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Comment j'ai trahi mon mari.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 27/04/2022

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Sur la route qui me ramène chez moi, je réalise l’énorme bêtise que je viens de faire. M’être laissé séduire par Marc, le principal concurrent de mon mari, à l’élection municipale de la ville. Je me suis offerte sans retenue, et j’avoue avoir pris énormément de plaisir.
En fait, tout à commencé lors d’une réunion organisé par mon mari, maire sortant. Marc et ses conseillers, et secrétaire, étaient conviés à l’apéritif. Ce soir là, Marc, au demeurant très séduisant, avait tenté une approche, que j’avais vivement repoussée. Mon mari me l’avait reproché, insistant au contraire d’instaurer un contact, afin d’avoir certaines informations. En fait, de servir d’électron libre.
Je connais la musique de ce genre de réunion, ou je suis souvent accostée par de jeunes arrivistes, qui n’hésitent pas à me draguer ouvertement, certainement désireux d’épingler la femme du maire à leur tableau de chasse. Même si je dois admettre, qu’un soir, alors que j’avais poussé sur le champagne, j’étais à deux doigts de succomber aux avances et aux charmes d’un opposant à mon mari. Celui-ci interrompit la discussion.
C’est dans la semaine qui suivit, que mon mari reçu, en retour, une invitation de Marc. Occupé par ses activités politique, et ses nombreux rendez-vous, mon époux me demandait de le représenter. Même si ça ne m’enchantais pas, j’acceptais.
Le soir venu, je fouillais dans ma garde robes, pour choisir la tenue qui sied à ce genre de soirée. Jupe à mi-genoux, chemisier blanc, escarpins de huit centimètres. Mes longs cheveux en cascade, et mon léger maquillage, faisait de moi la plus belle de le soirée. J’attirais bien involontairement la convoitise de bon nombres de convives aveuglés, faisant éloge sur mon physique.
Pour cette réception, Marc avait mis les petits plats dans les grands. Une soixantaine d’invités était réunis autour d’un buffet dansant.
C’est Marc qui avait le monopole de la soirée. Aussi, passais-je la plus part des slows, dans ses bras. Il me murmurait des mots doux à l’oreille, d’autres plus coquins, alors que ses mains devenaient de plus en plus entreprenante. Une fois la danse terminée, je repoussais ses avances, et me tenais à l’écart.
Vers minuit, la plus part des invités étaient partis. Il ne restait que quelques conseillers. Marc leur conviait à partir, mais insistait pour que je reste, pour prendre un dernier verre, qu’un chauffeur me ramènerait.
Tamara, la sculpturale secrétaire, revint après quelques minutes d’absences.
Son regard envoûtant, ses yeux d’un bleu transparent, me déstabilisaient.
- C’est prêt monsieur, dit-elle.
- Merci Tamara...vous me suivez Sylvie ?
Surprise, je le suivais dans ce que je pensais être un salon privé. Sur la table, un seau à glace maintenait une bouteille de champagne au frais, accompagné de deux coupes. Marc les remplit, m’en offrit une.
- Au futur maire, dit-il en souriant.
- Vous êtes sûr de vous, rétorquais-je.
Après quelques gorgés, il me prit la coupe, la posa sur la table. Il s’approcha de moi, me saisit par la taille. Je mis mais mains en oppositions sur son torse.
- J’en suis certain, poursuit-il.
- Vous risquez d’être déçu mon cher, dis-je.
- On pari quoi…
Malgré mon refus, il insistait. Je voyais son sourire éclairer son visage. A cet instant, il était persuadé que j’allais m’abandonner. De mon côté, je me sentais de plus en plus vulnérable, attirée physiquement par sa virilité, et je sentais le désir monter en moi.
- Arrêtez...s’il vous plaît...dis-je
- Pourquoi...on est pas bien là…
- Si...mais mon mari doit s’inquiéter…
- Ne croyez-vous pas qu’il a d’autre préoccupations…
L’argumentation n’était pas fausse, et bientôt, je me relâchais.
