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Contrôle de sécurité imprévu

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 29/03/2024

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Marie et Antoine sortirent en vitesse du taxi qui venait de les déposer à l’aéroport Harry-Reid. Antoine ouvrit le coffre-arrière du véhicule et sortit leurs valises. Marie lui demanda s’il avait payé pour la course.

« Non, je pensais que tu voulais payer… en nature », répondit son copain en riant.

« Ha ha, tu te trouves drôle hein? », rétorqua la belle brune.

« Je blague. Évidemment que j’ai payé. J’ai laissé un bon pourboire aussi », renchérit Antoine.

« J’espère, il nous a conduit ici en moins de 25 minutes. Compte tenu du trafic dans cette ville, c’est un miracle en soit », ajouta Marie.

« Ouais, merci à Mohammed pour cette ride éclair digne d’Usain Bolt », dit Antoine en posant les valises sur un chariot vide traînant sur le trottoir.

« Sans lui, on aurait peut-être manqué notre vol », dit Marie en saluant le chauffeur qui s’éloignait déjà.

« Je pense quand même qu’on aurait pu se rendre en 15 minutes chrono si tu lui avais promis de lui faire une bonne pipe », lança Antoine d’un sourire moqueur.

« Arrête de dire des conneries et pousse le chariot si tu veux avoir le temps de manger avant le vol », répondit Marie en roulant les yeux.

Les deux s’engouffrèrent dans l’aéroport et se dirigèrent vers la zone du contrôle de sécurité. En marchant, Marie ressentit un petit pincement au cœur en réalisant que leur escapade dans la capitale du vice tirait déjà à sa fin. Un voyage de couple spontané de 5 jours à Vegas. Les billets étaient tellement peu chers, ils n’avaient pu s’empêcher de sauter sur l’occasion et prendre quelques jours de congé à l’extérieur du pays. Ça faisait du bien de briser la routine un peu!

Le voyage avait été bien rempli il faut le dire: spectacles, restaurants, casinos (surtout pour monsieur), shopping (surtout pour madame), bars pour s’enivrer un peu, boîtes de nuit pour fouler la piste de danse et chambre d’hôtel histoire de faire la grasse matinée… et baiser!

D’ailleurs, Antoine avait eu l’excellente idée d’inclure dans leurs valises quelques jouets coquins à utiliser sur place. De son côté, elle avait amené deux beaux kits de lingerie. Comme prévu, ses petites tenues avaient fait leur effet sur son amoureux.

À peine un regard sur la dentelle qu’elle portait et le membre d’Antoine était déjà bien dur. À sa demande, elle avait même accepté de porter les dessous affriolants sous sa robe pour sortir au restaurant un soir. Évidemment, Antoine avait insisté pour apporter également le petit œuf vibrant… qu’il contrôlerait à sa guise à distance. Disons que ce souper fut… jouissif.

Mais bon, leur périple était presque terminé maintenant. Ils seraient bientôt de retour au Québec… dans la neige et le froid. Cette pensée suffit à faire frissonner Marie. Toute bonne chose à une fin, se dit-elle en accélérant le pas vers le contrôle de sécurité qui semblait étrangement peu achalandé.

Comme de fait, la file était plutôt courte.

« On n’aura pas à attendre trop longtemps au moins », lança Marie.

« Tant mieux, je meurs de faim et j’aimerais avoir le temps de digérer avant le vol », répondit Antoine.

« Toi pis ton estomac faible », renchérit Marie en riant.

En attendant leur tour, Marie et Antoine sortirent leurs passeports et cartes d’embarquement. Antoine était devant elle et commençait déjà à retirer ses chaussures et sa ceinture et à placer le tout dans un bac vide. Marie suivit son exemple et retira également de ses poches son téléphone cellulaire et ses cartes de crédit.

Ce fut rapidement à eux de présenter leurs documents à l’agent et déposer ensuite leurs valises sur le tapis roulant. Puis Antoine fut invité à s’avancer vers le scanner corporel par une agente à l’air sévère. Quelques secondes plus tard, il était de l’autre côté et attendait de pouvoir reprendre ses effets personnels.

L’agente a l’air bête lui fit signe de la main de s’avancer dans la machine. Elle s’exécuta. Pendant que le scanner effectuait ses rotations, Marie se demanda si les agents postés devant l’écran pouvaient voir son corps nu à travers ses vêtements ou si ce n’était qu’une légende urbaine.

