ACCUEIL > Fantasmes > Récit : Couloir des plaisirs

Couloir des plaisirs

+10

Lue : 2100 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/10/2013

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Nous étions prévenus : cet hôtel n’était pas tout à fait comme les autres et l’expérience que nous allions y vivre n’aurait jamais eu son pareil auparavant. Le regard et le sourire coquin de la jeune femme préposée à la remise des clés de la chambre laissait entrevoir effectivement que cette demeure de charme allait nous réserver des surprises propres à ravir nos sens.

Après cette longue route de campagne, rien n’est plus revigorant qu’une douche tiède que nous décidons de partager en toute complicité. Un voluptueux baiser engage cette aventure et je m’attache à te dévêtir en faisant glisser ta petite robe légère le long de ton corps. Galbée dans un soutien-gorge de dentelles marrons, ta poitrine aux rondeurs parfaites est des plus attrayantes. Plus bas, ta petite culotte de tulle laisse apparaître en transparence ta toison de jais.

Dans le même temps, tu entreprends de me déshabiller, déboutonnant ma chemise et mon pantalon. Nos bouches se rejoignent en de savoureux jeux de langues et il en faudrait très peu pour que cet effeuillage ne soit le prélude à des ébats immédiats. Les derniers remparts à notre nudité jetés sur le lit, je t’entraîne dans la cabine de douche afin de vivifier nos corps.

La porte à peine refermée sur nous, de nombreux jets fixés de part et d’autre de la cabine se mettent à jaillir d’une eau vive et bouillonnante dont l’effet massant se fait ressentir immédiatement. Ton corps de sirène vient se lover contre le mien et tout en enserrant ma nuque de tes bras, tu tends ton visage radieux et applique tendrement tes lèvres sur les miennes en un baiser d’amoureux. Mes mains glissent sur ton dos et se plaquent sur tes reins t’attirant encore plus contre moi.

Décidés à profiter de cette belle journée, nous nous lavons mutuellement presque chastement. Je ne peux m’empêcher de savonner longuement ta poitrine dont les bouts rosés se durcissent au contact de mes pouces ; tu réponds à mes caresses par de tendres sucions sur mes seins ce qui a pour effet d’électriser tout mon corps. Mais, tacitement, nous convenons qu’il est temps de cesser ces jeux dont l’issue évidente serait fatale à nos projets de promenade dans la campagne.

Alors que je ferme le robinet commandant les jets multiples de la douche, la lumière s’éteint doucement et, dans le même temps, la cloison opposée à la porte d’entrée de la cabine s’ouvre lentement sur un couloir à l’éclairage savamment tamisé. Entièrement capitonné de satin mauve, cet espace réduit, quelques mètres de profondeur à peine, révèle ses secrets au fur et à mesure que notre vue s’adapte à ce nouvel environnement.

Au fond de cette petite pièce aveugle, une estrade capitonnée elle aussi et, plaqué au mur, un miroir ceint d’un cadre de style doré complète ce décor. L’atmosphère particulière de cet endroit a priori austère invite assurément à la volupté : le reflet du satin tendu subtilement mis en valeur par le jeu des lumières, le parfum délicieusement musqué et envoutant qui emplit l’espace, la douce musique baroque en très léger fond sonore, … tout semble avoir été conçu pour troubler les sens des visiteurs.

L’étonnement de cette découverte passée, d’un regard plus que complice, nous décidons de franchir le pas de la porte qui se referme immédiatement derrière nous. Peu à peu, l’exploration de cet endroit révèle des découvertes inattendues. Posé au centre de l’estrade, un flacon d’huiles essentielles aux senteurs résolument aphrodisiaques, une large plume de paon propre aux caresses les plus douces, un masque de soie noire et deux bracelets de cuir fixés le long des murs au niveau du bord de ce promontoire.

