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Corps de femmes et queues bien dures
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CORPS DE FEMMES ET QUEUES BIEN DURES
Six heures du soir...L'heure où chacun rentre chez lui après une longue journée de travail, pour une soirée de détente avant de reprendre, le lendemain matin, après du repos. Les choses se calmaient, s'apaisaient.
Je me suis garé sur le grand parking public en bas de chez moi.
Je savais que Laurie serait déjà à l'appartement. Je le savais parce qu'elle m'avait envoyé un mot:
'Je passerai te faire la cuisine, on mangera ensemble, et ensuite la soirée sera à nous.'
C'était toujours une bonne, une très bonne nouvelle même quand Laurie passait. En effet, Laurie était quelqu'un de totalement imprévisible, que je ne voyais plus pendant deux semaines, et qui allait faire une réapparition dans ma vie. C'était AUSSI une bonne nouvelle parce que j'avais certainement jamais autant désiré une femme que pouvais désirer Laurie. Et pourtant, les filles j'en avait connu un bon paquet. Ca se passait toujours bien avec elles. Mais Laurie avait quelque chose de plus. Pas mal de choses en plus, à vrai dire...
Je traversai le grand parking, pris le court chemin qui amenait sur le plateau sur lequel des immeubles de moyenne taille représentaient un patrimoine rénové de toute beauté, des murs de brique rose. Moi, j'habitais dans le premier immeuble après une petite placette. Appartement au premier étage d'un bâtiment qui en comptait trois.
Une porte avec un code, qu'elle avait. Ma queue en pleine érection. Elle n'était jamais aussi longue et aussi dure que quand j'allais retrouver Laurie. Raide de désir.
Cela faisait deux ans qu'on se connaissait. Une rencontre sans doute improbable. Le vernissage d'une exposition de peinture d'un peintre décédé il y avait une vingtaine d'années, originaire du département, qui avait fait une carrière à l'internationale. Il y avait un musée le célébrant ici. Les œuvres présentes appartenaient à des collectionneurs privés qui avaient accepté de ressortir momentanément leurs acquisitions précieuses. Un moment unique, dans une suite de salles d'exposition.
Les œuvres du peintre était uniques. Il y avait eu une période sombre, une période colorée, mais le point commun, dans une carrière longue de cinquante ans, c'était une sensualité intense, à fleur de peau, vraiment troublante pour qui savait la percevoir.
Je regardais les peintures, fasciné. Et j'avais senti une présence près de moi. Je m'étais tourné. Ebloui dès les premières secondes. Laurie était une fille somptueuse.
D'ailleurs, il n'y avait pas que mon regard qui était posé sur elle. Tous les regards de tous les hommes présents l'étaient aussi. Ceux dans la salle, ceux qui partaient, qui arrivaient. Ca voulait tout dire.
Elle me faisait penser à Veronika Lake. Mais une Véronika Lake un peu spéciale.
Elle était très grande. Largement plus grande que moi, même si elle trichait un peu avec ses talons. Des talons aiguille d'une bonne dizaine de centimètres.
Au moment où j'ai posé mon regard pour la première fois sur elle, elle avait la tête tournée vers la gauche, attentive à une œuvre. L'occasion de profiter d'une magnifique chevelure, épaisse, soyeuse, d'une blondeur qui me semblait naturelle, et qui lui arrivait au bas des reins. La chevelure, c'est souvent une cause de désir, et c'était certain, je n'étais pas différent des autres hommes.
Elle portait une robe fourreau, couleur fuschia, qui collait à ses charmes naturels, les soulignant d'une manière implacable, la faisant plus nue que nue. Le tissu moulait ses hanches, et était tendu par ses fesses, tellement bien dessinées qu'on comprenait qu'elles étaient nues sous le tissu. String ou totale nudité?
Elle s'est tournée. Je l'ai d'abord vue de profil, puis de trois quarts. Un joli visage harmonieux, yeux verts, pommettes hautes, bouche pulpeuse. Elle avait une bonne paire de seins, qui tendaient le tissu. Le fourreau était ouvert des deux côtés, laissant voir ses jambes gainées de nylon. Longues, interminables...
Il y avait quelque chose en elle de très troublant. Une sensualité à fleur de peau, que d'autres filles, aussi jolies ou plus jolies n'avaient pas forcément. A la regarder, surtout, les envies et les fantasmes montaient, et se démultipliaient. Ma verge, durcie, dans mon pantalon, en était clairement la preuve.
Elle a semblé se rendre compte de ma présence et elle m'a dit :
— Ces œuvres sont aussi belles que troublantes. J'ai rarement connu un peintre qui ait à ce point la capacité de faire surgir ainsi sensualité et érotisme...
J'ai eu envie de lui dire qu'ironiquement sensualité et érotisme, cex deux mots s'appliquaient aussi à elle.
— Vous aviez déjà vu ses œuvres avant?
— J'ai visité le musée.
On a échangé comme ça. Si elle était vraiment très bien roulée, elle avait aussi un cerveau et elle a fait des analyses ultra-pertinentes.
Je pensais qu'on allait en rester là, mais elle m'a dit soudain, on avait glissé sur la droite, le long du mur, échangeant sur les tableaux présents:
--J'ai assez vu de tableaux pour ce soir...Ca vous dit qu'on aille boire un verre? Je connais un bar un peu plus loin qui est agréable. On peut y aller à pied.
L'entrée de la galerie était ainsi faite: un grand hall qui donnait sur des long couloirs amenant chacun à des salles potentielles. Je le savais parce que je venais souvent ici admirer des œuvres, et donc j'en connaissais parfaitement la configuration. Je savais aussi qu'à ce moment seule une galerie était occupée.
On revenait dans le hall, quand elle m'a tiré vers le couloir de gauche, partiellement éclairé, une lampe sur trois, donc plongé dans une semi-pénombre. Elle s'est mise face à moi.
— Tu me plais énormément, je t'ai repéré tout de suite, j'ai envie qu'on passe un moment ensemble, un verre et plus, mais je tiens à te le dire, je ne suis pas tout à fait une fille comme les autres.
— J'ai toujours accepté la différence, j'ai répondu.
— Oui, mais pour moi c'est une GROSSE différence. Et je ne veux pas que tu penses que tu es floué sur la marchandise.
— Tu parles de tes seins? Oui j'ai aussitôt pensé qu'ils n'étaient pas naturels...Mais je m'en fous...J'aime les gros nénés, et même s'ils doivent à la chirurgie....Ce qui compte c'est le résultat et ce qu'on peut faire avec.
— Non, c'est pas à mes nichons que je pense...Mais plutôt à ça!
Elle souleva le pan face de sa robe fendue très haut. Le tissu était découpé haut, donc il n'y avait pas besoin de plus pour se révéler. Dessous, elle portait un sous-vêtement qui, à en juger par le dessin triangulaire de la partie face me semblait être un string, ce qui expliquait pourquoi ses fesses étaient libres sous le tissu.
Le contenu du string en tout cas, n'était pas celui auquel j'aurais pu m'attendre. Il n'y avait pas ce qui caractérisait un sexe de fille, un renflement, une fente pour le couper en deux, des lèvres qui seraient éventuellement sorties de la fente, mais une verge en pleine érection, qui sortait du string, verge collée contre son ventre, avec en dessous une grosse paire de couilles.