Je sentais ses mains glisser sur mes hanches. C’est à cet instant que j’aurai dû lui opposer un refus catégorique. Pourquoi ne l’ai-je pas fait, voulais-je savoir jusqu’où il était prêt à aller. Ou tout simplement parce que j’étais prise dans le tourment du désir, car Marc incarnait le désir.
Il prit les bords de ma robe, les soulevait, jusqu’à découvrir mon string. Sans me quitter de yeux, il s’accroupit, approcha son visage, léchait ma fente. Je succombais, mais pas à cause de l’alcool, j’étais parfaitement lucide, mais du désir qui soudain envahissait mon corps. Il écartait mes lèvres intime, me pénétrait de sa langue, tandis qu’un doigt excitait mon clitoris. Je subissais de plein fouet cet ignoble caresse. Je voulais lui dire d’arrêter, que j’étais mariée avec le maire actuel, mais eu lieu de ça, je m’écartais d’avantage, pour facilité l’accès à mon intimité. Je sentais un doigt pénétrer ma chatte, un autre jouer avec mon bouton. Je commençais à onduler des hanches, tandis qu’il prenait le monopole de mon corps. Soudain, sans bruit, j’atteignis un mini-orgasme.
- C’est bon, hein...vous aimez…
- Vous le savez, salaud...vous faites ça pour humilier mon mari…
- Attendez quelques jours, il va s’humilier tout seul..
Ce salaud faisait allusion aux élections toutes proches.
Il se leva, se plaça derrière moi. Il défit un à un les boutons de mon chemisier, l’ôta, et dégrafa mon soutien-gorge. Il se pencha, et fit glisser ma robe. Je me retrouvais entièrement nue devant lui, l’opposant de mon mari.
Il s’écarta pour me regarder, me dit que j’étais très belle. Il baissa son pantalon, dégagea son sexe. Il était déjà en érection, et le trouvais de dimension plus que respectable. Il s’assit sur une chaise, me prit par les hanches, et m’attira à lui. Je m’écartais pour éviter ses genoux. Lentement, il me fit descendre, jusqu’à ce que je m’empale sur sa bite.
- Hum...salaud…
- Pourquoi...ma queue ne vous convient pas ?
- Oh si…elle est bonne...et bien grosse...
Il ne bougeait pas, mais je le sentais vibrer en moi. C’est moi qui engageais des mouvements de va et vient, en gémissant de plaisir. Le rapport fut bref, mais intense. Nous avons jouis ensemble. Il me soulevait, s’amusait en souriant, à me faire coulisser sur son calibre, à plusieurs reprises, jusqu’à ce que je jouisse une deuxième fois.
Il me dit que d’avoir baiser la femme du maire, était un signe, une première victoire.
Il me libéra enfin. Je me rhabillais et quittais son QG de campagne.
Tout se bousculait dans ma tête, réalisait la gravité de mon acte. Je venais de tromper mon mari, avec son principal rival, pour accéder à la mairie. Tout ça pour un moment de faiblesse. D’un autre côté, Marc m’a fait découvrir une autre facette de l’amour, bien plus torride, beaucoup plus intense, aux antipodes de ce que mon mari me propose.
Le lendemain, mon mari me demanda comment la soirée c’était déroulée. Quel genre de discours avait-il fait, les propositions. Je répondis vaguement, pensais plus à la queue qui avait baisé ma chatte, qu’aux élections.
Un samedi, je reçus un SMS de Marc, m’invitant à une soirée de campagne électorale. Je posais la question à mon mari, qui me dit d’accepter l’invitation, de bien écouter ce qui allait se dire, et de lui faire un commentaire demain matin, étant lui même en campagne ce soir.
La soirée était dans le même style que la soirée précédente, sauf que je trouvais que Marc ne me prêtait pas trop attention. Je le lui fit remarquer.
