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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/12/2025
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Convoquée chez le directeur 2
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Charlotte fût convoquée à nouveau chez le directeur la semaine suivant son premier rendez-vous. Elle avait eu du mal à trouver la bonne tenue. Elle voulait être belle, mais rester raisonnable car elle était tout de même sur son lieu de travail. Elle décida de miser sur de la lingerie très sexy et plutôt conventionnel par dessus, jupe noire mi-longue et chemisier rouge qu’elle pourrait déboutonner selon les envies.
Elle se présenta dans le bureau d’Emilie, la secrétaire de direction, qui la regarda, derrière ses grandes lunettes, avec un drôle d’air. Cette dernière savait pourquoi Charlotte venait. Lors de sa dernière visite, elle avait entendu des gémissements et autres bruits qui ne laissaient aucun doute sur ce qu’il se passait de l’autre côté de la porte. Elle avait ressentit une grande excitation à écouter le plaisir distillé dans la pièce voisine aussi avait-elle glissé sa main dans sa culotte pour se masturber discrètement et provoquer un orgasme libérateur.
Charlotte suivit la secrétaire qui ouvrit la porte du bureau du directeur après avoir toqué. Avant d’entrer, la jeune comptable fit sauter deux boutons de son chemisier ce qui dévoila largement les rondeurs de sa belle poitrine et la dentelle verte de son soutien-gorge corbeille.
- M. Georgelin, Mme Marty est arrivée annonça Emilie.
- Bonjour Mme Marty, c’est un plaisir de vous revoir, avoua-t-il avec un sourire charmeur. Merci Emilie.
- Emilie ! Attendez ! Vous pourriez peut-être vous joindre à nous, proposa le directeur à la jeune secrétaire qui s’apprêtait à ressortir.
Il avait remarqué l’intérêt qu’avait causé chez elle la dernière visite de Charlotte.
- Je ne sais pas Monsieur… mentit-elle.
- Ne vous faites pas prier !
Elle repensa aux gémissements de plaisir de sa collègue et après une brève réflexion, elle referma la porte et vint se placer à côté de Charlotte, sentant une décharge d’excitation parcourir tout son corps.
Le DRH, M. Loret, était également présent, affalé dans le canapé, dans le dos des deux jeunes femmes, et avait gardé le silence, comme à son habitude.
-Mesdames, dit le directeur. Une rumeur circule sur deux femmes qui aiment se faire baiser dans l’entreprise. Nous devons les trouver.
Un instant, Charlotte eu un sursaut de frayeur. Elle ne voulait surtout pas qu’on sache ce qu’elle faisait, et encore moins son mari. Elle comprit ensuite que M. Georgelin jouait. Il ordonna alors :
- Mesdames, veuillez vous accoudez sur mon bureau.
Les deux jeunes femmes obéirent sans rien dire, tandis que M. Georgelin allait rejoindre son DRH dans le canapé.
De là, ils avaient une vue magnifique. Ainsi penchée, la jupe assez courte d’Emilie était remontée jusqu’au milieu de ses fesses. Les deux hommes pouvaient ainsi admirer son string rose surgir de son joli postérieur pour envelopper une appétissante vulve. Un alléchant petit sillon se dessinait entre ses grandes lèvres. Ses jambes étaient fines et, bien qu’elle ne soit pas très grande, semblaient interminables, impression amplifiée sans doute par ses escarpins aux talons démesurément hauts.
La jupe de Charlotte n’était pas si courte et ne remontait donc pas assez haut pour dévoiler son sous-vêtement. Elle se retroussa cependant suffisamment pour laisser entrevoir la dentelle blanche de ses bas auto fixant, qui rendaient ses jambes légèrement brillantes. La température était clémente en ce milieu de printemps, mais Charlotte avait pensé que M Georgelin apprécierait cette attention vestimentaire. Les yeux enflammés du directeur lui donnait raison.
Les deux hommes passèrent un moment à admirer les deux femmes, très excités par le spectacle offert. Ils se sentirent rapidement à l’étroit dans leur pantalon. Avec sa position et l’effet qu’elle produisait sur les voyeurs, Emilie sentit sa chatte s’humidifier très vite. Elle se tourna vers la jeune comptable qui semblait apprécier la situation tout autant qu’elle.
Les deux dirigeants vinrent se placer derrière chacune des femmes et relevèrent complètement leur jupe. Charlotte portait un string vert, mêlé de dentelle et de satin et arborant de jolis motifs floraux, qui mettait en valeur un beau postérieur. Ils caressèrent les fesses des deux femmes soumises.
Le directeur s’accroupit derrière Charlotte et mit son string de côté pour libérer une belle vulve gonflée d’excitation. Il huma le doux parfum du sexe. Du bout du doigt il parcourut la vulve à la peau douce. Son index parcourut à plusieurs reprises le sillon des grandes lèvres et arriva à l’entrée humide du vagin. Il s’enfonça dans ce dernier. Le doigt fit quelques aller retours dans le sexe trempé. Il lécha avec gourmandise son index couvert de cyprine. Il le remit dans le petit abricot bien mûr et continua ses mouvements.
