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Consoler ma belle-fille Ep1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 13/09/2022

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Je m’appelle Pierre, dans la 60aine, je suis marié en second mariage avec Sophie qui a d’un premier mariage, Marc un garçon de 30 ans. Il vit depuis 6 ans en couple avec Corinne 26 ans (ma belle-fille en quelque sorte).
Ils viennent d’avoir un petit gars de 9 mois au moment de cette histoire et vivent dans un appartement qu’ils louent au rez-de-chaussée de notre maison.
Voilà, le décors est planté.

Sophie, qui a de gros soucis de santé, a du partir, accompagnée de Marc, pour des soins dans une clinique spécialisée de Marseille à 500 kms d’ici. Comme nous venons de renter de congés, je ne peux pas l’accompagner.

Nous voilà donc seuls, Corinne et Moi pour une semaine.
Le premier soir, ayant couché bébé de bonne heure, Corinne me propose de monter souper avec moi et regarder une série sur Netflix, « Vu que nous avons les même goûts de série. »
Elle monte donc vers 20h00, relax en pantalon jogging gris et débardeur blanc ; son reste de pizza de midi à la main.
Ce n’est pas une Miss-Monde, mais pas non plus Miss Boudin 2022 et ses formes ne me laissent pas insensible, mais C’EST ma belle-fille donc « on se calme... ».
1m60/70, environ 70kg, 94B de soutien gorge, blonde, des lèvres fines légèrement asymétriques. Bref elle a son charme et je pense qu’elle doit être chaudasse pour que Marc la garde depuis 6 ans.
L’avenir me prouvera que oui et bien plus que je ne pouvais l’imaginer (internet dévergonde bien la jeunesse d’aujourd’hui).

Bref, revenons à cette première soirée.
Nous avons mangé tranquillement en tête à tête devant le journal télé ; je trouve que Corinne pousse un peu sur le verre de rouge, mais bon elle est majeure et vaccinée, je n’ai rien à lui dire.
La vaisselle rangée dans le lave-vaisselle, on s’installe dans le canapé en coin, chacun la tête sur un oreiller et on commence à zapper les séries sur Netflix histoire de trouver LA série que nous n’avons pas encore vue et qui va nous scotcher toute la nuit devant la télé.

Au bout de quelques minutes de zapping, le vin rouge commençant à lui monter à la tête, Corinne se met à me parler de sa vie de couple avec Marc.
Sûrement que, n’étant pas mon fils, elle imagine pouvoir tout me confier et que je répéterai rien.

« Marc ne m’a pas touchée depuis plus d’un an. Pendant la grossesse il me trouvait grosse et ne voulait pas perturber la conception du bébé. Et depuis l’accouchement tout y est passé, mon gros ventre, mes vergetures... Je crois qu’il ne m’aime plus. Je crois qu’il me prend pour la mère de son enfant mais plus pour la femme qu’il aime.»
Sur ces mots elle éclate en sanglot. Je me lève pour aller lui chercher des kleenex et je me rassois à coté d’elle. Elle pose alors sa tête sur mon épaule et je lui caresse doucement la nuque histoire de la calmer un peu.

« Avant on faisait l’amour parfois 2 fois par jour ; parfois même il me baisait dans la cuisine avant de manger. J’aimais ça. Je me sentais désirable et désirée. Mais là plus rien, plus une caresse, plus un geste tendre ; tout juste un baiser quand il part travailler. Je suis une mère d’accord, mais je suis avant tout une femme. J’ai besoin de tendresse, de regards mais aussi de sexe...merde alors. »

Ses sanglots sont de plus en plus profonds, sa tête posée sur mon épaule, cherche mon regard. Ma main caresse son dos pour se faire rassurante.
Alors que je m’apprête à lui dire que c’est une mauvaise passe, que ça va s’arranger...Elle redresse un peu la tête et pose ses lèvres sur les miennes.

