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Combat érotique

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Lue : 32380 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/06/2011

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- Lola :
Je dois revoir Pierre aujourd’hui, mon cœur bat très fort et je sens comme des élancements entre mes cuisses et dans mes seins gonflés par le désir.( Oh oui ça c’est bien vrai…) Cela fait plus de six mois, depuis notre retour de Cannes, que nous ne nous sommes pas vus et je lui en veux un peu….. un peu beaucoup même.

‘ Ce récit est une suite d’apartés de Lola et de Pierre, chacun évoquant ses sensations au fil du récit. De plus et entre parenthèses (…..) des notes de lecture de Lola qui m’ont enchanté et parfois mes réactions à ses réflexions ‘

Pourtant il y a de ma faute car c’est moi qui l’ai un peu délaissé, mon ami s’étant douté de quelque chose. Mais de son côté Pierre ne s’ennuyait pas apparemment ; si j’en crois les histoires qu’il écrivait, racontant ses frasques avec une meute d’admiratrices. Des histoires si réalistes qu’il avait du les vivre avec mes rivales et qui paraissaient sur le site sous leurs pseudos.

(Si tu savais à quel point tu es proche de la réalité… Lorsque j’ai lu Boule de Geisha j’étais folle de rage… J’étais fâchée contre toi… Et puis au final j’étais tellement contente de te retrouver que j’ai instantanément oubliée toute ma colère)

Incompréhensiblement, en lisant vos histoires de fesses cela me faisait de drôles d’effets malgré la jalousie qui m’étouffait et je pleurais de rage quand au plus fort de vos ébats, je jouissais avec vous en me masturbant la chatte et en triturant la pointe de mes seins.

(Encore une fois tu es si proche de la vérité… Comme quoi on se comprend vraiment !)

J’ai décidé de me venger en attirant Pierre vers moi et en me refusant à lui, du moins tant que je pourrais, je vais lui résister à la limite de mes forces, ce sera à lui de me mériter. Je vais tout faire pour l’exciter, je sais les sous vêtements qui lui plaisent et qui le font bander, je vais me maquiller, me parfumer, me coiffer, m’épiler pour mieux le torturer ; mes hauts talons mettront en valeur la cambrure de mes reins et celles de mes fesses qu’il aimait tant. Je tiens ma revanche, je devrais être heureuse….. oui je devrais !

(C’est typiquement mon genre de faire ce genre de chose en plus…)
- Pierre :

Lola après un si long silence m’avait envoyé un SMS laconique :
« Pierre, si tu tiens un peu à moi, viens ce soir dans mon studio. »

J’étais heureux de la retrouver car avec Lola c’était plus qu’une question de sexe, cela comptait énormément certes, mais en plus, entre nous il y avait depuis notre voyage à Cannes une telle tendresse, une telle complicité, une telle communion d’esprit jamais connues avec d’autres femmes.

(Merci mon Pierre…)

J’étais fringant, rasé de frais, en sonnant à sa porte, comme un nigaud j’avais apporté un magnifique bouquet de roses rouges.

Quand elle m’ouvrit sa porte je crus défaillir tant elle avait prit soin à s’arranger, à se maquiller. En contre jour de sa fenêtre sa robe légère translucide laissait deviner ses longues cuisses sombres légèrement ouvertes. Je devinais qu’elle avait remplacé son string par une adorable petite culotte flottante, sorte de petit short soyeux, confortable.

(Je suis sure que je l’ai fait exprès… Juste pour te torturer un peu…)

Je la regardais en lui souriant et mon regard en remontant de ses cuisses vers son beau visage s’attarda sur son décolleté et ses seins superbes qu’elle ne cachait guère. Visiblement elle voulait m’émouvoir, me plaire, m’exciter, je l’aurais été à moins et si elle avait pu voir mon sexe elle aurait mesuré l’effet qu’elle me faisait.

(Rien que cela… je me sens déjà humide… )

Je m’avançais pour l’embrasser, j’avais ouvert mes bras pour l’étreindre mais à ma grande surprise elle se recula en m’échappant. Interloqué je la regardais et je vis son visage fermé, sévère.
« Tu viens pour te faire pardonner ? » me dit-elle sèchement
« Pardonner de quoi, ma Lola ! »
« Non plus de ça, plus de ma Lola…..tu les as toutes baisées elles aussi ? »

(Quel langage… ! Il faut que je sois vraiment très énervée pour parler comme çà…)
« Mais tu parles de qui ma chérie ? »
« Je ne suis pas…. je ne suis plus ta chérie noire….je parle de toutes les poules qui t’ont confié leur plume pour écrire à leur place des horreurs. J’ai bien reconnu ton style et ta manière de baiser çà ne s’invente pas….. »

