Marion

Cela fait quelques années que Marion, c'est faite larguer par un mari volage, puis, après avoir retrouvé l'amour, c'est une nouvelle déception. Déçue par le genre masculin, elle ne se laisse plus draguer par eux. Elle fait des sorties avec sa meilleure amie Sandra qui est dans la même situation qu'elle. Elles s'adonnent au shopping, promenade, et quelques fois, elles vont danser.

Bien sûr, au dancing, les deux femmes sont très vite accostées par des mâles en recherches d'aventures. Les deux amies dansent souvent ensemble. Mais quelques fois, elles se laissent tenter par des slows langoureux avec des hommes. Marion avec son cavalier évolue sur la piste, l'homme plaqué contre elle, ondule du bassin contre le sien. Elle sent son souffle chaud sur la joue, repousse les tentatives plus osées du mâle en rut.



Les petits baisers désespérés qu'il lui donne sur la joue, et l'épaule font soupirer Marion. Quant à Sandra, elle se fait draguer à sa table, par deux types. Souvent, elle éclate de rire, les hommes sont de joyeux drilles, ils amusent Sandra, qui enfin choisit un des deux hommes pour danser. L'homme la serre très fort dans ses bras, il agite doucement son bassin contre celui de Sandra, qui, moins farouche que son amie, accepte les petits baisers sur sa joue.



Marion regarde de temps en temps son amie, qui se laisse caresser le dos sans repousser l'agresseur, au contraire, elle se plaque bien contre lui. Le cavalier de Marion ne désespère pas, il se frotte contre elle, en lui susurrant des mots doux à l'oreille. Enfin la danse se termine, les deux femmes se retrouvent à table et avalent leur verre en triquant. Marion dit en faisant un sourire d'enfer :

-Le type avec qui je dansais, bandait comme un taureau, le cochon !


Sandra éclate de rire et dit à son tour :

-Oh la vache le mien aussi, je vais le faire décharger dans son pantalon à la prochaine danse ce con, Marion, fais-le-toi aussi décharger dans son froc, faisons leur payer pour les autres tordus qui nous ont largués comme de vieilles chaussettes !


Marion éclate à son tour de rire et dit :

- Go, tu as raison, ils devront changer de slip après la danse les pauvres types !



Un autre slow arrive. Les deux femmes sont vite invitées par les mêmes hommes. Les corps ondulent, les bassins se frottent fortement au rythme de la musique. Il ne faut pas attendre longtemps pour que les deux mâles bandent, les deux femmes se jettent des regards complices en se souriant. Sandra fait un clin d'œil à son amie, et lentement passe sa main entre les deux ventres. Elle saisit la verge raide comme du bois et la branle comme elle peut. L'homme souffle comme un bœuf, léchant le lobe de l'oreille de la branleuse.



Marion, sans quitter des yeux son amie, s'enhardît, elle aussi passe sa main entre les deux bassin et attrape doucement le membre qui semble encore plus gros dans sa main que contre son ventre. L'homme se contacte doucement en poussant un soupir de victoire. Les deux complices masturbent avec douceur les manches bondés comme des arcs. Les gémissements que les deux tentent d'atténuer en embrassant les joues des deux provocatrices. Soudain le danseur de Marion, se cabre. Le bougre vient d'inonder son slip de liquide visqueux en soufflant comme un dragon. Il cherche les lèvres de Marion, mais la coquine détourne la tête pour éviter l'embrassade. Elle regarde son amie en lui faisant un léger signe de tête.



Sandra en souriant accélère la masturbation, son cavalier se raidit et en rugissant, envoie son sperme épais dans son slip. Lui aussi cherche les lèvres de Sandra, mais heureusement la danse cesse. Rapidement les deux femmes rejoignent leur table en ne quittant pas des yeux les éjaculateurs. Sandra, dit en riant :

-Tu sais que je suis trempée, je vais m'essuyer à la toilette !


Marion répond un peu gênée :

-Eh bien, j'avoue que moi aussi, j'ai mouillé ma culotte, je viens avec toi !


Les deux femmes se rendent à la toilette, elle entre dans la même, elles retirent leur culotte, et avec un kleenex, s'essuient la fente très humide. C'est en riant que Sandra passe sa main sur la chatte de son amie et lui dit :


-Tu dois être aussi chaude que moi, vu comme tu mouilles ma salope !


Marion hausse les épaules et réplique :

-Je ne suis pas de bois, tout comme toi, je me fais des plaisirs digitaux lorsque c'est nécessaire, ose dire le contraire !


Sandra lui relève le menton avec deux doigts et dépose un baiser bruyant sur ses lèvres. Enfin, les deux renfilent leur culotte humide, et reprennent place à leur table. Elle trinque en toisant les deux hommes englués dans leur semence visqueuse. Les deux femmes lèvent leur verre vers eux, en souriant. Les deux hommes se sentent invités, il s'approche avec une bouteille de champagne en main. Ils proposent de trinquer avec elles. Les deux femmes sûres d'elles accepte de boire avec eux. Les verres se remplissent pour se vider rapidement. Les deux hommes semblent très sympathiques, ils sont souriants et beaux parleurs.


Petit à petit, les deux femmes tombent sous leur charme, les dansent qu'ils font entre eux sont plus langoureuses, plus serrées, collées. Marion ne sait plus quel bout va devant. Michel, son danseur attitré, la séduit de plus en plus. Sandra de son côté, avec son cavalier, se roulent des pelles magistrales. Michel la serre fortement, il lui murmure à l'oreille qu'il a souillé son slip à cause d'elle. Vicieusement Marion vent en avoir le cœur net. Elle caresse la bosse qui déforme le pantalon de son cavalier. Elle presse plusieurs fois le manche épais.


L'homme se frotte contre elle, comme un chien contre son maitre, elle ne sent contre son ventre le manche qui glisse sur le ventre. La tension monte dans les corps, l'homme la regarde droit dans les yeux et lui dit :

-Toi, tu es une gosse salope, tu joues avec moi comme un enfant avec son nouveau jouet !

Il appuie ses lèvres sur les siennes, Marion sans savoir pourquoi ne refuse pas le baiser. Les langues se nouent, comme deux reptiles qui s'accouplent, les deux échangent un flot de salive, qu'ils avalent sans se poser de questions. De retour à table, Marion, n'est plus la même, elle est rêveuse. Sandra la regarde et dit en souriant.

-Oh, oh la dame se laisse séduire, je suis certaine qu'elle va baiser avec lui !


Marion soupir sans dire un mot, elle semble ailleurs. Sandra insiste :

-Il te fait bander le cochon avoue !

Marion, très gênée, répond en béguant :

-Je ne sais pas ce qui m'arrive, mais il me trouble tellement qu'il peut obtenir de moi ce qu'il veut !


Sandra en faisant une moue lui répond :

-Ou là, ça sent la baise, je vais chauffer mon cavalier pour être dans le même état que toi !


Marion soupir fortement, et réplique :

-Oh putain, je veux qu'il me baise comme une chienne, je suis en feu !

Sandra, souriante, lui dit :

Oh ma salope, le manque de queue se fait sentir, allons chez moi, moi aussi, je veux en avoir une bonne dans le cul !