Je ne réponds pas à son baiser, je la regarde un peu surpris d’un tel geste.
« Vous non plus vous ne m’aimez pas. Vous ne me trouvez pas assez belle pour vous, pas assez sexy pour avoir envie de me baiser ??? »
Je balbutie un : « Mais non pas du tout » puis je me ressaisis
« Bien sûr que tu es bien foutue et sexy. Bien sur que tu donnes des envies de caresse, de tendresse et de sexe...mais tu es ma belle fille !!! »
« Votre belle-fille, mon cul, je suis la gonzesse du fils de votre femme. En un mot je ne suis rien du tout pour vous. Mais c’est bien, cachez vous derrière cette excuse. »
« Ce n’est pas une excuse, c’est... »
« C’est rien du tout !!! Ce n’est pas moi qui vais en parler à Marc, ni vous à Sophie. Je ne vous parle pas d’amour ni de sentiments, je vous parle juste de besoin charnel. De toute façon si ça continue je vais aller en trouver ailleurs du sexe !!! »

De colère elle se lève du canapé, je l’attrape par les cheveux, elle se retourne me tombe dessus, je saisis son visage entre mes mains et je plaque ma bouche contre la sienne.
Nos lèvres s’ouvrent et nos langues se mélangent dans des baisers plus fougueux les uns que les autres. Entre chaque baiser, Corinne lâche un soupir de plaisir, puis nous recommençons de plus belle. Mes mains dans ses beaux cheveux blonds, ses mains sur mes épaules ou autour de mon cou, nous nous embrassons pendant une éternité.

Puis d’un sel coup, je reprends mes esprits :
« NON, ce n’est pas raisonnable. On ne doit pas. »
Corinne glisse du canapé, se met à genoux à mes pieds et attrape la boucle de ma ceinture qu’elle se met à défaire.
« Raisonnable, je ne suis pas raisonnable. Ne pas me faire l’amour depuis plus d’un an non plus ce n’est pas raisonnable. »
Tout en parlant elle déboutonne mon jean qu’elle fait glisser sur mes genoux, elle sort mon sexe de mon caleçon et le prend directement en pleine bouche.

Nous avons tous deux le même soupir de plaisir.
Ohhhhhh putain !!!! que le contact chaud et doux de sa bouche est jouissif. Elle me décalotte et commence à me sucer délicatement. Mes mains se posent sur ses joues et je me retire de sa tendre bouche.
Nos regards se croisent et mes yeux dans les siens je lui demande
« Tu es sûre de ce que tu veux ? Tu es sûre que nous ne sommes pas en train de faire une grosse connerie ? »
« SURE » affirme t elle. Elle se redresse un peu, pose un baiser sur mes lèvres « Laissez vous faire, laissez MOI faire. »

Elle se remet à genoux et pose ses lèvres sur mon gland. Elle le caresse avec sa langue, joue avec ma fente, resserre un peu ses lèvres pour mettre un peu de pression, puis le gobe tout entier, le prends dans sa bouche encore plus chaude et humide que tout à l’heure.

Je finis par m’abandonner, pensant que de toute façon c’est vrai qu’elle n’est « rien » pour moi, que personne ne devrait jamais savoir et que merde, moi aussi j’ai bien droit à prendre du plaisir. Je me glisse un peu sur le coté pour me mettre à l’aise, je pose mes mains dans sa chevelure blonde de jeune femme soignée et je me laisse faire.

Sentant qu’enfin je m’abandonne, Corinne lève les yeux vers moi et laisse entendre un soupir de soulagement :
« Ça y est, on va enfin pouvoir s’occuper de nous. » me dit-elle en souriant. Puis elle reprend où elle en était.

Ses lèvres glissent le long de mon sexe, sa langue tourne autour de ma queue et joue avec mon gland. Parfois elle m’aspire comme pour me prendre tout entier en elle et parfois ses lèvres se referment sur le sommet de mon sexe.