( ça c’est bien vrai , je reconnaitrais ton style entre mille…)
« Mais….non…..tu te trompes….ce…. »
« C’est toi qui m’a trompé, pendant que je t’attendais, tu savais où me retrouver……alors ? »
« J’étais malheureux, je pensais que tu avais marre de moi ou que tu ne pouvais plus….que c’était mal »….. »
(Etait-ce vraiment ce que tu pensais ?)
« C’est maintenant que j’en ai marre de toi, je ne veux plus te voir et comme je suis franche je tenais à te le dire en face »
« Comme avec Jérôme ? » ….Voir ‘Adieux mouvementés’ dans Histoires sur le site
« Oui comme avec Jérôme mais ne te mets pas dans la tête de me faire fléchir et de me baiser comme il l’a fait le dernier jour de notre relation»

(Manière de te suggérer l’idée…)
« Ce n’est pas juste, j’ai voulu rendre service à des femmes qui voulaient se lancer sur le site et qui avaient besoin de conseils…. »

(C’est vrai ?)
« Qui voulaient se faire sauter oui….. la plume de tes poules elles l’ont arrachée où ?........à leur cul ?.... »
« Mais non tu sais que j’écris dans l’irréel, ce sont des fantasmes, de simples et amusants fantasmes……. »
« Avec moi aussi c’étaient des fantasmes, de l’irréel…. ? »
« Avec toi c’est différent, tu es mon égérie, tu es moi, …. » (Merci… ) Je suis heureux d’avoir trouvé en toi celle que je n’espérais plus, tu es ma Muse »
« Oui et bien fini les amusements ……. nous deux c’est fini…..fini »
« Non ce n’est pas possible, j’ai besoin de toi, j’ai envie de toi, je te veux ! »

………………………………….

- Lola :
Pierre était devant moi, cherchant à justifier les fautes que je lui attribuais et qu’il n’avait sans doute pas commises. (Tu vois… tu es vite pardonné…) Mais c’était mon jeu, je voulais le pousser à bout, lui faire perdre son calme. D’un coup il me vint une angoisse et s’il se résignait s’il respectait ce que je lui présentais comme la fin de notre relation. Gentil et respectueux comme il était il en était capable.

(Oui c’est bien vrai… J’ai l’impression que tu lis en moi comme dans un livre ouvert…) (non car je suis fou de toi, je te désire trop !)

S’il partait, je le retiendrais, bien sur, en lui étalant mon jeu, nous baiserions alors mais ce serait beaucoup moins marrant, moins jouissif. S’il savait dans quel état il me mettait quand il était près de moi, je sentais des élancements dans mes seins et dans ma chatte…….Il fallait que je le provoque !
« D’ailleurs tu ne m’as jamais vraiment fait jouir….. avec Jérôme…là oui…j’ai joui comme une pute….il savait y faire lui »

(C’est plutôt méchant de dire ça… cela ne me ressemble pas…) (je le sais mais c’est une histoire)

J’observais le visage de Pierre et j’étais malheureuse pour lui. Mais je persistais dans ma stratégie, je redevenais la chienne qui a besoin de puissantes pulsions pour jouir, je voulais qu’il me prenne de force.
« Je ne te crois pas…..je ne te crois plus….je t’ai fait jouir je le sais… je te connais…tu as un tempérament de feu…… et quand je t’ai amenée au point de non retour, tu devenais insatiable, je t’ai fait jouir je le sais, rappelle toi ! »

( Oh oui tu ma bien fait jouir… et plusieurs fois d’affilée…rappelons nous dans la cabane au pied du Ventoux dans…. ‘Tendre voyage’ et dans ‘Retour très hard’)

Pierre semblait comme fou, malgré mes remontrances il me voulait, comment allait il faire ? il s’approcha de moi, je reculais pour lui échapper, j’eus vite fait d’être aculée contre le mur de ma chambre. Il se plaqua contre moi…

( Humm oh oui… j’ai envie de te sentir… Me retrouver dans cette situation m’enchante… çà m’excite déjà… c’est dur de tenir…)

Je devais me défendre, je le fis mollement, (très mollement alors…) il plaqua son ventre sur le mien et je sentis son émoi au travers de nos vêtements ; il n’en pouvait plus ; j’étais le dos contre le mur, il me tenait les bras et moi j’ondulais pour lui échapper.

(Plutôt pour mieux te sentir…)

Il réussit à entre ouvrir mes cuisses et avança son ventre, là je sentis son sexe rouler sur ma chatte. (Là je mouille…en m’imaginant la situation) J’aurais pu me laisser faire car ma vulve ruisselait inondant mes cuisses. J’allais avoir du mal à lui résister car je commençais à jouir et il était fort, déterminé, tous mes mouvements confortaient sa verge verticale entre mes grosses lèvres.

(Te sentir m’agiter entre mes cuisses…)

Je m’agitais pour me sortir de cette impasse, bien en appui sur le sol j’allais réussir, je savais maintenant qu’il me poursuivrait et cela m’excitait, mon jeu réussissait nous allions livrer un combat érotique, une manière intense de jouir dont je rêvais depuis longtemps.

