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Courrier pas si anonyme 13

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Lue : 1411 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/02/2016

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La même année, nous sommes revenus deux fois après les grandes vacances, puis en mars aussi, tout se passait bien et en mai, un samedi après midi, nous sommes revenus également, même pratique, j'avais une autre jupe dans le même genre, ultra-courte, comme un short, mais sans en être un, ainsi qu'un décolleté très aguicheur, il me fait marcher en tortillant du cul dans la pièce, me tripote quand je passe, me met quelques coups de cravache par moment, quand d'un coup, on entend le bip du code réussi, quelqu'un arrive, je suis dans tous mes états.

J'écoute et n'entends pas le deuxième bip de l'alarme intérieur, ce qui signifie qu'il a vu que l'alarme a été neutralisée, donc qu'il y a quelqu'un, soit un autre directeur, soit moi, je me dépêche de le cacher, il n'y a aucune cachette, à part derrière le bureau de mon secrétaire, je sors un dossier, je planque mon sac à jouets, j'ouvre ma porte qui était fermée à clef, je n'ai pas le temps de me rhabiller plus soft, j'éparpille sur mon bureau quelques feuilles pour faire croire que je travaille.

Comme je m'y attendais, on frappe, je dis d'entrer, je ne vais pas ouvrir d'étonnement, ma tenue n'est pas visible, quand il rentre, j'ai l'agréable surprise que ce n'est pas le pire des deux, je joue l'étonnement de le voir ici, de là où il est, il voit le dessous de mon bureau, je serre les jambes, il ne s'approche pas, il reste à son point de vue, je ne peux pas l'envoyer balader, je suis en tort, je suis dans son agence, il peut me demander des comptes.

Il n'a pas l'air de vouloir rouspéter, alors je fais tout pour que cela dure, je lui dis, ha vous aussi, quand un travail vous prend, vous ne pouvez pas attendre, il répond évasivement, mon intonation mielleuse ne l'encourage pas à partir, il me parle, il me mate sous le bureau, il me mate le décolleté, lui aussi un peu trop décolleté

Mon cœur est à deux cent à l'heure, la trouille que mon compère tousse, se gratte, se cogne, qu'il fasse tout bruit le signalant, continuant à me tenir la discute, je frôle la crise cardiaque lorsque encouragé par mon sourire, il décide de se diriger vers le bureau de mon secrétaire pour peut être prendre son fauteuil et s'asseoir.

Je n'ai d'autre solution, que de me lever et de dire, attendez, et la seule chose qui me vient à l'esprit, est de lui demander, s'il voulait bien me montrer son bureau, pour voir la vue d'un autre angle, chose complètement idiote, nous ne sommes qu'au premier, et si je voulais voir la vue, rien ne m'empêche d'aller dans les services au-dessus.

Je n'ai d'autre solution, que de me lever et de dire, attendez, et la seule chose qui me vient à l'esprit, est de lui demander, s'il voulait bien me montrer son bureau, pour voir la vue d'un autre angle, chose complètement idiote, nous ne sommes qu'au premier, et si je voulais voir la vue, rien ne m'empêche d'aller dans les services au-dessus.

Il me mate aller au bureau du secrétaire, je griffonne un post-It disant à celui caché, qu'il aille dans le hall m'attendre, caché derrière le comptoir de la standardiste, fais tomber sur lui ce billet, et j'en fais un autre pour mon secrétaire que je laisse en vue sur le bureau, je rejoins ce directeur ensuite.

Une fois dans le couloir, je respire un peu mieux, lui aussi, doit se dire que je suis de meilleure humeur qu'habituellement, et pourtant, il m'a cassé mon coup, j'espère en moi-même, qu'il ne se fait pas des idées, il m'ouvre et me fait passer devant, me matant de prés, je fais celle qui ne voit rien de ses regards, je suis plus en mode cool que stricte, je suis connue pour avoir la main leste, dans mon dos, on me nomme " l'Annie Luke" de la gifle, elle claque plus vite que son ombre.

