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Coup double

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Lue : 2735 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/11/2016

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Ce cours était chiant. Je me forçais à y assister pour deux raisons majeures. La première était que je ne me sentais pas très à l’aise dans la matière et assister au cours est encore la meilleure manière de tenter d’assimiler les données. La seconde était que le prof était un canon absolu. Depuis le début de l’année, je fantasmais sévère.

L’amphithéâtre est particulièrement clairsemé aujourd’hui. Je suis presque seule sur ma rangée. Presque. Un garçon s’est installé à quelques places de moi. Il semblait nettement plus fasciné par les paroles du professeur que moi.

Je ne sais pas bien quand j’ai décroché. Mes pensées se sont emballées, les unes accrochées aux autres et quand je suis revenue à moi, j’avais une main sur mon entrejambe et la moiteur qui régnait à cet endroit laissait peu de doutes quant à la nature de mes rêveries. Un peu frustrée d’avoir ainsi perdu le fil de mes pensées cochonnes, j’ai appuyé ma main un peu plus. Mes jambes se sont resserrées et une vague de bien-être m’a envahi. Je ne pouvais en rester là.

Il s’agissait tout de même de prendre quelques précautions. J’ai ramené ma veste négligemment jetée sur le siège à côté. J’ai recouvert le dessus de mes cuisses avec. La tête appuyée sur une main, le regard perdu entre le tableau et le prof, j’ai entamé, sous la protection toute relative de ma veste, le dégagement de la voie du plaisir. J’ai déboutonné mon pantalon, descendu la fermeture éclair. Ma main a eu accès à ma culotte dont le taux d’humidité avait déjà pris une belle avance. Je me suis caressée pendant de longues minutes, dessinant avec le doigt ma vallée, sentant mes lèvres se gonfler et le tissu s’imbiber. Mes jambes battaient la cadence, s’ouvrant et se fermant en rythme, chaque fermeture étant sujette à une palpation plus profonde, plus puissante. Le plaisir montait rapidement. Mes battements cardiaques s’accéléraient, les images torrides voire pornographiques se succédant dans ma tête. Il me prenait dans toutes les positions, dans tous les trous. J’étais une esclave livrée à son bon plaisir.

D’un doigt, j’ai écarté le pan de tissu, laissant à ma main le passage vers ma chatte excitée. Un doigt s’est enfoncé, puis un second l’a rejoint. Je devais me mordre les lèvres pour ne pas soupirer. Je tentais de paraitre neutre, de donner une illusion. Pourtant mes jambes accéléraient les battements. Mon cœur aussi. J’étais à la porte de la jouissance. J’entendais les clapotis causés par mon travail manuel. J’inondais la place. C’était délicieux.

L’orgasme est arrivé, fidèle et puissant. Mes doigts se sont enfoncés dans mon intimité, mes jambes se sont refermées un peu brusquement. J’ai fermé les yeux et me suis laissée emporter. Même la bouche close, je n’ai pu retenir quelques gémissements, qui , j’espère, se sont perdus dans le brouhaha du cours. Les ondes de plaisirs se sont lentement espacées, me laissant flottante sur un nuage de ouate.

Il m’a fallu quelques minutes pour m’apaiser. Et constater les dégâts. Un rapide coup d’œil circulaire m’a permis de constater que ma petite séance était passée inaperçue. Enfin presque, car le garçon installé à quelques sièges de moi me regardait avec un sourire en coin. J’ai rougi instantanément. Et pour cause, durant mon sprint final, la veste censée me protéger des regards a glissé le long de ma cuisse. J’ai bien du constater que ma main encore glissée dans mon pantalon était parfaitement visible, et ne laissait que peu de doute quant à l’usage que je venais d’en faire. Je l’ai retirée doucement, laissant autant que faire se peut une impression de nonchalance. J’ai ramené ma main sur la table. Elle dégageait un parfum puissant et reconnaissable que j’ai tenté d’effacer avec un mouchoir. J’ai réajusté mes vêtements, refermant les boutons, le tout sous le regard goguenard de mon voisin qui ne manquait plus rien de la scène. Ma culotte était trempée et mon pantalon affichait une superbe auréole explicite. C’était la gêne totale. C’est à ce moment que le prof a sifflé la mi-temps et la pause.

L’auditoire se vidait de ses étudiants. Je n’aurais jamais osé bouger. Je me tortillais sur mon siège, l’humidité de mes vêtements étant un peu désagréable. C’est donc mon voisin qui a fait le déplacement. Ce que je redoutais tant arrivait. Il s’est assis à côté de moi, sans un mot, et toujours avec le sourire. J’essayais de me donner un peu de contenance, mais j’étais encore sous l’effet des endorphines et je planais un peu béatement. Il a pris ma main coupable et a porté mes doigts à ses narines. Malgré l’effet mouchoir, ils affichaient toujours un parfum caractéristique. Il a alors déposé ma main sur sa braguette puis, il a attendu.

J’ai pesé le pour, le contre et puis je me suis laissée aller. J’ai ouvert son pantalon, et suis partie à la recherche de son sexe. Je l’ai trouvé sans grande difficulté, déjà bien gonflé de désir. Le gland était humide preuve que son excitation n’est pas toute récente et qu’il a du bien bander en me regardant me donner du plaisir. J’ai commencé la masturbation, en regardant ailleurs. Cette activité ne me dérangeait pas. J’adore me donner du plaisir, j’adore aussi en donner aux autres.

Je faisais des allers-retours le long de sa hampe. Avec le pouce, j’étalais les premières gouttes de liquide qui sortaient du méat. Du coin de l’œil, je surveillais mon voisin. Il était bien excité et commençait à perdre le contrôle. Son bassin bougeait en rythme et ses lèvres se sont entr’ouvertes. Fière de mon effet, j’ai accéléré la cadence. De toute façon, on allait bientôt siffler la fin de la pause et il fallait que ce soit fini à ce moment.
J’ai senti son plaisir arriver, comme un vibration croissante à travers son sexe.. Les premiers jets de sperme se sont écrasés sur le dessous de la tablette du banc avant de retomber sur le pantalon. Il éjaculait abondamment en gémissant. Les dernières giclées, moins puissantes, s’écoulaient le long de sa verge, sur ma main encore serrée. Puis il a débandé rapidement. J’ai donc relâché ma prise. Avec le même mouchoir que précédemment, j’ai essuyé les traces laiteuses laissées sur ma main. A mon tour, je souriais, pendant qu’il reprenait une respiration normale et tentait d’enlever les traces de son plaisir sur son pantalon.

Après cette double séance masturbatoire, le reste de la leçon est passée sans passion. Lorsque la fin de la leçon a été annoncée, j’ai glissé un mot sur le syllabus de mon voisin. Puis je me suis levée et suis partie par l’autre côté de la rangée.

Sur le mot, il y a avait mon adresse. Et une remarque : « préservatif obligatoire ». Au cas où il n’aurait pas compris le but de mon invitation.
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Histoire de Keskidi

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