(Très longtemps même… depuis que je suis femme…)

S’imaginer être prise de force, plaquée contre un mur cela a toujours été un de mes fantasmes, comme pour beaucoup de femmes, mais comme tous les fantasmes on veut qu’ils restent inassouvis….un désir rentré qui hante notre corps en permanence, mais là avec Pierre si prévenant je désirais qu’il se réalise enfin. Je voulais qu’il se déchaîne sur moi, qu’il me force comme avec cette Elvira qui avait joué le même jeu pour le forcer à la prendre de force….voir ’ Le facteur ‘

(Sentir ton gland à travers mes dessous… Hum… Que c’est excitant… Se frotter l’un à l’autre ainsi… Pierre si tu savais à quel point je mouille… J’aimerais être à la place de cette Elvira, pour subir tout cela à sa place… Je donnerais mon âme pour y avoir droit un jour… cette scène m’excite au plus haut point… Promets-moi que tu le feras pour moi…pour de vrai !)

Mais d’un coup je me sentis saisie, soulevée, décollée de terre, sans aucun appui désormais (Quelle puissance… cela m’excite encore plus…) ; Pierre était fort, je devenais sa chose. (Et Dieu seul sait a quel point j’en ai envie…) Je criais quand d’une main libre il fit glisser à la fois les bretelles de ma robe et celles de mon sous tif dévoilant sous ses yeux mes seins gonflés et durs. Comme fou Pierre les prit l’un après l’autre dans sa bouche en aspirant mes tétons.

(Ne t’arrête surtout pas…)

Cela arrivait comme prévu, je jouissais et je faisais passer mes cris de plaisir comme des cris de protestations.( C’est tout moi ça!) Comme j’aurais voulu en cet instant qu’il me prenne comme une bête en extirpant sa grosse queue de sa braguette et sans ménagement en relevant par devant le pan de ma robe, oubliant ma culotte, en l’écartant, je sente sa queue aller et venir en moi en de puissantes pénétrations……….. (J’aurais tant aimé…)

( Rassure toi, à la fin du récit tu vas me remettre au pied du mur si j’ose dire en me provoquant, en me rabaissant, je ne te reconnaîtrais plus dans ta rage et je tomberais dans ton piège, en te violant vraiment réalisant ainsi sans le savoir un de tes fantasmes les plus tenaces….mais il va y avoir du sport car tu vas savoir mimer une résistance que je ne soupçonnais pas venant de toi…..ma Lola chérie.)
- Pierre :

Je ne me reconnaissais plus, Lola par ses paroles m’entraînait vers des gestes inhabituels pour moi ; Elle m’avait provoqué et je succombais à l’envie irrésistible que son corps m’inspirait. Moi Pierre je la forçais, plaquée contre ce mur qui l’immobilisait ; tous ses mouvements de dégoût pour me rejeter confortaient ma position. Comment avais je pu oser la dépoitrailler et mordre ses seins que j’adorais, mes mains, mes doigts se joignaient à ma bouche pour les caresser, je les savais si sensibles, d’ailleurs ils étaient durs comme de la pierre leurs pointes dressées comme quand je la faisais jouir.

(Comme quoi je ne suis pas contre !!! )

J’avançais ma bouche de ses lèvres pour l’embrasser, de force s’il fallait, au point où j’en étais mais cela la déchaîna et elle m’échappa en se retournant, ses pieds reprenant appui sur le sol, debout près de moi j’eus du mal à l’enlacer, j’étais derrière elle ; mon ventre sur ses fesses cette fois, mes mains la ceinturant agrippées sur ses seins, elle se débattait en m’injuriant et pour mieux la contenir je réussis à m’assoir sur une chaise, Lola à plat ventre allongée en travers sur mes genoux, sa tête sur ma gauche.

( Quelle curieuse position !!! Mais je ne demande qu’à voir…)

La position était plus confortable pour moi, mais j’étais moins bien car mon sexe n’était plus plaqué entre ses cuisses.

( Moi non plus alors… Je te veux Pierre… Je veux te sentir…)

Lola se débattait toujours découvrant ses cuisses. Fasciné par le spectacle je relevais complètement l’arrière de sa robe découvrant ses fesses moulées dans l’adorable petit short de satin. La tentation était trop forte, ses fesses trop belles trop attirantes ; passant ma main droite sous la soie de sa culotte par une des jambières je pris connaissance de ses rondeurs et je remontais, allant de ses fesses à son dos puis revenant jusqu’entre ses cuisses en m’enfonçant au passage dans le profond canyon de ses fesses ouvertes.

Mais il me fallait plus, et je découvris ses merveilles en la déculottant faisant glisser l’étoffe sur ses cuisses avant d’arriver à lui enlever complètement. J’eus du mal à franchir l’obstacle de ses chaussures à hauts talons qui résistaient au passage. Je restais un moment interdit par l’érotisme de ma Lola quasiment nue sa robe en bouchon à sa taille, le dos, les reins, les fesses, les cuisses offertes à mon regard concupiscant. Comme j’aurais voulu qu’elle m’offre toute cette beauté que je devais lui voler.

