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consultation improbable

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/05/2024

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Médecin oto-rhino dans une petite ville de province, je reçois des enfants, des patients âgés, des hommes et des femmes autant dire une clientèle variée et pour des motifs qui le sont tout autant. Dans l’exercice de ma spécialité on ne fait que très rarement déshabiller les patients mais une fois n’est pas coutume et la consultation que je vais vous raconter était pour le moins inattendue.

Nous étions en plein été, au début du mois d’Août, la canicule sévissait sur notre région quand entra dans mon bureau une jeune femme d’une vingtaine d’années, de taille moyenne, les cheveux châtain clair avec des reflets roux, un visage encore enfantin avec de grands yeux bleus. Je m’en souviens comme si c’était hier, elle s’appelait Elodie. Elle portait une tenue très estivale, une sorte de combinaison un peu bouffante en cotonnade vert amande, constituée d’un short et d’un bustier en une seule pièce, sans bretelles, dégageant ses épaules nues. Sa peau très blanche de rouquine, parsemée de petites taches de rousseur, semblait très douce. En la voyant je pensai qu’elle ne devait pas porter de soutien-gorge. La suite me donna raison. Je ne me souviens plus du motif de la consultation qui se déroula normalement mais à la fin de l’examen elle me demanda :
- Puis-je vous demander un petit service ?
- Oui ?
- Je ne parviens pas à remette mon piercing, pouvez-vous m’aider ? Le gars qui me l’a posé est en vacances et je ne sais pas à qui m’adresser. Je crains que le trou se referme et qu’il faille recommencer. C’est un peu douloureux alors si je peux éviter…
Elle sorti une pochette en plastique contenant un petit anneau en métal argenté. Je compris vite qu’il ne s’agissait pas d’une boucle d’oreille.
- Bien sûr et où était-il ce piercing ?
- En bas, répondit-elle timidement en montrant son ventre.
Là, on sortait franchement de mon champ d’activité mais après quelques secondes d’hésitation, je lui dépondis :
- Ok, on peut essayer. Installez-vous sur le fauteuil et montrez-moi.
- Il faut que je me déshabille ? Demanda-t-elle un peu naïvement.
- Euh… Oui bien sûr, je n’y arriverai pas à travers les vêtements !
Elle fit glisser de haut en bas son espèce de combinaison et se retrouva en petite culotte devant moi. Elle était vraiment très mignonne, fraiche et bien proportionnée. Je découvris ses petits seins fermes hauts perchés au galbe parfait et aux aréoles rose pâle qui se passaient aisément de soutien-gorge. Sa petite culotte à rayures blanches et bleues toute simple, ornée d’une discrète bordure de dentelle et d’un petit nœud de satin sur le devant complétait son allure d’adolescente. Elle n’était pas très grande mais ses jambes étaient minces et ses chevilles délicates. La droite était cernée d’une fine chaine en or. Ses pieds étaient soignés et leurs ongles vernis couleur fuchsia soulignaient sa peau très blanche. J’étais fasciné. Elle me sortit de ma contemplation en demandant :
- La culotte aussi ?
- Eh !... Oui et asseyez-vous sur le fauteuil le plus au bord possible.
Pendant qu’elle faisait glisser son petit slip le long de ses jolies jambes en me tournant le dos, j’eu le plaisir de contempler un instant ses rondeurs postérieures. Deux petites fossettes surplombaient deux petites délicieuses fesses rebondies. Elle s’installa sur le fauteuil, j’allongeai le dossier, mis mon miroir frontal et l’allumai. Je remarquais qu’elle ne portait aucune marque de bronzage sur la poitrine et seulement une ligne plus pale sur les hanches et un triangle sur son mont de Vénus marques d’un string.
- Pliez les genoux et écartez-les le plus possible s’il vous plait.
Cette situation très inhabituelle me troublait beaucoup et je sentais venir une forte érection. Je dirigeais la source de lumière sur le petit abricot parfaitement exposé. Elle était presque totalement épilée à l’exception d’un petit rectangle de poils blonds au-dessus de sa fente bien fermée par des grandes lèvres jointives qui dissimulaient les replis de son intimité.
- Je vais vous demander d’ouvrir vos lèvres avec vos deux mains.
