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Courrier pas si anonyme 14 - Fin

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Lue : 1410 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/03/2016

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Le lundi, je mets une jupe courte, mais plus sage, une culotte et un soutien-gorge, j'attends que les couloirs se vident et à midi dix, je frappe à son bureau, je rentre à sa demande, il me fait asseoir, il me sort une feuille avec des dates et heures, dont certaines, ceux de mon code, sont surlignées au stabylo, je reconnais celles de samedi et de dimanche, je me rappelle également que celles-ci, représentant mes moments coquins au bureau.

Il souri et parle calmement, il me dit, "samedi, j'ai voulu voir si cela vous arrivait souvent de venir, alors j'ai repris l'historique sur un an, puisque ça ne remonte pas au de là, voila, c'était simplement pour vous le signaler", je fais "je ……", il me coupe en disant que je n'ai pas a me justifier, que si j'ai le code, c'est que je peux venir quand je le désire.

Plus il parle, plus il se veut rassurant et plus j'ai la trouille de ce qu'il va me demander, il me dit qu'au début, lorsqu'il tentait de me séduire, que je n'ai pas été tendre avec lui, mais que le râteau infligé, lui a permis de se remettre en question, même si cela n'a été que quelques mois après, il me raconte que sa fille, a subit la même chose de la part d'un supérieur hiérarchique, qu'elle lui avait mis une gifle et passé à la caisse.

Je l'écoute toujours, attend le verdict, il me prend la feuille donné, et la passe dans son destructeur de documents, il me dit, j'ai effacé l'historique des alarmes, je dirais que j'ai fais une mauvaise manip s'il arrivait quelque chose, voila, j'espère que vous m'excuserez pour hier, même si j'ai vu que cela ne vous était pas désagréable.

Oufffff, je suis dans le même état qu'un contribuable à qui on vient de dire qu'il y a une erreur sur son montant d'imposition, que la virgule avait sauté par erreur de deux chiffres à gauche, il se lève, s'excuse à nouveau en me disant qu'il regrette tout de même de ne pas être suffisamment salaud.

L'homme m'en bouche un coin, son geste me plait, il me tient à sa merci presque, et il n'en profite pas, je me sens mal de ne pas avoir été plus souriante à son égard, je l'ai mis dans le même panier que l'autre connard, je sais qu'il en a envie, mais pas par n'importe quel moyen.

Remise de mon émotions, je lui dis, "ha non, vous n'allez pas vous en tirer comme cela", son sourire se fige, souriante, je lui dis, ça va vous coutez un repas, je n'osais vous le proposez dit-il, nous avons été mangé ensemble ainsi que d'autre fois, environs deux fois la semaine, quand nous nous croisons dans le couloir, on se dit des bonjours avec le sourire.

si nous sommes seuls, on se fait la bise, à nous avions oublié nos rancœurs injustifiées, nous nous apprécions sans reparler de ce qui s'est passé, comme le neveu m'avait parlé de recherche d'un petit boulot pour les vacances, dans notre discussion, il me fait part de la difficulté de trouver du personnel sérieux pendant les vacances.

Que les boites d'intérim envoie n'importe qui et se retrouve avec des gens qui ne savent même pas faire la différence entre une photocopieuse et une calculette, je lui demande ce qu'est le travail, et lui dis que j'ai peut être quelqu'un qui serait peut être intéressé et venant de moi, il dira oui ou non, sans se dire que s'il trouve mieux ailleurs, il s'en ira sans prévenir.

Il me donne le salaire proposé, qui somme toute reste raisonnable dans ce qui se pratique habituellement, avec aussi une prime de fin de contrat, réticent à embaucher, comme je me porte garante, il me dit oui, j'en parle à mon neveu, qui en principe, devait rentrer chez lui, prévient ses parents, sa mère déçu un peu, mais contente pour lui, pour le salaire, en plaisantant, elle me demande si à ce prix là, s'il ne cherche pas une sténodactylo.