Je reconnais que de ce côté-là, je gifle presque en même temps que le goujat pense me faire une indélicatesse, être respecté est à ce prix, pour l'heure, je mets mes mains en standby, passé la porte, je me dirige à la fenêtre pour ne pas voir grand-chose de plus, qu'importe, mon comparse est dans le hall maintenant, pour meubler le silence, je lui dis que je croyais qu'il y avait une vue de ce côté là
.
Il me parle, je réponds, me disant ce qu'il est venu faire, je suis devant la fenêtre, lui a son bureau, à me détailler de la tête aux pieds, il faut dire aussi que c'est la première fois qu'il me voit ainsi, il ne sort rien de son bureau, j'attends qu'il me dise qu'il en a pour tant de travail à faire, j'ai peur de dire que je pars et qu'il me dise qu'il me raccompagne à la porte.

C'est là qu'il me dit, "excusez-moi, mais sans vouloir m'occuper de ce qui ne me regarde pas, tout d'abord, laissez-moi vous dire que vous êtes une femme vraiment magnifique et très compétente de ce que dit monsieur (mon ex patron), mais cela, vous le savez déjà, ma question, excusez mon impertinence, mais comment se fait-il que vous soyez ici et dans cette tenue, tenue qui vous met encore plus en valeur, il va s'en dire.

Heureusement pour moi, je m'attendais un peu à ce genre de question, je lui invente une histoire sur le dossier que je consultais, et pour la tenue, je lui dis que je suis invité ce soir chez des amis, à une soirée à thème, et comme vous devez vous en douter, le thème dont j'ai héritée, c'est celui d'une fille de joie, et si je suis venue ici habillée ainsi, c'est parce que je pensais être seule, vous m'avez surprise.

Galant ou dragueur, il me dit, "sans vouloir vous contrarier, votre déguisement ne vous fait pas ressembler à ce genre de personne, elles font vulgaires et vous avez de la classe, laissez-moi vous dire que vos jambes sont vraiment magnifiques, comme tout le reste d'ailleurs", sa façon de parler m'indique qu'il ne va pas devenir insistant, je me tâte à savoir si je me risque à partir.

Je regarde ma montre, ¾ d'heure de perdu au total, je lui dis, que je vais y aller, que mon mari ne va pas tarder, il me souhaite une bonne soirée, il se lève et contre toute attente, on s'embrasse dit-il, il me prend les épaules et me fait quatre bises avec un coup d'œil dans mon décoté, il me redit, "bonne soirée".

Je lui demande, "pour ma tenue, si cela pouvait rester entre nous", bien évidemment dit-il, je le quitte, je prends mes affaires et le sac à jouet, j'avais laisse ma porte ouverte pour m'assurer qu'il ne venait pas, je ferme ma porte à clef, je descends en vitesse, je fais le code et on sort.

Une fois dehors, en plus de faire ouf, je lui dis d'aller tout droit et que moi, je vais à gauche vers la voiture, que si on me regarde par la fenêtre, qu'on me voit seule, pendant que je marche, je me dis, coup de chance que ce ne soit pas l'autre directeur qui a été là, j'ai presque hâte d'être à lundi pour voir ce qui se passera.

L'heure perdue est perdue, on rentre à la maison, je vais dans toutes les pièces, voir si le fiston n'y est pas au cas où, à défaut de fantasme au boulot, il me pousse sur le canapé pour me faire un cunni, avant que je commence à vouloir jouir, il me retourne sur le canapé et me sodomise en me traitant de salope et de pute, m'amenant à l'orgasme par ce chemin, nous sommes tout les deux avec un pied sur le canapé et l'autre sur le sol, le temps, hélas, nous est compté.