A deux mains maintenant je caressais son corps merveilleux en s’attardant sur ses fesses en les triturant en les écartant amoureusement. Puis je plongeais entre ses cuisses en m’enfonçant paume en avant dans cette vallée où régnait un climat tropical, chaud, humide et parfumé, sa chatte était toute mouillée et quand je laissais mes doigts aller et venir dans sa fente lubrifiée Lola poussa un cri de rage en se débattant, en tordant dans tous les sens en serrant ma main entre ses cuisses.
- Lola :

Oui c’était bien un cri de rage car c’est sa queue que j’aurais voulu en moi.

( Ah là je ne peux qu’acquiescer…)

Sans mon stratagème il serait déjà en train de me baiser en toutes positions et le souvenir de ses pénétrations puissantes avec son énorme queue bien lisse, bien douce me revenait à l’esprit. Je suis une jouisseuse et aux caresses sans fin je préfère les amples allers et retours d’une grosse bite dans ma chatte plus encore que dans mon cul. J’aime les amants résistants qui savent me faire jouir et rejouir longuement et souvent. La situation était d’autant plus rageante que Pierre avait su par le passé me faire jouir des nuits entières.

Je me consolais en pensant que rien n’était perdu, d’autant que je goûtais à ce plaisir nouveau, celui de résister à mon amant préféré, découvrant chez lui des facettes nouvelles de son comportement. Pierre fouraillait, une main entre mes fesses et je compris qu’il avait réussi à sortir son sexe de son pantalon et après m’avoir tourné légèrement face à lui, avec ses doigts il guida sa longue verge de mon ventre entre mes cuisses bien en appui dans la raie de mon cul et maintenant ce n’étaient plus ses doigts qui titillaient ma chatte mais son gland et sa tige.

J’avais besoin maintenant de quelque chose de plus substantiel, Comment faire ? Pour rien au monde je ne lui avouerais le scénario que j’avais imaginé pour réaliser l’un de mes fantasmes : mimer un viol.

(Waw… Je n’aurais jamais osé le dire… Mais c’est vrai… J’ai toujours cette scène en tête qui m’excite tant… Je te la raconterais si tu m’y fais penser… En tout cas beaucoup de femmes, même si elles ne l’avouent pas, ont ce fantasme…)

En tournant la tête vers lui, Je dis :
« Quitte ton froc, tu seras mieux pour me violer ! »

Il avait l’air consterné, il n’était pas venu pour cela mais pour faire une partie comme nous aimions la faire avant.
« Tu ne m’échapperas pas ? »
« Tu me tiens, tu es plus fort que moi, je pourrais hurler, ameuter tout l’immeuble…ce n’est pas mon genre »

Alors en hâte il me releva à ses côtés et je pus voir son strippe-tease. En un rien de temps comme s’il avait peur de me perdre il fut nu, flamberge au vent, et je dus étouffer un gémissement tant mon envie de lui était grande, il allait enfin me baiser et de nouveau je fis fontaine en serrant mes cuisses. Alors il me prit dans ses bras et me renversa sur la moquette, moi sur le ventre, ouverte, fesses relevées et il s’allongea sur moi.

Sa verge exacerbé par tous ces rebondissements se dressait bandée, énorme légèrement arquée vers le haut, le gland décalotté. Déjà il le présentait entre mes fesses à l’entrée de ma vulve. Malgré mon énorme envie d’être prise, vaincue, mais sans lui avouer, je ne pus m’empêcher de lui dire :
« Quelle sensation as-tu quand ton sexe me pénètre pour la première fois ?

Au son de ma voix Pierre sembla discerner un changement de mon attitude hostile, un encouragement à poursuivre, en souriant, penché sur moi il me dit dans le cou :
« Ce que je ressens ma chérie est indescriptible mais je vais essayer de te le décrire en entrant en toi puisque tu le veux maintenant je vais te dire mes émotions jusqu’au moment où j’explose en toi , l’apothéose…….. »
…………………….

Fin de cette première partie, à ce stade j’attendais de savoir ce que Lola en pensait, je n’avais pas encore lu ses commentaires que vous avez du lire, vous, déjà…..
( Je te trouve dur de t’arrêter a un moment si crucial alors que mon excitation est à son comble… Il faudra que je sois patiente alors que je ne tiens plus… A mon avis ce texte est parfait comme il est… Ne change absolument rien… Mais j’ai hâte d’avoir la suite… cela me frustre un peu !!! même beaucoup je dois dire…Mais je sais dans quelle situation tu te trouves donc je serais patiente… Je t’embrasse. En attendant sous la couette je vais relire cette première partie et comme à chaque fois que je te lis, je vais me faire jouir en me caressant le clito et mes tétons. Demain j’écrirai mes commentaires

………………………………

- Pierre

Je m’avançais, mon gland connaissait le chemin tant de fois emprunté. Ma verge n’en pouvait plus d’attendre ? Quelle allait être douce cette première pénétration. En fixant le regard de Lola , son visage retourné vers moi je m’enfonçais en elle doucement. Quel moment merveilleux pour moi, quelle sensation exquise que celle de mon sexe bandé investissant cet écrin intime, si chaud, serré sur mon membre qui devait se frayer son passage.