La verge aussi était imposante, charnue, épaisse, avec un très gros gland...
On ne peut jamais prévoir comment on va réagir à tel ou tel événement.
En l'occurence, je n'ai même pas été surpris, et ce pour une bonne raison: j'étais un très grand consommateur de porno, et j'avais toujours été fasciné par les trannies, qui me troublaient énormément. Mais pour moi, elles appartenaient à un autre monde, que je ne connaîtrais jamais.
Ce qui a donc dominé, ce n'était pas la surprise, mais la joie. Trouver sur mon chemin une créature comme je n'avais jamais espéré trouver, une fille magnifique mais pourvue d'une belle queue... Pour des jeux différents avec quelqu'un de hors norme. J'aimais la différence.
Dans une relation il y a toujours beaucoup de non-dits. Pourquoi s'exhibait-elle aussi tôt? Voulait-elle finalement savoir tout de suite si quelque chose était possible ou pas? Parce qu'elle avait vécu des situations difficiles avant, ramenant quelqu'un chez elle pour le voir s'enfuir? Ou bien au contraire sentait-elle que quelque chose était possible entre nous et avait-elle tellement envie qu'elle ne pouvait pas attendre?
A-t-elle été surprise de ma réaction?C'est quelque chose que je me suis demandé...Je me suis penché sur elle, vers la queue gorgée de sang, et j'ai donné un premier coup de langue sur sa chair intime, suivi de nombreux autres. Elle a gémi doucement, sa queue frémissante se dilatant encore, un liquide amer jaillissant de son méat. Jamais encore je n'avais ainsi caressé une verge. J'en ai éprouvé un plaisir infini. Je l'ai embouchée, faisant aller et venir ma bouche sur sa queue, et m'en remplissant. Elle a dit:
— Oh putain, je peux pas tenir!
Un jet de sperme, copieux et amer, a jailli dans ma bouche. Elle s'est vidée dans ma cavité buccale, et j'ai laissé sa semence couler dans mon gosier, accueillant avec une joie infinie cette preuve que j'étais très efficace pour caresser une verge d'homme...Ou simplement qu'elle n'avait pas joui depuis longtemps et qu'une caresse de quelques minutes était suffisante pour la faire exploser.
Je me suis redressé, la bouche pleine de son sperme et du goût de celui-ci. En tournant la tête vers la gauche, j'ai remarqué qu'une fille, grande, massive, avec des formes très marquées, je n'y avais absolument pas prêté attention avant, s'était positionnée à l'entrée du couloir. Elle nous avait surpris, et n'avait pas été horrifiée, au contraire. Elle avait retroussé sa robe, fourré sa main dans sa culotte, et elle se masturbait, en nous regardant. Une grande brune avec des formes opulentes et des lunettes. Qui, la main toujours fourrée dans son slip, s'est avancée, et a dit:
— Je veux en profiter moi aussi.
La blonde n'avait pas redescendu le pan du fourreau, et bien qu'elle ait joui, la queue était toujours à l'identique, roide, comme si justement elle n'avait pas joui. Tout en continuant à se masturber, la brune se pencha sur la queue et se mit à la lécher avec frénésie. Elle eut, en même temps, un réflexe que j'appréciai, tendant la main vers moi et venant la poser contre mon pantalon. Je ne m'étais absolument pas soucié de mon plaisir, trop fasciné par ma Veronika Lake, qui allait devenir Laurie, par l'envie de lui donner à elle du plaisir, et de profiter de son corps, de lui rendre une sorte d'hommage. Sa main contre mon sexe, à travers le tissu m'a rappelé mon envie, mes tensions, et je l'ai laissée faire quand elle m'a défait et attrapé ma queue dans mon caleçon, la sortant, pour me masturber. J'étais tellement excité que j'étais très long et très dur, plus sans doute qu'à l'accoutumée. Sa main douce et chaude sur moi, qui a entamé une masturbation dans un mouvement fluide...
On constituait un attelage aussi improbable qu'éphémère. Elle avait fini par baisser sa culotte à ses genoux, dévoilant un sexe bien dilaté et ruisselant de ses liquides intimes, qui disait son excitation, tout comme la queue, toujours aussi dilatée de la Veronika des années 2020, et la mienne, gorgée de désir.
La jolie brune avait engouffré la verge dans sa bouche et faisait aller et venir celle-ci dessus. Veronika s'était, comme avec moi, laissée aller contre le mur contre lequel elle était appuyée, yeux clos, profitant de son plaisir. Elle a poussé un gémissement, et j'ai vu une coulure crémeuse sortir à la commissure des lèvres de la brune, qui a resserré la bouche pour prendre toute la semence dans son gosier...Je n'en pouvais plus non plus. J'aurais du tenir plus longtemps, mais le manque, la frustration, le trouble, l'envie, tout cela s'additionnait, et j'ai explosé. Instinctivement, la brune a resserré la main autour de la tête de mon sexe, pour recueillir ma semence qui a jailli en jets copieux. Quand elle a desserré sa bouche d'autour de la verge de Veronika, que rien ne semblait devoir faire dégonfler, elle a porté sa paume pleine de sperme à sa bouche pour laper le liquide épais et blanc.
Le dernier acte, je ne l'attendais pas. La belle brunette continuait de se masturber, ruisselant sur ses chairs. Je pensais qu'elle allait jouir comme ça et que ce serait fini.
Veronika a contourné la brune qui a compris immédiatement ses intentions. Tout en continuant de se masturber, elle a fait deux pas pour venir s'appuyer contre le mur et se plier en deux, offrant à nos regards une croupe énorme, que la position ouvrait sur sa muqueuse anale, qui se déclinait en plissements, et qui donnait une autre perspective sur le boursouflement de son sexe, qu'elle frottait avec énergie et persévérance.
Veronika avait baissé son string, pour donner plus de liberté à sa queue, plus raide que jamais. Elle a récupéré un préservatif dans son réticule, et en a gainé rapidement sa verge, avant d'amener celle-ci vers la vulve de la fille.
Est-ce que Veronika a été surprise? Moi en tout cas je l'ai été. La brune a amené sa main en arrière pour venir attraper la queue, et la faire remonter de quelques centimètres. Elle a posé le gland contre sa muqueuse anale. Au moins, c'était clair. Elle voulait se faire sodomiser.
Veronika n'a eu aucune hésitation. Elle est venue appuyer son gland contre la muqueuse qui a cédé facilement. La brune aimait le sexe, ça se voyait, elle devait régulièrement se faire sodomiser. La verge a glissé dans son conduit anal. Fasciné, je l'ai regardée entrer me demandant si ce serait totalement ou partiellement. Quand elle s'est enfin immobilisée, il restait un tiers à l'extérieur.
Il y a eu quelque chose de rapide et frénétique dans les minutes qui ont suivi. Une verge gainée de latex qui allait et venait dans le nid de l'anus de la fille, qui avait cessé de se masturber en faisant tourner ses doigts sur elle, pour à présent se pistonner de deux doigts, faisant jaillir des quantités copieuses, de plus en plus copieuses de liquides intimes. Elle a fini par pousser un grognement rauque, jouissant en crachant des jets aussi blancs et copieux que ceux qui étaient sortis de la queue de Veronika, dégoulinant le long de ses jambes. Je ne pensais pas cela possible, mais Veronika a joui à nouveau, criant elle aussi, agitée de spasmes...Si j'avais pu avoir un doute, une fois qu'elle a eu retiré sa queue de l'anus de la brune, un mince filet de sperme a coulé hors de la muqueuse qui s'était rapidement resserrée.
