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Une réunion de famille

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 23/05/2022

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Bonjour, je m’appelle Laure, vingt huit ans, et suis mariée à Alain, depuis un mois. Nous rentrons tout juste de voyage de noces.
Je suis paraît-il, très belle. Je mesure un mètre soixante dix, les cheveux noirs jais qui tombent sur les épaules. Mes yeux sont d’un vert émeraude magnifique. Mes lèvres sont d’une douceur exquise, ma peau très douce. Mon petit sourire espiègle est un avantage à ma beauté. Le physique n’est pas en reste. Mes seins sont ronds, fermes et doux. Un ventre plat naturellement, des hanches et fesses parfaitement galbées, serties sur de longues jambes.
J’arbore fièrement le piercing à mon nombril, et un tatouage en bas de mes reins. Ma chute de reins est très cambrée, et lorsque nous faisions l’amour, j’adore me voir de profil dans mon miroir…surtout quand mon mari me prend en levrette.
Je peut me permettre de m’habiller comme je le souhaite, tout me va. J’ai d’ailleurs pris l’habitude que les hommes me regardent dans la rue, me sifflent, même pendu au bras de mon mari. J’ai pu le constater lors de nôtre voyage de noce au sud de la France, ou sur la plage, l’extravagance de mes maillots attirait l’attention.
Toutes mes amies se demandent toujours pourquoi j’avais choisi Alain comme mari. Je leur répondais que je l’aimais, et qu’il ne m’apportait que bonheur, et me satisfaisait au lit. Bref, qu’il était l’homme de ma vie.
A peine rentré de nôtre voyage de noces, que nous sommes invités par Paul et Marthe, les parents de mon mari, qui fêtent leur quarante ans de mariage. Malgré ses cinquante huit ans, on prêterait à Marthe, une relation avec le voisin. Bon...les langues parfois.
Bien sûr, je connais tous les invités, surtout Sylvie, avec qui j’avais sympathisé. Par contre, je ne connaissais pas Sylvain, le frère cadet de mon mari, qui était, à l’époque, au Canada, et n’avait pu participer au mariage. J’allais le voir pour la première fois.
Nous sommes arrivés vers seize heures, afin de profiter de la piscine Il faisait un soleil magnifique.
Tous les proches sont là, hébergés sur place. Les enfants avec leur époux et épouses, plus jeunes ont réservés à l'hôtel. Il y a également Rémi accompagné de sa ravissante épouse. Mon mari s’empressait de me présenté son jeune frère. Au premier regard, je le trouvais très séduisant. Non seulement il était beau, mais il dégageait une virilité assez rare. De mon côté, je sentais que je ne le laissais pas indifférent. Bref...
Je montais dans la chambre qui nous était attribué, pour enfiler mon maillot. Quand je redescendis, je sentais les regards braqués sur moi. Faut dire que mon maillot cachait le strict minimum, et mettait en valeur mon superbe corps.
Après le premier verre, nous piquons une tête dans la piscine. A peine dans l’eau, que Sylvain plongea à son tour, et vint tout près de moi. Nous échangions quelques mots, sans plus. Mon mari était à l’affût, assis sur les margelles, les pieds dans l’eau. Après quelques longueurs de bassin, je rejoignis Sylvie sur les transats.
- Qu’est-ce que tu es belle, me dit-elle
- Oh ça va...t’es pas mal non plus.
Puis, on passa à autre chose.
- Il n’est pas beau nôtre beau-frère ? Me dit Sylvie.
- Si...j’avoue qu’il n’est pas mal...ça me surprend qu’il soit seul.
- Oh tu sais, avec toutes les conquêtes qu’il a, même de femmes mariées. Il paraît que c’est un super coup au lit.
J’avoue que ce sous entendu, me laissa sans voix. Comment pouvait-elle le savoir.
- Comment tu sais ça toi ?
- C’est ce qu’il se dit, après...mais je crois que célibataire, je me serai laisser séduire.
Sa réponse me surpris. Mais bon, elle était mariée maintenant, et je la sais sérieuse. Mais je comprends qu’une femme puisse succomber aux charmes de Sylvain.
- Je comprends pas qu’une femme mariée, puisse tromper son mari.