Tu devances ma proposition en plaquant ta poitrine contre une des parois de satin tendu. La sensation de douceur et l’épaisseur du capiton offrent ainsi à ton corps une merveilleuse table de massage verticale. Face contre le mur, la tête enfoncée dans tes bras croisés, les jambes légèrement écartées, tu présentes ton dos, tes reins et tes cuisses à mes massages. Tu t’abandonnes sous les délicates pressions de mes paumes sur ton corps, les yeux mi-clos comme pour mieux savourer ce massage préambule sensuel à cette nouvelle aventure érotique.

En quelques minutes, ta respiration se fait plus profonde m’invitant à poursuivre plus encore chacun des mouvements que j’exerce sur ta peau désormais luisante et parfumée. Mes mains peu à peu glissent sur tes reins qui se cambrent sous la pression de mes doigts, puis s’aventurent sur tes fesses tendues que je tente d’emprisonner en imprimant d’amples mouvements circulaires. Je m’agenouille derrière toi et m’aventure ensuite le long de tes cuisses dont je fais jouer les longs muscles fuselés.

Ton corps ondule sensuellement au passage de mes mains, tes seins que je devine gonflés de désir frottent contre le tissu, tes hanches roulent sous mes yeux comme un manège de l’amour, invitation directe à des caresses plus douces et plus précises. Je me redresse derrière toi, le ventre en feu, ma verge tendue prêt à te creuser les reins pour te prendre d’un coup, là, debout contre le mur.

Mais tout, dans cette atmosphère envoutante du lieu invite à la sensualité la plus audacieuse et visiblement, tu souhaites profiter pleinement de ce moment particulier pour gravir un nouvel échelon dans l’érotisme torride. Te retournant vers moi juste pour jauger l’épanouissement de ma verge, tu te diriges vers l’estrade, t’y agenouille face au miroir et passe le masque de soie sur tes yeux. Les jambes bien calées contre les murs, je comprends intuitivement que tu désires que je lie tes chevilles à chacun des bracelets de cuir.

Le spectacle de ton corps luisant à genou sur l’estrade, les cuisses ouvertes n’a d’autre égal que l’image que me reflète le miroir : ta poitrine ferme et tendue, ton ventre au creux duquel je distingue la naissance de ton triangle parfait, ton visage masqué, aveuglé pour mieux ressentir l’excitation de l’instant. Langoureusement, tu étends ton corps sur le sol devant toi et cambre les reins dans une position sans équivoque. Ton dos et de tes fesses ainsi offerts à tous mes fantasmes de domination excite au plus haut point mon imagination déjà éprouvée par les prémices de cette aventure déjà extraordinaire.

Je me recule de quelques pas pour savourer ce tableau terriblement érotique. Je m’agenouille derrière toi et entreprends de glisser ma langue au plus haut de tes cuisses largement écartées. Chaque touche humide sur cette partie de ton corps à pour effet de tendre encore plus tes fesses vers mon visage. Là, juste sous mes yeux s’offre ta vulve épanouie. Malgré la pénombre, je détaille clairement ton fruit d’amour dont quelques gouttelettes de suc de plaisir perlent à la naissance de tes petites lèvres.

Alors, je m’empare de la longue plume de paon commence à jouer avec, d’abord effleurant le creux de tes reins cambrés, puis, glissant lentement le long du sillon qui sépare tes fesses offertes, j’atteins les zones les plus sensibles de ton anatomie. A chaque touche sur les crêtes de ta vulve répond un feulement de chatte en rut. Ton corps tout entier tremble sous ces caresses délicates, ton ventre va et vient à la recherche de la pointe de la plume, en quête du contact ultime.

Mon cœur bat à tout rompre, de la lave en ébullition bouillonne dans mes entrailles et je n’ai qu’en tête de prolonger ton état de transe extatique jusqu’à son paroxysme. Entre tes cuisses ouvertes, l’entrée de ton vagin baigne dans le jus d’amour. Je décide de prolonger la torture infligée par la plume en glissant un doigt dans le sillon formé par tes chairs tendues. J’atteins rapidement ton point le plus sensible, ce petit bouton gorgé de désir à partir duquel je compte bien commander ta jouissance. Les râles émis par ta gorge me confirment le plaisir extrême que te procure ce toucher. Tu te relèves alors sur tes bras pour mieux apprécier cette caresse.

