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Obstruction

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 30/12/2024

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OBSTRUCTION

Je fais un métier que beaucoup n'aimeraient pas faire, mais dans lequel, moi, je trouve, énormément de satisfaction. Un métier ingrat pour certains. Pas pour moi. Et puis j'aime les heures du matin, où la cité, quasiment désertée, vous appartient.
Je travaille au service des déchets de la ville.
Quand tout le monde dort encore, entre 3 et 9 chaque matin, je vais avec mon équipe collecter les déchets, qu'ils soient ultimes ou recyclables.
Cette histoire a commencé un jeudi matin...En fait ça a été une succession de jeudis matin.
On arrivait sur une placette et il y avait toujours une voiture garée tout près de l'emplacement des deux containers, l'un pour le verre, l'autre pour les déchets retraitables, qui faisait qu'une fois par mois pour le verre, une fois par semaine pour le retraitable, on ne pouvait pas s'approcher avec le camion. Il fallait prendre un autre angle et manoeuvrer. Ce n'était jamais évident.
On ne pouvait pas mettre de contravention, mais on avait des affiches avec écrit en gros VOTRE VEHICULE GENE LA RECUPERATION DES DECHETS...Il faut dire que ça nous arrivait souvent. Dans tous les milieux urbains, il fallait bien le dire, il y avait pas assez de place et trop de véhicules.
Chaque jeudi, on arrivait sur le point de collecte et il y avait toujours cette grosse bagnole noire qui nous gênait, garée pile au même endroit, et il y a eu un moment où j'en ai eu marre. Je n'ai rien dit à personne, mais je me suis juré que j'allais retrouver son propriétaire et que j'allais lui dire deux mots.
J'ai quitté mon poste, et je suis reparti sur la zone critique. J'ai toujours eu de l'intuition, et j'avais l'intuition que la voiture serait ENCORE là.
Et c'était bien le cas. Je l'apercevais du bout de la rue.
Ce que j'apercevais aussi, c'était la créature féminine qui était juste devant moi.
Vous la décrire...Je ne la voyais que de dos pour l'instant, mais ce dos était sensuel. Une femme très grande, encore grandie par les talons de ses cuissardes. Qui prenaient ses jambes et montaient haut. Il fallait dire qu'elle avait une robe courte, de satin noir, qui collait à son corps, tissu sous lequel des fesses bien charnues dansaient. Elles semblaient libres sous le tissu, et je me suis dit que soit elle avait un string, soit elle était cul nu. Un slip n'aurait pas procuré la même impression.
Ce que je trouvais sympa aussi, c'était sa chevelure. Une chevelure d'un blond clair, pas attachée, très longue et très épaisse, qui lui arrivait aux fesses.
C'est quand elle est partie sur le côté et qu'elle s'est arrêtée devant la voiture noire que j'ai compris que c'était elle la propriétaire du véhicule encombrant.
Le temps que je la rejoigne, elle s'était calée au volant du véhicule.
Je me suis posé devant elle, et j'ai dit:
— Je peux vous parler?
Avant de rester totalement interdit.
Je ne risquais pas d'oublier ce moment, qui s'est prolongé pour mon plus grand bonheur, mais aussi pour mon plus grand trouble.
Pour que vous compreniez bien, il faut que je vous donne tous les détails.
Au moment où j'ai posé mon regard sur elle, elle avait une jambe à l'intérieur du véhicule, près des pédales, et l'autre encore sur le macadam. De la sorte, ses jambes étaient ouvertes en compas et elle m'offrait, involontairement bien sûr, une vision qui aurait perturbé tous les hommes. Moi le premier, en tout cas. J'ai bouffé les détails, je m'en suis rempli, pendant qu'on parlait. Des jambes bien dessinées pour la partie que j'en voyais puisqu'elles étaient prises par ces cuissardes à talons aiguille jusqu'à mi-cuisse, des cuisses pleines, elles gainées par le nylon de bas stay-up et puis, brutale, la nudité. J'avais bien eu raison de penser que ses fesses étaient nues sous la robe, mais j'avais pensé qu'elle avait quand même un string. Ce n'était pas le cas, et sa position m'offrait une vision parfaite sur son ventre. Un sexe proéminent, au bas de la pente de son pubis, entrouvert sur ses lèvres qui en sortaient, dans des plissements épanouis et une toison blonde, à laquelle elle avait laissé pas mal d'espace, tout en la contrôlant sans aucun doute au rasoir. L'occasion en tout cas de vérifier qu'elle était une vraie blonde.