- Ben...une femme délaissée peut-être...qui sait
Au cours de l’apéro, Paul demande à Sylvain d’aller à la cave chercher du vin. Pour faire plus ample connaissance, je me propose de l’aider. Je regarde mon mari, qui ne voit aucun inconvénient à cette démarche.
Arrivé à la cave, Sylvain me coince contre le mur. Je me débat, mais n’ose crier, pour ne pas attirer l’attention, sous peine de gâcher la fête. J’essaie tant bien que mal, de le résonner, lui dit que je suis mariée avec son frère, que je l’aime, et que je suis fidèle. Pour toute réponse, il me prend la main, et la plaque contre son maillot, au niveau de son sexe. Je le devine énorme.
- Est-ce que ton mari a ça, à te proposé ?
- Heu...non...putain, quelle bite...
- Alors...pourquoi t’en privé...
Ni une ni deux, il la sort de son maillot, me force à la prendre en main. Là, je peux en mesurer toute l’envergure, et doit reconnaître qu’il est hyper monté.
- Arrêtes...ils vont ce demander ce qu’on fait…laisses moi maintenant.
- A deux conditions...laisses moi glisser ma queue entre tes cuisses.
- Quoi !! Mais ça va pas...allons-y...et la seconde...c’est quoi ?
- Caresser ton clitoris…
- Mais t’es un gros malade toi...
Sylvain insiste, n’en démord pas. Je n’ai d’autre solution que d’accepter. J’écarte légèrement mes jambes, pour qu’il puisse glisser son énorme bite. Malgré la fine épaisseur de mon maillot, je sens le calibre se frotter contre ma chatte. Cela me trouble, mais je dois avouer que ça m’excite aussi.
Sylvain s’en aperçoit, et décide d’aller plus loin. Il me demande d’écarter mon maillot. Le non est catégorique, mais il ne renonce pas pour autant. Cela fait dix minutes que nous nous sommes absentés, et ils doivent attendre les boissons la haut. Pour couper court, je lui propose de monter les bouteilles, et d’attendre le prochain voyage.
Pour être sûr qu’on reviendra à la cave, il ne prend que deux bouteilles.
Je reprends ma place près de mon mari. De temps à autre, je croise le regard de Sylvain, et m’aperçois que je ne suis pas insensible à son charme de dandy.
Puis j’imagine cette queue coulisser entre mes cuisses.
Comme je pouvais m’en douter, les deux bouteilles ne firent pas long feu. Paul demanda qui voulait se dévouer. Sylvain se proposa, et Alain me demanda de l’accompagner. Là, je m’attendais au pire, me demandais jusqu’où il était prêt à aller. Emportée par la curiosité, je décidais de le suivre.
A peine passée la voûte, qu’il me coinça à nouveau contre le mur. Cette fois, il tenta de me prendre les lèvres, mais je parviens à éviter le baiser.
Puis il a sorti sa bite, me demanda d’écarter, et mes cuisses, et mon maillot. Je ne savais que faire, partir, mais prise par le désir, je m’abandonnais.
- Tu fais juste glisser ton gland, lui dis-je.
- T’inquiètes, dit -il, ça n’ira pas plus loin.
- Arrêtes salaud...tu vois pas que tu es entrain d’écarter mes lèvres…
Je sentais son gland ouvrir ma fente, pénétrer ma chatte. Je ne put retenir un léger gémissement, tandis que sa queue s’enfonçait en moi, inexorablement. J’étais prête à le supplier de me baiser, quand des bruits coupèrent nos ébats.
- Sylvain, dis-je...non, rien.
J’allais lui proposer qu’on se voit plus tard dans la soirée. Mais je ne voulait pas passer pour une femme facile, mariée avec son frère, de surcroît.
Je posais les bouteilles à table, et rejoignais Sylvie sur le transat.
- Alors, me dit-elle, vous en avez mis du temps...ne me dis pas que…
- Si tu savais...ce salaud est parvenu à me pénétrer...putain, quelle queue il a...
- Aie...tu serais pas en train de succomber à la tentation, sourit ma belle sœur.
- Je sais pas...faudrait pas qu’il insiste trop…
- Tu sais que j’ai trompé mon mari, une fois, avec un inconnu.