La brune s'est rajustée, apparemment ailleurs, l'oeil glauque, remontant son slip, redescendant sa robe, les jambes humides et est partie sans demander son reste, avant que Veronika et moi nous nous éclipsions aussi.
PARTIE 2
La soirée ne faisait pourtant que commencer. On a traversé la nuit, enveloppés par l'ombre, respirant les odeurs de cuisine qui sortaient des restaurants, des snacks...On s'est arrêtés devant un immense bar où tout était laqué de noir, pour nous retrouver à une table.
— Je m'appelle Laurie, au fait.
Véronika c'était mieux, et j'ai continué dans ma tête à l'appeler comme ça, en faisant attention à ne pas la baptiser ainsi quand on était ensemble.
— Un moment sympa, avec cette fille, non?
— Inattendu mais sympa.
— Je dois t'avouer une chose. Je t'avais repéré et si je suis arrivée à côté de toi, ce n'était pas par hasard.
— Mais tu ne craignais pas que...Je n'aie pas envie, à cause de...On va dire de ton profil particulier.
Elle a eu un sourire serein.
— Ca aurait pu arriver, c'est déjà arrivé, mais je sais pertinemment que tous les hommes, ou presque, aiment les filles avec une queue. Ca les trouble et ça les excite aussi.
Le garçon nous a amené nos deux Gin-fizz. Je me suis tourné vers lui. Quand je me suis retourné vers Laurie, elle avait disparu. La capacité de se rendre invisible? Puis j'ai senti une main qui venait se poser sur mon pantalon, et me défaire, mettre ma queue à nu. Même si la fille m'avait masturbé, j'étais en pleine forme. Je n'avais pas eu de sexe depuis un moment, et puis elle m'inspirait énormément de désir. Une fille avec une queue, c'était un schéma inusité pour moi, et qui me mettait dans tous mes états. Se dessinaient devant moi une multitude de possibilités, toutes plus excitantes les unes que les autres.
Sa langue est venue tourner sur ma queue, extrêmement habile. Comme pas mal d'hommes, bien sûr, j'aimais qu'une fille me fasse une fellation, mais sans doute, jamais personne ne m'avait
prodigué une caresse aussi habile que la sienne. Elle avait du prendre des dizaines et des dizaines de queues avec sa bouche. On voyait qu'elle aimait ça. J'ai été en plein Nirvana tout le temps qu'elle m'a caressé avec souplesse, habileté, tournant sur moi. Je voulais me retenir de jouir, pour garder une queue dure pour le reste de la soirée, mais je n'ai pas pu tenir, et j'ai eu un orgasme très fort, dans sa bouche resserrée autour de moi, pour ne pas perdre une goutte de sperme. Elle a ressurgi de sous la table, ravie de ce qu'elle venait de faire. Il y avait un filet blanc au coin de sa bouche, qu'elle a ramassé du bout des doigts avant de l'avaler.
— Viens, on va aller chez moi.
Ca avait été le début d'une relation que j'aurais aimé durer très longtemps encore. Les filles avec une chatte, sans queue, me paraissaient horriblement fades depuis que je connaissais Laurie. Et puis elle avait beaucoup de qualités que j'appréciais. Originalité, imagination, perversion même, il fallait le dire.
Quand elle me rendait visite, généralement, elle cuisinait pour nous deux. Elle avait beaucoup de talents, et elle était une remarquable cuisinière. Elle savait cuisiner une infinité de plats, et quand j'ouvrais la porte, ce que je sentais me donnait toujours faim.
Mais j'avais toujours aussi faim d'elle, et c'était généralement cette faim qui l'emportait.
S'il lui arrivait de s'habiller très simplement, quand elle me rendait ainsi visite, elle se faisait toujours belle. Même si je la trouvais TOUJOURS désirable, y compris avec un simple jean et un simple T-shirt.
J'ai remonté le couloir, vraiment heureux de la retrouver. Et aussi plein de désir.
Elle venait de glisser un plat au four quand je suis arrivé à la cuisine. Une jupe en skaï ultra-moulante qui soulignait une croupe aussi rebondie que charnue, des jambes gainées de nylon, un top lacé, laissant son dos nu, et une belle paire de cuissardes rouges pour casser l'harmonie de noir. Elle s'est retournée, m'a fait un immense sourire. Le top était lui aussi en skaï, déformé par sa poitrine volumineuse. Elle ne devait pas porter grand chose dessous. Elle est venue chercher ma bouche pour un baiser passionné. J'ai glissé ma main sous sa jupe, pour empoigner ses fesses nues, en même temps qu'elle glissait ses mains entre nos deux corps pour vérifier l'état de ma queue.
— Je vois que tu es en pleine forme!!!
Elle n'avait même pas un string. Mes doigts ont glissé dans sa raie pour venir appuyer sur son anus, et le caresser doucement.
— Je t'ai préparé une petite surprise. Tiens, la voilà!
J'ai senti une présence, et je me suis retourné.
Elle avait amené une copine.
Aussi magnifique qu'elle.
Et qui m'a fait envie dès la première seconde.
Je lui en ai un peu voulu parce que j'ai eu le sentiment qu'elle me manipulait. Et qu'elle savait et saurait que je désirais cette superbe brune.
Une chevelure épaisse, un visage bien dessiné, une robe magnifique, avec un haut noir et un bas qui lui arrivait aux chevilles et se déclinait dans une alternance de noir et de blanc. Et à n'en pas douter, une quéquette en pleine érection en dessous.
— Je te présente Jenna. Une bonne copine à moi. Je lui parle souvent de nous, et elle avait très envie de nous rejoindre. J'espère que je n'ai pas eu tort de lui faire cette proposition? Tiens, regarde ce qu'elle a à nous proposer, je pense que ça te convaincra.
Il y avait quelque chose de pervers et provocateur, toujours, chez Laurie. Elle s'est approchée de sa bonne copine, elle s'est penchée, tendant son cul vers moi, la jupe remontant, courte, ce qui m'a donné l'occasion de constater qu'elle était cul nu dessus, sans même un string, J'apercevais entre ses cuisses deux grosses couilles, et j'imaginais sans mal que, contre son ventre, sa queue était en pleine érection.
Elle a chopé l'ourlet de la robe et elle a remonté celle-ci. Dessous, il y avait une paire de jambes, bien dessinées, gainées de nylon, et une absence de culotte. Ce qu'il y avait bien par contre, sans surprise, mais il est des choses dont on ne se lasse jamais, c'était une queue gorgée de sang, en pleine érection.
Jenna a repris le contrôle de la robe, attrapant le tissu, pendant que Laurie se mettait à caresser la queue de la bouche comme elle savait si bien le faire. Elle s'est tournée vers moi, m'a regardé, pour me faire comprendre que je pouvais me joindre à elle. L'invitation était trop belle, je me suis approché pour bouffer la queue avec elle, dans le partage.
