelé maman.
Mais les agents des pompes funèbres l’avaient préparée lui mettant son costume et lui passant un chapelet entre ses doigts, ses bras croisés sur sa poitrine.
À chaque coin du lit, un grand chandelier avec une grosse bougie allumée.
Quatre bougies mettant une atmosphère à lumière diffuse.

• Viens m’embrasser, je t’avais dit ma fidélité à mon serment de mariage, j’avais dit au curé « jusqu’à ce que la mort nous sépare. »
C’est fait, elle nous a séparés.
Ta mère t’a-t-elle dit les quatre cents coups que ton père faisait avec Lucien sous couvert de troisième mi-temps de rugby.
Dans le local où ils se réunissaient pour picoler, ils faisaient venir des putes.
L’une d’elles est partie avec ton père, elle voulait quitter le métier.

Comme je l’ai dit, je savais papa parti, mais avec sa jeune secrétaire, du moins, au dire de maman et bien merde s’était avec une pute.

• Christian puceau ou pas, je veux baiser devant ce pourri qui m’a trompé dès le lendemain de nos noces, mais ça je l’ai su bien plus tard sinon j’aurais fait ma valise et il y a eu Adeline.

Elle m’a pris dans ses bras, me serrant sur son cœur.
Une fraction de seconde, j’ai perdu la vue de ses grosses fesses au profit de ses seins qu’elle avait prestement sortis de sa tenue vaporeuse.
Je bandais comme un âne et Lucienne l’a bien senti.
La folie s’est emparée de nous.
C’est au pied du grand lit où il reposait que mes mains ont empoigné ses fesses et que nous sommes tombés à hauteur de ses chaussures.
J’ai lâché ses fesses et je me suis déboutonné, ma verge a jailli et est entrée sans le moindre problème dans ce tabernacle d’amour que je convoitais depuis si longtemps.
Bien au fond, je savais avoir perdu, mon pucelage bien sûr, mais c’est autrement que le la voulait.
Je me suis retiré et je lui ai donné l’ordre de se mettre en levrette.
C’est ce qu’elle a fait et là, j’étais aux anges, même si c’était ceux qui entouraient la dépouille de Lucien, j’ai soulevé son déshabillé et après les avoir sentis, je les ai vus.
Je les ai caressés, séparés, léchés jusqu’à son œillet.

• Tu vois salopard, j’ai trouvé le moyen de te faire voir que je suis capable de trouver d’autres queues que celle qui va être réduite en cendres lundi, alors que Christian me ramonera autant qu’il le voudra.
Tu vois mon cul tendu vers sa verge, tu as toujours voulu m’enculer et je t’ai toujours dit d’aller voir tes putes.
C’est lui qui va l’avoir, oui comme ça, entre bien au fond.

La scène était dantesque surtout sous les cierges allumés.
Mais l’invitation était trop forte, d’un coup, ma verge est entrée en contact avec son anus et d’une longue poussée, je lui ai mis bien profonde.
Je tenais Laurette fermement par les hanches, regardant de l’autre côté du mari mort.
Mais d’un côté je voyais le cocu semblant dormir et de l’autre la grande glace au-dessus de la cheminée nous montrant tous les trois.
Moi enfilant sa veuve par le petit et lui dormant du sommeil du juste.
Je l’ai pilonné jusqu’à ce qu’elle hurle son plaisir au risque de réveiller le mort, jusqu’à ce que je décharge à longs traits devenant définitivement un homme et non un puceau.

C’est à ce moment qu’un bruit étrange est venu du corps du défunt.
Ai-je bien entendu ?
Laurette venant de se retourner me montrant sa chatte poilue s’est mise à rire.

• Il a pété, il pétait souvent dans notre lit, ça le faisait rire, même si ça embaumait.
Ça arrive avec les corps commençant à se décomposer, même si nous pouvons penser qu’il nous envoie un signal me disant « je t’emmerde ».
Moi aussi je l’emmerde, s’il veut du trash, il va en avoir.
Nous allons voir à qui reviendra le dernier mot.
Christian, éteint ce cierge a porté de nous et donne-le-moi.

Ce que Laurette a fait, est démoniaque devant la dépouille de son mari toujours impassible sur son lit.
J’ai mouché le cierge avant de lui passer.
Ma main ayant de la difficulté à en faire le tour.
Elle l’a empoigné par le bout planté dans le chandelier et se l’est présentée à sa chatte, je la vois se l’introduire.
Rappelant que les trois autres continuaient à être allumés, la vision de cette femme se vengeant par mon intermédiaire et celui de ce cierge, m’est apparu pharaonique.
Une scène qui m’a paru irréelle aussi, je lui ai arraché et je l’ai planté jusqu’à en hurler tous les deux de plaisir ayant perdu la notion du mort près de nous.

C’est à 2 heures du matin que j’ai interrompu cette soirée qui me marquera à jamais.
Perdre son pucelage dans une chatte et le gros cul d’une vieille salope, mais le tout à côté du mari mort, qui peut dire avoir fait mieux que moi.

Laurette me demande de revenir la nuit suivante, elle veut continuer de se venger de cet homme qui l’avait humilié.
C’est à 20 heures alors que je suis en train de manger avec maman que je reçois un message.

« Adeline vient d’arriver, impossible pour ce soir, dommage.
À demain au crématorium. »

Le lendemain, je suis parmi la famille, son amitié avec maman oblige.
Je suis assise pendant tout l’office à côté d’Adeline.
Il y a quelques semaines qu’elle nous a quitté, est-ce l’éloignement, j’avais quitté une jeune fille sortant de l’adolescence, je retrouve une femme.
Pendant l’office, les quatre chandeliers encadrant le cercueil sont là.
Celui étant le plus près, est reconnaissable, outre un morceau qui a cassé lorsque je l’ai récupéré et remis en place, une trace suspecte certainement de la cyprine de ma maîtresse le marque.
Laurette est amenée à parler à son mari, elle s’approche et lui parle sans qu’aucun de nous puissions répéter les mots qu’elle lui prononce.
Tous les présents doivent ce dire qu’elle le pleur, je suis le seul qui sait qu’elle doit le traité de tous les noms surtout après la nuit passée avec le couple.
La cérémonie se termine lorsque ceux qui le veulent vont dans la petite pièce attenante voir s’ouvrir la trappe où le cercueil glisse.
Adeline souhaite que je l’accompagne.
Je sens son sein petit mais bien formé et c’est plus ce contact que le cocu qui est entré avoir chaud aux miches qui me font bander.

J’ai encore mieux bandé dans les jours suivants, mais en tête à tête avec Adeline.
J’ai tellement bandé que je suis dans l’obligation de l’épouser.
Je sais, les petits culs, c’est loin d’être mon fantasme.
Vous vous trompez, je lui ai fait déjà deux gosses et lorsque je la prends en levrette, loin d’être aussi joufflu que celui de Laurette, son cul commence à sérieusement se développer.
Par chance, ma femme en veut trois, voire quatre, j’ai des chances dans peu de temps de le voir aussi développer que celui de sa maman chérie.
Ses mamelles sont déjà équivalentes à celles de belle-maman.
À oui, mon beau-papa, j’étais seul avec belle-maman quand donnant un point final à l’ignominie de la nuit passée avec elle et le défunt, elle a jeté ses cendres dans une benne à ordure.






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Histoire de Chris71

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