Il n'y a aucun homme qui était indifférent à la vision d'un sexe de femme, et je ne valais pas mieux que les autres. J'aurais pu en faire des choses avec ce sexe. Le caresser de la langue et des doigts, glisser ceux-ci dedans, venir y glisser aussi ma verge qui avait pris du volume en quelques secondes...
Et puis elle avait vraiment du charme. Un visage harmonieux.
Je devais me ressaisir.
Et ne pas oublier qu'elle me narguait depuis des semaines.
— Ca ne vous arrive pas de trouver un papier sur votre pare-brise certains matins?,je lui ai demandé.
— Vous voulez parler de ça?, elle a demandé.
Elle a attrapé une liasse de papiers, posés sur la plage, au-dessus du volant.
— J'y ai droit chaque semaine. Ca me fait bien rire.
— Moi, moins. Parce que j'ai une période de travail millimétrée et j'en ai assez de devoir tous les matins manoeuvrer pour approcher des containers.
— Alors, c'est vous? Vous voulez récupérer vos papiers? Pas la peine de gaspiller, vous pourrez les réutiliser pour les prochaines fois.
— Je suis supposé rire?
— En tout cas, moi vous me faites rire. Je vais vous dire une chose:je n'ai absolument rien compris ce dont il s'agissait. Et je ne comprends toujours pas. Je ne vois pas comment je peux vous gêner. Il me semble qu'il y a une place de parking délimitée au sol et que je suis dessus.
Je me suis rendu compte que je n'avais effectivement pas fait attention aux lignes. Mais j'avais une excuse. On ne les voit pas dans la nuit.
— Pour arriver aux containers, le camion qui est large, doit rentrer sur ce parking, et votre voiture nous gêne.
— Et comment je pouvais le deviner?
— Oui, rien n'a été clair, j'ai admis.
— Très bien. Je me mettrai ailleurs à partir de maintenant.
— On ne passe que le lundi et le jeudi matin.
— Non, non, je me mets ailleurs. Comme ça vous n'aurez plus de problèmes, et moi non plus.
J'ai vu qu'elle était irritée. Et effectivement, elle avait des raisons de l'être, car elle n'était pas dans son tort.
Elle a ramené, enfin, sa jambe, et son sexe a disparu de ma vue, à mon grand regret. C'était curieux, j'avais été pour ainsi dire divisé en deux, une partie de moi la matant, y prenant infiniment de plaisir, imaginant ce qui aurait pu se passer, tandis que l'autre était dans cette discussion qui nous avait crispés tous les deux.
Rien de bien satisfaisant au final.
J'ai passé le reste de la journée à penser et repenser à son anatomie, et à m'imaginer faisant l'amour avec elle. Elle avait un charme fou. Dommage qu'on se soit connus dans de telles conditions...
C'est le jeudi, donc trois jours après, que nous sommes arrivés avec le camion, mes collègues et moi.
On a calé le camion...
Cette fois, le chemin était libre.
Elle avait tenu parole.
Ce jour-là, c'était moi qui conduisais. J'ai manoeuvré, accroché le bloc métallique jaune avec un grappin, l'ai soulevé et amené au dessus de la benne. Mes collègues se chargeaient de guider le cul du bloc vers la benne, de l'ouvrir pour que les déchets viennent glisser dans la benne.
J'ai vu une grande feuille A3 sur une bagnole pile dans la lueur des phares.
Je suis descendu examiner le message...Oui, c'était bien ce que j'avais lu. CETTE FOIS CA DOIT ETRE BON, NON? Écrit vraiment en très gros...Et puis en plus petit...Appelle-moi à ce numéro...
Et un numéro de portable.
Je ne me le suis pas fait dire deux fois. J'ai pris une photo.
Je finissais à dix heures. J'ai appelé à dix heures cinq. Elle a décroché à la première sonnerie.
— Ca va, tu es content ?
— On a enfin pu faire notre travail.
— Ce matin, je commence à midi seulement. Ca te dit de venir me voir?