Accroupis l'un près de l'autre, Laurie et moi, on a baladé nos langues sur la queue qui frémissait de plaisir, et se dilatait encore. Laurie était tournée vers moi. La jupe en skaï, courte à la base, avait bien remonté le long de ses cuisses, laissant voir ses bas stay up, mais aussi sa queue en pleine érection, toute raide, pas collée contre son ventre, mais dirigée vers moi. J'ai tendu la main et je l'ai masturbée. Elle a gémi de plaisir et s'est mise à couler dans ma paume, une véritable fontaine, comme à l'accoutumée. La bite de Jenna frémissait de plaisir, longue, dure, et s'allongeant encore.
Laurie s'est finalement relevée, et elle a été jusqu'au four, pendant que je continuais de sucer cette queue dilatée, dont un tiers seulement suffisait pour me remplir la bouche, une bouche envahie par le goût amer de son liquide pré-sécrétif qui coulait dans ma gorge.
Elle a sorti le plat, en disant:
— Je n'ai pas envie de laisser brûler ces endives au jambon. Elles devaient être prêtes dans 40 minutes. On ne sera pas bons...On les remettra après...
En se retournant, elle nous a vus, Jenna et moi, frotter nos queues l'une contre l'autre. Je m'étais relevé et je baladais mon gland sur la chair de Jenna. Elle s'est approchée, et elle a encerclé nos deux queues, les collant bien l'une à l'autre, nous masturbant lentement, tandis que sa main à elle allait et venait sur sa bite à elle. Je ne sais pas comment on a fait pour ne pas jouir.
J'avais un grand lit. Il n'attendait que nous.
Laurie m'a soufflé:
— Je veux que tu me regardes la baiser. Et tu la baiseras après...
Jenna était allongée, totalement offerte, elle venait de faire passer sa robe par dessus ses épaules. Elle avait un ventre plat et une paire de seins énormes, seins qui, comme ceux de Laurie, ne devaient pas grand chose à la nature. Sa verge, massive, était collée contre son ventre. Un tableau qui me mettait dans tous mes états. Je ne pouvais pas imaginer une vie sans trannies, à présent. Elles étaient ma source de désir et d'excitation.
J'ai regardé. Je voulais tout voir. Laurie a amené son membre épais contre la muqueuse anale de sa copine et elle est rentrée lentement en elle. Jeanna a gémi de plaisir, et, dans les premières secondes, elle a craché un jet de sperme qui a atterri sur ses seins.
Laurie est rentrée profondément, sa queue quasi totalement avalée par le rectum de sa partenaire qui se caressait pour démultiplier son plaisir, avant de se mettre à bouger, initier une caresse qui bénéficierait aux deux.
Je suis remonté plus haut, amenant ma queue à moi, aussi distendue que celle des deux filles près de sa bouche. Jenna a tourné la tête, ouvert la bouche comme une invitation, et m'a accueilli dans sa bouche. Cavité chaude et humide, dans laquelle je me suis glissé, et je me suis mis à aller et venir, avant de la laisser me caresser, de la bouche et de la langue.
Je continuais d'observer. Je ne voulais pas perdre le moindre détail. La queue qui bougeait dans le rectum de Jenna, et qui grossissait d'excitation, celle de Jenna qui suivait le même processus, stimulée par la main de la jeune femme qui la masturbait fébrilement...
Laurie a fini par se retirer, et a suggéré, en me regardant:
— Viens la prendre.
Notre compagnon permanent, dans nos relations, c'était la boite de préservatifs, dont nous faisions une consommation importante, Je me suis gainé de latex et je suis venu remplacer Laurie. La muqueuse de Jenna était ouverte, laissant voir un intérieur rouge, dilaté à force d'avoir été fouillée.
A cet instant, je n'avais qu'une envie. La pénétrer. Rien n'aurait pu m'en empêcher. Etre dans cet intérieur souple, chaud et serré. Eprouver ce plaisir, si fort.
J'ai glissé en elle. Et senti, alors que je m'enfonçais en elle, que j'étais en train de jouir. Mon sperme a jailli, venant cogner contre les parois de sa muqueuse anale. J'ai hurlé ma jouissance. Avec un effet domino, la semence a jailli, un premier jet qui a poissé nos chairs. Laurie a plongé, refermé sa bouche sur sa verge pour bouffer son sperme. Je ne m'étais jamais autant vidé, je n'avais jamais eu d'orgasmes aussi forts que quand j'étais avec des trannies. Je n'avais jamais non plus eu à ce point cette capacité à jouir, mais rester encore très dur, et ce plusieurs fois de suite.
Le préservatif plein de sperme, je suis rentré à fond dans la muqueuse de Jenna, avant de la fouiller.
Laurie s'est redressée, la bouche pleine de sperme, venant m'embrasser pour partager la semence qui a coulé dans ma bouche en traits crémeux. On s'est bouffés le museau un moment, avant qu'elle ne se dégage.
J'ai fouillé Jenna un moment, tout en masturbant Laurie qui avait dégagé le préservatif de sa tige et m'offrait son sexe nu.
C'est dans les minutes qui ont suivi que s'est mis en place le plus troublant, ce qui s'était esquissé dans ma tête mais pas forcément mis en place.
Laurie a repris un préservatif, elle s'en est gainée la queue, se mettant en position assise sur le lit. C'est tout naturellement, elles avaient sans doute adopté une position identique en d'autres temps que Jenna est venue se positionner au-dessus d'elle, a attrapé sa queue en pleine érection, l'a guidée vers son anus et s'est empalée dessus jusqu'à la garde.
Je comprenais bien la suite, logique. Je n'avais pas forcément envisagé ce schéma, mais à présent qu'il se dessinait, fortement, sous mes yeux, il me troublait énormément. Je savais ce qui me restait à faire. Je suis venu me positionner au-dessus des deux filles. La verge de Jenna m'attendait, énorme, et je n'avais plus qu'une envie, qui éclipsait tout le reste : la faire rentrer en moi. Je l'ai attrapée au bout de mes doigts, chaude et frémissante, et je l'ai guidée vers ma muqueuse. Elle a glissé en moi. Je me suis senti rempli, une sensation très forte que je ne connaissais que depuis que j'avais noué cette relation avec Laurie. Si les toutes premières fois, c'était moi, et uniquement moi qui l'avais pénétrée, elle avait eu la subtilité de laisser monter l'envie en moi, jusqu'à ce que je lui dise que j'avais envie qu'elle me prenne. La première fois, la toute première fois, j'avais joui trois fois alors que, très lentement, elle glissait en moi. Après, j'avais appris à maîtriser, mais le plaisir restait toujours aussi fort.
On s'est retrouvés dans cet étrange assemblage à trois. Une fusion qui, même si elle n'était que provisoire, était quand même très forte. Du plaisir à l'état pur. Dans des rythmes très divers, à être immobile ou à bouger, à agir ou à subir. Laurie a joui dans l'anus de Jenna, qui elle-même a joui en moi, mais elles ont continué à fouiller l'autre, restant rigides.
On s'est détachés. Il fallait allait manger, et puis on savait qu'après le dîner, la soirée serait consacrée au plaisir.
Jeanna avait fait glisser les préservatifs qui enserraient nos queues le long de celles-ci, avec une précaution que j'ai comprise quand je l'ai vue étirer le latex pour avoir accès au réservoir et laper avidemment le sperme qui y était déposé, puis en faire autant pour le second.
On est partis vers la cuisine.
La soirée était pleine de promesses, celles annoncées par leurs queues raides qu'elles ont masqué pour le dîner.