Bien que complètement absorbé par ce jeu, j’aperçois dans la semi obscurité qui abrite notre sensuelle complicité ce que tu ne peux voir du fait de ton aveuglement : une verge épanouie sort du mur, comme fichée dans la paroi de cet espace restreint, placée à quelques centimètres de ton épaule droite. Elle s’offre là, déjà gonflée du plaisir d’entendre tes feulements de femme totalement abandonnée à ses sens. Tu as immédiatement senti la chaleur émise par l’intrusion de ce membre anonyme dans notre espace et ta main cherche alors le contact de ce sexe qui se dresse quasiment instantanément sous le toucher habile de tes doigts.

La caresse que tu as commencée à entreprendre sur cette verge tendue ajoute au rythme langoureux de ton corps sous l’effet des délicates pressions que j’applique sur ton clitoris. Cette scène terriblement excitante a fait monter la pression de cette pièce exigüe d’un seul coup. Les mouvements de ton ventre et le miel qui coule désormais de ta fleur tropicale sont sans équivoque quant à l’abandon au plaisir total dans lequel nous nous laissons porter sans retenue maintenant.

Les longs soupirs et les gémissements qui s’échappent de ta gorge ne laissent aucun doute sur ta volonté de pousser à l’extrême ce moment unique. Tu m’intimes de te faire l’amour, tu m’ordonnes de te prendre, tu me supplies de recevoir ma chair dressée au plus profond de toi, tu n’aspires qu’à sentir glisser mon dard turgescent dans ton fourreau humide. Les mouvements de ton bassin appellent à la pénétration de ton sexe et, n’y tenant plus, je me tiens derrière toi, prêt à te fendre d’un coup.

Ton corps tremble de tant d’excitation. Ta main va et vient sur la verge anonyme à un rythme de plus en plus soutenu, celui auquel tu souhaites maintenant que tout ton ventre soit pris. Je comprends que tu veux me faire payer la torture que je t’ai infligée en ayant retardé notre accouplement. N’y tenant plus, je pointe maintenant ma lance à la porte de ton sexe. La pression de mon extrémité gorgée de lave sur ton orifice lubrifié ne fait qu’accroître l’intensité de tes gémissements de plaisir. Alors, je saisis tes hanches à pleines mains et pénètre lentement ton ventre en feu dans un râle de mâle en rut. Mon membre épais se fraie un passage dans ton vagin se fiche en une seule poussée jusqu’à la garde, au plus profond de toi. Tu cries ton bonheur de te sentir enfin possédée.

Me sentir tout en toi n’a fait qu’intensifier ton désir de jouir. Complètement abandonné à cette sensation unique de ne plus faire qu’un avec toi, je commence à aller et venir le long de tes parois lubrifiées dont le frottement atomise toutes les cellules de mon sexe. L’intérieur de ton ventre est en fusion. Nous sommes désormais dans une autre dimension.

Tu amplifies les mouvements de mon bassin en donnant de grands coups de reins. Le volume de ma verge emplit ton vagin brûlant comme de la braise. La colonne anonyme que tu branles au même rythme se durcit dans ta main, prête à délivrer sa semence. Nos râles de plaisir se mêlent en une mélopée dont les accents langoureux s’évanouissent dans les tentures de la pièce.

Je n’existe plus, je ne suis qu’une partie de toi ; je ne sens que tes chairs qui enserrent les miennes et la pression presque douloureuse de la sève qui va jaillir de mon ventre. Nos halètements ne sont plus qu’un, nos souffles ne font plus qu’un. Ton corps se tend d’un coup dans un hurlement de jouissance que j’accompagne en déversant mon flot de lave au plus profond de toi. Foudroyés par un orgasme commun, nos corps en sueur s’abattent d’un seul coup. Je t’aime, mon amour, je t’aime.
12 vote(s)


Histoire de lolipop

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Couloir des plaisirs


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :