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Derrière mon air sage… Chapitre 1 : Comment le jeu a commencé…

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 06/10/2023

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Je m’appelle Anne, j’ai 25 ans.
Je travaille comme assistante bibliothécaire depuis un an, en remplacement de congé parental et, malheureusement pour moi, ce congé prend fin dans deux semaines.
Autant dire que trouver une nouvelle place va être compliqué et ce n’est pas sur mes maigres économies que je vais pouvoir vivre très longtemps. Je n’arrête pas mes recherches d’emploi, quitte à postuler dans des établissements scolaires.

Que dire sur moi ? Je mesure 1m69, pour 69 kg, j’ai quelques rondeurs, mais celles-ci se sont principalement logées dans ma poitrine (95 D) et dans mes fesses. Pour garder un semblant de forme, je vais 2 fois par semaine à la salle de gym, ce qui me permet d’avoir des fesses fermes et un corps plutôt tonique. Je mange varié et plutôt équilibré. Mes cheveux sont châtains et me descendent dans le dos. Mes yeux noisette se cachent derrière mes lunettes de travail. J’adore lire, aller au cinéma, aux concerts. Je vis en colocation avec deux copines de lycée, Caroline, étudiante en droit et Juliette, étudiante en médecine. Toutes les trois célibataires, nous nous entendons très bien.

Le portrait que je vous brosse de moi est celui que je présente au monde extérieur : celui d’une jeune femme sérieuse, sage et très professionnelle. Mais celui-ci cache une autre personnalité, nettement moins sage, même très vilaine. Celle d’une jeune femme qui aime, non qui adore le sexe sous beaucoup de ses formes, et qui vit sur les réseaux pour adultes sous le pseudo d’Émilie.

Le sexe a commencé à m’intéresser au lycée, quand j’ai surpris une élève de terminale s’envoyer en l’air avec un mec dans la réserve du gymnase. Je m’étais portée volontaire pour ranger l’équipement de volley : c’était notre dernier cours de la journée et je n’étais pas pressée de rentrer chez moi. J’ai entendu des gémissements et des grognements qui ont attisé ma curiosité. Cachée entre deux piles de tapis, j’avais pu voir Tania sucer son copain puis se faire lécher avant d’être prise en levrette, arc-boutée sur le cheval d’arçon. Pour la première fois, j’avais senti les muscles de mon bas-ventre se contracter. Ma main s’était glissée dans mon short. Mes doigts avaient découvert ma chatte humide. Je me suis caressée en les regardant. Une fois, le mec s’était arrêté disant à Tania qu’il avait l’impression qu’on les observait et tout ce qu’elle avait trouvé à lui répondre avait été d’y aller plus fort.

Depuis ce jour, je me caressais régulièrement en revoyant la scène. Je m’étais toujours proposée pour ranger le matériel, mais Tania n’était plus revenue. Je m’étais rabattue sur les DVD porno que mon beau-père cachait dans la bibliothèque, dans des reliures vides d’encyclopédie.
J’avais perdu ma virginité pendant l’été, en Espagne, avec le fils des propriétaires de la maison que ma mère et mon beau-père louaient. Je le connaissais depuis des années et le savais gentil garçon. Il m’a dépucelée en douceur. Et je me suis offerte à lui tous les soirs, jusqu’à notre départ. Malheureusement, ce fut la dernière année que nous y séjournions…

J’ai couché avec quelques mecs par-ci, par-là, mais jamais rien de bien sérieux. Ni très imaginatif au niveau sexe. Et ces deux dernières années, je m’étais consacrée entièrement à mes études.

Maintenant j’ai plus de temps libre aussi je retourne sur le net, m’étant inscrite sur deux sites de sexe publiant des vidéos et ayant une communauté avec qui discuter, échanger des photos.

Aujourd’hui, il n’y a pas beaucoup de monde à la bibliothèque, alors je profite des périodes de calme pour me connecter sur mon site préféré à partir de mon téléphone portable. L’un de mes suiveurs préférés, Mattheur, est aussi connecté et me salut.

Mattheur > Salut la belle, tu t’ennuies ?
Moi < Comment tu le sais ?
Mattheur > Tu ne te connectes jamais en journée, dans la semaine.
Moi < Oui, c’est calme en ce moment.
Mattheur > Envie de jouer un peu ?
Moi < Que proposes-tu ?
Mattheur > Prends-toi en photo et envoie-les-moi
Moi < Je ne sais pas si je peux…
Mattheur > Allez, j’ai envie de voir tes seins, ta chatte et ton joli cul dans une allée de ta bibliothèque.
Moi < Ok… Attends…

Je prends une pile de livres de la section adulte et indique à ma collègue que je vais les ranger. Elle me fait remarquer qu’il y en a beaucoup et qu’elle va venir m’aider.