Elle n’eût pas le temps d’y réfléchir davantage. La machine se mit soudainement à émettre des sons étranges. L’agente lui demanda de sortir et de se placer sur le côté. Marie ne comprenait pas. Elle n’avait pourtant rien sur elle qui pouvait poser un quelconque problème. Elle sentit une vague de chaleur monter en elle et son corps se raidir. Elle chercha Antoine du regard, mais ce dernier était occupé à remettre ses chaussures et replacer ses trucs dans sa valise.

L’agente s’approcha et lui demanda si elle avait quelque chose sur elle. Marie répondit que non. L’agente ne semblait pas convaincue et lui demanda de vider ses poches à nouveau. Elle s’exécuta pour prouver ses dires. L’agente la regarda d’un œil méfiant, puis lui demanda de ne pas bouger. Elle s’éloigna pour discuter avec un de ses collègues. Marie sentait son stress s’accentuer. Elle devait suer abondamment, mais espérait que ça ne paraisse pas trop. Antoine, qui avait remarqué que sa copine ne bougeait pas, s’avança vers elle.

« Hey qu’est-ce qui se passe, y a un problème », lui demanda-t-il.

« Le scanner corporel s’est mis à sonner quand je suis passé dedans maudite marde, mais je n’ai absolument rien sur moi pourtant », répondit Marie.

« Ben oui je sais, t’as rien à cacher », dit Antoine.

« Ben l’agente à l’air de bœuf n’a pas l’air de me croire en tout cas. Elle m’a demandé d’attendre ici et elle est partie jaser avec un autre agent là-bas », ajouta Marie.

« Je suis sûr que ça va être correct. C’est clairement une erreur de la machine, ça arrive sûrement plein de fois par jour que ça sonne pour rien. Tu verras, dans quelques minutes on sera en train de manger relaxe de l’autre côté », ajouta Antoine d’une voix rassurante en l’embrassant sur le front.

« Ouais t’as sûrement raison », dit Marie plus ou moins rassurée.

Elle n’était pas du genre anxieux, mais l’idée d’avoir des problèmes avec la sécurité aéroportuaire ne l’enchantait guère. S’il fallait qu’ils manquent leur vol à cause de ça…

L’agente revint vers elle, accompagnée de l’homme à qui elle parlait quelques secondes auparavant. Il était plutôt grand et costaud, le teint basané. Il devait être dans la fin trentaine. Il s’adressa à elle dans un anglais un peu cassé.

« Bonjour Madame. Je vais vous demander de me suivre s’il-vous-plaît », dit-il d’un ton ferme, mais posé.

« Pardon? », répondit Marie d’un air hébété.

« Mais pourquoi? Je n’ai rien fait de mal monsieur l’agent ».

« Nous avons besoin de procéder à des vérifications supplémentaires au niveau de vos bagages. Suivez-moi s’il-vous-plaît », renchérit l’homme.

« Mais c’est n’importe quoi, nous n’avons rien à cacher », lança Antoine.

« Vous voyagez avec elle? », demanda l’homme.

« Oui c’est mon copain, il est avec moi », répondit Marie sèchement.

« Venez avec nous alors Monsieur », trancha l’agent en leur tournant le dos et en marchant d’un pas rapide.

Marie et Antoine se regardèrent d’un air inquiet, mais quel choix avaient-ils? Ils ne pouvaient faire autrement que suivre l’agent.

Ils empruntèrent rapidement à gauche un couloir réservé au personnel de l’aéroport, puis tournèrent à droite une cinquantaine de mètres plus loin. Plusieurs portes fermées longeaient de part et d’autre le couloir illuminé par de puissants néons. Au bout, l’homme s’arrêta devant une porte métallique. Il scanna sa carte sur le lecteur adjacent et saisit la poignée. La porte s’ouvrit et il leur fit signe d’entrer en premiers.

Antoine et Marie pénétrèrent dans une petite salle, aux murs blancs et à l’éclairage partiellement tamisé. Au milieu de la pièce se trouvaient deux longues tables, ainsi que quelques chaises. Sur l’une d’elle, était assise une femme qu’ils ne connaissent pas. Elle était mince, pas très grande, probablement dans la mi-trentaine. Son uniforme ne laissait planer aucun doute : elle aussi était une employée du département de sécurité de l’aéroport Harry-Reid.

Marie sursauta en apercevant devant elle, sur la table, sa valise grande ouverte. Elle donna un coup de coude discret à Antoine pour attirer son attention sur ce détail.

L’homme vint s’asseoir à côté de sa collègue et invita Marie et Antoine à faire de même de l’autre côté de la table. Le couple obtempéra et pris place sur les chaises. Ces dernières étaient peu confortables. Marie regardait autour d’elle, évitant le regard des deux agents postés devant elle. Ses mains étaient moites. Elle n’était pas à l’aise du tout et le silence qui régnait n’avait rien de rassurant pour la suite des choses.