J’en revenais pas. Ma belle-sœur, si discrète sur sa vie privé, se dévoilait. Il est vrai qu’elle aussi, de par le travail de son mari, elle est souvent seule.
- A bon...et ?
- J’ai pris énormément de plaisir...on avait pris une chambre à l’hôtel. J’ai pas voulu le faire venir à la villa...on a baisé tout nuit.
- Ben dis dont...tu m’excites là...je vais tourner toute la nuit avant de m’endormir.
- Je connais une solution pour ça.
Je suis suspendu aux lèvres de ma belle sœur, qui me surprend de plus en plus.
- A oui...et laquelle, dis moi.
- Quand tout le monde dort, tu vas le rejoindre dans sa chambre…
- Non...c’est trop risqué...je crois que je vais me contenter de fantasmer sur lui.
- Comme tu veux, sourit-elle...préviens moi s’il faut de couvrir.
Pendant le repas, Sylvain n’arrêtait pas de m’envoyer des sourires, au risque d’éveiller des soupçons vis à vis de mon mari. Ou voulait-il en venir. Le pire, c’est que je me prenais au jeu, et lui rendais gentiment ses sourires. Il se leva, se plaça derrière moi. Dans un élan de confiance, il me murmura à l’oreille, qu’il avait envie de moi.
Je restais immobile, rouge de honte, de peur aussi, craignant que mon mari, ou d’autres invités aient entendu.
Je regardais Alain, l’homme de ma vie, et me disais qu’il était hors de question pour moi, de commettre un acte adultère.
La soirée se terminait, sur des regrets, chacun regagnait sa chambre. Mais je gardais en mémoire les propos de Sylvie, qui me donnaient à réfléchir. Mon mari, qui avait poussé sur l’alcool, dormait comme une souche. Je me démaquillais, me déshabillais. Je ne pu m’empêcher d’admirer mon sublime corps dans le miroir de la salle de bains. J’imaginais les fantasmes le plus fou, comme les mains de Sylvain caresser mes seins, ma chatte, doigter mon clitoris, pour enfin me pénétrer. J’étais prêt à regagner le lit, quand je fus attirées par des bruits, provenant de la piscine. J’allais sur la terrasse, et aperçus Paul et Marthe, rentrer dans l’eau. Ils étaient entièrement nus, en pure tradition d’un bain de minuit. Ils jouaient comme des enfants, poussant des petits cris quand, je suppose, ils s’attrapaient les endroits intimes. Puis Paul coinça Marthe dans l’angle de la piscine, se colla à son dos.
- Salaud...tu me baises là...gémit ma belle-mère.
- Et alors, répondit Paul, t’aimes pas ?
- Si mon chéri...tu sais que j’aime la queue…
De tel propos, à cinquante huit ans, me firent sourire. Surtout quand Paul poursuivit.
- Surtout celle du voisin...beaucoup plus grosse que la mienne, n’est-ce pas ?
- C’est vrai...reconnu Marthe, mais la tienne me convient très bien aussi mon amour.
Je fermais la baie vitrée, juste au moment ou Marthe atteignait l’orgasme.
Je me couchais, pensant à ce que je venais de voir, mais ne pu dormir.
Je sentais la présence de Sylvain toute proche, à la chambre d’à côté. Que faisait-il, pensait-il à moi ? Je commençais à me faire des films, quand j’entendis des frottements à la porte. Serait-ce lui, serait-ce un signe...
J’enfilais une courte nuisette, et décidais de me lever, d’aller écouter à sa porte. Elle était entre baillée.
Est-ce un oubli, ou une invitation...était-il sûr que j’allais le rejoindre ?
N’y tenant plus, je décidais de pousser la porte. Sylvain était allongé sur son lit, entièrement nu, la queue en semi-érection.
- Je t’attendais, dit-il en me tendant la main.
Je ne voulais pas jouer la femme pressée, et m’approchais lentement du lit, tout en ôtant ma nuisette. J’étais nue dessous. Il me prit la main, et m’attira à lui.
Je l’avais tellement désiré, et j’étais enfin blottit dans ses bras. J’avais tellement de mal à y croire.