Mais où donc une « gamine » de 26 ans a t’elle appris à sucer si bien ??? Je ferme mes yeux et je me concentre sur ce moment d’extase qu’elle m’offre, à genoux devant moi, vêtue de ce jogging sous lequel j’ai deviné dès le début de la soirée qu’elle ne porte pas de culotte et de ce débardeur blanc qui laisse voir ses deux superbes pointes de seins bien tendues.

Ces images me font presque perdre contrôle et je manque à plusieurs reprises de lui exploser en bouche.
Corinne le sent bien et à chaque fois arrête ses caresses buccales et exerce une forte pression sur la base de ma verge pour m’aider à reprendre le contrôle.
C’est qu’elle veut faire durer le plaisir, cette petite salope déguisée en sainte nitouche.

Mais, j’ai l’âge que j’ai et malgré des masturbations régulières, l’absence de relation sexuelle depuis des années me rend particulièrement sensible, moi qui n’ai jamais prétendu avoir l’endurance de Rocco, bien au contraire.

Je décide donc de prendre les choses en main, enfin façon de parler ; de rendre à Corinne une partie du plaisir qu’elle me procure.

Je pose ma main sous son menton et tire son visage vers le mien. Elle comprend immédiatement ce que cela signifie et glisse langoureusement sur moi, amenant ses lèvres sur les miennes et son corps collé sur le mien, un genou glissé entre mes jambes.

Nous nous embrassons de nouveau, sa bouche est chaude et humide, elle a légèrement le goût de mon sexe. Corinne se blottit sensuellement contre moi, toute abandonnée. Ses soupirs en disent long sur ce qu’elle ressent et le manque de sensualité de sa nouvelle vie de mère de famille.

Mes mains se posent délicatement sur ses épaules et je fais glisser les bretelles de son débardeur libérant ainsi le haut de sa poitrine.
Puis je la bascule lentement sur le fauteuil et me met à mon tour à genoux devant elle. Nous échangeons encore quelques baisers, mes mains font descendre le débardeur jusqu’à sa taille, faisant rebondir ses petits seins tous bronzés (cette salope fait du naturisme dans notre cour :O :O) et pointer ses tétons fermes et tendus.

Je me recule un instant, histoire de mieux admirer ce corps voluptueux de jeune femme qui s’offre à moi.
Mis à part 2 petites vergetures qui partent vers le bas de ses hanches, rien ne laisse penser qu’elle a mis au monde un petit garçon il y a neuf mois.

« Ne me regardez pas comme ça ! »Rougit elle. « Je ne vous plais pas, quelque chose vous choque ? »
« Oui !!!...Ta beauté !!! » et sans qu’elle ait le temps de répliquer je l’embrasse de nouveau histoire de mettre fin à toute conversation inutile et de prendre plaisir à lui procurer du plaisir.

Mes mains passent sur ses seins, titillent délicatement ses tétons. Ma bouche est collée à son cou, je pose mes lèvres partout comme un fou, comme un débutant. Sa peau est douce et légèrement parfumée à la vanille. Elle donne envie d’en baiser chaque centimètre, d’en lécher le moindre recoin.

Corinne s’abandonne totalement, tout son corps est relâché dans ce canapé, tout son corps est offert, livré à mes caresses et à son plaisir.
Elle soupire, murmure des « encore » des « caresses moi partout » «  prends moi, je suis à toi ».

Puis elle pose ses mains sur ma tête et me guide vers sa poitrine.
Je me mets alors à couvrir ses seins de baisers, je tête sauvagement ses mamelons, les mordille parfois. Les petits cris qui sortent de la bouche de Corinne me font comprendre que mes délicates attentions portent les fruits attendus.

« Hummm c’est doux » « C’est boooonnnnn » « Tu vas me faire jouiiiiiiiiiiir !!!!!!!! »

Je me redresse au bout de quelques minutes passées à adorer cette poitrine ferme et bien galbée, je me dirige vers le bout du canapé et retire ses espadrilles.
Puis me couchant légèrement sur elle, j’attrape son jogging par la ceinture et je l’amène vers le bas.
Corinne relève un peu son bassin pour que son jogging glisse mieux et referme ses jambes au fur et à mesure, comme par pudeur soudaine.