L’homme brisa le silence.

« Miss Bédard, il y a un problème avec le contenu de votre valise », dit-il calmement.

« Mes collègues ont en effet remarqué la présence d’objets électroniques, contenant des piles, dans celle-ci. Vous n’êtes pas sans savoir que ce genre d’items est interdit et peut s’avérer dangereux dans un avion », ajouta-t-il.

« Mais de quoi parlez-vous, je n’ai ni ordinateur, ni tablette, outre mon téléphone cellulaire qui n’était pas dans ma valise », répliqua Marie confuse.

L’agent fit un signe de tête à sa collègue féminine qui sortit d’un sac de plastique les objets « problématiques » en question. C’est en les apercevant que Marie comprit. Elle devint immédiatement rouge comme une tomate. En effet, dans le sac se trouvaient un vibrateur portatif de style « magic wand », un butt plug ainsi que l’œuf vibrant et la manette de contrôle. Les fameux jouets coquins amenés en voyage…

Incapable de dire un mot, elle se tourna vers Antoine et le dévisagea dans un mélange de stupeur et de colère. Il avait probablement oublié d’enlever les batteries des jouets avant de faire les valises à l’hôtel. Quel idiot!

Le visage d’Antoine était empreint de malaise et de culpabilité. Il était figé, comme un chevreuil devant des phares de voiture sur l’autoroute. Marie savait qu’il se sentait terriblement mal, mais elle paniquait beaucoup trop intérieurement pour être compatissante. La situation était terriblement gênante!

« Est-ce que ces objets sont à vous, Madame », demanda la femme.

« Oui… oui… ils sont à moi », admit timidement Marie.

« C’est une belle collection que vous avez là », ajouta l’homme avec un sourire en coin.

« Attend Phil, tu n’as pas encore vu la lingerie », répliqua en riant sa collègue.

Marie voulait disparaître. Elle devait être rouge comme un homard.

« C’est pas drôle, ce sont des objets intimes. Vous manquez de respect à ma copine et violez notre vie privée », lâcha Antoine scandalisé.

« Monsieur, sachez qu’il n’y a pas d’expectative de vie privée ici. La sécurité prime sur tout. Vous avez fait le choix d’amener avec vous ces objets en voyage, je vous rappelle », répondit l’homme d’un ton cassant.

« Vous n’avez qu’à prendre les batteries et les jeter. Ce n’est pas de la drogue, une arme ou une bombe quand même », rétorqua d’un air baveux Antoine.

« Antoine, tais-toi s’il-te-plaît », lui dit en français Marie pour lui faire comprendre qu’il n’aidait en rien la situation.

« Non c’est vrai, mais si vous avez en votre possession ce genre d’objets moralement douteux… qui nous dit que vous n’avez pas d’autres choses sur vous », ajouta l’agente féminine.

« Effectivement Anna, nous devons investiguer plus en profondeur pour nous assurer qu’il est sécuritaire de vous laisser monter à bord de votre vol de retour », renchérit le dénommé Phil.

« Investiguer davantage? Mais qu’est-ce que vous voulez dire? », demanda Marie perplexe.

« Levez-vous s’il-vous-plaît mademoiselle, et venez ici », lança Phil.

Impuissante, Marie se leva, regarda Antoine et se dirigea à contrecœur de l’autre côté de la table.

« Placez-vous juste ici », demanda l’agente Anna.

« Maintenant, enlevez tous vos vêtements un par un je vous prie », lui ordonna son collègue.

Paniquée, Marie prit un pas de recul.

« Me déshabiller? Mais c’est ridicule, ça va trop loin », se lamenta Marie.

« Mademoiselle, nous devons procéder à une fouille à nu et vous devez coopérer », répondit Anna.

D’un bond, Antoine se leva de sa chaise.

« Mais vous êtes fous, c’est de l’abus de pouvoir ce que vous faites! », cria Antoine de plus en plus agité.

« Monsieur, je vous demanderais de rester assis s’il-vous-plaît et de ne pas bouger de votre chaise. Nous ne voudrions pas avoir besoin d’appeler des renforts pour vous calmer », dit sèchement Anna.

« Ne vous inquiétez pas, ce ne sera pas très long. Préférez-vous que ce soit Anna qui fasse la fouille ou bien moi? », demanda Phil.

Marie, la tête baissée, pointa du doigt l’agente pour faire connaître son choix.