Je n’ai pas pu m’empêcher de lécher son torse musclé. Je l’ai goûté de la pointe de ma langue, juste pour savoir quel goût il avait. Était-il aussi salé que mon mari ? Avait-il le grain de peau aussi fin ? Quels étaient les effets de ses muscles sur ma langue ? Je ne peux pas vraiment dire si les deux étaient comparables, je ne lèche que très peu mon mari, mais tout ce que je sais, c’est que la peau vibrante et ferme de Sylvain promettait mille délices.Je décidais de passer très rapidement aux choses sérieuses, atteignit l’objet de tous mes désirs. C’est bien le calibre qui m’avait pénétrée à la cave.
Si mon mari est doté d’à peine seize centimètres en érection, celle de son frère cadet avoisine la vingtaine.
Devant cette queue en érection, Il n’était pas question d’attendre plus longtemps. Il ne restait plus qu’à la décalotter, ce que firent mes lèvres à merveille. Puis je la pris en bouche. Je la sentais déjà vibrer sous la langue. Je sentais sa main passer sur mon dos, glisser sous mon ventre pour caresser mes seins, puis immiscer un doigt dans ma chatte, sur mon clito. Derrière ce jeune homme à la force de l’âge, se cache en fait un homme d’une infini douceur.
J’admirais la longueur et l’épaisseur de cette bite, me demandais si de telles mensurations pouvaient exister. Et pourtant, elle était là, dans ma bouche, et bientôt, je l’espérais, dans ma chatte déjà toute mouillée. Je ne pus résister à l’envie d’avaler son jus, quand il cracha dans ma bouche. Je ne pouvais comparer le goût avec le sperme de mon mari, ne lui ayant jamais accordé cette faveur.
Puis je me mis sur le dos, écarta mes jambes, l’invitant à me prendre.
- Tu crois qu’elle va rentrer, dis-je en ironisant.
- Par contre, il y a un autre endroit qui risque de souffrir.
Ce salaud faisait allusion à mon petit trou. Je m’y attendais, mais n’y étais pas préparé.
Mon mari ne m’avait jamais sodomisée, c’est pourquoi je comptais sur la délicatesse de Sylvain, le moment venu. Mais nous n’en étions pas là. Il s’encastra entre mes cuisses, s’enfonça en moi. Je sentais enfin son sexe tant désiré, vibrer en moi. Quel plaisir.
Et le préservatif ? C’est vrai ça...on a pas de préservatif...tan pis, on fera sans...naturel.
Puis, il se retira, descendit et enfouit son visage entre mes cuisses. Il entreprit de me lécher de ma chatte, en prenant bien soin d’insister sur mon clito, ce qui a tendance à m’exciter énormément. Le plaisir qu’il me procurait me fit totalement oublier que j’étais devenue une femme infidèle.
Je n’aurai jamais pensé que cet homme doux et discret se révélerait aussi imaginatif et ça me plaît d’autant plus. Il me demanda de me positionner à quatre pattes. Il allait me prendre en levrette, j’adore cette position. Le moment fatidique était-il venu ?
-Tu es prête ! Je vais y aller tout doucement pour pas que tu aies mal. Je vais bien te lubrifier. Si tu sens que c’est difficile pour toi, caresses-toi en même temps, ça dissipe la douleur ! 
Et en disant cela, il a enfoncé deux doigts dans ma chatte pour récupérer de mon abondante mouille, en mis sur sa queue, et à mon petit trou. Soudain, je sentis son gland contre mon petit orifice. C’était en effet un peu douloureux, je me suis empressée de caresser ma chatte pour dissiper les sensations très intenses. Et je dois avouer que la technique de Sylvain fonctionnait plutôt bien ! Mes lèvres intimes s’élargissaient sous mes propres caresses et il m’était beaucoup plus facile d’accueillir la bite de Sylvain. Qu’est-ce qu’elle était bonne ! Il la poussait centimètres par centimètres au fond de moi. Sa pénétration au creux de mes reins m’est apparue presque interminable.