(Moi aussi j’aime cet instant, cette première pénétration, je sens ma chatte s’ouvrir sur toi, sur ta belle queue bien lisse)

Quand je suis dans cet état ma verge a une sensibilité extrême et le moindre contact, la plus petite des caresses, la pénétration surtout entre les lèvres d’une bouche ou d’une chatte me font hurler de plaisir et me tendre. Dans cet instant rare il faut que je résiste pour ne pas éjaculer, pour ne pas m’enfoncer brutalement et me répandre au fond de ce conduit enchanteur.

La moiteur des lieues, son étroitesse aidant je sentais mon sexe se retrousser complètement dans ce fourreau intime. Chaque pore de ma verge décalottée si sensible glissant dans les profondeurs de la vulve lubrifiée s’unissait aux siennes pour faire naître mon plaisir qui m’incitait à m’enfoncer davantage. Lola pour mon bonheur était profonde pour me prendre entièrement en elle mais lorsque mes cuisses et ses belles fesses s’épousèrent serrés l’un sur l’autre mon gland du forcer d’autres lèvres, comme un étranglement au fond de son vagin. Lola poussa un petit cri en se collant plus fort sur moi.

( J’adore quand ton gland décalotté butte au fond de moi. Puissance de l’imagination en te lisant je l’imagine dans ma chatte, si tu voyais comme je mouille….)

Je restais un moment planté bien à fond, le regard de Lola était plus doux et un rictus se dessina sur ses lèvres quand en douceur je me retirais doucement. Alors mon prépuce, ce fourreau de peau retroussé repris sa place recouvrant mon sexe en une caresse d’une délicatesse infinie pour encapuchonner ma hampe et mon gland. Alors tout le temps de mes allers et retours il en fut de même, un dépucelage continu de ma verge dans l’intimité de Lola.

( Merci de me raconter cela, merci de connaître tes sensations…..homme et femme nous sommes un peu un mystère chacun dans notre univers)

Qu’ils sont doux ces premiers ébranlements où les sexes font leur place et s’ajustent l’un dans l’autre, qu’ils sont jouissifs les instants où la verge sort encapuchonnée des lèvres de la chatte et que le gland se retrousse en replongeant dans la tiédeur du ventre aimé. Qu’ils sont excitants ces doux préliminaires avant la jouissance infinie qui va suivre, les pénétrations brutales , les déhanchements erratiques ; les cris de fauves en rut.

( Si tu savais comme c’est bon pour moi aussi , pour nous les femmes. En te lisant je me caresse le clito en le triturant avec mes doigts….)

Cela changea quand la retournant pour la prendre cette fois par devant elle commença à s’agiter sous moi, Le plaisir semblait partagé maintenant, les sensations jumelles dans mon sexe et dans sa vulve. Son visage rayonnait et quand tout en me vautrant en elle je me penchais pour lui prendre ses seins à deux mains pour les peloter elle poussa un petit cri, elle jouissait enfin, je la retrouvais, amante jouisseuse, insatiable et comme elle aimait je la perforais bien à fond à grands coups de boutoir. Mes cuisses claquaient sur ses fesses par dessous et mes couilles fouettaient son cul.

( Continue mon Pierre je jouis déjà, je me caresse aussi les tétons……)

Apparemment elle s’abandonnait sans retenue maintenant. Je m’efforçais de la servir. A genoux entre ses jambes je l’avais prise sous ses fesses, je la soulevais et l’attirais vers moi, sa croupe, ses cuisses en appui sur les miennes. Elle était ouverte et il était facile pour moi de lui pistonner la chatte. A chacun de mes reculs je restais en elle mon gland au bord de ses lèvres avant de replonger inlassablement. J’avais pu lui reprendre les seins car je les savais sensibles, ses tétons étaient érectés et roulaient sous mes doigts.

( Ah ouiiiii, c’est bon, je m’inonde en te lisant…j’aimerais que cela ne s’arrête jamais….)

Lola haletait elle avait glissé une main contre son ventre et avec deux doigts entre ses lèvres intimes proche de mon pénis emmanché dans sa vulve elle se masturbait énergiquement le clitoris. Elle s’agitait de plus en plus en geignant et quand elle jouissait en se serrant sur ma hampe elle hurlait : encore…….encorrrrrrre ! Je le savais et mes profondes pénétrations continuaient entre chacun de ses orgasmes nombreux qui se succédaient. J’étais bien moi aussi, ma verge énorme, sensible dans sa chatte en furie, je me réservais pour la contenter, oui, encore et encore.

( Je dois me contenter de mes doigts dans ma chatte mais dans ma tête c’est ta queue qui me perfore , ta belle verge grosse, dure, longue, lisse……ouiiiiii je la sens, je jouis….)