« Très bien, Anna je vais aller chercher des gants. Pendant ce temps, déshabillez-vous mademoiselle», ajouta Phil.

Lentement, Marie s’exécuta. Son sang bouillait et elle voyait flou. Elle retira d’abord son chandail de laine, dévoilant son soutien-gorge noir. Puis ce fut au tour de ses jeans. Ces derniers glissèrent au sol et elle sentit le regard de l’agente sur son entre-jambe masqué uniquement par sa culotte brésilienne, noire également.

Elle eut un moment d’hésitation au moment de dégrafer son soutien-gorge. Elle ne pouvait regarder Antoine, mais elle savait qu’il la dévisageait. Il était trop tard pour reculer toutefois.

Une fois enlevée, sa brassière révéla sa généreuse poitrine. La pièce était froide, si bien que ses mamelons étaient durs. Elle se pencha ensuite doucement pour retirer sa culotte. Au même moment, l’agent Phil passa derrière elle et fit un commentaire sur son « beau petit cul ». Gênée, Marie se redressa rapidement et ferma les yeux. Sa chatte, entièrement épilée, était maintenant à la vue de tous. Comme ses fesses et ses seins. Elle se sentait extrêmement vulnérable.

L’agente enfila la pire de gants que lui avait remise Phil. Elle se plaça derrière Marie et lui demanda de lever les bras dans les airs. Marie s’exécuta. Elle sentait les regards de l’agent et d’Antoine sur son corps pendant que l’agente passait ses mains dans ses cheveux, puis sur ses oreilles, son nez et le long de son cou. Elle dû ouvrir la bouche pour qu’Anna vérifie qu’il n’y avait rien de caché à l’intérieur.

Elle sentit ensuite les mains de l’agente glisser lentement sur son torse et s’arrêter sur sa poitrine. Les doigts commencèrent à titiller ses mamelons durcis et à malaxer ses seins. Surprise, elle eut un petit sursaut.

« Ne bougez pas, détendez-vous », lui chuchota à l’oreille l’agente. Ses mains continuèrent de stimuler les seins de Marie qui avait du mal à rester de marbre face à ces attouchements. Elle avait honte de se l’avouer, mais ces caresses étaient plutôt agréables et une chaleur envahit peu à peu son bas-ventre.

L’agente se déplaça pour lui faire face et passa ses mains sur son ventre, puis se pencha pour inspecter ses cuisses, ses jambes et ses pieds. Elle remonta légèrement, à la hauteur pour ainsi dire de son entre-jambe. Elle observa quelques secondes la chatte de Marie, puis passa furtivement son doigt sur ses grandes lèvres. Elle se releva et dit fièrement à son collègue :

« Hey Phil, je crois qu’elle mouille déjà un peu la coquine ».

Son collègue émit un rire amusé.

Mais quel genre de fouille subissait-elle, se demanda Marie. Ce ne pouvait être la procédure standard. Tout cela était surréaliste.

« Bon, est-ce que c’est fini maintenant? On peut partir? », questionna impatiemment Antoine, bien assis sur sa chaise.

« Pas encore, il nous reste à vérifier les orifices », annonça Phil.

« Les orifices? », demanda Marie dubitative.

« Votre vagin et votre anus », répliqua Anna comme si c’était d’une évidence absolue.

« Commençons par votre chatte. Si vous voulez bien vous asseoir sur la table et écarter les jambes ».

À ce stade-ci, Marie savait fort bien qu’il ne servait à rien de résister ou de protester. Elle voulait juste en finir au plus vite.

Elle prit place sur la table. Le contact de la surface froide du plastique sur ses fesses la fit frissonner. Elle ouvrit grand les jambes. Étrangement, elle se sentait plus calme soudainement, presque résignée.

Anna s’approche d’elle et sortit de sa poche un petit tube de lubrifiant. Elle en versa sur sa main droite, encore gantée, et commença à passer deux doigts sur sa vulve. Son touché était délicat, habile. Elle effleura à plusieurs reprises le clitoris de Marie, qui ne put s’empêcher de frémir. Elle se dit qu’elle ne devait pas montrer que la sensation lui était agréable. Surtout, elle ne devait pas mouiller.

Anna enchaîna en insérant délicatement un doigt à l’intérieur de sa chatte. Elle fit quelques va-et-vient, puis ne sentant aucune résistance, Anna inséra un deuxième doigt. Marie ne put s’empêcher de pousser un petit gémissement. Elle sentait qu’elle mouillait de plus en plus. Sa cyprine la trahissait!

« On dirait que tu aimes ma fouille, ma jolie. Je vais te faire dégouliner tu vas voir », lança d’un air grivois Anna.

