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Nouvelle secrétaire médicale

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 07/05/2024

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Je viens de découvrir sous une pile de prospectus publicitaires, une ordonnance qui aurait dû être envoyée depuis longtemps à la patiente à qui elle était destinée.
- Mélanie venez voir !
Ma nouvelle secrétaire s’approche.
- Pouvez-vous me dire pourquoi cette prescription est ici ?
- J’ai oublié de l’envoyer, docteur.
- Il me semble pourtant que je vous avais particulièrement recommandé d‘y veiller. La patiente aurait du faire cette prise de sang depuis plusieurs jours déjà pour vérifier si son médicament est bien dosé. Si ce n’est pas le cas elle peut être en danger.
- Je vais le faire tout de suite.
- Non vous allez immédiatement la lui porter à son domicile pour que l’analyse puisse être faite rapidement. Ensuite revenez me voir, il faut que nous parlions.
- Elle habite un peu loin ça va prendre du temps.
- J’ai encore quelques consultations et un tas de paperasses à faire, je vous attendrai. Dépêchez-vous ! Vous lui remettrez en mains propres, c’est d’accord ?
- Oui docteur.
- Allez, filez !
Je l’entends mettre son manteau prendre ses clefs, la porte se referme. Je vois mes derniers patients de la journée. Une heure et demie plus tard notre écervelée est de retour.
- Vous avez vu la patiente ?
- Oui elle fera faire sa prise de sang demain matin et j’appellerai le laboratoire.
- J’y compte bien.
Ma colère n’est pas retombée et les fautes d’orthographe dans les courriers qu’elle tape m’irritent un peu plus. Je suis justement en train de signer ceux de la journée.
- Comment écrivez-vous « agréer » ?
- A, deux G, R…
- Non, un seul G et agréer est à l’infinitif dans la formule : veuillez agréer. On dirait « veuillez prendre » et non pas « veuillez prenez ».
- Vous êtes très gentille et ponctuelle mais je ne sais pas si je vais vous signer un CDI. Vous êtes en période d’essai. Franchement j’espérais mieux de vous.
- S’il vous plait docteur, gardez-moi ! J’ai vraiment besoin de ce travail. Punissez-moi mais gardez-moi !
- Vous punir ? Et comment vous punirai-je s’il vous plait ? Je ne vais pas vous donner des lignes à copier.
Elle hésite, elle baisse la tête, toujours vêtue de son manteau elle se dandine d’une jambe sur l’autre et se tord les doigts comme une gamine de dix ans qu’on réprimande.
- Quand je suis sotte mon père me donne une fessée….
- Une fessée, vraiment ? Vous n’êtes plus une petite fille !
- Mais il m’arrive d’être sotte quand même dit-elle d’un petit air malicieux !
- Et vous pensez qu’à votre âge, une punition de ce genre pourrait vous mettre un peu de plomb dans la tête ?
- J’en suis sûre. S’il vous plait !
- En somme vous me suppliez de vous corriger comme une gamine, vous habitez toujours chez vos parents ?
- Oui et j’ai très envie de prendre un appartement pour moi toute seule c’est pour cela que je veux absolument garder ce job.
- Je vois, et quand avez-vous reçu votre dernière fessée ?
- Le mois dernier.
- Pour quel motif ?
- J’avais oublié une casserole sur le gaz et l’alarme anti-incendie s’est déclenchée. Il y avait de la fumée partout et la casserole était foutue !
- Toujours tête en l’air ! Vous pensez sérieusement qu’une fessée est une réponse appropriée à la situation ?
- Oui je crois.
- Je n’ai jamais donné de fessée à personne. Mais après tout pourquoi pas. Si vous pensez la mériter, on peut essayer.
Sans que je ne lui dise rien, elle enlève sa veste et l’accroche au porte manteau tout en quittant ses chaussures. Elle revient vers moi, soulève son sweater pour me dévoiler un joli soutien-gorge. Sa poitrine ferme et toute ronde semble vouloir jaillir de son enveloppe de dentelle rose et noire. Charmant ! Elle défait la ceinture de son jean assez moulant. Elle doit s’asseoir pour le faire glisser sur ses jambes fines. Elle ôte ses chaussettes, se relève et se retourne pour poser son pantalon sur la chaise. Je découvre une petite la culotte assortie au soutien-gorge, très échancrée qui laisse voir la plus grande partie de ses fesses. L’une d’elle est même presque totalement découverte par le petit bout de tissu qui s’est insinué entre les deux globes surmontés de deux jolies petites fossettes. Elle réajuste sa culotte et, debout devant mon bureau, en sous-vêtements les yeux baissés, immobile, les mains derrière le dos elle attend.