Je pose le jogging sur la chaise à coté de moi puis me recule un peu, une nouvelle fois pour admirer ce corps qui s’offre à moi.
Corinne, ma belle-fille, cette blonde aux cheveux parfaitement méchés, est là, allongée, nue au trois quart et elle m’offre, à moi et mes 60 balais, toute la simplicité de son anatomie.
Je la regarde de haut en bas. Ce visage encore juvénile, légèrement maquillé mais pas trop. Ces seins fermes et tendus. Son piercing en forme de cœur dans le nombril. Ces jambes musclées qui cachent la partie la plus intime qu’elle puisse offrir et ses orteils manucurés à la française.
Tout est parfait, rien ne paraît vulgaire ni de trop à mes yeux.

Comment vais-je pouvoir la regarder sans penser à tout ça ???

Je remonte un peu son débardeur resté roulé sur son ventre, pour mieux dégager son nombril. Je pose ma bouche dessus et joue avec son piercing, pendant que ma main caresse ses cuisses sans chercher à les ouvrir. Tout doit se faire naturellement, je ne veux et ne dois la forcer en rien.

Corinne soupire toujours de plus en plus profondément. Ses mains caressent ses seins et maltraitent ses tétons.
Sans qu’elle s’en rend compte (ou peut-être que si) ma langue glisse de son nombril vers sa toison, mes mains glissent de ses hanches à ses fesses.
Plus je m’avance plus ses cuisses se desserrent, comme pour m’indiquer le passage tout en le dévoilant lentement. Puis elles s’ouvrent totalement, libérant cette intimité tant désirée. Je plaque alors ma bouche sur ses petites lèvres

Corinne pousse un cri de plaisir qui résonne dans tout le salon.
Ma lange glisse vers le bas puis remonte pour ouvrir amoureusement ces lèvres qui protègent le clitoris déjà tendu.
Je le lèche du bout de la langue, je remonte et redescends tout le long de ce sexe rose et tendre.

Corinne a maintenant les mains crispées sur mes épaules et sa respiration n’est plus qu’un long râle de jouissance. Je pose un baiser sur son sexe puis me relève.

J’attrape deux coussins que je glisse sous son bassin, ainsi elle va être encore plus offerte à mes caresses buccales.
Je ramène son corps vers le bord du canapé et m’agenouille entre ses jambes.

Elle est là, impudique et offerte.
Il n’y a plus de belle-fille ni de beau-père...juste nos deux corps dans ce salon, tous deux simplement abandonnés à la recherche de notre plaisir.

Ma bouche se pose sur son intimité, les mains sur ses hanches pour mieux me tenir, je me remets à lécher ses lèvres et l’entrée de son vagin. Les sécrétions qui s’en écoulent me semblent sucrées et vanillées tellement je goûte le plaisir de les prendre en bouche.
Je parcours de ma langue le chemin entre clitoris et entrée du vagin.

Corinne est là, recroquevillées sur elle même, les mains sur ma tête, elle guide mes mouvements au gré de son plaisir ; et je me laisse faire. Je cale la pression de ma langue de ma bouche à la profondeur de ses râles.

« Je vais encore jouiiiiiiir » crie t elle entre deux souffles, elle relâche la pression sur ma tête et se laisse aller à mes caresses. Je mordille son clitoris, ses lèvres, puis les lèche comme pour me faire pardonner.

« Ohhh putain c’est bon ça...Ouiiii continues comme ça, ne t’arrêtes pas….. »

Bien décidé à lui faire atteindre l’extase, je concentre toute mon attention sur son clitoris. Tantôt je le lèche, tantôt je l’aspire comme pour le faire sortir de sa cachette, tantôt je le pince entre mes doigts.

Au bout de quelques minutes, ne pouvant plus résister :
« Ohhhhh nonnnnn je ne vais encorrre jouiiiii »
Sa main posée sur le haut de son pubis, comme pour essayer de m’empêcher de continuer, disparaît d’un seul coup pour aller se poser sur ses seins.

