Foire au sexe

Drôle de foire privée. Déjà, seuls les couples sont admis. On ne demande pas de le prouver. En plus les femmes sont séparées des conjoints. Pour eux une boisson forte est offerte ainsi qu’un spectacle de striptease. Ensuite les femmes remplissent un interrogatoire écrit. Celles qui le remplissent jusqu’au bout ont droit à la suite de ce musée. Pour les rares autres : un cadeau un peu particulier enveloppé dans un paquet cadeau. Les plus curieuses découvrent un gode style rabbit (bon cadeau pour les amatrices de plaisirs solitaires) La crème des femmes suit la visite. Une voie inconnue, lascive, sans doute une fille venant de jouir, invite à poursuivre.

La salle est grande, garnie de couches, lumières tamisées. Elles sont invitées à choisir un lit, s’y assoir pour regarder sur un grand écran un spectacle rare.

Les lumières sont presque éteints. L’écran s’ouvre sur un visage de femme splendide. Une rousse aux yeux verts. Un zoom arrière montre tout le corps : une déesse inconnue. On les invite à se coucher, ce qu’elles font assez facilement. Une d’elle au centre de la pièce pose sa main sur le pubis : cette posture l’engage toujours vers des sommets solitaires. Par-dessus sa jupe, elle se touche à peine l’endroit béni. Les autres attendent encore. L’homme arrive, tout près, nu comme elle. Ils s’approchent, elle pourrait prendre la bite en main. Elle ne fait rien ; elle regarde le sexe. Lui ne fait rien non plus. Pourtant il commence à bander : les femmes regardent la pine se lever. D’autres se caresse déjà. La queue monte doucement, très doucement. Le gland se dégage même un peu : on peut voir le méat avec une petite goutte. Elle est prête à baiser, enculer, on ne sait trop.

Sur l’écran commence la suite attendue. C’est la rousse qui s’approche très près du corps de l’homme. On sent la fille excitée. Elle tend sa main comme pour demander la charité. Elle empoigne et relâche la queue. Lui reste impeccable, comme si rien ne se passait. Pourtant la bite est agitée irrégulièrement de mouvements vers le haut. C’est lui qui continue. Il passe des doigts dans le sexe féminin. Elle écarte à peine ses jambes, juste pour permettre le passage. Il arrive à toucher à peine le sexe qui visiblement est humide.

Il passe à l’action en caressant la chatte. Elle s’ouvre encore : il peut caresser librement cet endroit coquin. Il lèche sa main pleine de secrétions féminines. Il donne aussi un doigt à la rousse qui suce ses propres liquides.

Dans la salle, rares sont celle qui ne se caressent pas. Aucune n’a vu la caméra qui les filme tout le long de leur masturbation, à la recherche des façons personnelles de se branler. Pourtant il y en a tellement à dire : celles qui grattent le clitoris, d’autres, les plus nombreuse, qui le caressent en rond, celle qui accompagne la main droite pas une autre sur l’anus ou dans l’anus. Et les plus sensuelles qui entre deux doigts dans le vagin.

Seuls sont communs les soupirs des plaisirs.

Sur l’écran le couple est engagé dans une bataille féroce : il lui suçait la chatte, elle voulait lui manger la queue. Ils se trouvent en 69, la meilleure des positions des couples sensuels. On peut voir distinctement les mouvements de la langue de l’homme sur le passage obligé du plaisir féminin. Elle lèche le corps de la bite, masse le gland, caresse les couilles.

Des femmes jouissent, d’autres voudraient plus : un bon gode Certaines décident qu’elles seraient mieux à deux. Des couples de femmes se forment. Des caméras filent les ébats des admiratrices de Sappho. Ces belles images sont transmissent là où sont les maris.

Certains reconnaissent leur épouse. Ils le voient pour la première fois échanger des caresses profondes, comme celle qu’eux leur font. Ils restent avec leur queue en main, ils se branlent comme les autres.

Les hôtesses, presque nues, distribuent les godes. Ouf de soulagement chez les amatrices : la plus part. Les substituts de bite sont dans les mains, ils sont pour la plus part léchés avant la suite.

Les femmes enfermées dans leur cercle de plaisir ne pensent plus qu’à jouir. Certaines se contentent en se baisant, pas toutes, loin de là. Certaines posent le bout rond sur l’entrée de l’anus. Elles ne poussent pas beaucoup : elles s’enculent très facilement, comme elles se font faire par leur amant. Certains demande un gode en supplément : les vraies amatrices de la chose entre d’abord le premier dans le con, le mettre bien au fond pour ensuite se mettre l’autre au fond du cul. C’est le seul qu’elle manie.

Ma femme, l’organisatrice de ce déchaînement est satisfaite quand je la félicite : elle me propose ses fesses. Pourtant nous sommes couchés, elle sur le dos, moi de côté. Je m’approche de son fessier. Elle écarte bien les globes. J’y passe ma queue. C’est elle qui prend ma bite, la dirige vers cette entrée particulière qu’elle aime. Elle lève à peine la tête pour me voir contre elle. J’entre à peine quand sa main est sur son clitoris. Son bonheur est en route. Je suis dans son cul : c’est chaud, serré, elle se serre encore un peu pour son propre plaisir.

Elle regarde les écrans, commente les positions, les façons de la masturbation. J’atteins mon sommet, je vais jouir. Elle me retient un peu. Elle passe sa main derrière pour me tenir la queue au moment où je crache mon venin qui lui fit tant de bien dans le cul.

Elle a gagné son pari : elle recommencera d’ici un mois. C’est sa conclusion le lendemain en rencontrant des participantes.