— Il vaut mieux que l’une de nous reste ici, au cas où des adhérents veulent enregistrer leur emprunt.
— Tu as raison.

Je mets la vingtaine de livres dans un petit chariot et me dirige vers la section adulte déserte à cette heure de la journée. Je commence à ranger quelques livres, puis, m’assurant d’être vraiment seule, me rends dans la section la plus éloignée. J’entends au loin les discussions étouffées des étudiants et des autres visiteurs. L’idée de faire des nudes sur mon lieu de travail est extrêmement excitante. Le risque de me faire surprendre ajoutait un peu de piment au jeu.

Je défais la fermeture éclair de ma robe et en écarte les pans pour révéler mon 95 D soutenu dans un joli soutien-gorge en dentelle blanche. J’ouvre l’appli caméra et programme un retardateur à 10 secondes et une prise de vue en rafale de 3 photos. Je pose mon téléphone sur une étagère et m’éloigne de quelques pas, jusqu’à voir mes seins apparaître sur l’écran. Un premier clic retentit. Je sors mes seins de leurs bonnets pour les 2ème et 3ème clichés. Satisfaite des clichés, je les envoie à Mattheur.

Mattheur > putain, quels seins tu as !
Moi < Merci. Tu en veux plus ?
Mattheur > devine
Mattheur > [photo de son sexe en érection dans son boxeur]

Je réalise une courte vidéo de ma langue me léchant les lèvres, avant de poursuivre. Je finis d’ouvrir ma robe, dévoilant mon string et mes bas clairs. Je prends une pose sexy sur le petit escabeau. D’abord une peu sage, puis la poitrine poussée vers l’avant puis en arrière, mettant en valeur ma chatte épilée cachée par la fine dentelle blanche de mon string.

Mattheur > quelle vicieuse tu fais en lingerie blanche.
Moi < ça te déplaît ? ☹
Mattheur > au contraire !
Mattheur > [Photo de son sexe en érection]

Cette fois, je retire mon string et le pose sur une étagère. Je me retrouve presque nue dans le rayon, à cheval sur l’escabeau, adoptant des positions les plus perverses les unes que les autres. Ma chatte s’humidifie de plus en plus. Je ne vérifie même plus les photos que j’envoie.

Mattheur > mets-toi en skype… on va jouir ensemble.
Moi < ok.

De la main droite, j’ouvre l’appli et repose mon téléphone sur sol. Je m’agenouille au-dessus pour faire un gros plan de ma chatte avant d’y enfoncer 2 doigts. De la gauche, je me malaxe les seins l’un après l’autre. Comme c’est bon ! si au moins je pouvais avoir une vraie bite qui me laboure. J’imagine la queue de Mattheur qui semble bien grosse. J’ajoute un 3ème doigt, m’étirant douloureusement les chairs. J’ai l’impression que le monde s’est tu autour de moi, que mes gémissements silencieux sont assourdissants, que le bruit mouillé de mes doits dans mon vagin résonnent jusqu’à l’entrée.

Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! Je jouis !!!

Je retire mes doigts alors que je sens mon jus chaud s’écouler de mon sexe. Je ferme les yeux en me léchant les doigts, le bas-ventre encore frétillant de plaisir. J’entends alors des pas dans l’allée d’à côté. Je reprends rapidement mon souffle et me hâte de refermer ma robe. Je passe sur mes mains de la solution hydroalcoolique pour reprendre mon rangement. Je sens mes cuisses poisseuses coller entre elles. Une silhouette se découpe au début de rayon. Je me hâte d’en changer. Au moment où je tourne, je remarque mon string posé sur l’étagère. La silhouette arrive, il s’agit de celle d’un homme.

Tant pis, il n’est pas censé savoir que c’est le mien.

Un bip discret se fait entendre. C’est un message de Mattheur. Il m’a envoyé une courte vidéo : il se masturbe en me regardant sur une tablette. Je le vois éjaculer sur l’écran au moment où je gicle sur mon téléphone.

Mattheur > je vais la garder pour me masturber encore et encore…
Moi < Pareil…
Mattheur > Je vais me permettre de garder ça aussi…
Mattheur > [photo de mon string]

Je vérifie ma poche : elle est vide. Je l’ai fait tomber en le rangeant… Mais alors…

Moi < Tu es ici ?
Mattheur > ça a été un vrai bonheur de te filmer…

Il m’envoie une autre vidéo dans laquelle je me vois à genoux en train de me doigter. Je sens mon visage se décomposer.

Mattheur > ne t’inquiète pas, je la garde pour moi. Promis.
Moi < Je n’ai pas d’autres choix que de te faire confiance.
Mattheur > tu peux. J’adore ce jeu avec toi. Je n’ai pas envie de perdre une si bonne partenaire. À bientôt.
Moi < à bientôt.