Il se releva enfin, se pencha à côté de Charlotte et lui présentant son doigt humide devant son visage avant de déclarer :
- Ce n’est pas l’odeur d’une chatte en chaleur ?
- Si monsieur le directeur.
Il fit lécher son doigt à la jeune femme. En retournant derrière elle, il dit son DRH.
- J’ai une des salopes que nous recherchons.
- J’ai la deuxième, dit le DRH qui avait joué le même jeux avec sa partenaire.
- Cela mérite une correction, n’est-ce pas M. Loret ? Et qu’en pensez-vous mesdames ? Est-ce mérité ?
- Oui monsieur le directeur, répondirent-elles en cœur, soumises et excitées de jouer le jeu.
Le DRH acquiesça et tous les deux commencèrent à claquer les fesses des deux jeunes femmes qui rapidement devinrent rouge. Charlotte sentait son intimité rejeter toujours plus de jus sous les corrections qui se répétaient. Elle s’était découvert une passion pour la soumission et cela lui faisait beaucoup d’effet.
Les hommes se placèrent à genoux derrière les jeunes femmes et se mirent à dévorer l’abricot très appétissant. Le DRH commença à lécher la chatte d’Emilie qui se mît à exprimer de petits gémissements sous les coups de langues adroits. Le directeur, quant à lui, inspirait fort, le nez très proche de la chatte de Charlotte pour en saisir toutes les délicieuses effluves provoquées par son plaisir. Cette dernière savoura de percevoir les caresses du souffle de cet homme sur son sexe. Quand il décida de la frôler, la jeune femme tressaillit et laissa échapper un gémissement de soulagement. Elle s’impatientait de sentir des doigts, une bouche, une langue frôler sa vulve pour lui donner le plaisir qu’elle attendait avec impatience. Les léchages, les caresses sur leurs lèvres, leur clitoris se prolongea un bon moment avant qu’ils ne décident d’introduire quelques doigts dans leur vagin, pour le plus grand plaisirs des deux femmes.
A présent debout, les deux hommes, sortirent leur membre tendu de leur pantalon et l’introduisirent dans la chatte des deux jeunes femmes. S’agrippant aux hanches de leur partenaire, les coups de reins étaient tout de suite puissants. Emilie et Charlotte avançaient de plusieurs centimètres à chaque pénétration qu’elles recevaient de leur mâle respectif. Elles se regardaient mutuellement et trouvaient beau le visage radieux de l’autre. Charlotte fixait les lèvres pulpeuses de sa collègue et avait envie de les embrasser. Leur respiration devenait saccadée, un plaisir grandissant ne cessant de les étreindre.
- Tu aimes te faire labourer la chatte ? demanda d’un air dominant M. Loret à Emilie.
- Oui, Monsieur, j’adore.
- Tu la sens bien ma grosse queue te défonce la chatte ? Ajouta-t-il d’un ton exagérément viril.
- Oui, Monsieur, je la sens bien.
- Parfait ! Tout à l’heure, je t’éclaterai le cul.
- Avec joie, monsieur.
- Et toi, ma petite comptable préférée, tu aimes aussi te faire pilonner la chatte ? demanda le directeur à Charlotte
- Oui, Monsieur le directeur.
M. Loret cracha sur l’anus d’Emilie et lui caressa le petit trou avant d’y introduire son pouce. Jugeant l’idée bonne, M. Georgelin fit de même.
Les deux jeunes femmes gémissaient, ayant le souffle court, en savourant ce membre qui s’introduisait puissamment au fond d’elles avec ce pouce qui s’insérait en rythme dans leur cul.
- Caressez-vous le clitoris, ordonna le directeur.
Emilie et Charlotte firent glisser leur main entre les jambes et entreprirent de jouer avec leur petit bouton. Autant stimulée, l’orgasme ne fût pas long à venir pour Charlotte qui haletait sous l’explosion de plaisir qu’elle ressentait.
Les deux hommes se retirèrent et se dévêtirent prestement. Le directeur ordonna alors:
- Relevez-vous et déshabillez vous.
Les deux femmes obéirent et s’effeuillèrent lentement, en se délectant de ces hommes nus qui masturbait leur membre tendu devant elles. Elles se retrouvèrent en lingerie et bien que M. Georgelin savourait de les voir avec une si belle tenue il leur demanda de tout enlever. Une fois nues, le directeur leur proposa :
- Embrassez-vous, caressez-vous.