- Ne vous inquiétez pas...vous l’aurez vôtre coup de queue.
- Mais...comme vous me parlez…puis vu comme vous m’ignorez, ça m’étonnerait.
- Sûr... je vous baiserais...allez voir sur la table du salon, il y a une enveloppe pour vous.
Discrètement, je m’éclipsais dans le salon privé. Effectivement, sur la petit table, il y avait une enveloppe qui m’était adressée. Je l’ouvris, et là, j’ai cru que le sol se dérobait sous mes pieds. Il y avait une photo me montrant en train de chevaucher Marc, empalée sur sa queue. Soudain, il me semble me souvenir avoir vu comme des crépitements de flash. Certainement un téléphone portable. Je pensais de suite à Tamara.
Je m’affalais sur un fauteuil, pris ma tête entre mes mains.
A partir de là, Marc mis en place, un odieux chantage.
Quand il me rejoint au salon, j’étais en larmes, tête baissée. Quand je me redressais, je me trouvais nez à nez, avec sa grosse bite décalottée. Il faisait courir le gland sur mes lèvres. Il savait que j’allais me soumettre, sous peine de mettre en péril la campagne de mon mari, et mon couple. Je le pris donc en bouche, et me mis à le sucer. Il avait une grosse envie, car il ne tardait pas à jouir, dans ma bouche, bien sur. Il m’imposait à tout avaler, à bien nettoyer les souillures de son œuvre.
Quand je lui demandais de me donner les photos, il me dit que c’était Tamara qui s’occupait de la communication, de voir avec elle, mais rien ne se ferait avant les élections.
J’étais coinçais, prise au piège de se goujat qui, à travers moi, voulait humilier mon mari. Je finit la soirée et une partie de la nuit dans son lit, à faire tout ce que je refusais à mon époux, avec tous les interdits que ça comportent.
Je rentrais à la maison épuisée, les yeux cernés, évitant tout contact avec mon époux.
Il arrivait à mon mari, de s’apercevoir de mon état de fatigue. Il me conseiller d’espacer les meetings, c’est pas ça qui l’empêcherait d’être élu.
Le pauvre, s’il savait qu’a chaque réunion, je me fait baiser par, peut-être, celui qui allait l’évincer de la mairie, et que sa femme aurait participé à sa défaite.
J’étais, non seulement coincé, mais Marc allait accélérer ma déchéance, m’invitant à des soirée qui tournaient en totale soumission.
Marc m’invitait souvent chez lui. Il me fallait trouver des excuses vis à vis de mon mari. Un coup, ma mère malade, un coup une ami qui avait un problème de couple, et qui avait besoin de mon soutien, ou rencontrer un président d’association.
Petit à petit, mon mari s’aperçut de petit changement dans nos relations sexuelles. Il fut d’abord surpris quand lors d’une caresse, il s’aperçut que j’avais épilé ma chatte, ce qui m’avait toujours demandé de faire, et que j’avais toujours refusé. Je l’avais fait à la demande de Marc, qui aimait les fentes bien dégagées. Mais surtout, il n’y avait plus la fougue, et j’eus le toupet de mettre en cause sa campagne électorale, qui l’accaparait trop.
Malgré tout, il tenait que je participe au meeting de son opposant, même si je l’avertissais que certains durait tard dans la nuit.
Lors de ces soirée, Marc m’obligeait à m’offrir à ses « Ses conseillers », tailler des pipes à ses amis, sucer le gland des plus âgés, qui n’arrivaient plus à bander. Je me pliais au envies lesbiennes de Tamara, qui exigeait à ce que je lui bouffe la chatte. Elle prenait plaisir à me faire jouir en me doigtant mon petit bouton, ou en branlant ma chatte. J’étais devenu le jouet sexuel, la mascotte du QG de campagne de Marc.
Ma beauté n’était finalement pas un atout pour moi. Il m’invitait souvent lors de ses soirées mondaines, ou des amis, des vielles connaissances, passaient la soirée à me baiser, ou me sodomiser. Je finissait souvent au lit, dans les bras de Tamara.
Le pire, c’est que je prenais du plaisir à me faire baiser. Sentir ces grosses queues dans ma chatte, me changeait de la bite de mon mari, pourtant normale. Même la dextérité que Tamara avait pour décalotter mon clitoris, pour mieux jouer avec, me rendait folle. Les rapports avec mon mari s’espaçaient de plus en plus. J’étais la soumise de Marc.
Un jour, j’eus le courage de dire à Marc que je n’assisterais plus à ses soirées, beaucoup plus érotiques, que politique. Il ne dit pas un mot, me tapota la joue, et me laissa partir.
Sur la route, je reçu un message d’un correspondant inconnu. Aucun texte, juste des pièces jointes. Je cliquais dessus, et reconnu de suite le décor du salon privé, de le chambre, du lit ou je ma faisais baiser. La seconde pièce jointe me représentait à genoux, en train de tailler une pipe à un employé, une autre me montrait à quatre pattes, me faisant généreusement prendre en levrette, par l’imposante queue d’un conseiller de Marc, tendis que je taillais une pipe au responsable de la sécurité, à genoux devant moi.
Une autre pièce jointe me montrait, en gros plan, en train de sucer le clitoris de Tamara.
Aucune pièce jointe représentant Marc. Ce salaud ne voulait pas se compromettre.
Ce message me fit un énorme choc, me faisait passer pour la pute de service. Il fallait surtout pas qu’elles arrivent sur le bureau de mon mari.
J’étais coincé, victime de ma négligence, mais aussi de l’appel du sexe.
Je m’en voulait de mettre offerte aussi rapidement, lors des premières soirées, et Marc a deviné mes faiblesse, ma vulnérabilité, et a su en a profité. Je n’avais, à ce moment là, qu’un seul moyen pour m’en sortir...dialoguer. Je pris rendez-vous, un après-midi. Je lui posais la question sur mon avenir, s’il comptais poursuivre dans cette voie.
Il me répondit que tant que les élections n’était pas passé, je serais obligé de lui obéir au doigt et à l’œil. Mais que quel que soit le résultat, il me libérerait alors de toutes mes fonctions. Mais aujourd’hui, il en attendait plus de moi.
Il se leva, me prit par la taille, me donna un tendre baiser. Il me souffla à l’oreille qui avait envie de moi. Moi aussi j’avais une folle envie qu’il me prenne, mais je sentais que cette proposition cachait quelque chose.
Il me demanda de me mettre entièrement nue, tandis qu’il baissait son pantalon. Il me demandait de passer derrière le bureau, et comme lors de nôtre première relation,de m’empaler sur sa bite. Je m’exécutais, et me trouvais assise sur sa queue, son ordinateur de bureau devant moi. Il passa une main sur mon ventre, la glissa sur ma chatte, excita mon clitoris. Je commençais à gémir, ne pouvant résister à cette vicieuse caresse, que lui seul savait faire.
Il me dévoila enfin ses intentions. Pendant qu’il me baisait, il me demandais de rentrer tout les codes de campagne, de mon cocu de mari.
En fait, il me demandait en parallèle, de faire campagne pour lui, contre mon époux.
Je n’avais pas le choix, mais comment me concentrer avec ce que j’avais dans la chatte. Dès le premiers code, je sentais l’orgasme montait en moi. Il le sentit, attendit, impassible que j’ai fini de jouir. Puis je repris ma trahison.