Six heures du soir...L'heure où chacun rentre chez lui après une longue journée de travail, pour une soirée de détente avant de reprendre, le lendemain matin, après du repos. Les choses se calmaient, s'apaisaient.
Je me suis garé sur le grand parking public en bas de chez moi.
Je savais que Laurie serait déjà à l'appartement. Je le savais parce qu'elle m'avait envoyé un mot:
'Je passerai te faire la cuisine, on mangera ensemble, et ensuite la soirée sera à nous.'
C'était toujours une bonne, une très bonne nouvelle même quand Laurie passait. En effet, Laurie était quelqu'un de totalement imprévisible, que je ne voyais plus pendant deux semaines, et qui allait faire une réapparition dans ma vie. C'était AUSSI une bonne nouvelle parce que j'avais certainement jamais autant désiré une femme que pouvais désirer Laurie. Et pourtant, les filles j'en avait connu un bon paquet. Ca se passait toujours bien avec elles. Mais Laurie avait quelque chose de plus. Pas mal de choses en plus, à vrai dire...
Je traversai le grand parking, pris le court chemin qui amenait sur le plateau sur lequel des immeubles de moyenne taille représentaient un patrimoine rénové de toute beauté, des murs de brique rose. Moi, j'habitais dans le premier immeuble après une petite placette. Appartement au premier étage d'un bâtiment qui en comptait trois.
Une porte avec un code, qu'elle avait. Ma queue en pleine érection. Elle n'était jamais aussi longue et aussi dure que quand j'allais retrouver Laurie. Raide de désir.
Cela faisait deux ans qu'on se connaissait. Une rencontre sans doute improbable. Le vernissage d'une exposition de peinture d'un peintre décédé il y avait une vingtaine d'années, originaire du département, qui avait fait une carrière à l'internationale. Il y avait un musée le célébrant ici. Les œuvres présentes appartenaient à des collectionneurs privés qui avaient accepté de ressortir momentanément leurs acquisitions précieuses. Un moment unique, dans une suite de salles d'exposition.
Les œuvres du peintre était uniques. Il y avait eu une période sombre, une période colorée, mais le point commun, dans une carrière longue de cinquante ans, c'était une sensualité intense, à fleur de peau, vraiment troublante pour qui savait la percevoir.
Je regardais les peintures, fasciné. Et j'avais senti une présence près de moi. Je m'étais tourné. Ebloui dès les premières secondes. Laurie était une fille somptueuse.
D'ailleurs, il n'y avait pas que mon regard qui était posé sur elle. Tous les regards de tous les hommes présents l'étaient aussi. Ceux dans la salle, ceux qui partaient, qui arrivaient. Ca voulait tout dire.
Elle me faisait penser à Veronika Lake. Mais une Véronika Lake un peu spéciale.
Elle était très grande. Largement plus grande que moi, même si elle trichait un peu avec ses talons. Des talons aiguille d'une bonne dizaine de centimètres.
Au moment où j'ai posé mon regard pour la première fois sur elle, elle avait la tête tournée vers la gauche, attentive à une œuvre. L'occasion de profiter d'une magnifique chevelure, épaisse, soyeuse, d'une blondeur qui me semblait naturelle, et qui lui arrivait au bas des reins. La chevelure, c'est souvent une cause de désir, et c'était certain, je n'étais pas différent des autres hommes.
Elle portait une robe fourreau, couleur fuschia, qui collait à ses charmes naturels, les soulignant d'une manière implacable, la faisant plus nue que nue. Le tissu moulait ses hanches, et était tendu par ses fesses, tellement bien dessinées qu'on comprenait qu'elles étaient nues sous le tissu. String ou totale nudité?
Elle s'est tournée. Je l'ai d'abord vue de profil, puis de trois quarts. Un joli visage harmonieux, yeux verts, pommettes hautes, bouche pulpeuse. Elle avait une bonne paire de seins, qui tendaient le tissu. Le fourreau était ouvert des deux côtés, laissant voir ses jambes gainées de nylon. Longues, interminables...
Il y avait quelque chose en elle de très troublant. Une sensualité à fleur de peau, que d'autres filles, aussi jolies ou plus jolies n'avaient pas forcément. A la regarder, surtout, les envies et les fantasmes montaient, et se démultipliaient. Ma verge, durcie, dans mon pantalon, en était clairement la preuve.
Elle a semblé se rendre compte de ma présence et elle m'a dit :
— Ces œuvres sont aussi belles que troublantes. J'ai rarement connu un peintre qui ait à ce point la capacité de faire surgir ainsi sensualité et érotisme...
J'ai eu envie de lui dire qu'ironiquement sensualité et érotisme, cex deux mots s'appliquaient aussi à elle.
— Vous aviez déjà vu ses œuvres avant?
— J'ai visité le musée.
On a échangé comme ça. Si elle était vraiment très bien roulée, elle avait aussi un cerveau et elle a fait des analyses ultra-pertinentes.
Je pensais qu'on allait en rester là, mais elle m'a dit soudain, on avait glissé sur la droite, le long du mur, échangeant sur les tableaux présents:
--J'ai assez vu de tableaux pour ce soir...Ca vous dit qu'on aille boire un verre? Je connais un bar un peu plus loin qui est agréable. On peut y aller à pied.
L'entrée de la galerie était ainsi faite: un grand hall qui donnait sur des long couloirs amenant chacun à des salles potentielles. Je le savais parce que je venais souvent ici admirer des œuvres, et donc j'en connaissais parfaitement la configuration. Je savais aussi qu'à ce moment seule une galerie était occupée.
On revenait dans le hall, quand elle m'a tiré vers le couloir de gauche, partiellement éclairé, une lampe sur trois, donc plongé dans une semi-pénombre. Elle s'est mise face à moi.
— Tu me plais énormément, je t'ai repéré tout de suite, j'ai envie qu'on passe un moment ensemble, un verre et plus, mais je tiens à te le dire, je ne suis pas tout à fait une fille comme les autres.
— J'ai toujours accepté la différence, j'ai répondu.
— Oui, mais pour moi c'est une GROSSE différence. Et je ne veux pas que tu penses que tu es floué sur la marchandise.
— Tu parles de tes seins? Oui j'ai aussitôt pensé qu'ils n'étaient pas naturels...Mais je m'en fous...J'aime les gros nénés, et même s'ils doivent à la chirurgie....Ce qui compte c'est le résultat et ce qu'on peut faire avec.
— Non, c'est pas à mes nichons que je pense...Mais plutôt à ça!
Elle souleva le pan face de sa robe fendue très haut. Le tissu était découpé haut, donc il n'y avait pas besoin de plus pour se révéler. Dessous, elle portait un sous-vêtement qui, à en juger par le dessin triangulaire de la partie face me semblait être un string, ce qui expliquait pourquoi ses fesses étaient libres sous le tissu.
Le contenu du string en tout cas, n'était pas celui auquel j'aurais pu m'attendre. Il n'y avait pas ce qui caractérisait un sexe de fille, un renflement, une fente pour le couper en deux, des lèvres qui seraient éventuellement sorties de la fente, mais une verge en pleine érection, qui sortait du string, verge collée contre son ventre, avec en dessous une grosse paire de couilles.
La verge aussi était imposante, charnue, épaisse, avec un très gros gland...