Vous vous imaginez, vingt centimètres qui vous rentrent dedans avec une infinie lenteur ? C’est un coup à devenir complètement folle de désir ! Une fois que la queue de Sylvain est entièrement entrée en moi, et que ses couilles touchaient mes fesse, il a commencé à s’agiter doucement. C’était très agréable qu’il respecte mon rythme, qu’il laisse à mon petit trou le temps de s’adapter. Je trouvais ça extrêmement émouvant de le sentir en moi et je crois qu’il partageait tout à fait mes sentiments. Il m’a alors prise par les cheveux et m’a embrassée profondément. Je dis « profondément » car c’est exactement de cette façon que je l’ai ressenti. Sa langue est venue s’entremêler avec la mienne, ses lèvres se sont écrasées sur les miennes et son souffle chaud s’est emparé du mien. Pendant qu’il m’enculait, je continuais à me doigter. Nos respirations ne faisait plus qu’une ainsi que nos petits cris jusqu’à ce que nous jouissions simultanément.
Nous étions alors en totale communion. J’avais envie de le baiser à mon tour, de lui montrer tout le désir qu’il me procurait, tout ce que j’avais envie de lui faire subir. Il s’est alors allongé sur le dos, et m’y empalais dessus. Sa queue, énorme n’avait maintenant plus aucun souci à s’immiscer dans ma chatte et mes mouvements étaient très fluides.
Je trouvais ça absolument adorable. Je ne crois pas que mon mari prendrait le soin de me caresser aussi bien que Sylvain, et je trouvais ça vraiment dommage ! Si j’avais connu de telles sensations sous la couette avec lui, peut-être n’aurai-je pas voulu le tromper ? Je n’avais jamais imaginé tromper mon chéri. Néanmoins, pour être honnête cet épisode adultère a été très intense et rempli de plaisir.
Je m’écroule, épuisée par les multiples orgasmes que j’ai eu au cours de cette nuit torride. Sylvain m’avoue que je suis la deuxième femme mariée, qui lui apporte un tel plaisir. Je reste scotché quand il me dévoile le nom de la seconde...Sylvie…
Donc, la seule fois ou elle a trompé son mari, c’était avec Sylvain, le frère de son mari. Sylvain m’avouait que si les femmes de ses frères s’étaient glissées dans son lit, c’est que leurs maris sont des incapables, et qu’elles étaient insatisfaites.
En ce qu’il me concerne, il n’avait pas tord, mais il me dit vouloir aller plus loin. Nous prendre toute les deux, dans une parti à trois. Et en plus, que ça devait être super, de voir ses deux superbes belles-sœur, faire l’amour entre elles...un fou.
Je quittais la chambre, et rejoignais Sylvie. Je lui reprochais de m’avoir caché sa relation avec Sylvain, mais lui parlais aussi de ce qu’il m’avait dit à nôtre sujet. Elle me répondit qu’elle étai au courant, et qu’éventuellement, elle avait donné son accord.
Sans un mot, je quittais la chambre, et regagnais la mienne, ou mon mari dormait comme un loir. Il était quatre heures du matin.
Au dîner du lendemain midi, le silence fût interrompu par Sylvain, qui nous annoncé son intention de s’installer dans la région. Quand à Sylvie, elle nous annonçait que son mari avait reçu sa mutation. Le regard de Sylvain croisa le mien, répondant à mon sourire.
Depuis, nous avons entamé une vrai relation. Sylvain et moi vivons notre désir dans la discrétion la plus absolue. J’étais une femme mariée depuis quelques jours et, à force de fréquenter la famille de mon mari, j’ai commencé à éprouver une vraie attirance pour son jeune frère. Au début, je faisait tout pour l’éviter, je savais que cette passion, ne pouvait mener qu’à la destruction de mon couple. Imaginez, tromper mon mari avec son frère. Et pourtant, plus je luttais, plus mon attirance vers lui grandissait. Je ne pouvais rien faire d’autre. Il avait quelque chose de différent, pas les mêmes qualités que celles dont étaient pourvues mon mari. Pourtant, ils venaient de la même famille, mais il avait cette gueule d’amour en plus, et un corps taillé pour vous donner mille plaisirs.
En attendant, on profite au maximum des longs déplacements à l’étranger de mon mari A savoir maintenant, comment nôtre relation allait évoluer.

























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