Je prends conscience à cet instant qu’elle est vraiment mignonne. Des rondeurs bien proportionnées, un visage enfantin et de grands yeux noisette. Quand je l’ai choisie pour ce poste de secrétariat médical elle m’avait plu mais je ne l’avais jamais regardé comme une éventuelle partenaire sexuelle. Plutôt comme une étudiante qu’on doit former. Il m’arrive quotidiennement de me retrouver devant une femme en petite tenue mais là je suis décontenancé, c’est une première pour moi. Je ne sais pas quoi faire à cet instant. Elle me parait bien plus expérimentée que moi en la matière. J’ose :
- C’est bien, continuons…
- Je dois enlever le reste ?
- Que fait votre père ?
- Il me corrige toute nue.
Honnêteté ou naïveté ? Elle aurait pu mentir à cet instant. Peut-être que cette situation l’excite… En tout cas en ce qui me concerne je commence à bander sérieusement.
- Alors enlevez le reste. Vous serez fessée toute nue, ne changeons pas les bonnes habitudes.
Elle fait glisser les bretelles sur ses épaules et dégage ses bras minces, amène le crochet du soutien-gorge sur le devant et le dégrafe. Le petit morceau de dentelle rejoint le reste des vêtements sur la chaise. Ses seins sont magnifiques, des courbes parfaites et des aréoles bien rondes, assez pales. Les tétons pointent légèrement vers le haut. Quand elle se penche pour enlever sa petite culotte, j’admire leur fermeté. Elle se redresse et me dévoile sa foufoune presque totalement lisse comme beaucoup de filles de nos jours. Il persiste juste un petit rectangle de poils très courts sur son mont de Vénus. Ma bite fait un bond dans mon caleçon quand j’aperçois, dépassant à peine de sa fente, le bord ridé et un peu plus brun de ses petites lèvres. L’ensemble est tout à fait charmant ! Je profite de ce spectacle et fais sciemment durer le plaisir. Elle est debout devant moi, la tête baissée et les mains derrière le dos ne cherchant pas à dissimuler ses charmes dans un attitude de contrition qui ne semble pas feinte. Je ne dis rien, je fais mine de me replonger dans la lecture de mes courriers mais la concentration n’y est pas. Je lève les yeux vers elle de temps en temps, j’ai toutes les peines du monde à détacher mon regard de cette fille nue qui attend ma décision. Elle est si j’ose dire à ma merci. C’est inhabituel, troublant et en même temps très excitant. Plusieurs minutes s’écoulent. Elle ne dit rien. Je me demande si elle a peur ou si la situation l’excite. Sans doute un mélange des deux.
- Approchez Mélanie !
A pas lents, elle contourne le bureau et vient se placer à côté de moi. Je tourne vers elle mon fauteuil et la contemple de plus près. Elle a une jolie peau, douce et soyeuse. Elle est mince mais pas maigre son ventre est plat, je remarque de discrètes traces de bronzage datant sans doute des dernières vacances, qui soulignent ses seins et son intimité. Je me rends compte à cet instant que mon fauteuil avec ses accoudoirs ne me permettra pas de l’allonger en travers de mes cuisses pour la fesser comme il se doit. Je me lève et la saisis par le bras pour la conduire dans ma salle d’examen. Je m’installe sur une chaise et lui demande de prendre la position. Docile, visiblement habituée à la situation, sans un mot, elle s’agenouille puis se couche sur mes genoux. Les pieds et ses mains posés au sol, son postérieur tombe parfaitement sous ma main. Ma paume se pose sur cette peau blanche lisse et tendue et parcourt le galbe de sa rotondité. Elle frémit. J’en palpe la fermeté et apprécie la douceur de sa peau. Mon excitation ne fait que croitre. Sa poitrine est écrasée contre ma cuisse gauche et son ventre contre la droite. Elle ne peut pas manquer de sentir mon membre dur contre sa hanche. Une première claque s’abat sur la fesse droite, pas très forte, la belle ne bronche pas, nouvelle caresse et nouvelle claque au même endroit un peu plus sonore. Toujours pas de réaction, j’enchaine deux à gauche et deux à droite je m’enhardis, j’attends une réaction, toujours rien. Je continue, j’appuie un peu plus les coups le joufflu rosit. Dix, vingt, on est à trente au moins, j’aurais dû compter. On est passé au rouge vif mais la belle reste toujours de marbre. J’interromps la punition et reprend les caresses. En pétrissant les deux globes je les écarte et