Elle fit signe à son collègue d’aller chercher quelque chose sur la table pendant qu’elle continuait à doigter Marie. Quelques secondes plus tard, Phil lui tendit le vibrateur de type « magic wand ». Anna versa un peu de lubrifiant sur le bout de l’engin et l’alluma. Ce dernier se met à vibrer fortement. Il était peut-être petit, mais il était puissant. Sans tarder, Anna posa la tête rotative sur le clitoris de Marie qui se raidit instantanément. La vibration, combinée aux allées et venues des doigts d’Anna dans son vagin, lui procurait des secousses de plaisir. Elle en avait presque le souffle coupé.

« Arrêtez, je vais jouir si vous continuez », laissa échapper Marie qui avait de plus en plus de mal à se contrôler.

« Je vous interdis de jouir tout de suite », répliqua Anna en appuyant davantage le jouet sur son bouton du plaisir.

Frappée de plein fouet par cet afflux de stimulations, le corps de Marie était parcouru de spasmes et de tremblements. Elle n’allait pas pouvoir tenir encore bien longtemps.

« Je vous en prie, arrêtez », se lamenta Marie en sentant son jus couler le long de ses cuisses de plus en plus abondamment.

Anna la regarda d’un air coquin, puis arrêta subitement le vibrateur. Elle retirera ses doigts de sa fente, enleva ses gants et se pencha vers l’entre-jambe de Marie.

« J’ai envie de savoir ce que tu goûtes. Je vais te bouffer le minou », annonça-t-elle.

Elle sortit sa langue et commença à la passer lentement sur le clitoris de Marie, déjà bien gonflé et gorgé de sang. C’était la première fois qu’elle recevait un cunnilingus d’une femme. Ce n’était clairement pas la première fois qu’Anna en faisait toutefois. Les mouvements de sa langue étaient précis, habiles et maîtrisés. Elle savait ce qu’elle faisait, variant le rythme et la pression de ses caresses buccales.

Marie sentait l’orgasme venir. Le coup de grâce fut donné lorsque Anna commença à suçoter son clitoris tout en insérant deux doigts en elle. Une trentaine de secondes plus tard, Marie se cambrait en criant de plaisir, incapable de contrôler son corps foudroyé par la jouissance.

Satisfaite, Anna se releva et prit un pas de recul. Marie n’eut pas le temps de reprendre son souffle. Philippe s’était approché d’elle et affirma qu’il était maintenant temps de s’occuper de son cul. Eh oui, la fouille anale allait suivre. Phil lui demanda de se mettre à quatre pattes sur la table. En position doggy style, comme une bonne chienne ajouta-t-il. Marie s’exécuta sans protester.

Sans prendre le temps de mettre des gants, Phil plongea ses doigts dans le lubrifiant et écarta les fesses de Marie. Il commença à passer son doigt autour de son petit trou. Elle sentait la texture un peu froide et visqueuse du lubrifiant sur sa peau et ne peut s’empêcher de contracter son anus. Phil continua son petit manège, la titillant de plus en plus en tournant autour du pot. Sans dire un mot, il inséra un doigt. Marie poussa un grognement de plaisir. Elle raffolait d’avoir quelque chose dans ses fesses, même si elle avait un peu honte de l’admettre. Sentait que son orifice se détendait sous les mouvements de son doigt, Phil ne se fit pas prier pour en ajouter un autre.

Marie ne cherchait plus à contenir ses gémissements. Le sentiment de vulnérabilité était encore présent, mais la honte avait été remplacée par l’excitation. À regret, elle sentit l’agent retirer ses doigts, mais son anus ne fut pas délaissé très longtemps. Une langue se fraya en effet un chemin à l’intérieur de son petit trou.

Mon premier anulingus pensa Marie en se souvenant qu’Antoine était plutôt dédaigneux à l’idée de mettre sa langue à cet endroit, compte tenu de la fonction première de ce dernier. Manifestement, cela ne dérangeait aucunement Phil qui s’en donnait à cœur joie en lui dévorant le cul comme si c’était un délicieux festin. Marie vit Anna s’approcher d’eux et tendre à son collègue son butt plug. L’homme le prit, le mit en marche et enfonça le jouet vibrant dans le petit trou de Marie qui gémit fortement.

« Tu aimes ça la sodomie, pas vrai? », demanda Phil en ayant déjà une bonne idée de la réponse.

« Oh oui, j’adore avoir les fesses pleines », répondit Marie en retournant la tête pour fixer dans les yeux l’agent.