On ne peut jamais prévoir comment on va réagir à tel ou tel événement.
En l'occurence, je n'ai même pas été surpris, et ce pour une bonne raison: j'étais un très grand consommateur de porno, et j'avais toujours été fasciné par les trannies, qui me troublaient énormément. Mais pour moi, elles appartenaient à un autre monde, que je ne connaîtrais jamais.
Ce qui a donc dominé, ce n'était pas la surprise, mais la joie. Trouver sur mon chemin une créature comme je n'avais jamais espéré trouver, une fille magnifique mais pourvue d'une belle queue... Pour des jeux différents avec quelqu'un de hors norme. J'aimais la différence.
Dans une relation il y a toujours beaucoup de non-dits. Pourquoi s'exhibait-elle aussi tôt? Voulait-elle finalement savoir tout de suite si quelque chose était possible ou pas? Parce qu'elle avait vécu des situations difficiles avant, ramenant quelqu'un chez elle pour le voir s'enfuir? Ou bien au contraire sentait-elle que quelque chose était possible entre nous et avait-elle tellement envie qu'elle ne pouvait pas attendre?
A-t-elle été surprise de ma réaction?C'est quelque chose que je me suis demandé...Je me suis penché sur elle, vers la queue gorgée de sang, et j'ai donné un premier coup de langue sur sa chair intime, suivi de nombreux autres. Elle a gémi doucement, sa queue frémissante se dilatant encore, un liquide amer jaillissant de son méat. Jamais encore je n'avais ainsi caressé une verge. J'en ai éprouvé un plaisir infini. Je l'ai embouchée, faisant aller et venir ma bouche sur sa queue, et m'en remplissant. Elle a dit:
— Oh putain, je peux pas tenir!
Un jet de sperme, copieux et amer, a jailli dans ma bouche. Elle s'est vidée dans ma cavité buccale, et j'ai laissé sa semence couler dans mon gosier, accueillant avec une joie infinie cette preuve que j'étais très efficace pour caresser une verge d'homme...Ou simplement qu'elle n'avait pas joui depuis longtemps et qu'une caresse de quelques minutes était suffisante pour la faire exploser.
Je me suis redressé, la bouche pleine de son sperme et du goût de celui-ci. En tournant la tête vers la gauche, j'ai remarqué qu'une fille, grande, massive, avec des formes très marquées, je n'y avais absolument pas prêté attention avant, s'était positionnée à l'entrée du couloir. Elle nous avait surpris, et n'avait pas été horrifiée, au contraire. Elle avait retroussé sa robe, fourré sa main dans sa culotte, et elle se masturbait, en nous regardant. Une grande brune avec des formes opulentes et des lunettes. Qui, la main toujours fourrée dans son slip, s'est avancée, et a dit:
— Je veux en profiter moi aussi.
La blonde n'avait pas redescendu le pan du fourreau, et bien qu'elle ait joui, la queue était toujours à l'identique, roide, comme si justement elle n'avait pas joui. Tout en continuant à se masturber, la brune se pencha sur la queue et se mit à la lécher avec frénésie. Elle eut, en même temps, un réflexe que j'appréciai, tendant la main vers moi et venant la poser contre mon pantalon. Je ne m'étais absolument pas soucié de mon plaisir, trop fasciné par ma Veronika Lake, qui allait devenir Laurie, par l'envie de lui donner à elle du plaisir, et de profiter de son corps, de lui rendre une sorte d'hommage. Sa main contre mon sexe, à travers le tissu m'a rappelé mon envie, mes tensions, et je l'ai laissée faire quand elle m'a défait et attrapé ma queue dans mon caleçon, la sortant, pour me masturber. J'étais tellement excité que j'étais très long et très dur, plus sans doute qu'à l'accoutumée. Sa main douce et chaude sur moi, qui a entamé une masturbation dans un mouvement fluide...
On constituait un attelage aussi improbable qu'éphémère. Elle avait fini par baisser sa culotte à ses genoux, dévoilant un sexe bien dilaté et ruisselant de ses liquides intimes, qui disait son excitation, tout comme la queue, toujours aussi dilatée de la Veronika des années 2020, et la mienne, gorgée de désir.
La jolie brune avait engouffré la verge dans sa bouche et faisait aller et venir celle-ci dessus. Veronika s'était, comme avec moi, laissée aller contre le mur contre lequel elle était appuyée, yeux clos, profitant de son plaisir. Elle a poussé un gémissement, et j'ai vu une coulure crémeuse sortir à la commissure des lèvres de la brune, qui a resserré la bouche pour prendre toute la semence dans son gosier...Je n'en pouvais plus non plus. J'aurais du tenir plus longtemps, mais le manque, la frustration, le trouble, l'envie, tout cela s'additionnait, et j'ai explosé. Instinctivement, la brune a resserré la main autour de la tête de mon sexe, pour recueillir ma semence qui a jailli en jets copieux. Quand elle a desserré sa bouche d'autour de la verge de Veronika, que rien ne semblait devoir faire dégonfler, elle a porté sa paume pleine de sperme à sa bouche pour laper le liquide épais et blanc.
Le dernier acte, je ne l'attendais pas. La belle brunette continuait de se masturber, ruisselant sur ses chairs. Je pensais qu'elle allait jouir comme ça et que ce serait fini.
Veronika a contourné la brune qui a compris immédiatement ses intentions. Tout en continuant de se masturber, elle a fait deux pas pour venir s'appuyer contre le mur et se plier en deux, offrant à nos regards une croupe énorme, que la position ouvrait sur sa muqueuse anale, qui se déclinait en plissements, et qui donnait une autre perspective sur le boursouflement de son sexe, qu'elle frottait avec énergie et persévérance.
Veronika avait baissé son string, pour donner plus de liberté à sa queue, plus raide que jamais. Elle a récupéré un préservatif dans son réticule, et en a gainé rapidement sa verge, avant d'amener celle-ci vers la vulve de la fille.
Est-ce que Veronika a été surprise? Moi en tout cas je l'ai été. La brune a amené sa main en arrière pour venir attraper la queue, et la faire remonter de quelques centimètres. Elle a posé le gland contre sa muqueuse anale. Au moins, c'était clair. Elle voulait se faire sodomiser.
Veronika n'a eu aucune hésitation. Elle est venue appuyer son gland contre la muqueuse qui a cédé facilement. La brune aimait le sexe, ça se voyait, elle devait régulièrement se faire sodomiser. La verge a glissé dans son conduit anal. Fasciné, je l'ai regardée entrer me demandant si ce serait totalement ou partiellement. Quand elle s'est enfin immobilisée, il restait un tiers à l'extérieur.
Il y a eu quelque chose de rapide et frénétique dans les minutes qui ont suivi. Une verge gainée de latex qui allait et venait dans le nid de l'anus de la fille, qui avait cessé de se masturber en faisant tourner ses doigts sur elle, pour à présent se pistonner de deux doigts, faisant jaillir des quantités copieuses, de plus en plus copieuses de liquides intimes. Elle a fini par pousser un grognement rauque, jouissant en crachant des jets aussi blancs et copieux que ceux qui étaient sortis de la queue de Veronika, dégoulinant le long de ses jambes. Je ne pensais pas cela possible, mais Veronika a joui à nouveau, criant elle aussi, agitée de spasmes...Si j'avais pu avoir un doute, une fois qu'elle a eu retiré sa queue de l'anus de la brune, un mince filet de sperme a coulé hors de la muqueuse qui s'était rapidement resserrée.