A un moment tout changea, dans un cri, sa jouissance franchit un palier et d’un coup je me sentis plus libre en elle. Elle s’ouvrait chatte béante et dure, ma bite n’était plus serrée en elle mais caressée sur les parois durcies de son vagin, au fond seulement une petite résistance quand elle s’ouvrait en corolle sur mon gland prisonnier de son utérus. Son visage ravagé par l’orgasme dodelinait en tous sens, son bras libre s’agitait frappant la moquette, ses fesses agitées furieusement. Maintenant je sortais mon sexe à chaque recul et sa chatte se mit à chanter quand je l’emmanchais dans un sifflement d’air expulsé.

(Oui c’est ainsi quand après le plaisir l’orgasme me submerge…..tu as l’air de bien nous connaître….)

Ces bruits intimes, ces frôlements de son vagin sur ma queue me firent, à moi aussi, perdre mon contrôle ; du fond de mes entrailles je sentis monter le plaisir et irradier ma queue, jamais ma jouissance n’avait été aussi intense, aussi durable et j’attendis d’être au fond du ventre de Lola, dans sa fleur ouverte pour l’inonder en jets puissants. A chaque giclée Lola hurlait. Nous sentions le sperme remonter entre sa cheminée et ma verge avant d’être refoulé sous pression au plus profond d’elle-même.

( c’est ce que nous attendons toutes, ces jets puissants qui giclent au fond de nous…..le plaisir partagé…..notre victoire…..)

C’était trop pour moi, pour nous car d’un coup mon sexe fut broyé par des contractions incontrôlées de sa chatte, ses lèvres, son vagin se refermèrent sur moi spasmodiquement, prisonnier d’un coup de cette prison de rêve. Le sperme expulsé inondait nos ventres et nos cuisses. Lola fermait les yeux, dans un autre monde. Je me penchais sur elle ; mon torse sur ses seins et je l’embrassais tendrement dans le cou avant de prendre ses lèvres. Comme la belle au bois dormant elle ouvrit ses yeux et en se relâchant elle me sourit montrant ses belles dents de carnassière.
……………………………..

- Lola

Je n’avais pu résister, j’en avais trop envie, voir cette longue queue aimée pointée vers moi avait anéantie tous mes beaux projets, ceux de me faire prendre de force. Comme à chaque fois qu’il m’avait baisée Pierre m’avait fait jouir intensément m’amenant au nirvana. Il n’était peut être pas trop tard et j’imaginais une ruse pour l’amener là où je souhaitais.

( je vais voir si tu comprends ce que je veux….)

« Chéri prends moi en me plaquant au mur comme tout à l’heure, j’attendais que tu me prennes de force, j’ai tout fait pour te rabaisser, pour t’énerver……attends j’ajuste ma robe et mon sous tif…..je renfile ma culotte……remets ton slip et ton pantalon…..aller……viens…..si tu savais comme j’ai envie que tu me violes……mais en seras tu capable …sauras tu me prendre contre mon gré….tu es trop gentil…..trop lisse…..tu ignores la vraie Lola……. La Lola bourrée de fantasmes……tout à l’heure tu me tenais à ta merci et tu n’as pas été au bout, tu m’as laissée échapper et tu m’as baisée bêtement …..à la papa…..si tu savais comme j’en ai marre de faire l’amour comme un vieux couple…..pour moi tu es un freluquet……

( je lui parle comme Elvira ma rivale dans ‘Le facteur’)

Ce que je veux c’est un mâle, un vrai, qui me baise même quand je me refuse à lui…..un vrai homme…….pas comme toi…..j’en ai marre de toi…..tu peux partir…..je ne te retiens pas….tu me déçois beaucoup !»

(Tu as l’air d’avoir compris…. tu n’as pas l’air de vouloir partir….. je sens ta révolte qui gronde…… tu vas me prendre de force….. je le devine à ton regard….. sauras tu le raconter….°‘
………….

- Pierre

J’étais effondré, vexé, Lola reprenait son attitude méprisante, ainsi elle rejetait ma gentillesse tenant pour rien le plaisir que je lui avais donné jusque là. Lola était devant moi, magnifique dans sa colère, elle me méprisait. Ce n’était pas possible, elle allait me dire que c’était un jeu, que je comptais pour elle, qu’elle m’aimait, je m’avançais vers elle pour la prendre dans mes bras, pour lui dire combien je l’aimais, combien je la désirais. Lola me repoussa en m’insultant :
« je t’ai dit de partir, ne reviens plus….tu m’as fait jouir….c’est fini nous deux….. »

Alors contrairement à ma nature la rage me prit, je m’en irais quand je voudrais mais avant j’allais lui montrer ce qu’un freluquet, un impuissant savait faire.

D’une brusque avancée je la surpris et je l’emprisonnais dans mes bras, les siens prisonniers contre son corps ; Ainsi elle ne put m’empêcher de l’embrasser au creux de son cou mais je dus prendre garde aux ruades de ses genoux destinées à m’émasculer. Pour éviter ses cuisses musculeuses, ses genoux, je les forçais à s’ouvrir et je me plaquais sur elle, nos bas ventres soudés.