Il sort et me baise comme un forcené, il allait commencer à ralentir la cadence, mais je lui dis de continuer, car je vais repartir, il continue de plus belle, me traitant encore plus, je jouis une nouvelle fois, il continue encore un peu et se retire, il s'assoit sur le canapé et me demande une pipe royale, en me mettant à genoux à côté de lui pour qu'il puisse me tripoter les seins, la pénibilité de mon boulot, ne me donnera pas la retraite avant, ne se retenant plus, il jouit en moins de deux minutes au maximum.

Je l'éponge jusqu'à la dernière goutte, n'avalant pas, je vais tout recracher, et me rincer la bouche, tout comme lui, je m'habille comme j'étais en partant, nous sommes un peu en retard quand nous arrivons au café de rendez-vous, mais ils ne sont pas là non plus, ce qui nous arrange bien, ils arrivent le quart d'heure suivant, le visage de la copine, trahit ce qu'ils ont fait, heureusement que lui, il ne s'en rend pas compte.

Nous rentrons ensuite, après une douche, et quand l'heure arrive, nous sortons au restaurant le soir, un restaurant où nous venons régulièrement, j'avais mise une robe du soir sexy, comme à chaque fois, la soirée se passe bien, nous rigolons, quand tout d'un coup, mon rire se fige, quelques tables plus loin, je vois le directeur de cet après-midi, avec surement sa femme, il regarde de mon côté et me fait un petit sourire en douce de sa femme, j'en fais de même.

Dans ma tête, je fais, "ho la la la, ho la la la, ce n'est pas possible, qu'est-ce que je vais pouvoir lui raconter maintenant", je dois garder mon air joyeux, afin qu'on ne me demande pas ce qu'il y a, la soirée se passe, quand ce directeur sort, passant prés de notre table, il s'arrange pour me faire un sourire plus voyant, pour me dire, "je te vois, je sais que c'est toi qui est là, et cet après-midi, tu m'as raconté des histoires".


Le soir au lit, je raconte cela à mon mari, qui rigole et m'excite en me faisant fantasmer en me disant, "imagine que tu sois en train de te faire prendre par notre copain, que tu n'entendes pas arriver le directeur, tu as oublié de fermer la porte, tes gémissements l'intriguent, il rentre, et te voit te faire baiser, tu aimerais cela, qu'il arrive et te donne sa bite à sucer".

Mon mari me connaît très bien, autant, il sait, que je ne me laisserais faire par personne, de façon conventionnelle, mais que si cela était dans certaines conditions, ou l'on m'oblige sans violence, cela a tendance à m'exciter, j'adore les petits chantages sexuels, bien sûr, ceux-ci doivent être en coordination avec le contexte dont je me trouve et non en dehors, d'ailleurs, un chantage hors excitation de ma part, je n'en ai jamais eu, et si cela arrivait, c'est mon mari qui réglerait cela à sa manière.

Dans un cas comme cité, en effet, si ce directeur arrivait à l'improviste, en me disant de me laisser faire, je m'enflammerais aussitôt, je me mettrais à sa merci, cela ne vaudrait que tant que je suis excitée et non à froid.

Le discours que tient mon mari m'excite, et l'orgasme m'arrive, une fois passé le coup de chaud, en restant en moi, il me raconte son après-midi, il a été la baiser au vieux bois, là ou il y avait encore des arbres tombés par la tempête, il comptait tomber sur des voyeurs, mais à cet endroit et le jour, il n'y en a pas, il s'est donc contenté d'une simple baise en extérieur, le temps perdu, c'était la recherche de coins propices.

Comme il dit, il la sort de la routine, il pense l'emmener un soir au bois et l'offrir aux éventuels voyeurs, d'y penser, il s'active en moi, je retourne dans mon fantasme et on jouit de concert, le lendemain matin, j'ai la frustration de ne pas avoir eu ma séance avec le copain, avec mon mari, on magouille un deuxième après midi, il le fait pour moi, car la copine, n'est pas son fantasme.

Mon mari la briffe, je briefe le copain, mon mari et elle, ils veulent se promener au bois, et moi, je veux aller au musée, alors il m'accompagne pour ne pas me laisser seule, on les laisse partir avant, comme cela, je me change, je remets la même tenue que la veille comme on ne sort pas ensuite, j'emporte mon sac à jouet, je me dis, que le dimanche, on sera tranquille, et qu'avec ce que je devrais dire pour me justifier demain devant ce directeur, après, cela ne sera plus possible.

On arrive là-bas, même scénario que la veille, les alarmes sont coupées, celle d'entrer remise aussitôt, je ne peux hélas pas remettre en fonction celle intérieur, il n'y a pas de retardement, j'avais expliqué ou était mon bureau et j'avais dit également que je formais du personnel, ce qui était la principale raison de mon retour sur Paris, j'avais donc à ma dispos une salle de réunion, la plus confortable, ce qui avait été la cause discorde avec le directeur mal embouché que j'ai humilié

Plutôt que mon bureau, il me dit d'aller dans cette salle qui se trouve au RDC, j'ai la clef, j'ouvre, et remets la clef dans la serrure et referme en laissant la clef, j'ai à peine posé le sac, qu'il me dit de prendre ma place lorsque j'explique aux "élèves", il se met sur une place où eux se trouvent, il me dit qu'ils ont une jolie vue, en effet, sauf qu'a cette place, j'y suis rarement assise, je m'assois sur la table.

Sois assise sur cette table, soit au tableau, ou alors assise à cote d'eux sur la grande table, qu'ils se rincent l'œil, cela ne fait aucun doute, mais cela reste dans un semblant de discrétion, cela ne me dérange pas, au contraire, si je ne le voulais pas, je n'aurais qu'à me mettrais en pantalon, elles me font rire, celles qui crient aux vicieux voyeurs, alors qu'elles sont habillées sexy.

Savoir aussi qu'être habillée sexy, si ça signifie qu'on a rien contre le fait d'être matée dans la discrétion, être matée nous rassure sur notre pouvoir de séduction, c'est un compliment silencieux, ça ne veut pas dire pour autant, que c'est un self-service où on peut toucher à volonté sans nous le demander, on peut vouloir aimer voler, ça ne signifie pas qu'on veut être jeté d'un avion sans parachute, même s'il n'y a que le dernier centimètre de vol qui est désagréable.

A force, il me connaît, il connaît mes goûts, il devine mes fantasmes, il me dit d'agir comme en cours, je fais cela de façon amplifiée, je tortille du cul quand je me déplace au tableau, assise, je croise les jambes, j'en fais de même assise a coté de lui, en fait, je me comporte de la façon que j'aimerais faire, si une fois la porte passé, mes "élèves" gommaient de leur mémoire, ce qui venait de se passer.

M'allongeant sur mes coudes, je passe une jambe par-dessus sa tête, en disant voyons voir votre niveau de compétence, retirant mon string, il répond, " oui madame, je ferais tout pour avoir des bonnes notes", j'ai la chance, de ne pas avoir à donner de notes, celui qui n'apprend pas, à la fin du stage, quand il sera confronté à sa tache, celui qui saura faire, y arrivera, celui qui n'aura rien retenu, il ira à pole-emploie.

A force, il me connaît, il connaît mes goûts, il devine mes fantasmes, il me dit d'agir comme en cours, je fais cela de façon amplifiée, je tortille du cul quand je me déplace au tableau, assise, je croise les jambes, j'en fais de même assise a coté de lui, en fait, je me comporte de la façon que j'aimerais faire, si une fois la porte passé, mes "élèves" gommaient de leur mémoire, ce qui venait de se passer.

Ce vicieux, il a le regard qui déshabille et il donne l'impression de lire dans les pensées, car si un homme bande en voyant une femme sexy qui lui plaît physiquement, une femme peut mouiller en étant matée d'une certaine façon, et cette façon, le vicieux, il la, l'année d'avant, j'avais eu 10 hommes en stage, cette année, c'est huit hommes et deux filles, filles sympathiques, pas très attirantes et jean basket, les autres ne les embêtaient pas.

Pour le moment, la langue que je sentais, à défaut d'être celle de mon élève vicelard, me faisait le plus grand bien, surtout qu'à force de mouiller, il avait attrapé le plug et me l'avait enfilé, étant dans mon fantasme, agissant comme un accélérateur, je jouis en criant, il ne me laisse pas le temps de reprendre mon souffle, il recule sa chaise, baisse pantalon et boxer, s'assoie et m'empale sur son sexe.

Il déboutonne mon chemisier pour m'embrasser les seins, l'avantage d'être une femme, c'est de pouvoir se laisser aller au plaisir, alors que l'homme doit se retenir, je m'envole à nouveau au paradis, sa Dupond ne sait pas ce qu'elle perd, car s'il n'est pas un tombeur, ni un TTBM, il sait se servir de ce qu'il a, pendant que je jouis, il redouble de coups de boutoir.

Il prolonge mon orgasme et par la même appelle le prochain, il me dira plus tard, que lui aussi, le lieu l'excite, par sa fonctionnalité, pour un ouvrier, baiser une "secrétaire" dans une salle de réunion, c'est le top, et aussi, par ce que je lui dis de comment se passent mes "cours".

Mon soutif qu'il a remonté me gêne, je le retire, il me lime encore un peu en me suçant le sein, puis n'y tenant plus, il me lève et me penche sur la table, retire le plug et me sodomise, pendant qu'il me lime et me traite, je regarde ou je me trouve, j'imagine mes "élèves", autour de cette table en train de me dire que je les ennuie avec mes cours et qu'il y avait mieux à faire pendant que mon vicieux me limait.

Fantasme que cela, car je n'aime pas du tout la pluralité, deux, c'est le maximum, en plus de moi bien sûr, mais dans un fantasme, tout est permis, malgré que je fasse tout pour m'envoler à nouveau, le plaisir l'emporte avant, il me remplit de son sperme, j'ai beau m'activer pendant qu'il éjacule, je n'y arrive pas, les deux orgasmes précédent m'avait rassasiés.

Il s'affale sur la chaise, je m'allonge sur la table, on n'a pas le temps de se remettre, que le bruit du bip de l'alarme se fait entendre, le copain dit tout bas, c'est pire qu'une gare ici, dans la précipitation à me lever, je tape la chaise d'à côté, je ferme mes boutons de chemisier à toute vitesse, je lui dis de prendre le sac à jouets, ainsi que soutif et string que je n'ai pas le temps de remettre, ni de place sur moi.

Je lui dis d'aller dans le placard au fond, et complètement à gauche, il y en a un où on tient debout, heureusement que j'ai mes cours dans un placard prés du tableau, comme la veille, j'étale sur la table plein de feuilles, la poignée de porte tourne, il essaie d'ouvrir, je vais en contrôlant ma tenue, lui ouvrir, qui est-ce, le mal embouché ou celui d'hier, je ne sais même pas lequel est préférable, je prend une bonne bouffée d'air et j'ouvre.

Le couperet tombe, c'est celui d'hier, sur le coup, j'aurais préféré que ce soit l'autre, mais si ça avait été l'autre, j'aurais préféré celui-ci, puisque qu'à choisir, j'aurais préféré rien, quoi qu'il en soit, je n'ai pas de machine à remonter le temps, je dois faire avec et je ne sais pas quoi.

Encore vous dit-il avec le sourire, n'étant que trois autorisés, il pouvait difficilement se tromper, si le loto était aussi facile, les gains ne rembourseraient même pas le tiers du billet, il entre sans que je l'invite à le faire, mais il est vrai qu'il est chez lui, on se fait la bise comme la veille, et il ironise en disant, "toujours aussi élégante, vous allez à une autre soirée", je lui dis que je suis venue préparer mes cours, car hier, j'avais complètement oublié.

Encore vous dit-il avec le sourire, n'étant que trois autorisés, il pouvait difficilement se tromper, si le loto était aussi facile, les gains ne rembourseraient même pas le tiers du billet, il entre sans que je l'invite à le faire, mais il est vrai qu'il est chez lui, on se fait la bise comme la veille, et il ironise en disant, "toujours aussi élégante, vous allez à une autre soirée", je lui dis que je suis venue préparer mes cours, car hier, j'avais complètement oublié.

Je ne peux pas non plus, lui demander de voir la vue dans son bureau, je n'ai pas envie qu'il se dise que je veux qu'il quitte la pièce, ça le ferait dire qu'il vient chercher ici quelque chose qu'il a oublié et chercherait dans les placards, je suis complètement à cour d'idée, il parle peu et il mate beaucoup, le peu de question, je réponds de façon courte, mais je me doute qu'il n'écoute pas.

Je le laisse parler en attendant qu'à court de mot, il prenne les devants en me disant qu'il me laisse travailler, il me dit, "vous prépariez vos cours, c'est bien, allez-y faites, me mettant délicatement sa main à l'épaule, il m'y pousse, j'y vais, je m'assois et mets des mémos durs les feuilles, chose inutile, mais voulant faire celle qui n'a rien à se reprocher.

Entre ma table où je suis assise, et là où se trouve le copain, il y a deux placards, on ne peut pas se voir, il doit nous entendre parler, à défaut de nous voir, tant que je ne lui dirais pas de venir, il restera à sa place.

La chance que j'ai, c'est qu'il ne connaît rien de mon travail, c'est la raison pour laquelle on m'a sollicité, il me pose des questions où je peux répondre en détournant la réalité, mes réponses l'intéressent autant que moi l'heure de la messe, il est à mon côté droit, légèrement décalé en arrière, une main s'appuyant sur la table et l'autre qui n'a pas quitté mon épaule.

Je suis en plein dilemme, soit je lui demande de retirer sa main, soit je le laisse faire, il ne me caresse pas vraiment, il fait contact, si je lui demande de retirer sa main, je le fâche avec ce qui risque d'arriver, si je le laisse faire, c'est l'encourager, je tente une solution, je me lève et dans le placard derrière, j'attrape des documents, il a dû retirer sa main, je me rassois, il n'a pas bougé de place, une fois remise a ma place, il repose sa main en douceur et cette fois, sur le creux de mon épaule, entre ma nuque et mon chemisier ouvert de deux boutons.

Je vais pour dire quelque chose, mais il me dit, "qu'appeler vous (un terme professionnel)", contente de reculer l'échéance, je suis coincée, si je le fâche, je suis mal, si je crie, le copain peut arriver, sans être aussi violent que mon mari, il ne se laisse pas faire non plus, et je me vois mal expliquer comment il se fait que je suis venue travailler un dimanche, et qu'un type a surgi du placard pour frapper le directeur, les coupures d'alarme signeront ses dires.

Plein de questions dans ma tête, pourquoi est-il là, se doute-t-il de quelque chose, des doutes ou des certitudes, mon dieu, que suis-je venue faire dans cette galère, l'avertissement de la veille aurait dû me faire réfléchir, il se lève, ramène une chaise et la met à côté de la mienne, continuez dit-il en remettant sa main au même endroit qu'avant, je le regarde, il sourit toujours, il me tient.

Si je pars, rien ne dit que lui, il ne va pas rester, ma soi-disant soirée déguisée presqu'en pute, il n'y croit plus, pour lui, si j'ai menti, ce n'est pas sans raison, il a ressassé ma demande de la veille, pour voir une vue inexistante de son bureau, c'est-à-dire, quitter l'endroit où on était, aujourd'hui, il arrive, me surprend, la porte fermée quand il a voulu ouvrir, ma docilité à ses petits gestes familiers.

Nous sommes en train de livrer une bataille d'escargot, le premier qui fâche l'autre, fout le bordel qui ne conviendra ni à l'un, ni à l'autre, s'il m'attaque direct, je le gifle, si je lui dis de retirer sa main, son sourire disparaît, en y allant à petit pas, il n'aura pas la honte de la gifle et si je fais un geste qui l'arrête, je serais celle foutant le bordel.

Il y a aussi une chose à savoir, c'est que je n'ai qu'un code visiteur pour les alarmes, lui, il a un code maître, c'est-à-dire, qu'il peut le changer à mon insu, du moment qu'il me le donne le lundi matin, si je sors, je ne suis pas sûr qu'il ne le change pas dés mon départ, si je reviens, ça sonnera et foutra le bordel, comment j'expliquerais être venu l'après-midi et revenu le soir, mes solutions avortent à mesure.

Sa main dans mon cou a commencé à bouger un peu, puis de plus en plus, encouragé par ma passivité, maintenant, il me caresse, je fixe mes documents pour éviter son regard, il parle toujours boulot, je réponds aussi, de ma nuque, il augmente son territoire, il caresse mon cou maintenant, voulant détourner ce qu'il fait, je lui dis, "non, restez sur la nuque, j'ai un début de torticolis.

Très mauvaise pioche, il se lève en disant, "attendez, je vais arranger cela", poussant sa chaise, il vient derrière moi et de ses deux mains, me masse la nuque, cela n'est pas désagréable, il est très doux, mais ce n'était pas là où je voulais qu'on arrive, il se penche sur moi et me dit, attendez, je fais ce qu'il faut pour ne pas vous étrangler, comme ses mains étaient entre ma peau et mon col, forcément, le chemisier me tirait.

Très mauvaise pioche, il se lève en disant, "attendez, je vais arranger cela", poussant sa chaise, il vient derrière moi et de ses deux mains, me masse la nuque, cela n'est pas désagréable, il est très doux, mais ce n'était pas là où je voulais qu'on arrive, il se penche sur moi et me dit, attendez, je fais ce qu'il faut pour ne pas vous étrangler, comme ses mains étaient entre ma peau et mon col, forcément, le chemisier me tirait.

Il reprend ses massages caressants, et à chaque fois qu'il va à l'extérieur, il repousse de plus en plus, par petit centimètre mon chemisier, je vais pour remonter mes mains, mais il me dit de me détendre en laissant mes mains le long du corps, il voit ma poitrine, seuls les tétons dressés sont encore cachés par le chemisier, il parle a voix normale quand on parle travail et a voix très basse pour me dire de me détendre ou défaire les boutons.

Dés que je vous aurais……. Détendue, je rentrerais chez moi dit-il, à ces mots, nul doute qu'il sait pourquoi je suis là, cela me terrifie et m'excite, je suis paralysée, je ne réponds pas, lui, il continue ses caresses, ses pouces sur ma nuque, ses mains sur mes omoplates, il fait le tour de mon cou et ses doigts passent sur le haut de mes seins et rejoignent mes épaules, je me sens succomber, dans un dernier sursaut, je lui dis, "je…. Je n'ai pas trop de temps là pour discuter travail, si je vous promets de venir lundi midi pour….. en parler, vous…. ".

Si j'ai votre promesse, cela me suffit largement, il retire lentement ses mains, et en parlant plus fort, il dit, "bon, ce n'est pas que je m'ennuie, mais j'ai un petit travail de dix minutes à finir, je vais vous laisser", il part sans fermer la porte, pour que je l'entende monter et aller dans son bureau.

Méfiante, je retire mes chaussures et monte pour contrôler, il est bien dans son bureau, je redescends aussi vite et je dis au copain, aller, on s'en va, on ne traine pas, nous sommes rentré à la maison aussitôt après en se disant, l'avantage cette fois, c'est qu'on a été dérangés après coup, je ne suis plus jamais retourné au boulot avec lui.

A suivre.
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Histoire de annizette

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