Passant ses deux bras derrière ses cuisses, avec ses doigts parfaitement manucurés, elle me dévoila la plus jolie petite foufoune qu’il me fût donné de voir de toute ma vie : rose, lisse et luisante. Je m’approchai, elle sentait bon. Je me souviens de l’odeur frais et floral de son parfum. Mon trouble grandissait. Avec un pouce je tirai la peau vers le haut et avec deux doigts l’autre main j’écartai le plus possible les petites lèvres pour dégager le capuchon recouvrant le petit bouton du plaisir. Je constatai qu’elle n’était plus vierge et finalement j’aperçus l’emplacement du piercing, je lui dis :
- Donnez-moi votre anneau on va essayer de le remettre.
- Il est dans resté dans mon sac.
Elle se leva et dans cette tenue de nymphette traversa la salle d’examen pour se rendre dans mon bureau. Je ne la quittai pas des yeux me régalant du balancement élastique de ses petits seins au rythme de ses pas. Elle s’accroupit pour prendre dans son sac la petite pochette. La belle courbe de son dos qui se prolongeait par ses magnifiques fesses fit monter mon excitation. Elle revint vers moi, me tendit le petit anneau et reprit la place sur le fauteuil.
Je le déposai dans un petit plateau en métal et versai dessus une bonne rasade de désinfectant. Je mouillai avec le même produit quelques compresses et, en chirurgien habitué à faire une asepsie rigoureuse avant chaque intervention, j’entrepris de désinfecter soigneusement le « champ opératoire ». Une petite giclette de désinfectant directement sur la petite fente puis Je passai une compresse de haut en bas puis une autre de bas en haut à l’entrée de son antre. Je remontai à chaque fois sur le clitoris qui devenait de plus en plus proéminant. Je perçus nettement que la belle se raidissait. Avec la troisième compresse j’insistai sur les petites lèvres en les écartant un peu plus que nécessaire et en frottant délicatement le petit haricot. Elle eut un vrai spasme à ce moment-là. Je vis ses fesses se soulever de la table et ses cuisses se refermèrent sur mes mains qui se trouvèrent l’espace d’un instant, piégées dans la chaleur moite de son intimité.
- Je dois vérifier si le passage est toujours bien présent, dis-je en repoussant délicatement ses genoux. Reprenez la position et écartez bien vos lèvres.
- D’accord ! dit-elle dans un souffle.
Avec un petit stylet, je dilatai le trajet du piercing. Ma main tremblait trahissant mon émotion.
- C’est bien, on doit pouvoir le remettre. Ne bougez pas…
Je pris l’anneau et délicatement le reposai à sa place. Je vissai la petite boule servant de fermoir. Le contact de mes doigts avec son bouton la fit à nouveau tressaillir. La vulve palpitante s’humidifiait rapidement. Je repris une compresse imbibée de désinfectant et repassai sur la zone une dernière fois. J’allais lui dire de se relever mais dans un râle elle me devança :
- Encore, continuez, c’est bon …
Je ne me fis pas prier. Avec la compresse maintenant bien plus mouillée de ses sécrétions que de désinfectant je continuais à branler la délicieuse petite chatte. Sa tête roulait à droite et à gauche sur le dossier du fauteuil, elle haletait. Je lâchai ma compresse et du bout du doigt luisant de sa cyprine, je me mis à titiller le petit clito turgescent.
- Encore oui ! oh oui ! …
Je tentais un doigt en elle puis un deuxième. Je massai l’intérieur de sa petite grotte chaude et humide par des allers-retours de plus en plus rapides. Je sentais le petit anneau contre ma paume. Un violent orgasme la saisit. En un instant ma main fut inondée, elle poussa un cri et attrapa mon poignet pour mettre fin à cette stimulation devenant trop intense. Nous restâmes quelques minutes comme ça sans rien dire. Peu à peu elle reprit ses esprits. Je regardais ce corps nu, émouvant, émergeant du plaisir. J’aurais aimé glisser mon chibre tendu jusqu’à la douleur dans ce fourreau ruisselant de plaisir mais elle ouvrit les yeux et me regarda en souriant.
- Merci docteur !
Sans aucun commentaire, lentement elle se releva, enfila sa culotte et se rhabilla me permettant de profiter une dernière fois de ce spectacle merveilleusement érotique. Toujours aussi troublé, je la raccompagnai jusqu’à la porte, Je me rendis compte quelques minutes plus tard que je ne l’avais pas fait payer pour mes bons soins ! Je ne la revis jamais. Peu importe, ce souvenir valait bien des honoraires et alimentera mes fantasmes pendant encore longtemps.
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Commentaires du récit : consultation improbable

Le 12/05/2024 - 11:05 par Bonnet
Histoire aussi inattendue qu'excitante et bien racontée

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