Emilie et Charlotte se firent face et c’est cette dernière qui posa ses lèvres sur celles de sa partenaire avec une grande envie qu’elle pouvait enfin soulager. La secrétaire lui rendit son baiser avec beaucoup de désir. Leurs mains brûlantes se baladèrent sur tout leur corps, frôlant leur peau d’une douceur de satin. Leur doigts avides s’attardèrent sur leurs seins et leurs tétons qu’ils pétrirent avec ardeur. Alternativement, elles se penchaient pour les lécher, les mordiller, les aspirer. Les mains s’aventurèrent ensuite entre leurs jambes, chacune poussant un profond soupir quand elle sentit sa partenaire s’égarer sur son clitoris, frôler ses lèvres et s’introduire en elle avec beaucoup de douceur. Les caresses étaient délicates et opportunes, l’une sachant ce que l’autre attendait.
Charlotte ressortit ses doigts humides de la mouille de sa collègue pour les lécher puis regarda d’un coin de l’œil les deux hommes se branler et savoura grandement l’effet qu’elles produisaient sur eux.
Emilie alla s’asseoir sur le bord du bureau et y posa un pied en écartant les jambes pour exposer son intimité. Elle dévoila une chatte toute gonflée de plaisir, un fruit trop mûre gorgé de jus dont il fallait se délecter. Charlotte vint se mettre à genoux devant elle et commença à s’en régaler avec avidité, se délectant du goût délicieux de son abricot. Emilie savoura chaque délicieuse caresse que lui prodiguait le cunnilingus de sa collègue, la trouvant très adroite pour lui donner du plaisir. Charlotte rentrait et sortait la langue de sa bouche pour insérer la pointe de celle-ci dans sa chatte. Elle remontât le long de sa fente et joua avec son clitoris tout en frôlant le doux duvet noir de son pubis.
- Bouffe-moi le clito, suggéra la secrétaire entre deux respirations saccadées.
La comptable se mit à aspirer le clitoris tandis qu’Emilie vint plaquer sa main sur la tête de sa partenaire pour l’encourager à continuer. Rapidement, l’orgasme jaillit, Charlotte sentant le corps de la secrétaire trembler, qui entre deux gémissements répétait « Hoooo, ouuiii, putain c’est bon ». Plus Emilie gémissait, plus la comptable aspirait le petit bout de chair. Jamais elle n’aurait crut qu’une femme puisse lui donner autant de plaisir, et se promit de recommencer.
Les deux hommes qui se masturbaient toujours, lentement, en se délectant du spectacle firent signe aux deux femmes d’approcher pour leur faire une fellation.
Charlotte et Emilie prirent en bouche avec plaisir le membre qui se présentait à elle. Elles léchèrent le gland et avec leur pouce et leur index formaient un anneau qu’elles montaient et descendaient sur la verge. Elles embrassèrent la hampe de chair sur toute sa longueur, leur langue s’enroulant autour du membre, et enfoncèrent la queue au plus profond de leur gorge. Elles s’appliquèrent aussi à caresser les couilles en remontant jusqu’aux fesses de ces mâles qui se délectaient de ces attentions.
Charlotte sentit le DRH se tendre aussi remit-elle tout de suite la queue dans sa bouche pour recevoir tout le sperme sur la langue et savourer le plaisir qu’elle venait de provoquer.
Le directeur ne fût pas long à suivre. Emilie préférait le voir jouir, aussi se recula-t-elle un peu et branla le membre pour le faire éjaculer sur sa généreuse poitrine, ce qui se produisit assez vite. La jeune femme admira le sperme être expulsé de cette queue grâce à ses caresses et s’écouler sur ses seins. Avec gourmandise, Charlotte vint lécher les gouttes blanchâtres qui se trouvaient près des tétons et en profita pour les mordiller. Emilie fermait les yeux d’extase.
Alors que les lèvres des deux jeunes femmes se trouvèrent pour se dévorer goulûment, le directeur et le DRH se masturbaient pour retrouver un peu de vigueur.
- Sur le canapé, ordonna le directeur.
- Oui, monsieur le directeur, répondit Emilie.
Elle alla s’allonger sur le bord du canapé tandis que Charlotte vint se mettre à quatre pattes au dessus d’elle. Elles offraient ainsi leur chatte l’une au dessus de l’autre. Le directeur fut le premier à se présenter. Il s’introduisit dans Emilie et commença des aller-retour. Le DRH vint placer sa queue devant le visage de Charlotte. Ayant les mains posées sur le dossier du canapé pour se tenir, elle ne pouvait user que de sa bouche pour satisfaire son partenaire, ce qu’elle fît avec beaucoup d’adresse. M. Georgelin passa à la chatte de Charlotte. Les gémissements de plaisir qu’elle poussait alors étaient étouffés par le chibre qu’elle avait en bouche. Le directeur redescendit vers Emilie pour la baiser. Il changea assez souvent de position pour satisfaire alternativement sa secrétaire et sa comptable.
M. Georgelin et M. Loret échangèrent de place. Comme son directeur, il échangeait régulièrement de chatte, en s’attardant un peu plus dans la comptable, pour le plus grand bonheur de cette dernière.
- As-tu déjà été prises par deux queues ? demanda Charlotte à Emilie.
- Non ! rétorqua la jeune secrétaire visiblement curieuse.
- Tu devrais essayer, c’est divin.
Charlotte se releva et dit :
- Messieurs, Emilie serait ravie que vous la baisiez tous les deux.
Pour satisfaire cette offre, la secrétaire se releva pour se mettre à califourchon sur le directeur qui venait de s’allonger. Elle s’empala sur le queue tandis que M. Loret, adepte de la sodomie, vint se placer au dessus de la jeune femme. Il la prépara avec ses doigts puis il appuya son gland doucement sur la rondelle un peu lubrifiée de la jeune femme et s’introduisit tout doucement en elle. Elle fit quelques grimaces de gêne mais ne se plaignit pas. Le DRH s’enfonçait de plus en plus profond en faisant de courts va-et-vient. Quand il fût entièrement dans son cul, il entama de plus amples mouvements de reins, imité par le directeur. De belles sensations s’emparèrent du ventre d’Emilie qui se délectait de ces deux queues qui la besognait en rythme.
Charlotte vint s’asseoir sur le dossier du canapé, face au visage de la secrétaire et écarta les jambes pour se caresser.
Le ramonage qu’elle subissait dans ses deux orifices rendait Emilie folle de plaisir, si bien que quelques minutes de ce traitement suffirent pour la faire jouir. Elle poussa des gémissements, haletait, suffoquait. Emilie avait le sentiment de perdre le contrôle de son corps, que ce dernier flottait, emporté par les puissantes vagues de plaisir.
Le DRH sortit du cul de la jeune femme et fît signe à Charlotte d’approcher, sachant ce qu’elle aimait.
-Viens goûter mon jus.
- Oui, monsieur.
La comptable approcha, fît se relever Emilie sur ses jambes flageolantes et l’invita à se pencher en avant pour offrir sa chatte au DRH. Charlotte, assise au sol, plaça sa tête entre les jambes de la jeune femme, et positionna sa bouche sous sa vulve, langue tendue.
M. Loret se masturba un peu plus fort et laissa échapper plusieurs jets de sperme qui tombèrent sur l’anus d’Emilie et coula entre ses fesses. Le liquide continua son chemin, coulant le long de ses grandes lèvres et perla sur la langue de Charlotte. Quand sa langue fût presque toute recouverte de sperme elle avala la semence.
- Tu es vraiment une sacrée gourmande ! S’amusa M. Loret avec satisfaction.
La jeune comptable se dit qu’il avait raison. La Charlotte d’y il y a 2 semaines n’aurait jamais fait ça. Elle avait fortement repoussé ses limites en matière de sexe et aimait ça.
- Je vais te faire découvrir un autre plaisir, dit la comptable à l’attention d’Emilie.
Elle alla ramasser les deux strings qui traînaient au sol et les plaça dans sa main droite en mettant bien à plat le fond intérieur du sous-vêtement dans sa paume.
Elle s’approcha du directeur qui s’était aussi relevé et commença à le branler de sa main gauche en dirigeant son membre vers les strings.
- Je vais jouir ! avertit le directeur dans un râle de plaisir.
- Oui, videz vos couilles monsieur le directeur.
Charlotte rapprocha la queue des strings qu’elle positionna bien face au gland. Plusieurs jets de sperme s’en échappèrent, capturés par les bouts de tissus leur faisant face. Elle récolta une belle quantité de liquide sur les sous-vêtements. Elle mit enfin la queue dans sa bouche pour avaler les dernières gouttes de liquide qui s’en échappait.
Elle tendit son string à Emilie et enfila le sien savourant le contact du sperme encore chaud sur sa vulve. La jeune secrétaire fît de même, curieuse. Elle trouva plutôt agréable en effet de sentir sur son sexe le contact du sperme chaud qu’elles avaient pu extraire de ces hommes.
- J’adore repartir d’ici avec la culotte pleine de leur plaisir, précisa la jeune comptable avec un sourire sensuel.
Charlotte s’approcha d’elle et glissa sa main entre les jambes de sa collègue pour caresser son sexe au travers du tissus. Emilie l’imita. Sous la pression des doigts, les strings devinrent trempés. Elles continuèrent un peu leur caresses, tandis que les hommes se rhabillaient. Les deux femmes observaient du coin de l’œil qu’ils avaient des difficultés et remettre leur membre revigoré par le spectacle dans leur pantalon.
- Mesdames, il faut cesser à présent, nous avons une réunion à 14h que nous ne pouvons reporter.
Emilie et Charlotte s’embrassèrent de plus belle, leur langue s’enroulant entre elles. Le temps semblait suspendu, l’une comme l’autre ne pouvant se soustraire aux caresses.
- Allons ! Mesdames ! Soyez raisonnables, s’impatienta le directeur.
Elles cessèrent enfin leur voluptueux effleurements et après avoir regardé les deux hommes contrits, se mirent à rire.
Rhabillée à leur tour, elles sortirent du bureau et se fixèrent avec un regard qui voulait dire « j’ai encore envie de toi ».
Elle se présenta dans le bureau d’Emilie, la secrétaire de direction, qui la regarda, derrière ses grandes lunettes, avec un drôle d’air. Cette dernière savait pourquoi Charlotte venait. Lors de sa dernière visite, elle avait entendu des gémissements et autres bruits qui ne laissaient aucun doute sur ce qu’il se passait de l’autre côté de la porte. Elle avait ressentit une grande excitation à écouter le plaisir distillé dans la pièce voisine aussi avait-elle glissé sa main dans sa culotte pour se masturber discrètement et provoquer un orgasme libérateur.
Charlotte suivit la secrétaire qui ouvrit la porte du bureau du directeur après avoir toqué. Avant d’entrer, la jeune comptable fit sauter deux boutons de son chemisier ce qui dévoila largement les rondeurs de sa belle poitrine et la dentelle verte de son soutien-gorge corbeille.
- M. Georgelin, Mme Marty est arrivée annonça Emilie.
- Bonjour Mme Marty, c’est un plaisir de vous revoir, avoua-t-il avec un sourire charmeur. Merci Emilie.
- Emilie ! Attendez ! Vous pourriez peut-être vous joindre à nous, proposa le directeur à la jeune secrétaire qui s’apprêtait à ressortir.
Il avait remarqué l’intérêt qu’avait causé chez elle la dernière visite de Charlotte.
- Je ne sais pas Monsieur… mentit-elle.
- Ne vous faites pas prier !
Elle repensa aux gémissements de plaisir de sa collègue et après une brève réflexion, elle referma la porte et vint se placer à côté de Charlotte, sentant une décharge d’excitation parcourir tout son corps.
Le DRH, M. Loret, était également présent, affalé dans le canapé, dans le dos des deux jeunes femmes, et avait gardé le silence, comme à son habitude.
-Mesdames, dit le directeur. Une rumeur circule sur deux femmes qui aiment se faire baiser dans l’entreprise. Nous devons les trouver.
Un instant, Charlotte eu un sursaut de frayeur. Elle ne voulait surtout pas qu’on sache ce qu’elle faisait, et encore moins son mari. Elle comprit ensuite que M. Georgelin jouait. Il ordonna alors :
- Mesdames, veuillez vous accoudez sur mon bureau.
Les deux jeunes femmes obéirent sans rien dire, tandis que M. Georgelin allait rejoindre son DRH dans le canapé.
De là, ils avaient une vue magnifique. Ainsi penchée, la jupe assez courte d’Emilie était remontée jusqu’au milieu de ses fesses. Les deux hommes pouvaient ainsi admirer son string rose surgir de son joli postérieur pour envelopper une appétissante vulve. Un alléchant petit sillon se dessinait entre ses grandes lèvres. Ses jambes étaient fines et, bien qu’elle ne soit pas très grande, semblaient interminables, impression amplifiée sans doute par ses escarpins aux talons démesurément hauts.
La jupe de Charlotte n’était pas si courte et ne remontait donc pas assez haut pour dévoiler son sous-vêtement. Elle se retroussa cependant suffisamment pour laisser entrevoir la dentelle blanche de ses bas auto fixant, qui rendaient ses jambes légèrement brillantes. La température était clémente en ce milieu de printemps, mais Charlotte avait pensé que M Georgelin apprécierait cette attention vestimentaire. Les yeux enflammés du directeur lui donnait raison.
Les deux hommes passèrent un moment à admirer les deux femmes, très excités par le spectacle offert. Ils se sentirent rapidement à l’étroit dans leur pantalon. Avec sa position et l’effet qu’elle produisait sur les voyeurs, Emilie sentit sa chatte s’humidifier très vite. Elle se tourna vers la jeune comptable qui semblait apprécier la situation tout autant qu’elle.
Les deux dirigeants vinrent se placer derrière chacune des femmes et relevèrent complètement leur jupe. Charlotte portait un string vert, mêlé de dentelle et de satin et arborant de jolis motifs floraux, qui mettait en valeur un beau postérieur. Ils caressèrent les fesses des deux femmes soumises.
Le directeur s’accroupit derrière Charlotte et mit son string de côté pour libérer une belle vulve gonflée d’excitation. Il huma le doux parfum du sexe. Du bout du doigt il parcourut la vulve à la peau douce. Son index parcourut à plusieurs reprises le sillon des grandes lèvres et arriva à l’entrée humide du vagin. Il s’enfonça dans ce dernier. Le doigt fit quelques aller retours dans le sexe trempé. Il lécha avec gourmandise son index couvert de cyprine. Il le remit dans le petit abricot bien mûr et continua ses mouvements.
