Couple moderne 2

George, bascule Hildegarde sur la table du salon et lui ouvre largement les cuisses. Il regarde la chatte lâcher sa cyprine. Il avance ses doigts et caresse la vulve qui ressemble à une fournaise, il enfonce un à un trois de ses doigts jusqu'aux dernières phalanges. Il fouille le vagin en faisant tourner les visiteurs à intérieur. Hildegarde commence à geindre et à mouiller comme une fontaine, ses yeux brillent de mille feux. Pendant qu'il fouille le puits intarissable, de son autre main, il attrape le clito hyper gonflé et le triture à la limite de la douleur. Hildegarde souffle comme un animal, elle agite son bassin en grognant comme une fauve en cage.


Jacques ne reconnait plus sa femme, il regarde les grimaces qu'elle fait en serrant les dents. Sa queue lui fait terriblement mal, il augmente le branlage, ses coups de poignets deviennent de plus en plus violents. Soudain, sa femme pousse un cri qui le fait sursauter. Hildegarde jouit en gémissant comme une bête malade. Jacques s'acharne sur sa queue de sa main libre, il se presse les couilles à s'en faire grimacer de douleur. George continue de fouiller la chatte dégoulinante de jus. Il approche sa tête du fruit trop mûr qui suinte continuellement. Il pose sa bouche sur le bouton magique et le suce avec de plus en plus de voracité. Hildegarde s'agite comme une hystérique, elle dit de parole incompréhensible, elle gicle plusieurs fois, en gémissant fortement. Pour Jacques, c'est le summum du plaisir, il envoie en l'air deux à trois giclées de sperme qui retombent sur son ventre, ses doigts sont englués par les retombées spermatozoïdes. Il dit en grognant :

-Oh putain comme c'est bon, baise-là, baise-là maintenant !

George prend place entre les brancards de son amante, et enfonce d'un coup sa bite noueuse jusqu'aux coquilles dans le ventre de Hildegarde qui se cabre sous la pénétration brutale. Il donne des coups de reins violents, le bougre sait ce que son amante aime subir. À chaque enfoncement de son pieu en elle, Hildegarde pousse un long râle, elle s'accroche à son amant comme une bête sur sa proie, elle s'agite en gémissant de bonheur. L'étreinte violente que la femme subit, la rend dingue de plaisir, elle se met à donner des coups de reins aussi puissants que ceux de son amant. Elle est empalée jusqu'à la garde à chaque coup de reins. Elle se cabre, pousse un hurlement inhumain et jouit affreusement fort.

George continue sans travail de défonce, il grogne comme un lion avant de se raidir et de remplir le ventre de son amante affamée de bite, avec son sperme abondant. Il s'agite encore un peu en elle avant de ressortir sa bite gluante du ventre de Hildegarde, qui les yeux luisants de bonheur regarde son mari, elle lui dit entre deux souffles :


-Prends-moi aussi mon chéri, baise-moi fort, je te veux un plus profond de moi !


-George suggère !

-Une double te conviendrait Hildegarde ?


La femme qui n'a jamais était prise en double répond :

-Oh oui, oui mes chéris, faites de moi une bonne salope !

George s'allonge sur le sol, Hildegarde l'enjambe et lui saisit la queue qu'elle dirige avec impatience vers sa chatte en feu. Elle s'empale à fond, George la plaque contre son torse et invite Jacques :

-À toi l'honneur mon ami de prendre le cul de ta femme !

Jacques se positionne, il crache sur l'anus et le badigeonne de salive abondamment. Il pose son engin contre la petite porte inviolée, et pousse. Hildegarde se cabre en poussant un cri, l'anneau rectal vient de céder et avale petit à petit le manche de chair jusqu'aux couilles. Hildegarde grimace, geint de douleur. Il lui faut un bon moment de patience avant que son corps ne s'habitue au mandrin qui lui fore le rectum. Elle à l'impression que son cul va se déchirer, tellement il est dilaté. Mais, son mari prend des précautions pour ne pas la blesser. Avec une lenteur extrême, les deux bites voyagent avec une alternance parfaite dans les orifices de Hildegarde qui geint doucement.


La cadence augmente, les coups de reins deviennent plus violents. Maintenant Hildegarde prend un réel plaisir, elle agite sa croupe de plus en plus rapidement en gémissant de bonheur. Le pilonnage dure un bon moment, les deux hommes semblent infatigables, ils s'acharnent sur le corps gourmand de Hildegarde. Les râles de la soumise deviennent monstrueux, plus les deux hommes la défoncent plus elle, s'agite en grognant. Un hurlement terrible sort de sa gorge, elle jouit comme jamais elle ne l'à fait, est-ce du cul ou de la chatte qu'elle jouit, seule, elle le sait. Elle se contorsionne sur les deux queues qui l'embrochent, elle veut jouir encore en grogne :

-Oh putain, oh putain, c'est démentiel, encore, encore !


La femme jouit encore plusieurs fois avant que les deux pourfendeurs ne déversent leur sperme au plus profond des entrailles de Hildegarde qui insatiable en redemande. Enfin gavée, repue et épuisée, elle demande grâce. Tous ses orifices ont reçus leur dose de sperme, elle s'essuie d'un revers de la main les lèvres qui sont luisantes de semence humaine. Jacques, Hildegarde et son amant promettent de se revoir le plus souvent possible pour des défonces mémorables. Comme pour la remercier, Jacques embrasse sa femme sous le regard amusé de son amant.