Incroyablement je bandais comme jamais et le gros cylindre de ma verge au travers des étoffe se vautrait dur comme du fer dans son entre cuisses. Mais si j’avais immobilisé Lola je ne pouvais pas faire grands chose, mes bras serrés sur elle, je continuais donc à onduler espérant faire naître dans ce corps parfait le feu que je lui connaissais…..il n’en fut rien……Lola dodelinait sa tête pour éviter mes embrassades, ses yeux lançaient des éclairs de haine, elle faisait tout pour sortir de l’étau de mes bras et surtout elle me provoquait
« Tu crois que tu vas pouvoir me baiser comme çà ? tu n’es pas de taille à me forcer…… »

Elle avait raison, il fallait que j’improvise. Avec mes mains, J’immobilisais ses bras dans son dos contre le mur, les retenant d’une main, ainsi avec l’autre libérée derrière elle je pus triturer, sur sa robe et sa culotte, ses fesses écartelées par la position de ses cuisses ouvertes , quel plaisir pour moi, quelle revanche d’empaumer à pleine main ses deux merveilleuses rotondités bien fermes, ouvertes , je sentais leur chaleur au travers des étoffes soyeuses de sa robe qui glissaient sur ses fesses.

(Intéressant ne t’arrête pas….)

Lola se tortillait plaquée sur moi pour tenter de m’échapper mais cela ne faisait qu’augmenter mon plaisir. Elle aurait réussit à force à se libérer de mon étreinte s’il ne m’était pas venu l’idée de l’emprisonner comme dans une camisole avec sa robe. Je dus faire vite et par surprise car libérant ses bras l’espace d’une seconde je saisis sa robe aux épaules et d’un coup je la rabattis sur ses bras. Je triomphais elle était à ma merci du moins pour un moment, elle était prisonnière, mes mains étaient libres et Lola était toute dépoitraillée devant moi :
« Alors ma belle on fait moins la fière maintenant…..qu’en penses –tu ? »
« Tu ne me baises pas encore……impuissant » me dit-elle méchamment le regard en feu
« Pas encore, je ne suis pas pressé car je veux jouir malgré toi…tiens…tiens.. »

(Cela ressemble de plus en plus à ce que j’attends, je suis bien…)

Et à chaque ‘tiens’ je lui arrachais sans ménagement son soutien gorge libérant ses jeunes seins, je relevais sa robe la coinçant sur sa taille dénudant ses cuisses, je passais une main par derrière dans sa raie des fesses sous sa culotte tandis que l’autre disputait à mes lèvres le bout de ses seins. Bouche grande ouverte j’aspirais un mamelon pour lui faire un suçon en pelotant l’autre avec force.

Je n’étais plus moi, j’étais un violeur qui abusait de sa force. D’un geste rapide je dégrafais mon pantalon qui tomba à mes pied et dont je me débarrassais avant de me replaquer entre ses cuisses. Nos sexes séparés que par le satin de nos slips, je sentais vraiment mon sexe entre ses grosses lèvres que je limais en agitant mon bassin de haut en bas . Que c’était bon ce plaisir volé.

( Si tu savais comment je me prête à ton jeu…..vas tu arriver à me prendre de force…..)

Mais Lola était un adversaire de taille à se défendre, elle allait réussir à libérer ses bras, elle sortit du carcan de sa robe un bras puis l’autre et ongles en avant elle essaya de me défigurer, je reculais elle réussit à m’arracher ma chemise me mettant torse nu comme elle. Alors la lutte commença, un véritable corps à corps ou je ne ressortis pas indemne de griffures, moi je lui arrachais les lambeaux de sa robe et collais ma poitrine sur ses seins qui s’étaient durcis en grossissant.

(En fait j’essaie de te mettre à poil….)

Je dus lui saisir ses mains pour qu’elles ne m’éborgnent pas, L’idée me vint de la plaquer contre le mur mais comment ? Face au mur m’offrant ses fesses ? Dos au mur pour essayer de la baiser par devant? Pas facile tout cela car Lola dans une rage devenue silencieuse mais pas moins déterminée faisait tout pour m’échapper. Je commençais par baisser sa culotte pour la mettre nue, la suite quoique incertaine serait facilitée. Petit à petit je réussis cette entreprise délicate, Lola étant maintenant complètement nue devant moi.

Nue mais dangereuse car à chaque fois qu’elle le pouvait elle cherchait à me nuire, visiblement elle voulait me prendre le sexe pour l’amocher elle ne réussit qu’à baisser mon slip et bientôt je fus nu moi aussi libérant ma verge raidie et tendue sortant de mon boxer comme un diable de sa boîte. Jamais je crois il n’avait été si gros, si long, il se dressait tout fier, le gland décalotté. Mais le plus dur restait à faire, le fourrer dans la chatte de Lola, dans son derrière s’il se présentait mieux.