Il se releva enfin, se pencha à côté de Charlotte et lui présentant son doigt humide devant son visage avant de déclarer :
- Ce n’est pas l’odeur d’une chatte en chaleur ?
- Si monsieur le directeur.
Il fit lécher son doigt à la jeune femme. En retournant derrière elle, il dit son DRH.
- J’ai une des salopes que nous recherchons.
- J’ai la deuxième, dit le DRH qui avait joué le même jeux avec sa partenaire.
- Cela mérite une correction, n’est-ce pas M. Loret ? Et qu’en pensez-vous mesdames ? Est-ce mérité ?
- Oui monsieur le directeur, répondirent-elles en cœur, soumises et excitées de jouer le jeu.
Le DRH acquiesça et tous les deux commencèrent à claquer les fesses des deux jeunes femmes qui rapidement devinrent rouge. Charlotte sentait son intimité rejeter toujours plus de jus sous les corrections qui se répétaient. Elle s’était découvert une passion pour la soumission et cela lui faisait beaucoup d’effet.
Les hommes se placèrent à genoux derrière les jeunes femmes et se mirent à dévorer l’abricot très appétissant. Le DRH commença à lécher la chatte d’Emilie qui se mît à exprimer de petits gémissements sous les coups de langues adroits. Le directeur, quant à lui, inspirait fort, le nez très proche de la chatte de Charlotte pour en saisir toutes les délicieuses effluves provoquées par son plaisir. Cette dernière savoura de percevoir les caresses du souffle de cet homme sur son sexe. Quand il décida de la frôler, la jeune femme tressaillit et laissa échapper un gémissement de soulagement. Elle s’impatientait de sentir des doigts, une bouche, une langue frôler sa vulve pour lui donner le plaisir qu’elle attendait avec impatience. Les léchages, les caresses sur leurs lèvres, leur clitoris se prolongea un bon moment avant qu’ils ne décident d’introduire quelques doigts dans leur vagin, pour le plus grand plaisirs des deux femmes.
A présent debout, les deux hommes, sortirent leur membre tendu de leur pantalon et l’introduisirent dans la chatte des deux jeunes femmes. S’agrippant aux hanches de leur partenaire, les coups de reins étaient tout de suite puissants. Emilie et Charlotte avançaient de plusieurs centimètres à chaque pénétration qu’elles recevaient de leur mâle respectif. Elles se regardaient mutuellement et trouvaient beau le visage radieux de l’autre. Charlotte fixait les lèvres pulpeuses de sa collègue et avait envie de les embrasser. Leur respiration devenait saccadée, un plaisir grandissant ne cessant de les étreindre.
- Tu aimes te faire labourer la chatte ? demanda d’un air dominant M. Loret à Emilie.
- Oui, Monsieur, j’adore.
- Tu la sens bien ma grosse queue te défonce la chatte ? Ajouta-t-il d’un ton exagérément viril.
- Oui, Monsieur, je la sens bien.
- Parfait ! Tout à l’heure, je t’éclaterai le cul.
- Avec joie, monsieur.
- Et toi, ma petite comptable préférée, tu aimes aussi te faire pilonner la chatte ? demanda le directeur à Charlotte
- Oui, Monsieur le directeur.
M. Loret cracha sur l’anus d’Emilie et lui caressa le petit trou avant d’y introduire son pouce. Jugeant l’idée bonne, M. Georgelin fit de même.
Les deux jeunes femmes gémissaient, ayant le souffle court, en savourant ce membre qui s’introduisait puissamment au fond d’elles avec ce pouce qui s’insérait en rythme dans leur cul.
- Caressez-vous le clitoris, ordonna le directeur.
Emilie et Charlotte firent glisser leur main entre les jambes et entreprirent de jouer avec leur petit bouton. Autant stimulée, l’orgasme ne fût pas long à venir pour Charlotte qui haletait sous l’explosion de plaisir qu’elle ressentait.
Les deux hommes se retirèrent et se dévêtirent prestement. Le directeur ordonna alors:
- Relevez-vous et déshabillez vous.
Les deux femmes obéirent et s’effeuillèrent lentement, en se délectant de ces hommes nus qui masturbait leur membre tendu devant elles. Elles se retrouvèrent en lingerie et bien que M. Georgelin savourait de les voir avec une si belle tenue il leur demanda de tout enlever. Une fois nues, le directeur leur proposa :
- Embrassez-vous, caressez-vous.
Emilie et Charlotte se firent face et c’est cette dernière qui posa ses lèvres sur celles de sa partenaire avec une grande envie qu’elle pouvait enfin soulager. La secrétaire lui rendit son baiser avec beaucoup de désir. Leurs mains brûlantes se baladèrent sur tout leur corps, frôlant leur peau d’une douceur de satin. Leur doigts avides s’attardèrent sur leurs seins et leurs tétons qu’ils pétrirent avec ardeur. Alternativement, elles se penchaient pour les lécher, les mordiller, les aspirer. Les mains s’aventurèrent ensuite entre leurs jambes, chacune poussant un profond soupir quand elle sentit sa partenaire s’égarer sur son clitoris, frôler ses lèvres et s’introduire en elle avec beaucoup de douceur. Les caresses étaient délicates et opportunes, l’une sachant ce que l’autre attendait.