« Tu es une vraie cochonne toi dis-dont », lança Phil en se postant devant elle. Il déboutonna son pantalon et le fit glisser sur le sol. Marie put voir la grosse bosse dans ses sous-vêtements. Il était bien bandé.

« Suce-moi » dit d’un ton autoritaire Phil en enlevant son caleçon. Marie fut impressionnée par la verge qui se dressait devant elle. Elle était effectivement plus longue que celle d’Antoine, mais surtout nettement plus grosse au niveau de la circonférence. Elle constata que l’agent était circoncis.

Elle prit sa queue dans ses mains, cracha un peu de salive dessus et commença à passer sa langue sur son gland. Elle l’enfonça ensuite dans sa bouche, utilisant ses mains en même temps pour masturber l’agent. Le plug anal dans son cul semblait vibrer de plus en plus rapidement, mais ses gémissements de plaisir étaient maintenant étouffés par la bite logée dans sa gueule.

Pendant ce temps, Anna s’approcha d’Antoine qui était toujours assis sur sa chaise à quelques mètres de là, hypnotisé par la scène qui se déroulait sous ses yeux. Il fixait Marie, en pleine performance orale. Anna passa une main dans ses cheveux et lui demanda :

« Comment c’est, mon beau, de réaliser que ta copine est une vraie salope avide de sexe »

Antoine ne répondit pas. Il gardait ses yeux rivés sur Marie qui léchait goulument le membre de Phil.

« Ne t’en fais pas, je vais te remonter un peu le moral », ajouta Anna en retirant ses propres pantalons et en glissant dans son string rouge le petit œuf vibrant. Elle déposa ensuite dans la main d’Antoine la télécommande, puis se mit à genoux devant lui. Antoine détourna peu à peu le regard de Marie, alors qu’Anna avait déjà retiré ses jeans et tenait fermement sa verge dans sa main. Antoine ferma les yeux et se laisser aller aux prouesses buccales de l’agente. Sa main actionnait les différents modes de vitesse et de vibration, et il entendait Anna se lamenter en réaction à l’œuf qui chatouillait son clitoris.

Marie commençait à sentir sa mâchoire se fatiguer et sa salive se faire de plus en plus rare. Phil semblait toutefois sur le point de jouir, si bien qu’elle redoubla d’ardeur. Ses efforts furent couronnés de succès : Phil poussa un long râlement en déchargeant son sperme dans la bouche de Marie qui avala toute sa semence sans broncher.

« Hmmmm, tu suces très bien », la complimenta Phil.

« Un orifice sur trois de rempli. Il en reste deux », ajouta-t-il en lui faisant un clin d’œil.

Marie s’essuya la bouche et retira de ses fesses le butt plug. Elle était fatiguée, mais elle se doutait bien qu’elle ne pourrait pas se reposer… pas tout de suite du moins. Elle réalisa soudain qu’Anna était partie rejoindre entre-temps Antoine. Trop occupée par sa fellation, elle n’avait pas remarqué leurs rapprochements. Marie eut un élan de jalousie… mais restreignit rapidement ce dernier. Pouvait-elle vraiment en vouloir à Antoine et lui faire des reproches alors qu’elle venait tout juste de…

Elle n’eut pas le temps d’y songer davantage. Phil, redevenu dur, se coucha sur le dos à côté d’elle et l’invita à monter sur lui.

« Allez cowgirl, chevauche-moi. J’ai envie de savoir si tu es aussi serrée que tu en as l’air », lança l’agent confiant.

Marie s’installa par-dessus lui, prit sa queue dans sa main et l’enfonça doucement dans sa chatte. Mouillée comme elle était, son membre glissa en elle comme dans du beurre. Elle n’avait jamais eu une verge aussi grosse dans son vagin. Elle se sentait bien remplie… et c’était bon! Phil malaxait ses seins et pinçait ses mamelons pendant qu’elle s’empalait sur lui.

Elle aperçut du coin de l’œil Antoine et Anna se lever et se diriger vers la table jouxtant la leur. Anna était complètement nue. Marie observa que ses seins étaient plutôt petits, mais bien fermes. Quant à sa chatte, elle était bien touffue. Anna se mit à quatre pattes sur la table et Antoine se posta derrière elle.

Alors qu’il enfonçait sa queue dans la fente de l’agente, il lança un regard amusé, presque de défi, à Marie. À mesure qu’il donnait des coups de bassin, l’agente gémissait de plus en plus fort. Marie changea de position, chevauchant toujours Phil, mais en reverse cowgirl dorénavant. Elle sentit les mains de l’agent empoigner ses fesses et leur donner des petites claques pendant qu’elle se dandinait sans relâche sur sa verge, accélérant de plus en plus le rythme.