(J’attends ce moment depuis des années…..jure moi que nous le ferons pour de vrai…)

Pourtant j’avais une préférence pour sa vulve qu’elle m’avait interdite. Alors réussissant d’une main à prendre les deux siennes dans son dos, je la poussais la faisant reculer contre la cloison de sa chambre et rabattant ma verge je la glissais dans la petite lucarne sise en haut de ses cuisses. Cela avait été relativement facile mais il fallait me méfier des réactions de ma poupée de pure race, pleine de force et de résistance. Dans cette position en bougeant mes fesses d’avant en arrière je faisais coulisser ma verge dans le doux écrin de ses grosses lèvres et mon espoir était de réveiller la libido de Lola et de la faire céder de son plein gré ou mieux avec sa complicité, il n’en fut rien, le corps bandé elle faisait tout pour m’échapper. Un espoir me soutenait cependant, une citation de Lola quelques mois auparavant : … plus le combat sera long et difficile, plus cela sera excitant et plus cela sera bon…

Oui…Ce fut long….., oui…se fut difficile……le plus dur fut de lui écarter les cuisses, de m’avancer au plus près et tout en me baissant légèrement, présenter mon gland entre les lèvres de sa chatte, alors oui se fut excitant oui se fut bon pour moi du moins quand me redressant je sentis que j’étais bien en place, le plaisir immense de la première pénétration quand la peau de la queue raidie à une sensibilité extrême émoustillée par le satin d’un vagin lubrifié. Que se fut bon de m’enfoncer doucement dans la fournaise de sa chatte.

( tu t’y prends bien pour quelqu’un qui répugne à ce forçage…)

Lola résistait encore en ondulant cherchant à se libérer de cette verge qui la clouait contre le mur mais j’avoue que cela centupla mon plaisir. Je tenais en arrière les mains armées de Lola et j’allais et venais en elle de toute la longueur de ma queue énorme qui la remplissait tout en la limant j’essayais en vain de l’embrasser, elle se refusait encore.

( Un dernier baroud d’honneur avant de me laisser aller )

A un moment pourtant je la sentie s’amollir, moins de résistance dans ses bras, je pus lui lâcher ses mains sans risques ; alors tout en la baisant debout je pus la caresser, lui peloter les seins et les fesses ; j’osais même lui relever une cuisse en la soutenant d’une main pour aller plus profond en elle. C’est elle qui relevant l’autre me ceintura la taille, alors la soutenant en la plaquant contre le mur et la prenant sous ses fesses je la fis rebondir sur mon membre en la soulevant et en la faisant retomber sur moi de plus en plus fort, de plus en plus vite et me croyant enfin autorisé à tout lui faire je lui fit une petite enculette, un petit doigt enfoncé jusqu’à la garde entre ses fesses, dans son anus entre ouvert .

( on redevient classique……que c’est bon)

Lola silencieuse ne m’injuriait plus, son visage était devenu sérieux. Dans son regard je voyais son plaisir que vaincue elle voulait me cacher mais quand moi aussi à bout de résistance je sentis du fond de mes couilles un plaisir infini et qu’en longues giclée je l’inondais au fin fond de son vagin elle ne put retenir un cri , un feulement de tigresse en rut.

Alors le freluquet, l’impuissant que j’étais à ses yeux continua de la servir en la faisant se tendre à chacun des nombreux orgasmes qui la rendirent folle et ce fut l’apothéose quand se dégageant enfin de moi elle me guida entre ses fesses dans l’orifice voisin qu’elle empala dans un cri sur mon pieu toujours raide.
…………….

- Lola

J’étais heureuse, la réalité dépassait mon fantasme, j’avais poussé Pierre dans ses retranchements et il avait cru me prendre de force, contre sa nature pourtant gentille. J’avais tout fait pour qu’il se déchaîne enfin sur moi, j’avais bien mimé ma colère, il s’était méfié de mes ruades ; il avait cru que je voulais vraiment l’éborgner. S’il avait su comme ma chatte ruisselait à ces instants ! il ne m’aurait pas fait jouir autant. Sans danger pour lui j’avais tout fait pour qu’il échoue à me baiser mais comme dans mes fantasmes je n’avais pu éviter sa réussite et jamais je n’avais tant apprécié sa verge entrée de force en moi.

Il fallait en finir, je me tournais vers lui et lui offris mes lèvres. Pierre me serra tendrement dans ses bras heureux de retrouver la Lola qu’il appréciait. Que pensait-il en cet instant, pensait-il m’avoir apprivoisée comme on dresse un cheval sauvage, entier, un pur sang, en le contraignant à se plier à la volonté du gardian? Etait-il heureux d’avoir laissé pour un instant sa gentillesse de côté ? Je lui dirais un jour le plaisir qu’il m’avait donné en réalisant mon fantasme le plus secret, celui d’être prise de force après un combat érotique.

( Merci mon chéri…..je t’adore…)
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Histoire de Pierre le Grand

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