Elle pousse un cri étouffé par le plaisir, tremble de tout son corps, tout son être se cambre, je me retire alors, la laissant tout à son orgasme, les mains toujours posées sur ses cuisses.

Je la regarde de tout son long, son vagin se contracte au rythme des spasmes qui la convulse. Elle en a le souffle coupé, la bouche grande ouverte, les mains crispées sur la poitrine.
Quel savoureux spectacle, cette gamine qui au début me laissait indifférent, qui est entrée dans ma vie en jetant son dévolu sur mon beau-fils, cette gamine âgée de 26 ans maintenant, était là, nue sur mon canapé, en train d’avoir l’orgasme que je venais de lui procure.
C’était à la fois surréaliste et hyper excitant.

Au bout de quelques minutes, reprenant ses esprits, Corinne réalise que je me trouve là, entre ses jambes à l’admirer en train de redescendre de son petit nuage.
Elle me tend les bras tout en laissant tomber ses jambes.
Je me redresse et me glisse au dessus d’elle.

Nous nous embrassons tendrement, puis elle me murmure à l’oreille :
« Quel pied, il y a longtemps que je n’ai pas eu un tel orgasme. Comment je vais faire pour m’en passer ? » Puis elle éclate de rire.

Je reste là, à quatre pattes au dessus d’elle, un peu désemparé par ses réflexion.
Je la regarde, elle me sourit de toutes ses dents blanches :
« C’est pour rire, il faudra bien que j’apprenne à m’en passer. »

Puis elle se glisse entre mes jambes et s’arrête à hauteur de mon caleçon qu’elle baisse un peu pour faire sortir ma queue.
Les mains accrochées à mes fesses, elle m’offre sa bouche et me dit
« Vas y, baise moi la bouche, jouis en moi. »

Puis ses lèvres se referment sur mon sexe.
Je commence alors mon va-et-vient dans cet orifice chaud et humide, entre ses lèvres fermées, butant parfois sur le fond de sa gorge.
Corinne toussote parfois mais je ne bouge pas de là.
Elle m’offre sa bouche comme certaines vous offrent leur vagin et franchement la sensation n’est pas si différente ; voire meilleure.

Sentant que je vais jouir, j’essaye de me retirer, mais Corinne ne le voit pas ainsi, elle s’accroche encore plus fort à mes hanches et prend le mouvement de va et vient à son compte.

Je sens ma veine se gonfler et lâche mes jets de sperme dans sa bouche tout en criant à mon tour le plaisir que j’en ressens.
Elle ralentit alors le mouvement, afin de venir chercher jusqu’à la dernière goutte de ma semence.
Je la sens déglutir, mais elle reste comme ça, mon sexe dans sa bouche jusqu’à ce qu’il soit totalement détendu.

Puis elle sors du canapé, je me glisse sur le coté et remonte mon caleçon.
Elle attrape son jogging et l’enfile, elle arrange son débardeur, vient poser un baiser sur mes lèvres.
« On s’en est pas mal sortis je trouve, pas vous ? »

VOUS !!!!
On vient de faire l’amour,
on vient de jouir ensemble,
on vient de s’offrir les parties les plus intimes de nos corps
Et elle me dit VOUS.

Elle va attraper une couverture qui se trouve roulée sur une chaise et vers le canapé.
« Faites moi une petit place. »
Elle vient se blottir tout contre moi, le front sur mon épaule, elle jette la couverture par dessus nos corps.
Ses bras autour de ma taille, nous nous endormons comme deux amant repus.

7h30 du matin, je me réveille...tout seul !!!
Aurais-je rêvé ?
Non, le goût de l’intimité de Corinne est encore dans ma bouche, cela ne trompe pas.

Je l’entends soudain chantonner à travers le Baby-phone quelle avait branché hier soir.
Bien sûr, la mère de famille a repris le dessus.

Quelle soirée !!!
Cela se reproduira-t’il un jour ????
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Histoire de NathPierre

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