Je réponds que je peux demander, elle me dit qu'elle me rappelle demain matin, elle en discute avec son mari et le lendemain, elle me dit, "demande si c'est possible et suivant ce que mon mari demandera à sa boite, je te donne une réponse dans la semaine".

J'en parle à mon nouvel ami, ce directeur, en lui disant que si je suis sur, du sérieux du fils, que je réponds de la mère comme de moi-même, deux jours après, j'ai l'acceptation de ma copine, son mari a négocié une prime pour rester en aout, cela leur coute moins cher qu'un intérim pour l'entretien des machines, et il y a trois jours de congé en plus, pour ceux prenant hors saisons d'été.

L'appartement est retenue jusqu'à fin aout, comme elle insistait pour me donner une participation au loyer que je ne payais pas, je lui ai dis, qu'elle rangera le fragile dans les cartons, comme en aout, je ne serais pas là, en fin de compte, l'appart était jusqu'à fin septembre, j'ai pu décaler les déménageurs, et une fois leur contrat terminé, ils étaient sur place pour faire partir mes affaires et meubles.

Il y avait aussi l'état des lieux, dont j'avais insisté que ce soit moi qui le fasse et non ma société, connaissant ma copine, tout devait être nickel, comme tout était entendu pour leur job d'été, pour le remercier, j'ai voulu l'inviter un soir, mais me disant qu'il était marié, cela n'était pas possible, même avec elle présente, disant que de déjeuner avec moi le midi était déjà une récompense.

Quelque temps après, un jeudi de juin, j'arrive le matin avec un début de torticolis, quand je ne mangeais pas avec des copains le midi, je déjeunais avec mes "élèves", ou on ne parlait que boulot, alors des fois, sans trop abuser, j'allais au bureau de ce directeur pour déjeuner avec, je n'avais pas besoin de lui demander, dés qu'il me voyait, il me disait, "on déjeune ensemble".

Cette fois là, je lui dis, "justement non, je venais juste vous dire, que je ne peux venir, j'ai un début de torticolis qui ne me lâche pas", il me propose de me masser, je sourie et dit non, me disant que j'avais déjà eu l'occasion de voir qu'il savait faire avec tact, je le remercie encore, il insiste à nouveau et je me dis, que de toute façon, s'il avait voulu l'autre fois, et avec ce qu'il sait, mon risque est minime.

Je n'avais jamais parlé de ça à mon mari, il avait un peu usé de chantage, mais c'était tellement infime et jamais ouvert ni menaçant, j'avais préféré attendre voir la suite, et j'ai bien fait. me poussant un peu pour que j'accepte, il me dit, mettez vous là sur mon fauteuil, nous allons attendre un peu, le temps que plus personne ne soit dans les bureaux, sa porte fermée paraitra naturelle à l'heure de déjeuner.

Au moment propice, il ferme à clef, et passe derrière moi, voila dit-il, je vais vous demandez de dégager votre nuque en retirant quelques boutons, j'en retire trois en lui disant, j'ai honte d'abuser et de vous dérangez, il répond, qu'être dérangé pour cette raison, il serait capable de mettre la clim même en hiver pour que j'ai souvent mal au cou, les trois boutons ne dégagent pas les épaules, il me demande d'en retirer un autre.


Ma robe est à manche courte contrairement à mon chemisier de la dernière fois, quand il pose ses mains sur moi, je frissonne en ayant la chair de poule aux bras, il le remarque aussitôt, il me masse avec délicatesse, ça me fait du bien, à force, je ressens les mêmes sensations que quand le copain était planqué, ses mains sont douces, ses gestes aussi, je ressens un bien-être, il n'en a pas profité la dernière fois, je me dis qu'autant le laisser profiter maintenant de me caresser la nuque, à moi, ça me fait du bien, et lui, il apprécie aussi.

En attrapant mes bretelles de soutif, il me dit, "je peux", je n'ai pas le temps de répondre, il me les glisse délicatement sur les côtés, je lui dis, qu'il prend ses aises-là, pas du tout répond-il, c'est pour bien faire circuler le sang et détendre les muscles, ça ne vous fait pas du bien, je réponds que si.

Après avoir bien chauffé ma nuque, il étend son périmètre à masser, ça ne me déplaît pas non plus, comme la fois d'avant, pressant ses pouces sur ma nuque, il m'enserre le cou puis ses doigts redescendent sur les côtés, ses doigts sur le haut de mes seins, chaque série de trois passages est identique, sauf que le suivant à gagné du terrain.

Contrairement à la dernière fois ou le copain m'avait comblée, là, je n'y suis pas, il me caresse, mais, il me masse aussi, cela me fait le plus grand bien, et pour une autre raison, cela m'en fait aussi, ses doigts touchent mon soutien-gorge maintenant, puis-je vous demander de retirer un autre bouton afin que j'officine pleinement mon art dit-il, je lui dis, "ne pensez-vous pas que vous abusez", il me répond que les hommes sont ainsi fait, vous nous donnez le doigt, et nous vous prenons la main.

J'en retire un autre, il me dégage la robe presque jusqu'aux coudes, je l'ai retenue un petit peu sur le devant, mais dés que j'ai remis mes bras droits, elle est tombée, il baisse complètement mes bretelles qui étaient déjà un peu retombées, il s'étend encore plus autour du cou, le fauteuil n'étant pas pratique, même si je ne suis pas adossée, il se cantonne plus sur le devant, ses mains son sur mon cou et il descend.

Les bouts de ses doigts sont entre mon soutif et mes tétons qu'il devine tout dressés derrière le fin tissu, je n'ai pas envie qu'il arrête, je le laisse faire, à chaque fois que sa main est sur le dessus de mes seins, j'ai un petit soubresaut du bassin, il a bien compris l'état dans lequel je suis, il me dit, il reste d'autres boutons, il serait dommage qu'ils forcent inutilement, je dis "non", il dit "si", je redis "non" en les retirant.

Il me dit, vous voyez, nous sommes plus tranquilles que l'autre jour, je ne réponds pas, à peine mes boutons retirés, il me tombe la robe sur le fauteuil, je dis non, mais de façon si peu convaincante, je me retrouve en soutien-gorge et string, l'été, je ne porte pas de bas, il dit "aller, ne résistez pas", ce faisant, il continue son massage caressant.

Quand il arrive aux épaules, il me tombe complètement les bretelles de mon soutien-gorge, de toute façon, dans la tenue où je suis à présent, plus rien ne sert de résister, il le sait, il amène ses mains derrière, sur l'agrafe du soutif, je me penche un peu pour faire de la place, il le décroche juste, il fait pivoter le fauteuil, nous nous faisons face, il me détaille et me complimente, il se met à genoux, et me le défait lentement en me regardant les seins apparaitre.

À son regard, mon 95 D naturel, qui tiennent tout seul lui plaît, mes bouts pointent, mon string s'inonde, quand il m'attrape les deux seins, je ne peux retenir un gémissement, ainsi qu'un autre plus fort quand il me pince les tétons, j'écarte les jambes pour qu'il s'approche plus, il m'embrasse les seins, suce les bouts.

De son autre main, il la passe entre mes cuisses et me touche le sexe, je gémis et ondule du bassin, il me lâche le sexe et me retire le string, il sait maintenant, qu'il peut tout me faire, une fois enlevé, il me regarde en disant, bientôt deux ans que j'en rêve, il me glisse au bord du siège et sa bouche me happe le sexe.

Depuis la fois où il nous avait dérangés, la première fois, j'avais déjà le fantasme qu'il venait abuser, et le lendemain, quand il a tout découvert, quand il me tripotait, j'avais envie qu'il continue, j'ai eu un sursaut de pudeur, que j'ai regretté les minutes suivantes, et le lundi, j'ai regretté qu'il n'en profite pas, même si j'ai apprécié son geste.

Il me suce le sexe avec gourmandise, il a l'expérience, il a la nouveauté, et je suis en manque, je jouis dans sa bouche en lui maintenant la tête, il n'arrête pas pour autant, il continue à me pincer le clito avec ses dents, à me le rouler, à me happer les lèvres intimes avec sa bouche, je commence à reprendre le chemin de l'orgasme, quand je sens son pouce sur ma rondelle.

Je fais, "ho non", mais ne m'écoutant pas, il étale mon liquide, puis me pénètre de son pouce, je fais "ho oui", je me fixe, et j'explose en silence, dans un long orgasme, plus violent que le premier, il me bouffe goulument tout le temps que je jouis.

Une fois fini, il reprend un peu son souffle, et dans le fond de son tiroir, il sort une capote, sort son sexe qui est dimension moyenne, et avant qu'il ne l'enfile, je lui fais un début de pipe, quand il est bien dur, il s'enfile la protection, je me mets à genoux sur son fauteuil, et il me pénètre en s'agrippant à mes seins.

Il me lime jusqu'à ce que je jouisse à nouveau, ayant surement attendu mon orgasme, il se laisse aller pendant celui-ci, après cela, je me rhabille, lui se nettoie, j'essaie de me refaire une allure habituelle, en tout cas, ma nuque ne me fait plus aussi mal, même si je ressens encore une petite raideur, afin de rester discret, j'ai été dans la salle, ou j'ai attendu mes "élèves".

En milieu d'après-midi, il me téléphone, en demandant s'il peut venir après mon cours, je lui dis que je l'appelais, une fois mes "élèves" partis, je le préviens, il arrive, nous parlons de ce qui vient de se passer le midi, je joue franc jeu, à da demande, je lui dis que la dernière fois, que j'étais prête à succomber, disant même que j'ai regretté qu'il n'ait pas abusé le lendemain.

Il me dit, "je l'avais compris la dernière fois ici, quand j'ai vu que vous vous laissiez faire, je sentais que vous vouliez que je parte, et que ce que je vous faisais vous troublait, j'avais compris que vous n'étiez pas seule, qu'il y avait quelqu'un ici, vous étiez gênée de mes caresses, gênée, que je le découvre, et en même temps excitée par la situation, je me trompe".

Mentir ne servait a rien, sans répondre, je dis, "bonne analyse", il poursuit en disant, "le lendemain, je voulais abuser pour vous plaire, mais je ne l'ai pas fait en vous donnant la raison, et aussi que je ne suis pas comme cela", je lui dis que son geste m'avait plu, j'ai vu dit-il en se levant.

Il vient derrière moi, je dis "non", il dit "si", et m'attrape les seins, il me retire quatre boutons afin de passer ses mains dedans, il m'a tripoté quelques petites minutes, nous avons discuté de la prochaine visite dans son bureau, ou je lui ai dit que se sera qu'un mercredi ou jeudi, puis nous sommes sorties à quelques minutes d'intervalles.

Le lundi, dernière semaine de juin, à onze heures quarante-cinq, il vient me demander si je suis libre à déjeuner, me disant qu'il doit m'entretenir au sujet de mon emploi du temps, je me dis qu'il est gonflé de me forcer ainsi, quand je le rejoins à son bureau, il me dit, venez, je suis prêt, apparemment, ce n'est pas pour une partie de sexe, nous allons dans un restaurant.

Il me demande si je suis intéressée pour prendre sa place au mois de juillet, je lui dis que je ne suis pas trop compétente pour ce genre de poste, il me dit que si, les seules décisions à prendre, sont en rapport avec ce que j'apprends à mes élèves, qu'en juillet, il y a peu à faire, et que je n'aurais juste qu'à m'occuper des affaires courantes, c'est l'autre directeur qui s'occupe de cela en temps normal, j'oppose plusieurs raisons négatives, il me dit qu'il a demandé à notre PDG, et que le poste qui m'attend ne sera dispos qu'après les vacances.

Je suis embêté, car je voulais rentrer chez moi, en province, il me répond que mes amis, seront sous mes ordres et non sous ceux de l'autre directeur, et qu'en une journée, il peut me montrer ce qui m'attend, me disant aussi, qu'ainsi, j'aurais déjà une expérience à un poste de direction, bien évidemment, vu sous ces angles, pour un mois, je me donne le restant de la journée en réflexion.

Ce n'est pas la copine ni son fils, qui me demande de refuser, ce qui fait que le lendemain, je donne mon accord, en demandant si la journée d'explication peut se faire sur deux demi-journées, il dit que oui, le mercredi, présentation à tout le personnel, avec en même temps les responsabilités, le lendemain, baise le midi, restau et explications.

En fin de compte, j'ai été très satisfaite de mon essai, cela m'a beaucoup aidée bien plus tard, et la copine ainsi que son fils, n'ont pas été ennuyés par l'autre imbécile, j'ai bien été acceptée par le personnel, le fiston en a profité, comme il devait souvent venir me voir pour le travail à faire, ses mains se baladaient souvent, la copine, elle était contente de celui avec lequel elle travaillait.

Dernier WE de juin, ses parents viennent à deux, mon mari aussi, nous recommençons les échanges, mais cette fois, là, je ne vais pas au bureau, je préférais payer l'hôtel, il repart le dimanche soir, mon mari, le lundi matin, ce qui fait que la nuit de dimanche à lundi, mon mari à été au lit avec elle et moi avec son fils, mon mari devant lui, a fait celui qui s'endormait.

Les autres soirs, je rejoignais son fiston, nous nous soulagions plus que faire l'amour, en semaine, si nous sortons, elle vient avec nous, pour aller au bureau au bureau, il me choisissait toujours mes tenues, des robes courtes bien évidemment, avec trois boutons retirés, il m'a fait travailler sans string toute un après-midi, une autre fois, avec un plug et une culotte quand même.

Il me racontait ce que certains collègues disaient sur moi, le genre de truc que disent les hommes, il me baisait à chaque fois que c'était possible dans la journée, il se gavait pour ce qu'il n'aura plus après, disant que le soir, il me laisserait tranquille, mais il venait me chercher quand même, son mari venait toutes les semaines du fait que j'avais droit au billet de train remboursé.

Mon mari n'est venu qu'au WE du 14 juillet, les autres, ma copine s'arrangeait pour dire qu'elle était fatiguée et ne voulait pas sortir, nous laissant aller seuls, comme il faisait chaud, on a été au bois de Vincennes, et il a voulu s'occuper de moi en pleine nature, nous avons attendu qu'il y a moins de monde, on a marché en attendant.

Quand il a commence à faire sombre, sur un banc, il a commencé à me tripoter, sauf qu'au bois à cette heure, il y a les voyeurs, en voyant un qui était planqué sans l'être derrière un arbre derrière nous, il s'énerve et dit, "je vais lui casser la tête à celui-là", je lui dis non, et lui explique le fonctionnement de l'endroit, en lui disant que je croyais qu'il venait exprès ici.

Il ne connaissait pas, étonné, il se calme et me dit, s'il voit que je l'ai vu, il se dira qu'il peut venir", je dis oui, il fait hé hé, il regarde si le type est dans nos critères, puis le laisse approcher, il lui dit que j'ai chaud, qu'il faudrait me retirer ma robe, celui-ci s'empresse d'obéir, je me retrouve en string et soutif dans la mi-pénombre, le copain lui dit qu'il voudrait bien m'enfiler, mais qu'il me trouve un peu sèche, alors s'il avait une idée.

Rentrant dans la plaisanterie, le voyeur dit qu'il connaît une méthode qui donne de bon résultat, par expérience de ce genre d'endroit, je peux dire que jusqu'à cette époque, j'ai souvent eu affaire à des voyeurs très respectueux, très polies et avec de l'humour, il y a eu des rapides, des inexpérimentés, mais il y en a eu qui étaient plus que corrects, le pourcentage positif est bien plus important que ce qu'il y a dans le milieu de la vie de tous les jours.

Les deux hommes me poussent sur le banc et m'allongent, le voyeur se met la tête entre mes cuisses et me fait un cunni, quand un homme nous suce pour la première fois, il y a une espèce d'alchimie qui fait qu'on est plus excitée encore par l'effet de la nouveauté que par ce qui se fait, le copain sort son sexe et me le met en bouche.

La position peu pratique, le copain me fait mettre à genoux sur le banc et en appuis sur le dossier, prévenant, ils me mettent leur veste pour mes genoux, pensant que je suce le copain, il dit au voyeur, "va-y, fait-lui la rondelle, c'est lavé deux fois par jour ça, si ça fuit de trop, bouche avec les doigts, le type me met un doigt, puis deux et me lime avec, je quitte son sexe pour crier de plaisir, il me le remet dans la bouche en disant, "suce, sinon tu vas ameuter le quartier".

Pendant que le voyeur me comble, le copain se laisse sucer et scrute les alentours afin de déceler qu'il n'y a pas d'ombre venant vers nous, comme toujours, l'excitation du contexte, l'orgasme arrive et j'encourage mon suceur à continuer, le copain me tient la tête pour étouffer mes cris.

Le copain découvre le plaisir du candaulisme, il le félicite, une fois que j'ai jouis, il continue de me fouiller, le copain me demande si je veux qu'il me baise, je fais oui, il demande s'il a une capote, mais hélas, le type n'en a pas, il dira après que quand il en a sur lui, il ne trouve personne, et quand il n'en a pas, c'est là qu'il trouve.

Le voyeur propose d'aller en chercher, mais comme me copain dit, "ça se fait à chaud, sinon ça casse l'ambiance", le copain passe derrière moi et me baise, pendant que le type me tripote les seins et le clito, pendant qu'il me lime, le copain dit, "merde, il y a quelqu'un, le type dit, c'est rien, je le connais, il respecte, il ne viendra pas si vous ne lui faites pas signe.

Il lime encore un peu et dit, "bon dit lui qu'il peut approcher pour voir mieux", il appelle doucement celui qu'il connaît, plus vieux, très polie, "bonsoir monsieur dame, merci monsieur dame", le copain dit, "il peut toucher aussi, elle hein, pas moi", chacun me prennent un sein et le caressent le dos, être exhibée et offerte ainsi m'excite davantage, l'orgasme m'emporte, et lui également, nous jouissons de concert en essayant de ne pas faire trop de bruit.

M'asseyant sur le banc pour reprendre mon souffle, leurs mains me parcourent aussitôt, afin de les remercier, j'attrapais le sexe du premier voyeur et le branlais jusqu'à l'éjaculation pendant que l'autre me roulait le clito et me tripotait un sein, il essayait de tenir le plus possible, mais j'ai vite fait de faire pleurer la bête.

Comme le deuxième s'affairait à me tripoter le sexe et clito, le sperme du copain qui me coule entre les cuisses ne le gêne pas, je commençais à repartir vers le plaisir, je me place pour qu'il continue sa caresse, sa tête entre mes seins, et je le branle à son tour, je suis proche de l'orgasme, lui, il n'est pas loin non plus, son gland, plus gros que l'autre voyeur et que celui du copain, est gonflé à bloc.

Le copain, nous mate, et mate les alentours, je peine à jouir, les deux fois précédentes m'ont mis à plat, je décide de me faire aider, je dis à celui que je branle, "tu aimes hein, tu aimes ça que je te branle, je suis une bonne salope, hein, dis-moi-le".

Le copain comprenant ce que je veux, leur dit, "traitez là de tous les noms, elle adore cela qu'on la traite de pute, salope", les types ont comprit, et ils font ce qu'il faut, mon branleur jouit avant moi en le disant, il continue à me branler, je suis proche, celui que je viens de purger, devinant que je ne suis plus bien, loin, me met un doigt dans l'anus, je serre jusqu'à l'étouffement mon branleur, et j'explose dans un grand râle, que mon copain atténue de sa main sur ma bouche.

Une fois mes esprits et mon souffle repris, l'un me remet mon string et l'autre mon soutif, et dise au copain qu'ils pensent être mon mari, "hé bien monsieur, laissez-nous vous dire, que non seulement, c'est la première fois que nous avons le plaisir d'avoir une dame aussi belle", prenant son collègue a témoins, celui-ci dit et de très loin, il n'y a pas photo, il rajoute, "et en plus, elle est très réceptive, au moins, on voit de suite qu'elle ne mime pas".

Il continue en disant, vous êtes une…., cherchant son mot, le copain dit, "une bonne salope", il répond, "oui, mais cela est à prendre comme un grand compliment, je réponds que c'est ainsi que je le prends, nous sommes rentrés ensuite, sur le retour, il me disait qu'il avait bien aimé et que moi aussi apparemment, il a pu baiser sa femme le soir, et moi j'ai pu ravoir un orgasme avec son fils.

La dernière semaine, comme il n'est partie que trois semaines, le directeur est passé deux après-midi, demandant à la copine d'être là, car sa secrétaire partait en août, et c'est elle qui devra la remplacer, il lui a expliqué le fonctionnement, et le lendemain, sa secrétaire lui expliquait le boulot pendant qu'il m'expliquait autre chose.

J'avais dit au neveu de ne pas venir, car il n'aimait pas être dérangé, après avoir passé du bon temps, il me demande si la copine est comme moi, je dis ne pas savoir, la copine n'est pas top, mais lui, encore moins, et sa femme, c'est la même chose, c'est là qu'il me demande si cela me dérange d'essayer avec elle, je réponds que cela ne me regarde pas, que ça ne regarde qu'elle.

Et c'est là qu'il me demande de l'aide, cela consiste à dire à la copine, de faire attention, que c'est un dragueur, que s'il lui propose de venir voir des photos, de voiture de collection, que ça sera pour la tripoter voire plus, pourquoi voiture de collection, simplement qu'il a plein d'albums de voitures de collection, de motos de collection, d'avions de collection, des fleurs, des animaux, des poissons, etc., et comme quand il m'a demandé ce qu'elle aimait, j'ai dis les vieilles voiture.

Sa tactique n'est pas bête, le soir même, quand son fils est dans sa chambre, je lui demande ce qu'elle pense de lui, bien sûr, elle me dit que ce n'est pas Alain Delon, même de loin, mais qu'il a un certain charme, qu'il est doux dans ses paroles et ses gestes, je profite de sa remarque, pour lui dire qu'il a des albums photos de tout, dont des voitures de collection, je suis tombé dessus la semaine dernière, et j'en ai parlé à quelqu'un, et voilà ce qu'il m'a dit

S'il te propose de venir les voir, il va te faire asseoir dans son fauteuil, et il sera derrière toi, il a les mains baladeuses, alors, s'il te propose, tu dis non, s'il insiste, tu redis non, après il te laissera tranquille, mais ne dis pas oui, pour te défiler après, ça le vexerait, je lui dis que je sais cela de celle du deuxième (qui n'existe pas) qui est partie aujourd'hui en vacances, mais répète le à personne, elle me la dit à moi, parce que je ne suis pas de la boite, elle m'a prévenue, ne me fait pas avoir des histoires.

Le lendemain, je faisais mon pot de départ, le samedi, je préparais mes affaires, son mari était venu en voiture, pour me ramener le dimanche avec mes affaires les plus importantes, la copine pleurait, son fils aussi, il s'en est allé pour ne pas le montrer, le dimanche à été le défilé des copains, qui étaient venus me voir une dernière fois pas loin de chez eux.

Arrivé chez moi, on a baisé à la maison, en arrivant, on a déchargé la voiture et remis la maison en route, du moins le minima, la voisine que je payais pour ouvrir et faire le minimum de propreté, avait déjà tout fait, même rempli le frigo et quelques courses de ce que je lui avais demandé, un copain avait même ouvert l'eau et réparé quelques fuites dues à des joints qui avaient séché.

Après avoir diné, il m'a fait une séance BDSM ou il m'a attachée, fouettée, fouillée, nous étions complètement tranquille, je pouvais crier, cela a bien duré une bonne heure, où il m'a approché de l'orgasme sans me le donner de suite, il est parti sur les coups de vingt-deux heures trente, j'ai passé la nuit toute seule, heureusement, car les cuisses et fesses me cuisaient.


L'année suivante, la copine m'a finalement avouée, suite à un mensonge de ma part pour qu'elle me le dise, qu'un jeudi, elle a accepté de voir son album d'auto de collection, le directeur, savait que si elle acceptait, c'est qu'elle était d'accord, il lui a fait des attouchements, en étant assez discret au départ, avec 4 jours d'abstinence, et voyant son trouble, il a été plus direct, j'avais demandé à ce directeur de me le dire, mais il m'a répondu, que jamais, il ne le dit à personne, même pas à moi.

Avec la copine, on se téléphonait, mais nous n'avons jamais été les voir, elle nous a fait les cartons fragiles et début septembre, les déménageurs nous réaménageaient, mon mari, a arrêté les déplacements trop éloignés, se consacrant aux travaux dans la maison, août a été mon dernier salaire intéressant, je suis retombé à celui de chef de service, un peu mieux que celui quitté lors de la fusion de mon ancienne boite.

Les six premiers mois ont été les plus durs, quelques gifles, quelques vexations à l'encontre des petits malins, et je me suis faite une réputation de femme, belle, bien foutue, sexy, mais strict, frigide et coincée du cul, après cela, tout roule, mes amis m'ont suivi, ceux qui le pouvaient, certains, sont très prés, d'autres dans un rayon de cinquante kilomètres.

Je n'ai jamais revu le copain du neveu, j'ai téléphoné de temps à autre au directeur, pour prendre des nouvelles et savoir pour la copine, puis petit à petit, ne répondant pas à ses invitations de venir sur paris, nous avons rompu le contact.

Mes amis sont venus plus régulièrement nous voir, surtout la première année, le fiston a trouvé une copine, et ne venait que rarement ensuite, nous refaisions le coup du cinéma, cette fois dans une ville différente, mon mari s'occupait de la copine, et j'allais à l'hôtel avec son mari, dans les premiers temps, car ensuite, c'est mon mari qui allait avec elle, dans un mobil-home prêté par un copain de paris, qui n'y venait qu'aux vacances et qui nous avait demandé d'aérer.

Par la suite, ils ne venaient que quatre fois l'an et nous une fois, sauf en juillet, ou elle, elle venait quand elle pouvait, et lui il venait le WE voir sa femme, le fiston quant à lui, était en main et elle ne m'aimait pas beaucoup sa copine, il m'a juré ne rien lui avoir dit, mais nous les femmes, nous avons un sixième sens, aux vacances, comme j'avais fait embaucher cette copine en CDD, en août, elle nous gardait la maison, lorsque nous étions en vacances.

Peut-être la troisième année, ou le fiston m'appelait des fois, je lui ai dit qu'on arrêtait notre relation impossible, qu'on a passé de très bons moments ensemble, mais que la vie continuait, qu'il avait la sienne à faire, la tristesse passée, il m'a dit que j'avais raison et que je resterais son plus beau souvenir, il ne m'a jamais parlé du courrier anonyme, et je ne lui en ai jamais parlé non plus.

FIN.
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Histoire de annizette

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