Je suis effondrée. Que va-t-il faire de cette vidéo ? Du chantage ? La publier sur le net ? Cette fois, j’ai peur… Et pourtant, je suis encore excitée. Je me force à me calmer. J’essaierai d’en savoir plus la prochaine fois. Pour le moment, j’ai du travail.

Me voilà cul nu sous ma robe. En m’accroupissant, je sens qu’elle remonte légèrement sur mes fesses. J’entends alors un raclement de gorge au bout du rayon. Je vois un homme me faisant signe d’approcher.

— Bonjour, mademoiselle, je cherche euh… Comment dire… Auriez-vous une bande dessinée adulte à me recommander ?
— Bien sûr, monsieur. Veuillez me suivre.
— Avec plaisir.

Je le guide vers le fond de la dernière galerie et lui présente les différents auteurs : Manara, Kovacq, Duvet…

Ils sont rangés sur la 4ème étagère, je pourrais les attraper en tendant le bras, mais je suis encore d’humeur joueuse. Je prends l’escabeau pour monter prendre un exemplaire de chaque. Je prends mon temps pour gravir les 2 marches, en ondulant du bassin. J’écarte les pieds et étire excessivement mon bras pour attraper les 3 bandes dessinées en question. Je sens le regard de l’adhérent glisser entre mes cuisses. Je l’entends respirer plus fort. Peut-être sent-il l’odeur de ma cyprine. Je descends lentement, les BD dans une main, l’autre en appui contre une étagère. Je sens les mains de l’homme glisser sur mes cuisses et remonter le bas de ma robe sur mes reins.

— Je m’en doutais, murmure-t-il, une petite vicieuse.

Mon cœur se met à battre plus vite, pas de peur, non… Mais d’excitation.

— N’êtes-vous pas un pervers vous-même ? lui demandé-je, connaissant la réponse d’avance.
— Autant que toi, petite garce, répond-il en me claquant la fesse. Ça t’excite, hein ?
— Oui, monsieur, dois-je reconnaître en finissant de descendre de l’escabeau et en me penchant pour lui présenter mon cul. Il vous excite aussi, n’est-ce pas ?

En guise de réponse, je sens ses doigts se glisser dans ma chatte encore humide. Je mords mon poing libre pour étouffer mes gémissements. Les mouvements de ses doigts dans mon sexe font plus de bruit que les miens. Ses mouvements sont brutaux, douloureux, mais ils me remplissent d’un plaisir que je ne connaissais pas.

— Tu mouilles bien, j’aime ça.

À peine cela dit, ses doigts m’écartent douloureusement les lèvres pour laisser sa langue s’engouffrer dans mon antre. Elle est épaisse et me lèche les parois avec force. Sa bouche aspire ma cyprine au moment où je jouis. Je peine à retrouver mon souffle qu’il me fait mettre à genoux.

— Occupe-toi de moi. Mais ne lève pas les yeux.

Timidement, j’ouvre sa braguette, baisse l’élastique de son boxer et vois apparaître la plus grosse bite que je n’ai jamais vue : épaisse, dure, longue.

— Suce !

Voyant que je mets un peu de temps, il me tire sur les cheveux. J’ouvre la bouche pour crier, mais mon cri de douleur est immédiatement étouffé par sa grosse queue. Je n’arrive pas à la prendre entière dans la bouche. Alors il imprime à ma tête des mouvements brutaux tandis qu’il grogne de plaisir avant de jouir dans ma bouche. J’avale tant bien que mal sa semence épaisse. Il recule en se rhabillant, prend les bandes dessinées et s’en va.

Je reste pantelante, un peu de sperme coulant sur mon menton, le cul nu sur la moquette râpeuse. Un nouveau bip se fait entendre. Je tends le bras pour prendre mon portable, mais je me rends compte que je l’ai laissé dans le chariot, dans l’autre rayon. Je me relève doucement, mets un peu d’ordre dans ma tenue pour aller récupérer mon chariot, mes derniers livres à ranger et mon téléphone.

Je regarde l’écran : un nouveau message de Mattheur :

Mattheur > Je vais adorer jouer avec toi.
Mattheur > [vidéos de ma chatte en train d’être doigtée]
Moi < avec plaisir.
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Histoire de Emilie

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Commentaires du récit : Derrière mon air sage… Chapitre 1 : Comment le jeu a commencé…

Le 10/10/2023 - 19:59 par Emilie
Merci, Jeff... c'est un réel plaisir de vivre et de revivre par écrit ces moments plus qu'excitants, jouissifs.
Le 09/10/2023 - 20:20 par Jeff1978
Très joli début de récit qui, j'espère, vous fera vivre de belles aventures pleines de jouissances. Hâte de lire la suite
Le 08/10/2023 - 16:34 par Emilie
Merci Valériane, j'espère que les suivants te plairont tout autant.
Le 07/10/2023 - 18:55 par valeriane
Bien tournée ce récit, j'aime.

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