Quelques instants plus tard, elle sentit le corps de Phil se raidir et quelque chose de chaud se déverser dans son vagin. L’agent retira sa queue, se releva et alla s’asseoir un peu plus loin. Clairement, il avait besoin d’une petite pause. Au passage, il dit à Marie : « Et de deux », faisant clairement référence au fait qu’il venait de jouir dans un 2e orifice.

Voyant qu’elle était libre, Anna fit signe à Antoine de cesser de la pilonner. Elle se releva et s’approcha de Marie. Elle l’embrassa langoureusement, plongeant sa langue dans sa bouche. Puis, elle se coucha sur le dos et dit :

« Allez viens, on va se faire un petit 69. J’ai envie de te déguster encore et que tu me dévores la chatte en retour, ma belle ».

Marie n’avait jamais fait de cunnilingus, mais avait déjà rêvé plusieurs fois qu’elle couchait avec une femme. Elle se mit par-dessus Anna, la tête vers son entre-jambe et sa propre chatte proche de la bouche de l’agente. Antoine n’avait pas bougé d’un poil, ne voulant rien rater du spectacle. Il était encore en érection et Marie aurait bien aimé sentir sa queue en elle.

Anna fut la première à sa lancer, léchant frénétiquement le clitoris de Marie qui poussa un cri de plaisir. Elle enfonça à son tour sa tête dans l’entre-jambe de l’agente. Elle passa sa langue un peu partout, en utilisant ses doigts en même temps. Pour être honnête, elle y allait un peu à tâtons, en se fiant aux gémissements et aux réactions corporelles d’Anna pour savoir ce qui fonctionnait le mieux. Cette partie de broute-minou dura quelques minutes, mais fut soudainement interrompue par Antoine qui se plaça derrière sa copine et lui chuchota à l’oreille :

« À mon tour de te pénétrer maintenant. Continue à la manger, c’est sexy de vous voir toutes les deux ».

Marie sentit la queue de son copain presser contre l’entrée de son vagin puis glisser en elle lentement. Elle essaya tant bien que mal de poursuivre ses caresses buccales sur l’agente, mais la langue d’Anna sur son bouton et les va-et-vient du membre d’Antoine l’empêchait de se concentrer. Elle contrôlait difficilement les spasmes qui traversaient son corps. On aurait dit qu’Antoine et Anna mettaient les bouchées doubles pour la faire jouir à nouveau… ce qui arriva subitement peu de temps après. Un orgasme très puissant qui la fit tomber sur le côté, haletante. Elle sentit du sperme couler le long de ses cuisses. Il semblait qu’Antoine avait lui aussi jouit… ou bien peut-être était-ce les traces laissées par l’explosion de Phil un peu plus tôt. Peu importe, une chose était sûre : sa fente était pleine de foutre.

Anna annonça qu’elle avait besoin de se reposer. Elle attrapa une bouteille d’eau qui traînait sur une chaise et alla s’allonger un peu plus loin. Marie allait faire de même, mais elle fut arrêtée par Phil qui avait terminé sa pause syndicale.

« Dis-donc, t’aimerais ça qu’on finisse ça en beauté, ma jolie? », lui demanda l’agent.

Marie ne comprenait pas ce qu’il voulait dire exactement. Elle était un peu dans les vapes.

« Tu proposes quoi? », demanda Antoine.

« Elle aime la double pénétration? », questionna Phil.

« Elle n’a jamais essayé, mais c’est son plus gros fantasme », répondit Antoine.

Et il disait vrai. Marie s’était toujours demandé quelle sensation ça faisait d’avoir deux queues bien dures en elle, une dans sa chatte et une dans son cul. Plus d’une fois elle s’était imaginée prise par deux hommes en même temps, ce scénario l’excitant au plus haut point. Son historique de vidéos pornographiques pouvait en témoigner…

« Je peux prendre son cul? », demanda Phil à Antoine.

« Bien sûr, je peux l’avoir quand je veux à la maison de toute manière », répondit Antoine d’un air fier.

Ils parlent de moi comme si je n’étais pas là, pensa Marie en observant Antoine se coucher sur le sol, la queue au garde à vous. Elle avait peine à croire ce qui arrivait. Au ralenti, elle s’approcha d’Antoine, se pencha au-dessus de lui et s’empala sur sa bite. Elle frémit en sentant Phil se positionner derrière elle. L’excitation était à son comble. Il y avait de l’électricité dans l’air.