La brune s'est rajustée, apparemment ailleurs, l'oeil glauque, remontant son slip, redescendant sa robe, les jambes humides et est partie sans demander son reste, avant que Veronika et moi nous nous éclipsions aussi.
PARTIE 2
La soirée ne faisait pourtant que commencer. On a traversé la nuit, enveloppés par l'ombre, respirant les odeurs de cuisine qui sortaient des restaurants, des snacks...On s'est arrêtés devant un immense bar où tout était laqué de noir, pour nous retrouver à une table.
— Je m'appelle Laurie, au fait.
Véronika c'était mieux, et j'ai continué dans ma tête à l'appeler comme ça, en faisant attention à ne pas la baptiser ainsi quand on était ensemble.
— Un moment sympa, avec cette fille, non?
— Inattendu mais sympa.
— Je dois t'avouer une chose. Je t'avais repéré et si je suis arrivée à côté de toi, ce n'était pas par hasard.
— Mais tu ne craignais pas que...Je n'aie pas envie, à cause de...On va dire de ton profil particulier.
Elle a eu un sourire serein.
— Ca aurait pu arriver, c'est déjà arrivé, mais je sais pertinemment que tous les hommes, ou presque, aiment les filles avec une queue. Ca les trouble et ça les excite aussi.
Le garçon nous a amené nos deux Gin-fizz. Je me suis tourné vers lui. Quand je me suis retourné vers Laurie, elle avait disparu. La capacité de se rendre invisible? Puis j'ai senti une main qui venait se poser sur mon pantalon, et me défaire, mettre ma queue à nu. Même si la fille m'avait masturbé, j'étais en pleine forme. Je n'avais pas eu de sexe depuis un moment, et puis elle m'inspirait énormément de désir. Une fille avec une queue, c'était un schéma inusité pour moi, et qui me mettait dans tous mes états. Se dessinaient devant moi une multitude de possibilités, toutes plus excitantes les unes que les autres.
Sa langue est venue tourner sur ma queue, extrêmement habile. Comme pas mal d'hommes, bien sûr, j'aimais qu'une fille me fasse une fellation, mais sans doute, jamais personne ne m'avait
prodigué une caresse aussi habile que la sienne. Elle avait du prendre des dizaines et des dizaines de queues avec sa bouche. On voyait qu'elle aimait ça. J'ai été en plein Nirvana tout le temps qu'elle m'a caressé avec souplesse, habileté, tournant sur moi. Je voulais me retenir de jouir, pour garder une queue dure pour le reste de la soirée, mais je n'ai pas pu tenir, et j'ai eu un orgasme très fort, dans sa bouche resserrée autour de moi, pour ne pas perdre une goutte de sperme. Elle a ressurgi de sous la table, ravie de ce qu'elle venait de faire. Il y avait un filet blanc au coin de sa bouche, qu'elle a ramassé du bout des doigts avant de l'avaler.
— Viens, on va aller chez moi.
Ca avait été le début d'une relation que j'aurais aimé durer très longtemps encore. Les filles avec une chatte, sans queue, me paraissaient horriblement fades depuis que je connaissais Laurie. Et puis elle avait beaucoup de qualités que j'appréciais. Originalité, imagination, perversion même, il fallait le dire.
Quand elle me rendait visite, généralement, elle cuisinait pour nous deux. Elle avait beaucoup de talents, et elle était une remarquable cuisinière. Elle savait cuisiner une infinité de plats, et quand j'ouvrais la porte, ce que je sentais me donnait toujours faim.
Mais j'avais toujours aussi faim d'elle, et c'était généralement cette faim qui l'emportait.
S'il lui arrivait de s'habiller très simplement, quand elle me rendait ainsi visite, elle se faisait toujours belle. Même si je la trouvais TOUJOURS désirable, y compris avec un simple jean et un simple T-shirt.
J'ai remonté le couloir, vraiment heureux de la retrouver. Et aussi plein de désir.
Elle venait de glisser un plat au four quand je suis arrivé à la cuisine. Une jupe en skaï ultra-moulante qui soulignait une croupe aussi rebondie que charnue, des jambes gainées de nylon, un top lacé, laissant son dos nu, et une belle paire de cuissardes rouges pour casser l'harmonie de noir. Elle s'est retournée, m'a fait un immense sourire. Le top était lui aussi en skaï, déformé par sa poitrine volumineuse. Elle ne devait pas porter grand chose dessous. Elle est venue chercher ma bouche pour un baiser passionné. J'ai glissé ma main sous sa jupe, pour empoigner ses fesses nues, en même temps qu'elle glissait ses mains entre nos deux corps pour vérifier l'état de ma queue.
— Je vois que tu es en pleine forme!!!
Elle n'avait même pas un string. Mes doigts ont glissé dans sa raie pour venir appuyer sur son anus, et le caresser doucement.
— Je t'ai préparé une petite surprise. Tiens, la voilà!
J'ai senti une présence, et je me suis retourné.
Elle avait amené une copine.
Aussi magnifique qu'elle.
Et qui m'a fait envie dès la première seconde.
Je lui en ai un peu voulu parce que j'ai eu le sentiment qu'elle me manipulait. Et qu'elle savait et saurait que je désirais cette superbe brune.
Une chevelure épaisse, un visage bien dessiné, une robe magnifique, avec un haut noir et un bas qui lui arrivait aux chevilles et se déclinait dans une alternance de noir et de blanc. Et à n'en pas douter, une quéquette en pleine érection en dessous.
— Je te présente Jenna. Une bonne copine à moi. Je lui parle souvent de nous, et elle avait très envie de nous rejoindre. J'espère que je n'ai pas eu tort de lui faire cette proposition? Tiens, regarde ce qu'elle a à nous proposer, je pense que ça te convaincra.
Il y avait quelque chose de pervers et provocateur, toujours, chez Laurie. Elle s'est approchée de sa bonne copine, elle s'est penchée, tendant son cul vers moi, la jupe remontant, courte, ce qui m'a donné l'occasion de constater qu'elle était cul nu dessus, sans même un string, J'apercevais entre ses cuisses deux grosses couilles, et j'imaginais sans mal que, contre son ventre, sa queue était en pleine érection.
Elle a chopé l'ourlet de la robe et elle a remonté celle-ci. Dessous, il y avait une paire de jambes, bien dessinées, gainées de nylon, et une absence de culotte. Ce qu'il y avait bien par contre, sans surprise, mais il est des choses dont on ne se lasse jamais, c'était une queue gorgée de sang, en pleine érection.
Jenna a repris le contrôle de la robe, attrapant le tissu, pendant que Laurie se mettait à caresser la queue de la bouche comme elle savait si bien le faire. Elle s'est tournée vers moi, m'a regardé, pour me faire comprendre que je pouvais me joindre à elle. L'invitation était trop belle, je me suis approché pour bouffer la queue avec elle, dans le partage.