Soudain, je le sentis se cabrer sur son siège, suivi de violents coups de reins. Je sentis son sperme giclait dans ma chatte. Cette séance se produisit plusieurs fois. Pour ma part, j’ai dû avoir trois orgasme. Après m’avoir demandé de lui nettoyer la queue avec ma bouche, il se rhabilla, et quitta la pièces. A passant la porte, il croisa Tamara et un conseiller, qui venaient prendre la relève. J’ai du essuyer deux orgasmes de plus, dont un puissant sous les doigts pervers de Tamara.
Puis vint le jour fatidique des élections. A ce moment, j’avais de profonds sentiments amoureux pour Marc, et me posais la question de savoir qui je préférerais qui gagne ses élections. Le dépouillement avait lieu à vingt heures, dans la salle du conseil. Les deux partis retenaient leur souffle, en attente d’un verdict dont l’issue était incertaine.
Je me disais au fond de moi, que le fait d’avoir baiser avec Marc et son équipe, j’avais peut-être précipité la chute de mon mari. Je croisais les doigts. Le verdict tomba enfin.
Quarante neuf pour cent pour Marc, cinquante et un pour mon mari...la tuile.
Je vis Marc quittais la salle, le visage décomposé par la défaite. Je ne pouvais le laisser dans cet état, et décidais de le rejoindre, pendant que mon mari croulait sous les félicitations. Je fis sortir ses conseillers, pour me trouver seule avec lui.
Je trouvais Marc, accablé. Moi même était déçu, car je me rendais compte que j’étais devenu follement amoureuse de lui. Pour le consoler, je décidais de m’offrir à lui, là, sur la table. Il retroussa ma robe, tandis qu’il ôtait son pantalon. Ma chatte avait besoin d’être drainé, et c’est lui qui possédait le seul drain qui m’intéressait Il me prit sauvagement, se vautrant sur moi, me faisant hurler de plaisir.
Je le serrais, la tête au creux de son épaule, tandis que sa queue me pénétrait, et que j’attendais avec impatience, que son sperme coule en moi. Je lui demandais de me saillir, de me remplir, que j’avais arrêté la pilule pour ça. Mais il refusais, préférant se soulager dans ma bouche, que j’avale son jus, peut-être pour la dernière fois.
Je ne pensais pas avoir atteint, un tel niveau de salope, quand je réalisais que pour fêter la victoire de mon mari, je me faisait baiser par Marc, son principal rival pour ces élections.
Mais il fallait se rendre à l’évidence, la défaite était là, et il fallait voir la réalité en face.
Je demandais à Marc, d’être beau perdant, d’aller adresser les félicitations en son nom, et celui de son parti, à mon mari, réélu maire, même si je savais ce qui lui en coûtait.
Les deux hommes se serraient la main. Marc avec un surprenant sourire, sans doute à la pensée d’avoir baisée la femme du maire, tandis que le visage de mon mari se figeait.
Les personnes présentes aussi sont figées, tout le monde étant suspendu aux lèvres de mon mari, attendant un petit discours de remerciement aux électeurs. On s’attend aussi à ce qu’il félicite son adversaire, battu régulièrement, mais il n’en fût rien.
Soudain, il avança une main vers le veston de Marc, puis, s’adressant à moi..
« Mais c’est ta boucle d’oreille ma chérie, les dernières que je t’ai offertes, tu peux m’expliquer ce qu’elle fait sur son veston ».

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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Comment j'ai trahi mon mari.

Le 27/05/2022 - 10:32 par carlito
Très belle histoire merci beaucoup quel chanceux ce Marc moi si j'avais était la je t'aurais mis 21 cm dans la bouche sans oublier ton adorable cul et ta Chatte magnifique j'imagine merci Aurore et continue c'est excellent
Le 30/04/2022 - 13:36 par solal
Très jolie texte, bien ficelé, et que dire de la fin, mais pour moi manque un suite pour bien finir le dénouement avec sa femme et son ennemi, j'y verrais bien un tour a la police pour chantage a cause des photos mais aussi pour l'avoir forcé a donné les codes de l'ordi ce qui est du vol industriel a mon goût. Bravo

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