Antoine posa une main derrière son cou pour la rapprocher vers lui et l’embrassa passionnément. Elle sentit glisser ses mains le long de son dos, jusqu’à ses fesses qu’il écarta délicatement. Son anus était maintenant bien exposé, prêt à accueillir la verge de Phil. Ce dernier ne tarda pas à planter son gland contre son petit trou et à y pénétrer tranquillement.

Marie poussa un cri primal C’était encore mieux que ce qu’elle avait imaginé. Deux graines en elle, séparées uniquement par une fine paroi. Elle les sentait presque frotter l’une contre l’autre. Elle était pleine! Antoine et Phil allaient et venaient en elle, dans un synchronisme coordonné. Les sensations de Marie étaient décuplées. Elle était comme en transe. Son esprit flottait au-dessus de son corps qui était pénétré de partout. Vrai, sa bouche n’était pas remplie, mais elle en profitait pour émettre de puissants gémissements.

Elle ne remarqua pas qu’Anna était revenue dans le portrait, tenant dans sa main la « baguette magique » vibrante qu’elle glissa entre son corps et celui d’Antoine. Collé contre son clitoris, ce jouet allait lui donner le coup de grâce. Elle sentait une pression intense monter en elle. Comme un volcan sur le point d’entrer en éruption, elle était sur le point d’exploser. Elle ne savait plus où donner de la tête. Antoine qui mitraillait sa chatte, Phil qui défonçait son cul et Anna qui s’acharnait sur son bouton avec le vibrateur.

Et puis, la digue céda. L’orgasme la frappa de plein fouet comme un torrent. Pour la première fois de sa vie, Marie éjacula comme une femme fontaine. Une bonne quantité de liquide fut projetée sur Antoine et le sol. Ce dernier, suivi de Phil presque au même moment, cria qu’il n’en pouvait plus et qu’il allait venir. Marie sentit ses deux orifices se remplir à nouveau. Exténuée, un peu étourdie, Marie s’allongea sur le sol. Fixant le plafond, elle chercha à reprendre son souffle. Anna s’allongea sur le ventre face à elle et commença à recueillir avec sa bouche le sperme qui s’écoulait de sa fente et de son anus.

« Mmm », fit-elle en regardant Marie dans les yeux et en passant sa langue sur ses lèvres pour faire disparaître les gouttes restantes.

« 3 trous bien remplis, le travail est complété », lança Phil en passant à côté d’elle pour aller se rhabiller. Anna et Antoine firent de même. Marie, elle, demeura sur le plancher froid quelques minutes de plus. Elle se releva péniblement, les jambes molles, et chercha du regard ses vêtements. Une fois repérés, elle les enfila lentement. Marie se demandait quelle heure il était. Elle avait perdue toute notion du temps. Combien de temps avait duré toute cette débauche? 30 minutes? 1 heure? 2 heures?

Revenant peu à peu à elle, Marie fut rattrapé par la réalité : leur vol! Ils l’avaient clairement manqué. Fuck!

« Antoine, notre vol! », cria-t-elle à son copain qui s’était évaché sur une chaise.

« Merde! C’est mort », répondit Antoine défait.

« C’est votre jour de chance », lança Anna en regardant son téléphone cellulaire.

« Votre vol a été retardé. Problème mécanique semble-t-il. Ils attendent un nouvel avion», ajouta l’agente.

« Vous avez encore une bonne heure de buffer », ajouta Phil en refermant les valises de Marie et Antoine.

« On pourrait peut-être vérifier si vous pouvez être upgradés en première classe », dit Anna, sourire en coin, en regardant Phil.

« Ce serait mérité, j’avoue », répondit Phil en faisant un clin d’œil à Marie.

« Donc nos bagages sont en règle? », demanda Marie d’un ton sarcastique

« Oui, aucune menace à signaler », répondit Anna d’un ton amusé.

« Bon retour à la maison », conclut Phil en leur remettant leurs valises.


2 heures plus tard, installée confortablement dans son grand siège individuel, un verre de champagne à la main, Marie se dit qu’elle pourrait prendre goût à voler en première classe.

« En tout cas, Vegas est définitivement la ville du vice », dit-elle à Antoine assis de l’autre côté de l’allée.

« Cette mésaventure avec la sécurité aéroportuaire le confirme à 100% », répondit Antoine.

« Hey, est-ce que tu es membre du high mile club? », demanda Marie.

« Non, mais j’aimerais bien le devenir avant qu’on atterrisse », répondit Antoine avec un regard lubrique.

« Deal, on va s’envoyer en l’air alors mon chéri! », dit Marie en terminant d’une traite son verre.


FIN
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