Elle m'a donné l'adresse. Comme je l'avais deviné, elle habitait pas loin du parking. Il fallait sortir de celui-ci par le nord, prendre un passage qui montait, se retrouver sur un plateau. Là, à gauche, il y avait une grande maison, dont je savais, une copine y avait habité, qu'elle était découpée en apparts.
Elle, elle habitait au rez-de-chaussée. Elle avait soulevé le rideau et elle m'attendait. Elle avait décidément envie de me voir. Pour m'encourager, et sans doute que je n'aie plus aucun doute concernant ses envies, elle a soulevé le T-shirt qu'elle portait, me laissant voir des seins haut perchés, pleins mais fermes, avec de larges aréoles. Au cas où j'aurais encore eu des doutes, elle a pris son sein en coupe, l'a remonté et est venue bouffer son téton.
C'est la verge dure que je me suis présenté à l'entrée de l'immeuble. La porte était entrouverte, et je me suis glissé dans le couloir. Elle a ouvert la porte. T-shirt et une simple jupe noire, ça suffisait pour qu'elle soit attirante, loin de la fille plus apprêtée que j'avais croisée l'autre jour. Au naturel, même, plus simple, plus jolie, elle était tout aussi désirable, sinon plus. Et tout elle disait qu'elle avait envie de sexe et de moi. Je n'aurais pas parié là-dessus lorsque nos routes s'étaient croisées trois jours plus tôt.
— Je me suis masturbée en t'attendant. Ma chatte est chaude, humide et ouverte. Viens la lécher. C'est ce que j'aurais aimé que tu fasses lundi dernier.
— Je n'aurais pas parié là-dessus.
— Les apparences sont trompeuses.
Elle recula jusqu'au canapé et remonta sa jupe à sa taille. Dessous, elle avait le ventre nu. Décidément, ce n'était pas une grande fan de petites culottes. Se laissant basculer en arrière, elle m'offrit sa vulve. Elle n'avait effectivement pas menti. Elle était aussi ouverte que lubrifiée. Et elle s'offrait à moi. Quand j'avais vu sa chatte deux jours plus tôt, je m'étais dit qu'elle était aussi belle qu'inaccessible. Belle, elle l'était toujours autant. Mais inaccessible, elle ne l'était plus.
Ses liquides intimes ont ruisselé dans ma bouche dès les premières secondes, dès que ma langue a accroché ses lèvres et est venue appuyer dessus. Elle avait des lèvres épaisses, avec de nombreux replis, et elles ont gonflé sous ma caresse, prenant du volume, arrosées, trempées par les liquides intimes qui sortaient d'elle d'abondance, et avec de plus en plus d'abondance, trempaient sa chair, s'insinuaient dans ses replis, J'ai vu, plus haut, son gland clitoridien se décalotter tout seul, sortir de sous la gangue de chair qui le protégeait, et jaillir, s'allonger, volumineux, en harmonie avec le reste de son sexe, et le reste de son corps. J'ai parcouru sa chair, témoin de son plaisir. Son corps entier frémissait. Il y avait certaines filles qui ne ressentaient rien, d'autres qui ne manifestaient rien. Ce n'était pas son cas. J'imaginais qu'elle était comme pas mal de filles, comme moi aussi, une de ces filles qui n'avaient aucune stabilité, qui allaient d'un partenaire à l'autre sans que ça dure vraiment. Moi, ça faisait deux mois que je n'étais plus sorti avec personne. Et j'avais envie, autant envie qu'elle. Mon sexe était dur à me faire mal et je l'ai mis à nu et je me suis caressé pour me soulager.
Elle a soupiré:
— Viens, pénètre-moi. J'en ai trop envie, et trop besoin. Ca fait plusieurs semaines que je n'ai pas eu de copain, ça me manque trop. Regarde, il y a des préservatifs sur le meuble, là. Prends en un et viens.
Effectivement, il y avait une grosse boite de préservatifs sur le buffet. Espoir ou prévision? J'ai déchiré l'emballage de l'un d'entre eux et je l'ai fait coulisser sur ma queue dilatée de désir.