Accroupis l'un près de l'autre, Laurie et moi, on a baladé nos langues sur la queue qui frémissait de plaisir, et se dilatait encore. Laurie était tournée vers moi. La jupe en skaï, courte à la base, avait bien remonté le long de ses cuisses, laissant voir ses bas stay up, mais aussi sa queue en pleine érection, toute raide, pas collée contre son ventre, mais dirigée vers moi. J'ai tendu la main et je l'ai masturbée. Elle a gémi de plaisir et s'est mise à couler dans ma paume, une véritable fontaine, comme à l'accoutumée. La bite de Jenna frémissait de plaisir, longue, dure, et s'allongeant encore.
Laurie s'est finalement relevée, et elle a été jusqu'au four, pendant que je continuais de sucer cette queue dilatée, dont un tiers seulement suffisait pour me remplir la bouche, une bouche envahie par le goût amer de son liquide pré-sécrétif qui coulait dans ma gorge.
Elle a sorti le plat, en disant:
— Je n'ai pas envie de laisser brûler ces endives au jambon. Elles devaient être prêtes dans 40 minutes. On ne sera pas bons...On les remettra après...
En se retournant, elle nous a vus, Jenna et moi, frotter nos queues l'une contre l'autre. Je m'étais relevé et je baladais mon gland sur la chair de Jenna. Elle s'est approchée, et elle a encerclé nos deux queues, les collant bien l'une à l'autre, nous masturbant lentement, tandis que sa main à elle allait et venait sur sa bite à elle. Je ne sais pas comment on a fait pour ne pas jouir.
J'avais un grand lit. Il n'attendait que nous.
Laurie m'a soufflé:
— Je veux que tu me regardes la baiser. Et tu la baiseras après...
Jenna était allongée, totalement offerte, elle venait de faire passer sa robe par dessus ses épaules. Elle avait un ventre plat et une paire de seins énormes, seins qui, comme ceux de Laurie, ne devaient pas grand chose à la nature. Sa verge, massive, était collée contre son ventre. Un tableau qui me mettait dans tous mes états. Je ne pouvais pas imaginer une vie sans trannies, à présent. Elles étaient ma source de désir et d'excitation.
J'ai regardé. Je voulais tout voir. Laurie a amené son membre épais contre la muqueuse anale de sa copine et elle est rentrée lentement en elle. Jeanna a gémi de plaisir, et, dans les premières secondes, elle a craché un jet de sperme qui a atterri sur ses seins.
Laurie est rentrée profondément, sa queue quasi totalement avalée par le rectum de sa partenaire qui se caressait pour démultiplier son plaisir, avant de se mettre à bouger, initier une caresse qui bénéficierait aux deux.
Je suis remonté plus haut, amenant ma queue à moi, aussi distendue que celle des deux filles près de sa bouche. Jenna a tourné la tête, ouvert la bouche comme une invitation, et m'a accueilli dans sa bouche. Cavité chaude et humide, dans laquelle je me suis glissé, et je me suis mis à aller et venir, avant de la laisser me caresser, de la bouche et de la langue.
Je continuais d'observer. Je ne voulais pas perdre le moindre détail. La queue qui bougeait dans le rectum de Jenna, et qui grossissait d'excitation, celle de Jenna qui suivait le même processus, stimulée par la main de la jeune femme qui la masturbait fébrilement...
Laurie a fini par se retirer, et a suggéré, en me regardant:
— Viens la prendre.
Notre compagnon permanent, dans nos relations, c'était la boite de préservatifs, dont nous faisions une consommation importante, Je me suis gainé de latex et je suis venu remplacer Laurie. La muqueuse de Jenna était ouverte, laissant voir un intérieur rouge, dilaté à force d'avoir été fouillée.
A cet instant, je n'avais qu'une envie. La pénétrer. Rien n'aurait pu m'en empêcher. Etre dans cet intérieur souple, chaud et serré. Eprouver ce plaisir, si fort.
J'ai glissé en elle. Et senti, alors que je m'enfonçais en elle, que j'étais en train de jouir. Mon sperme a jailli, venant cogner contre les parois de sa muqueuse anale. J'ai hurlé ma jouissance. Avec un effet domino, la semence a jailli, un premier jet qui a poissé nos chairs. Laurie a plongé, refermé sa bouche sur sa verge pour bouffer son sperme. Je ne m'étais jamais autant vidé, je n'avais jamais eu d'orgasmes aussi forts que quand j'étais avec des trannies. Je n'avais jamais non plus eu à ce point cette capacité à jouir, mais rester encore très dur, et ce plusieurs fois de suite.
Le préservatif plein de sperme, je suis rentré à fond dans la muqueuse de Jenna, avant de la fouiller.
Laurie s'est redressée, la bouche pleine de sperme, venant m'embrasser pour partager la semence qui a coulé dans ma bouche en traits crémeux. On s'est bouffés le museau un moment, avant qu'elle ne se dégage.
J'ai fouillé Jenna un moment, tout en masturbant Laurie qui avait dégagé le préservatif de sa tige et m'offrait son sexe nu.
C'est dans les minutes qui ont suivi que s'est mis en place le plus troublant, ce qui s'était esquissé dans ma tête mais pas forcément mis en place.
Laurie a repris un préservatif, elle s'en est gainée la queue, se mettant en position assise sur le lit. C'est tout naturellement, elles avaient sans doute adopté une position identique en d'autres temps que Jenna est venue se positionner au-dessus d'elle, a attrapé sa queue en pleine érection, l'a guidée vers son anus et s'est empalée dessus jusqu'à la garde.
Je comprenais bien la suite, logique. Je n'avais pas forcément envisagé ce schéma, mais à présent qu'il se dessinait, fortement, sous mes yeux, il me troublait énormément. Je savais ce qui me restait à faire. Je suis venu me positionner au-dessus des deux filles. La verge de Jenna m'attendait, énorme, et je n'avais plus qu'une envie, qui éclipsait tout le reste : la faire rentrer en moi. Je l'ai attrapée au bout de mes doigts, chaude et frémissante, et je l'ai guidée vers ma muqueuse. Elle a glissé en moi. Je me suis senti rempli, une sensation très forte que je ne connaissais que depuis que j'avais noué cette relation avec Laurie. Si les toutes premières fois, c'était moi, et uniquement moi qui l'avais pénétrée, elle avait eu la subtilité de laisser monter l'envie en moi, jusqu'à ce que je lui dise que j'avais envie qu'elle me prenne. La première fois, la toute première fois, j'avais joui trois fois alors que, très lentement, elle glissait en moi. Après, j'avais appris à maîtriser, mais le plaisir restait toujours aussi fort.
On s'est retrouvés dans cet étrange assemblage à trois. Une fusion qui, même si elle n'était que provisoire, était quand même très forte. Du plaisir à l'état pur. Dans des rythmes très divers, à être immobile ou à bouger, à agir ou à subir. Laurie a joui dans l'anus de Jenna, qui elle-même a joui en moi, mais elles ont continué à fouiller l'autre, restant rigides.
On s'est détachés. Il fallait allait manger, et puis on savait qu'après le dîner, la soirée serait consacrée au plaisir.
Jeanna avait fait glisser les préservatifs qui enserraient nos queues le long de celles-ci, avec une précaution que j'ai comprise quand je l'ai vue étirer le latex pour avoir accès au réservoir et laper avidemment le sperme qui y était déposé, puis en faire autant pour le second.
On est partis vers la cuisine.
La soirée était pleine de promesses, celles annoncées par leurs queues raides qu'elles ont masqué pour le dîner.
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