j’entrevois la petite chatte luisante. J’insiste, mon doigt frôle le petit abricot humide. Enfin une réaction ! Elle tressaille, mais ce n’est pas la réaction de défense qu’on aurait pu attendre, au contraire. La petite fente s’offre comme une fleur ruisselante de rosée aux premiers rayons du soleil. En fait elle aime ça ! Tu parles d’une punition ! Elle prend son pied oui ! Je masse longuement le joufflu puis je reprends la fessée. A intervalle régulier ma main frappe pendant plusieurs minutes. Les coups sont suffisamment espacés pour laisser le temps à la douleur de diffuser. Ses jambes commencent à s’agiter exposant davantage les replis humides de son intimité à mon regard concupiscent. Des petits points violacés constellent à présent la peau écarlate. Je pétris à nouveau la chair meurtrie. Le frisson laisse place à une onde de plaisir qui parcourt les entrailles de la belle. Je sens les muscles de son ventre se contracter à plusieurs reprises et sa poitrine se soulève. Je ne vais pas en rester là, je lui demande de se lever et de s’accouder sur le divan d’examen les jambes suffisamment écartées afin de bien exposer le petit abricot palpitant. Sur mon bureau j’attrape un triple décimètre en bois. Revenant derrière elle, je pose la règle sur le joufflu le temps qu’elle prenne conscience de la nature de l’objet et de ce qui l’attend. Sans prévenir un premier coup cingle. Immédiatement une zébrure apparait barrant le popotin d’un côté à l’autre. Je vise un centimètre en dessous. Shlack ! Deuxième marque, ainsi de suite. Le sixième frappe le pli entre la fesse et le haut de la cuisse. Je sais que cette zone est bien plus sensible, elle ne peut retenir un petit cri de douleur. Elle tente de se redresser mais je rectifie sa position. Les quatre derniers coups sont administrés en remontant jusqu’au bas du dos. Je me recule pour admirer le résultat. Je suis très fier de moi. Dix lignes parfaitement parallèles dessinent un espalier violacé sur les fesses rougies.
- Ne bouge pas.
Je prends mon smartphone pour immortaliser cette image. En me penchant pour un gros plan je vois un filet de cyprine couler doucement à l’intérieur de ses cuisses. J’y passe la main puis j’approche mes doigts de mon nez pour humer l’effluve de cette jolie fleur. Pas de doute elle a pris du plaisir. Je mets sous ses yeux mon téléphone.
- Regarde le résultat ! Magnifique non ?
- Je peux me relever ?
- Bien sûr, La punition est terminée.
Je fais défiler les photos et la provoque :
- Je pense les agrandir pour les accrocher au-dessus de ton bureau pour te rappeler les règles d’orthographe ! Les patients apprécieront sûrement.
- On dirait que tu as fait ça toute ta vie !
- Pourtant je t’assure que c’est la première fois.
- Tu es doué, j’espère que ce ne sera pas la dernière.
Je prends conscience à cet instant que nous sommes passés du vous au tu… Et que c’est elle qui est arrivée à ses fins.
- Ça dépendra de toi.
- Ça veut dire que je suis embauchée !
Un vilain jeu de mots me vient à l’esprit :
- Embauchée la petite débauchée ! Reconnais que ce n’était pas une vraie punition, je soupçonne que tu as pris ton pied non ?
- Tu m’as fait mal tout de même !
- Certes mais je maintiens tu aimes ça !
- J’aime ça comme prélude à l’acte sexuel. En fait ce n’était pas mon père qui me donnait des fessées mais mon ancien petit ami. Ensuite il me faisait l’amour divinement, malheureusement il s’est lassé de moi et m’a quittée pour une autre…
En me demandant si je me lasserai d’elle aussi vite que son ex, j’applique une bonne couche de pommade hydratante sur la peau endolorie puis je la prends par les épaules et lui donne un baiser. Je sens une main dégrafer ma ceinture et s’insinuer dans mon caleçon. La suite, je vous la laisse deviner. Ma secrétaire est devenue mon amante puis ma femme. Personnellement je ne me suis pas lassé d’elle et la fessée est toujours au programme de nos ébats. Le paddle, le martinet, la cravache n’ont plus de secrets pour son joli petit cul que je châtie régulièrement. Elle aime ces préliminaires brûlants. Les motifs de punition ne manquent pas dans des scénarios sans cesse renouvelés suivis par des ébats torrides où nous explorons ensemble les confins du plaisir.
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