Charlotte ressortit ses doigts humides de la mouille de sa collègue pour les lécher puis regarda d’un coin de l’œil les deux hommes se branler et savoura grandement l’effet qu’elles produisaient sur eux.
Emilie alla s’asseoir sur le bord du bureau et y posa un pied en écartant les jambes pour exposer son intimité. Elle dévoila une chatte toute gonflée de plaisir, un fruit trop mûre gorgé de jus dont il fallait se délecter. Charlotte vint se mettre à genoux devant elle et commença à s’en régaler avec avidité, se délectant du goût délicieux de son abricot. Emilie savoura chaque délicieuse caresse que lui prodiguait le cunnilingus de sa collègue, la trouvant très adroite pour lui donner du plaisir. Charlotte rentrait et sortait la langue de sa bouche pour insérer la pointe de celle-ci dans sa chatte. Elle remontât le long de sa fente et joua avec son clitoris tout en frôlant le doux duvet noir de son pubis.
- Bouffe-moi le clito, suggéra la secrétaire entre deux respirations saccadées.
La comptable se mit à aspirer le clitoris tandis qu’Emilie vint plaquer sa main sur la tête de sa partenaire pour l’encourager à continuer. Rapidement, l’orgasme jaillit, Charlotte sentant le corps de la secrétaire trembler, qui entre deux gémissements répétait « Hoooo, ouuiii, putain c’est bon ». Plus Emilie gémissait, plus la comptable aspirait le petit bout de chair. Jamais elle n’aurait crut qu’une femme puisse lui donner autant de plaisir, et se promit de recommencer.
Les deux hommes qui se masturbaient toujours, lentement, en se délectant du spectacle firent signe aux deux femmes d’approcher pour leur faire une fellation.
Charlotte et Emilie prirent en bouche avec plaisir le membre qui se présentait à elle. Elles léchèrent le gland et avec leur pouce et leur index formaient un anneau qu’elles montaient et descendaient sur la verge. Elles embrassèrent la hampe de chair sur toute sa longueur, leur langue s’enroulant autour du membre, et enfoncèrent la queue au plus profond de leur gorge. Elles s’appliquèrent aussi à caresser les couilles en remontant jusqu’aux fesses de ces mâles qui se délectaient de ces attentions.
Charlotte sentit le DRH se tendre aussi remit-elle tout de suite la queue dans sa bouche pour recevoir tout le sperme sur la langue et savourer le plaisir qu’elle venait de provoquer.
Le directeur ne fût pas long à suivre. Emilie préférait le voir jouir, aussi se recula-t-elle un peu et branla le membre pour le faire éjaculer sur sa généreuse poitrine, ce qui se produisit assez vite. La jeune femme admira le sperme être expulsé de cette queue grâce à ses caresses et s’écouler sur ses seins. Avec gourmandise, Charlotte vint lécher les gouttes blanchâtres qui se trouvaient près des tétons et en profita pour les mordiller. Emilie fermait les yeux d’extase.
Alors que les lèvres des deux jeunes femmes se trouvèrent pour se dévorer goulûment, le directeur et le DRH se masturbaient pour retrouver un peu de vigueur.
- Sur le canapé, ordonna le directeur.
- Oui, monsieur le directeur, répondit Emilie.
Elle alla s’allonger sur le bord du canapé tandis que Charlotte vint se mettre à quatre pattes au dessus d’elle. Elles offraient ainsi leur chatte l’une au dessus de l’autre. Le directeur fut le premier à se présenter. Il s’introduisit dans Emilie et commença des aller-retour. Le DRH vint placer sa queue devant le visage de Charlotte. Ayant les mains posées sur le dossier du canapé pour se tenir, elle ne pouvait user que de sa bouche pour satisfaire son partenaire, ce qu’elle fît avec beaucoup d’adresse. M. Georgelin passa à la chatte de Charlotte. Les gémissements de plaisir qu’elle poussait alors étaient étouffés par le chibre qu’elle avait en bouche. Le directeur redescendit vers Emilie pour la baiser. Il changea assez souvent de position pour satisfaire alternativement sa secrétaire et sa comptable.
M. Georgelin et M. Loret échangèrent de place. Comme son directeur, il échangeait régulièrement de chatte, en s’attardant un peu plus dans la comptable, pour le plus grand bonheur de cette dernière.
- As-tu déjà été prises par deux queues ? demanda Charlotte à Emilie.
- Non ! rétorqua la jeune secrétaire visiblement curieuse.
- Tu devrais essayer, c’est divin.
Charlotte se releva et dit :
- Messieurs, Emilie serait ravie que vous la baisiez tous les deux.