Quand je me suis retourné, j'en ai pris plein les mirettes. Elle avait changé de position et elle s'offrait, au maximum de ce qu'une femme peut s'offrir. Elle avait basculé, à quatre pattes, son ventre offert et tendu vers moi, fesses ouvertes, vulve boursouflée et dégoulinante à ma disposition. Son visage tourné vers moi me disait clairement qu'elle ne souhaitait, à ce moment, rien de plus au monde que je vienne sur elle et en elle. Si j'avais pu avoir, encore, des hésitations, des limites, je n'en ai plus eu aucune à la voir ainsi, et je me suis avancé vers elle. J'ai glissé vers elle, mon gland dilaté et couvert de latex est venu appuyer contre les lèvres de son sexe, le préservatif aussitôt trempé par les jus qui sortaient d'elle. Je suis rentré avec elle, la faisant gémir de plaisir. Mais c'était aussi bon pour moi. Je me suis retrouvé en elle, enveloppé par la gaine de son sexe, et c'était une sensation que j'avais oubliée, mais que je retrouvais, et je me suis dit...'Mais comment j'ai pu passer à côté de ça si longtemps? Vivre sans être dans un sexe de femme...? Une résignation...'
Je me suis mis à bouger en elle, lui donnant du plaisir et en prenant aussi. Un moment de grâce que je n'avais vraiment pas imaginé quand je l'avais abordée deux jours plus tôt.
Ce que je n'avais vraiment pas imaginé non plus c'était qu'elle puisse me dire:
— Sodomise-moi. Ca me donne énormément de plaisir. Elle a resserré ses muscles vaginaux pour me faire sortir d'elle. Je me suis retrouvé, la queue dilatée à l'extrême, énorme d'avoir été dans son ventre et frotté par son intimité, à poser mon gland énorme contre sa muqueuse anale. L'espace d'un instant, je me suis dit: 'Ca va jamais rentrer, c'est trop étroit!' Et puis, ça s'est fait tout seul. Ma verge a glissé dans son rectum, je l'ai remplie, pris dans le conduit étroit, source d'un plaisir que j'avais oublié. Cela faisait longtemps qu'une fille ne m'avait pas demandé de la pénétrer par là.
Tout en elle a dit, dès les premières secondes, la force de son plaisir. Elle était vraiment à un stade supérieur, dans une vague de plaisir qui la déconnectait totalement du monde. Moi, je redécouvrais le plaisir de prendre une femme par le cul, si différent de celui qu'on pouvait ressentir dans la vulve d'une fille.
Elle a donné une autre dimension à son plaisir en faisant tourner, dans un mouvement circulaire, sa main sur ses lèvres toutes dilatées. Ses liquides intimes sortaient avec de plus en plus d'abondance, sortant autour de ses doigts. Ca n'était rien pourtant à ce qui s'est passé quand elle s'est mise à se pistonner de deux doigts. Ses sécrétions ont giclé quasiment à chaque mouvement vers l'intérieur. De plus en plus copieuses.
Et puis elle s'est mise à jouir. Avant moi. En criant, secouée par des spasmes, elle a craché des jets qui avaient une autre consistance, blancs et crémeux comme le sperme d'un homme, même si on voyait bien qu'ils avaient une texture différente. Ejaculation après éjaculation, elle a trempé nos chairs. Je n'en pouvais plus et moi aussi j'ai joui, alors qu'elle n'avait pas fini son cycle de jouissance. Mon sperme est venu taper contre les parois intimes de son rectum, chaque jaillissement la faisant se tordre, crier, et propulsant peut-être d'autres éjaculations qui ne seraient pas sorties d'elle autrement.
On s'est effondrés, enlacés sur le divan, encore dans notre jouissance, et heureux d'être ensemble, au moins pour ce moment.
— Tu veux rester toute la nuit?, elle m'a demandé.
Elle a attrapé ma queue, l'a masturbée doucement.
— Tu n'as quasiment pas débandé. On pourrait encore faire pas mal de choses.
Elle m'a caressé de la main, avant de frotter mon gland de la langue. Même pas cinq minutes après avoir joui, j'étais aussi dur qu'avant. Et j'avais autant envie.
— Viens, on va aller dans la chambre. On sera bien au lit.
On est partis pour la chambre à coucher où un grand lit nous attendait.
Pour une nuit ou avec la promesse de plus...Le temps le dirait.
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Histoire de JamesB

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