Pour satisfaire cette offre, la secrétaire se releva pour se mettre à califourchon sur le directeur qui venait de s’allonger. Elle s’empala sur le queue tandis que M. Loret, adepte de la sodomie, vint se placer au dessus de la jeune femme. Il la prépara avec ses doigts puis il appuya son gland doucement sur la rondelle un peu lubrifiée de la jeune femme et s’introduisit tout doucement en elle. Elle fit quelques grimaces de gêne mais ne se plaignit pas. Le DRH s’enfonçait de plus en plus profond en faisant de courts va-et-vient. Quand il fût entièrement dans son cul, il entama de plus amples mouvements de reins, imité par le directeur. De belles sensations s’emparèrent du ventre d’Emilie qui se délectait de ces deux queues qui la besognait en rythme.
Charlotte vint s’asseoir sur le dossier du canapé, face au visage de la secrétaire et écarta les jambes pour se caresser.
Le ramonage qu’elle subissait dans ses deux orifices rendait Emilie folle de plaisir, si bien que quelques minutes de ce traitement suffirent pour la faire jouir. Elle poussa des gémissements, haletait, suffoquait. Emilie avait le sentiment de perdre le contrôle de son corps, que ce dernier flottait, emporté par les puissantes vagues de plaisir.
Le DRH sortit du cul de la jeune femme et fît signe à Charlotte d’approcher, sachant ce qu’elle aimait.
-Viens goûter mon jus.
- Oui, monsieur.
La comptable approcha, fît se relever Emilie sur ses jambes flageolantes et l’invita à se pencher en avant pour offrir sa chatte au DRH. Charlotte, assise au sol, plaça sa tête entre les jambes de la jeune femme, et positionna sa bouche sous sa vulve, langue tendue.
M. Loret se masturba un peu plus fort et laissa échapper plusieurs jets de sperme qui tombèrent sur l’anus d’Emilie et coula entre ses fesses. Le liquide continua son chemin, coulant le long de ses grandes lèvres et perla sur la langue de Charlotte. Quand sa langue fût presque toute recouverte de sperme elle avala la semence.
- Tu es vraiment une sacrée gourmande ! S’amusa M. Loret avec satisfaction.
La jeune comptable se dit qu’il avait raison. La Charlotte d’y il y a 2 semaines n’aurait jamais fait ça. Elle avait fortement repoussé ses limites en matière de sexe et aimait ça.
- Je vais te faire découvrir un autre plaisir, dit la comptable à l’attention d’Emilie.
Elle alla ramasser les deux strings qui traînaient au sol et les plaça dans sa main droite en mettant bien à plat le fond intérieur du sous-vêtement dans sa paume.
Elle s’approcha du directeur qui s’était aussi relevé et commença à le branler de sa main gauche en dirigeant son membre vers les strings.
- Je vais jouir ! avertit le directeur dans un râle de plaisir.
- Oui, videz vos couilles monsieur le directeur.
Charlotte rapprocha la queue des strings qu’elle positionna bien face au gland. Plusieurs jets de sperme s’en échappèrent, capturés par les bouts de tissus leur faisant face. Elle récolta une belle quantité de liquide sur les sous-vêtements. Elle mit enfin la queue dans sa bouche pour avaler les dernières gouttes de liquide qui s’en échappait.
Elle tendit son string à Emilie et enfila le sien savourant le contact du sperme encore chaud sur sa vulve. La jeune secrétaire fît de même, curieuse. Elle trouva plutôt agréable en effet de sentir sur son sexe le contact du sperme chaud qu’elles avaient pu extraire de ces hommes.
- J’adore repartir d’ici avec la culotte pleine de leur plaisir, précisa la jeune comptable avec un sourire sensuel.
Charlotte s’approcha d’elle et glissa sa main entre les jambes de sa collègue pour caresser son sexe au travers du tissus. Emilie l’imita. Sous la pression des doigts, les strings devinrent trempés. Elles continuèrent un peu leur caresses, tandis que les hommes se rhabillaient. Les deux femmes observaient du coin de l’œil qu’ils avaient des difficultés et remettre leur membre revigoré par le spectacle dans leur pantalon.
- Mesdames, il faut cesser à présent, nous avons une réunion à 14h que nous ne pouvons reporter.
Emilie et Charlotte s’embrassèrent de plus belle, leur langue s’enroulant entre elles. Le temps semblait suspendu, l’une comme l’autre ne pouvant se soustraire aux caresses.
- Allons ! Mesdames ! Soyez raisonnables, s’impatienta le directeur.
Elles cessèrent enfin leur voluptueux effleurements et après avoir regardé les deux hommes contrits, se mirent à rire.
Rhabillée à leur tour, elles sortirent du bureau et se fixèrent avec un regard qui voulait dire « j’ai encore envie de toi ».
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Commentaires du récit : Convoquée chez le directeur 2
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